MOINS D’IMPÔTS SANS PERTE DE PRESTATIONS PUBLIQUES ? C’EST POSSIBLE ! Contrairement aux idées reçues, cette baisse d’impôts n’entraînera aucune coupe dans les services publics : ni dans l’éducation, ni la sécurité, ni les hôpitaux, ni les aides sociales, ni le soutien pour les primes d’assurance maladie. Pourquoi ? Parce que l’État de Genève a encaissé plus que prévu ces 3 dernières années, avec un excédent de plus de 2 milliards de francs ! 💰 Cela signifie qu’il est possible de soulager les contribuables sans sacrifier la qualité des services publiques. - 🗳️ Le 24 novembre, rendons du pouvoir d'achat aux Genevoises et Genevois. Votons OUI à la BAISSE D'IMPÔTS POUR TOUS (oui à la modification de la LIPP). - Plus d’info 👉 https://lnkd.in/eRB597rE - #baissedimpotspourtous #fiscalitéGenève #pouvoirachat #Qualitédevie #Geneve
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Solidaire et responsable 🤨 Avec ces 2 termes, les « mutuelles » ont un plafond ET un plancher de remboursement. Autrement dit, elles doivent rembourser au minimum le ticket modérateur ET ont interdiction de rembourser au delà d’un plafond. Depuis 2002, la Sécurité Sociale n’a jamais eu de budget à l’équilibre. Ce déficit est financé pour l’essentiel grâce à la CSG et la CRDS. 🥵 Les mutuelles se doivent d’être à l’équilibre ✅ Depuis 2002, la Sécurité Sociale n’eu de cesse de transférer vers les mutuelles une partie grandissante des remboursements réalisés. Les derniers transferts sont : Le 100% santé 😱 L’augmentation du ticket modérateur de 10% concernant le dentaire 😬 Le prochain transfert ? L’augmentation du ticket modérateur de 10% concernant la médecine de ville 🥳 Alors oui, il est certain de constater une augmentation des prix de nos mutuelles. Le prix de nos mutuelles est la composante de 3 paramètres : - Le tarif de convention determiné par la Sécu - Des taxes (taxe Covid-19, TSA, Taxe sur le chiffre d’affaires, etc.) - La rémunération des acteurs Au final, on constate, en règle générale, que sur une cotisation de 100€, seuls 68€ sont consacré au remboursement des soins. J’Aime à Bien vous Accompagner ® #courtier #conseil #mutuelle
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[𝑽𝒐𝒕𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏𝒔] 🗳 Lors des votations du 9 juin prochain, deux initiatives fédérales visent à résoudre les défis qu'engendre la hausse des primes de l'assurance-maladie en Suisse 🩺 : ❌ L’une propose de plafonner les primes à 10% du revenu des ménages à l’aide de subventions. 𝗟𝗲𝘀 𝗰𝗼𝘂̂𝘁𝘀 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝘁𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗺𝗲𝘀𝘂𝗿𝗲 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗲𝘀𝘁𝗶𝗺𝗲́𝘀 𝗮̀ 𝟭𝟭,𝟳 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗮𝗿𝗱𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰𝘀 𝗱𝗲̀𝘀 𝟮𝟬𝟯𝟬. 𝗨𝗻𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗵𝗮𝘂𝘀𝘀𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗧𝗩𝗔 𝗼𝘂 𝗱’𝗮𝘂𝘁𝗿𝗲𝘀 𝘁𝗮𝘅𝗲𝘀 𝗼𝘂 𝗶𝗺𝗽𝗼̂𝘁𝘀 𝘀𝗲𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗻𝗲́𝗰𝗲𝘀𝘀𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗳𝗶𝗻𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗶𝗻𝗶𝘁𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲. ❌ L’autre vise à maitriser les coûts de la santé en liant l’évolution des primes à l’évolution du PIB, créant à terme le risque d’engendrer une médecine à deux vitesse. ➡ Contre les initiatives sur la santé, le 9 juin prochain, votez 2xNON : https://lnkd.in/djAVHiny #CCIG #Votations #Santé #Économie #Suisse
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💡 Pourquoi les cotisations de votre mutuelle augmentent-elles ? Depuis plusieurs années, des facteurs naturels et imposés les influencent tels que : 🔹 le vieillissement de la population, les avancées médicales plus coûteuses, l'inflation... 🔹 le désengagement de l'État vis-à-vis des dépenses liées à la santé. On vous explique ce désengagement dans notre carrousel ⬇️ 📌 Le saviez-vous ? Les mutuelles sont à but non lucratif et reposent sur la solidarité entre leurs adhérents. Cela signifie que chaque euro collecté via vos cotisations est entièrement réinvesti pour couvrir vos soins. Pour en savoir plus, découvrez toutes les informations ici 👉 https://lnkd.in/e6xWcWBu #Solidarité #Engagement #AccèsAuxSoins #SantéPourTous #SécuritéSociale #SantéSolidaire 📸 Photo : © Rodolphe Escher
