Post de BCGE - Banque Cantonale de Genève

🇺🇸🗳️ Qu’elle que soit l’issue de l’élection présidentielle cette semaine, les Etats-Unis entendent bien conserver une place de premier plan sur l’échiquier mondial. 📖 Pour mieux saisir les enjeux autour de l’hégémonie américaine, les clefs de réussite de son industrie, ses ambitions sur le climat ou encore la prédominance du dollar, lisez le chapitre de Alexis Garatti dans le dernier ouvrage de BSI Economics paru cette année chez DUNOD. 💡 Mais aussi d’autres sujets passionnants à retrouver dans ce livre, signé par les experts du réseau de BSI Economics : décarboner l’économie européenne, inflation mondiale, verdir la finance, poids économique de la Chine, impact du télétravail, etc. 🛒 A ne pas manquer et commendable sur plusieurs plateformes : https://lnkd.in/eudc8zCc https://lnkd.in/eN3UJhCn

Perspectives 2025 : Anticiper la reprise et les risques économiques Les prévisions pour 2025 montrent une économie qui se stabilise malgré des tensions géopolitiques persistantes. Lombard Odier, une banque privée suisse experte en gestion de patrimoine, met en lumière la reprise aux États-Unis, en Europe et en Chine, avec une réduction du risque de récession et des chaînes d’approvisionnement plus robustes. Les investisseurs sont encouragés à équilibrer leurs portefeuilles entre actions et actifs sûrs pour mieux faire face aux incertitudes. Découvrez l’analyse complète ici :

Croissance économique comparée entre l'UE 🇪🇺et les États-Unis🇱🇷 : que disent les chiffres ? Le 3 octobre prochain et à quelques semaines des élections présidentielles américaines, Clotilde Quilichini Quilichini – Directrice de BNP Paribas Entreprises et Jean-Luc Proutat Proutat – Responsable des projections économiques du groupe BNP Paribas, feront le point sur la conjoncture économique et les perspectives pour 2025. 👉Pour s’inscrire c’est ici

Sans surchauffe ni récession, l’économie américaine retrouve son rythme de croisière, selon Samy Chaar, PhD (économiste en chef), de Lombard Odier Group. La hausse des actions ne se limitera plus à la tech US. Emmanuel Garessus Nicolette de Joncaire Narten Yves Hulmann Philippe REY Maxime D. #finance #financeandeconomy #investing #investissement #investment #economy #économie #marchésfinanciers

☎ La semaine dernière a été placée sous le signe des turbulences. L’appétit pour le risque reste très limité. Si la situation en Europe laisse peu de place au doute quant à sa dynamique, la situation est tout autre outre-Atlantique où les données macroéconomiques sont attendues au tournant. ❌ Fortement lié au marché Américain, le marché européen semble dans l’attente de plus de visibilité quant au potentiel atterrissage en douceur de l’économie outre Atlantique. #conseilfinancier #economie #rautmanncollins

Rapport Business Ready 2024 : la Banque Mondiale se réoriente vers un climat d’investissement plus inclusif et durable Le rapport Business Ready 2024 de la Banque Mondiale marque une rupture avec les méthodologies précédentes en redéfinissant les critères d’évaluation du climat des affaires. Axé sur la transparence et l'inclusion, ce rapport propose une vision globale de l’environnement économique de 50 économies à travers le prisme de trois piliers : le cadre réglementaire, les services publics et l’efficacité opérationnelle. Cette révision ambitionne de fournir aux décideurs, aux entrepreneurs et aux analystes des données concrètes pour soutenir les réformes économiques. https://lnkd.in/eQbbrRA5

Élections américaines : Quels impacts économiques ?   L’économie mondiale traverse actuellement une période sans précédent, marquée par des transformations à la fois conjoncturelles et structurelles qui redessinent les équilibres économiques et financiers. Les élections présidentielles américaines, prévues pour ce début novembre, sont au cœur de l’attention, et la tension est palpable parmi les investisseurs et les marchés mondiaux. Que ce soit en raison d’un possible retour de Donald Trump ou d’une potentielle victoire de Kamala Harris, les enjeux sont majeurs pour l’avenir économique mondial. https://lnkd.in/eAeDiXaU

N'hésitez pas à prendre le temps de lire ou d'écouter Olivier Passet "A chaque crise, le mot relocalisation revient comme un leitmotiv"

De toutes les personnalités publiques que j’ai rencontrées dans ma carrière, aucune ne m’a autant impressionné que Christine Lagarde, alors ministre de l’Économie, des finances et de l’industrie, de 2007 à 2011. Que ce soit lors des réunions publiques pendant les Etats Généraux de l’Industrie qu’elle a lancés - et qui ont activé un tournant industriel français - ou des discussions en petit comité à Bercy autour du sujet de l’avenir de l’usine d’aluminium de Saint-Jean-de-Maurienne, Christine Lagarde est impressionnante dans sa capacité à combiner vision stratégique et maîtrise détaillée des dossiers techniques. 🏋♀️ Par conséquent, quand Christine Lagarde, désormais présidente de la BCE, affirme haut et fort que l’Europe et la France décrochent face aux Etats-Unis et à la Chine, je l'écoute. 😱 Pour ceux qui n’ont pas l’abonnement, voici trois extraits: ☑ -« Est-ce que l’Europe aura besoin d’une crise supplémentaire pour arriver à réaliser les réformes ? C’est chaque fois avec des crises qu’on arrive à faire bouger les choses. C’est peut-être pour ça que Mario Draghi parle d’agonie, une façon de dire : « La crise est là, maintenant, passez à l’action ». » ☑ « Le quatrième facteur du décrochage européen vient de la politique industrielle « light », peu contraignante menée par les Etats-Unis. Elle n’est pas financièrement « light » car l’IRA est très généreux, mais il y a relativement peu de critères pour pouvoir bénéficier des aides à l’implantation sur le territoire américain. Quand j’interroge les industriels, ils sont à peu près unanimes pour dire que, en Europe, le processus est lourd est compliqué. Le millefeuille européen est agrémenté de la réglementation des Etats membres. » ☑ « Le dernier facteur est celui des financements privés. Il existe aux Etats-Unis des mécanismes de fonds de pension et d’autres instruments financiers permettant de drainer l’épargne et d’intéresser les épargnants, salariés ou retraités, à l’avenir de l’économie ou à l’évolution de la Bourse. Dans de nombreux pays en Europe, nous sommes encore loin de ces mécanismes, notamment de distribution d’actions ou de participation aux profits de l’entreprise. D’où la nécessité de développer une union des marchés de capitaux. » Le conseil est plus que clair : « Get up and move now. Cut the red tape. Invest in your real economy. » 💪 Encore une fois, et je le répète souvent, on ne peut pas comparer l’Union Européenne aux Etats-Unis et à la Chine, simplement parce que ces derniers ne sont pas une union. Le conseil s'addresse donc bien aux Etats membres : qu'ils se réveillent, qu'ils s'entendent, et qu'ils déclenchent les réformes nécessaires à l'Europe. Personnellement, je reverrais en premier les articles 101 et 102 du Traité de fonctionnement de l’Union Européenne fixant les règles relatives à la concurrence. L’Union Européenne est un formidable outil au service de ses 27 Etats membres pour briller vis-à-vis du reste du monde. Et non pas le contraire.

Candriam - Le point sur la stratégie allocation 👤 Par Nadège Dufossé, CFA, responsable global multi-asset chez Candriam « Les marchés ont surmonté le mouvement de consolidation à court terme grâce à des éléments bottom-up et top-down : au niveau microéconomique, la saison des résultats du premier trimestre a été favorable des deux côtés de l'Atlantique, l’économie mondiale s’avérant plus solide qu’attendu en début d’année. Dans le secteur manufacturier, les signaux de sortie de récession suggèrent une diffusion des bénéfices, au-delà des États-Unis et du secteur technologique. » https://lnkd.in/eFYTbgg7