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MPORTANT ! Referendum fédéral : 50'000 signatures valables ( + minimum 10% de plus + pour être sûrs )en 100 jours . Une feuille par commune: sinon signatures poubelle Les signatures doivent être manuscrites : possibilité soit d'imprimer ou de recevoir via la poste une- plusieurs feuilles MERCI à vous toutes et tous de partager ! Message de M. Pierre-Yves Maillard dit PYM Dimanche dernier, nous avons pu fêter une grande victoire pour la population de notre pays. Un peu de repos serait bienvenu… mais nous devons déjà préparer les prochaines batailles. C'est pourquoi je vous écris aujourd'hui au sujet d'un projet très dangereux mais dont presque personne ne parle! Le projet appelé « EFAS » veut donner un pouvoir illimité dans le système de santé aux caisses d'assurance-maladie. Aujourd'hui, les cantons sont impliqués et doivent garantir des prestations de santé adéquates et abordables. Avec EFAS, ils ne prendraient plus cette responsabilité. A la place, les caisses-maladie recevraient 11 milliards d'argent public issu de nos impôts, qu'elles pourraient gérer et distribuer sans contrôle démocratique. Pire encore : comme les cantons se retireraient du financement, les primes-maladie risqueraient d'augmenter encore davantage. La charge des primes a déjà dépassé le seuil de l'acceptable. Ça ne peut pas continuer comme ça . EFAS accélèrerait la dégradation notre système de santé. Je vous invite donc à signer le référendum que nous avons lancé :Nous devons éviter que les caisses-maladie prennent le pouvoir dans le système de santé. Ensemble, nous pouvons faire en sorte que ce projet soit soumis à votation populaire afin que nous puissions le faire échouer dans les urnes. Merci d'avance pour votre soutien ! Pierre-Yves Maillard Président de l'USS
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𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗹’𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝘂𝗿𝗽𝗼𝗶𝗱𝘀 𝘃𝗲𝘂𝘁 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗿𝗲, 𝗮̀ 𝘀𝗮 𝗽𝗹𝗮𝗰𝗲, 𝗹𝗲𝘀 𝗗𝗲́𝗽𝗮𝗿𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗮𝘂 𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗺𝗲 Texte de Claude Riboulet, Président du Conseil départemental de l'Allier La copie, brute de décoffrage produite par Bercy, du projet de loi de Finances 2025, ambitionne de réduire les déficits publics de dizaines de milliards d’euros. Une diète salutaire. Mais si le surpoids de la dépense doit être corrigé, ce ne sont pas les Départements qui doivent jeûner. En effet, les conseils départementaux ont déjà très largement pris part à la réduction des déficits de l’État : en payant à sa place. Par exemple, quand les gouvernements ont décidé de revaloriser le montant de l’allocation du RSA (en 2022, 2023 et 2024), ce sont les conseils départementaux qui en ont assuré le financement, sans le moindre euro de compensation. Autre exemple : quand les gouvernements ont décidé d’étendre la prime « Ségur » post Covid aux structures médico-sociales, ce sont encore les Départements qui ont assumé les coûts budgétaires. En soi, ces mesures sont justifiées et bienvenues pour les différents bénéficiaires. Pour autant, que celui qui décide paie ! Depuis trop longtemps, l’État a pris l’habitude de signer les bons de commande et d’envoyer ensuite les factures aux collectivités, singulièrement aux conseils départementaux. Donc, non, il n’est pas possible, en plus, de faire les poches de ceux qui ont déjà payé. Les Départements sont exsangues, et d’ores et déjà en difficulté, alors qu’ils prennent soin, au quotidien, de nos concitoyens les plus fragiles. Par ailleurs, les Départements sont aussi la collectivité des équilibres entre les territoires ruraux et urbains et garantissent les services du dernier kilomètre. Une ponction sur les recettes des Départements n’est absolument pas soutenable. Pour participer au redressement des finances publiques, au mieux, les budgets des conseils départementaux pourraient supporter un double gel : gel des recettes (dotations de l’État), et surtout gel des dépenses nouvelles si elles ne sont pas compensées à l’euro près. Aujourd’hui, le pouvoir est au Gouvernement et surtout au Parlement. Que les parlementaires fassent sérieusement leur travail et suivent le conseil de Boileau… députés, sénateurs : l’ouvrage est sur le métier, « polissez-le sans cesse et le repolissez ; ajoutez quelquefois, et souvent effacez ». Mais effacez surtout les dépenses superflues de l’État. https://lnkd.in/eiChVwZ7
Quand l’État en surpoids veut mettre, à sa place, les Départements au régime
https://www.parti-udi.fr
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L’arlésienne du projet de Grande sécu est de retour, dans le Monde cette fois. 5 médecins opposent les frais de gestion des assurances privées, parmi lesquelles on trouve les mutuelles, au reste à charge des assurés. Il suffirait d’étatiser la complémentaire santé pour réaliser des économies et éviter ainsi de les faire peser sur les personnes. Cette solution simpliste a cependant tout de la fausse bonne idée. Non seulement, les économies espérées ne seront pas réalisées parce que les recettes fiscales liées aux impôts associés ne rentreront plus. Mais en plus, cela coûterait très cher à l’Etat, ce qui l’amènerait à augmenter la CSG, donc à faire payer les assurés, et à réduire le panier de soins. Nous aurions ainsi un système à double vitesse dans lequel seuls les assurés ayant les moyens seraient bien protégés, venant accroître les inégalités d’accès à la santé. J’expliquais déjà tout ça dans une chronique il y a près de trois ans 👉 https://lnkd.in/dpH_bjg9 Mais la pédagogie est l’art de la répétition.
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1 milliard d’€. C’est ce que l’Etat a prévu d’économiser en réduisant les remboursements de la Sécurité Sociale. Évidemment ce milliard ne va pas disparaître… il va basculer à la charge des organismes complémentaires impactant significativement vos cotisations. Offrir a vos collaborateurs une solution équilibrant santé, bien être et budget reste d’autant plus un enjeu majeur pour votre entreprise. Agissons et trouvons cette solution ensemble. Jérôme LECOMTE Ambroise BARON Caroline DE BEAUNAY Odass Courtage #renouvellement #protectionsociale #ria #mettezdelodassdansvotreentreprise
Assurance-maladie : derrière la hausse envisagée du ticket modérateur, des enjeux cruciaux
lemonde.fr
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[ALERTE hausse d’impôts sur les malades] Avec une augmentation de la consultation médicale de base de 26,5 € à 30 €, et un remboursement Sécurité sociale passant de 70% à 60%, c'est un reste à charge patient de 4€ supplémentaire par visite. Soit un prélèvement direct, ou indirect (via les complémentaires) Et oui, baisser la prise en charge des consultations médicales est strictement la même chose qu’instaurer un prélèvement supplémentaire sur les malades. Bien souvent, contrairement à ce qu'affirment bon nombre de politiques (et d'économistes), baisser les dépenses publiques est strictement équivalent à lever un impôt supplémentaire, comme ici sur les malades. Cela revient à faire payer la baisse d’impôts sur les riches et les entreprises depuis 2017 par les malades. Souvent, l'exécutif macroniste a affirmé qu'il n'avait pas augmenté les impôts. C'est faux. Y compris en augmentant déjà les impôts sur les malades : ➡️Prolongement de la CRDS jusqu’en 2033 ➡️Augmentation des franchises médicales ➡️Taxe sur l'électricité (+10%) ➡️Reste à charge sur le CPF Par contre, rien sur ❌les plus riches ❌les superprofits ❌le capital
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Augmentations importantes des mutuelles:je ne comprends pas pourquoi le système individuel n est pas appliqué, à savoir que,un(e) adhérent(e) qui consulte beaucoup paye plus que celui ou celle qui est moins consommateur(trice), cela serait plus juste.De plus,la personne qui consomme beaucoup de médicaments, n est pas prise en charge par les mutuelles, car il y a les fameuses retenues par boites, non remboursement de la s sociale donc pas d argent déboursé par les mutuelles dans ces cas là.Et, là, il faudrait un tarif préférentiel pour ces gens.....c est un système qui se mord la queue......Tout ce que je sais,c est que, certainement, les actionnaires vont se frotter les mains... Personnellement, je pense sérieusement,à ne plus avoir de mutuelle
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Cette année, le déficit des régimes obligatoires de base et du fonds de solidarité vieillesse devrait dépasser les 17 milliards d'euros. L'an prochain, à moins d'un coup de frein important sur les dépenses de santé et de nouvelles recettes, il pourrait tourner autour de 25 milliards du fait notamment du vieillissement de la population. Un nouvel équilibre entre les prises en charge par l'Etat & par les mutuelles est à l'étude.
Sécurité sociale : vers une baisse du taux de prise en charge des consultations médicales
lesechos.fr
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