Post de BCN - Banque Cantonale Neuchâteloise

Au cœur d’un Moyen-Orient perclus de tensions, le pétrole fait figure de baromètre de la stabilité géopolitique. Après une attaque de missiles iraniens sur Israël le 1er octobre, qui a fait flamber les cours, la situation semble s’apaiser. Résultat, le baril de Brent a perdu plus de 4%, à 74,25$. Son homologue américain, le WTI, a cédé 4,4% à 70,58$. Un tassement qui ramène les prix à leur niveau d’avant la crise. Lire la suite La thèse d’une escalade militaire s’éloigne Au début du mois, l’Iran a lancé près de 200 missiles sur Israël, faisant craindre une riposte de l’État hébreu susceptible de perturber l’offre pétrolière. Mais selon une source proche citée par le Washington Post, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu aurait indiqué au président américain Joe Biden que la riposte viserait des cibles militaires, épargnant les infrastructures énergétiques iraniennes. Cela réduirait significativement la possibilité de perturbations de l’offre Carsten Fritsch, analyste de Commerzbank Pour Robert Yawger de Mizuho, la prime géopolitique sur le baril, estimée entre 3 et 5$, est en train de se dégonfler à mesure que la perspective d’une attaque sur les installations pétrolières iraniennes s’éloigne. La demande chinoise en berne Parallèlement au retrait des tensions géopolitiques, la faiblesse persistante de la demande chinoise continue de peser sur les prix. En septembre, les importations de brut de la Chine ont reculé pour le 5e mois consécutif. L’Opep a d’ailleurs abaissé ses prévisions de croissance de la consommation. Pour Robert Yawger, le moteur de croissance de la demande mondiale depuis des années marque le pas, rendant la tâche “très compliquée” pour l’Opep. Si cette tendance perdure, le cartel pourrait n’avoir d’autre choix que de laisser filer les prix vers le bas pour s’adapter et stimuler la demande. Vers un retour des barils saoudiens ? Huit pays de l’Opep+ envisagent pourtant de revenir progressivement, à partir de décembre, sur des baisses de production consenties depuis l’an dernier, à hauteur de 2,2 millions de barils par jour (bpj). Un scénario susceptible d’accentuer la pression baissière. L’Arabie saoudite pourrait donc être tentée d’augmenter sa production pour faire rentrer dans le rang les membres de l’alliance qui ne respectent pas leurs quotas, quitte à provoquer un plongeon des cours. Un électrochoc dont l’industrie pétrolière a régulièrement besoin pour “reprendre ses esprits” selon Bill O’Grady de Confluence Investment. De temps en temps, les Saoudiens doivent laisser les choses s’effondrer pour que tout le monde reprenne ses esprits. Bill O’Grady, analyste de Confluence Investment Dans ce bras de fer au sein de l’Opep+, les cours pourraient donc encore avoir une marge de baisse importante, certains spécialistes n’excluant pas un baril américain sous les 60$. De quoi relancer la demande mondiale, mais au prix d’une nouvelle crise interne entre producteurs. Le pétrole n’a pas...

Vision stratégique du XXème siècle contre monde #multipolaire : du FMI au #BRICS🌍. "L’impact de la #résilience pétrolière russe sur l’économie mondiale La spectaculaire reprise des revenus pétroliers de la #Russie🇷🇺 a des répercussions bien au-delà de ses frontières, touchant l’ensemble du bloc BRICS, qui comprend le #Brésil🇧🇷, l’#Inde🇹🇯, la #Chine🇨🇳 et l’#Afrique🇿🇦 du Sud. Ce groupe, contrôlant près de la moitié de la production pétrolière mondiale, bénéficie directement de la résilience économique de la Russie, renforçant ainsi sa position collective sur la scène internationale. Les pays membres du BRICS ont su tirer parti des opportunités offertes par le pétrole russe à prix réduit. L’Inde, par exemple, a réalisé des économies substantielles sur ses achats de pétrole, ce qui a permis de stabiliser son économie face aux fluctuations des marchés mondiaux. De même, la Chine a intensifié ses importations de pétrole russe, consolidant ainsi ses réserves énergétiques tout en contournant les restrictions imposées par les sanctions occidentales. Cette dynamique a renforcé la #coopération économique au sein du BRICS, chaque membre profitant des relations commerciales diversifiées et stratégiques développées par la Russie."https://lnkd.in/efN53mPU

Israël a menacé, par la voix de ses responsables politiques et militaires, de lancer une frappe musclée contre l'Iran, ce qui a laissé suggérer que les installations et gisements de pétrole et de gaz iraniens seraient une cible potentielle. Un tel scénario provoquerait une crise énergétique mondiale qui commencerait par une hausse fulgurante des prix de l’énergie. Même si la frappe des installations pétrolières iraniennes pourrait causer des dommages économiques importants à Téhéran, cela pourrait conduire à une hausse massive des prix du pétrole à l'échelle mondiale, ce qui pourrait avoir des répercussions économiques généralisées. Alors que la vaste infrastructure pétrolière iranienne, qui comprend d'énormes champs de pétrole, des pipelines, des terminaux d'exportation et des raffineries, représente une cible tentante pour les frappes israéliennes, cette mesure pourrait se retourner contre eux. L'industrie pétrolière iranienne est l'un des piliers de son économie et, malgré les sanctions imposées US et d'autres puissances occidentales depuis des années, l'Iran exporte toujours entre la moitié et les deux tiers de son pétrole, et la majeure partie de ce pétrole finit en Chine. Au passage, la Commission européenne a voté à la majorité de ses membres la décision d'augmenter les droits de douane sur les voitures électriques chinoises à 45 % contre 10 % actuellement, une décision qui pourrait alimenter une guerre commerciale entre les deux parties. La Commission a déclaré dans un communiqué que la décision s'applique pour une période de 5 ans, à compter de fin octobre. Une telle décision reflète le climat général et affecterai les relations Chine-UE Les importations chinoises de pétrole iranien ont augmenté continuellement ces dernières années, atteignant environ 1,8 million de barils par jour. Cela signifie que toute perturbation des exportations de pétrole iranien affectera grandement l’économie de Téhéran et nuira également à l’économie de la Chine (la deuxième économie mondiale), et donc à l’économie mondiale. Une rupture des approvisionnements en pétrole iranien obligera les raffineries chinoises à augmenter leurs achats auprès d’autres fournisseurs majeurs, dont la Russie. Ce changement pourrait conduire à un soutien financier plus important à l’effort de guerre de la Russie en Ukraine, compliquant encore davantage le paysage géopolitique dans son ensemble. En outre, une telle attaque israélienne pourrait entraîner des représailles de la part de l’Iran, conduisant à une nouvelle escalade dans la région. La stratégie iranienne est basée sur trois piliers: Développement de son programmes de missiles (balistiques, croisière), alliés régionaux, et capacités à bloquer le détroit d'Ormuz) Selon journal Financial Times, les prix du pétrole s'apprêtaient à enregistrer leur plus forte hausse hebdomadaire depuis deux ans en raison des tensions au Moyen-Orient.

#Acier Il a le vent en poupe. Les exportations de la Chine ont atteint un nouveau record à 100 millions de tonnes. Et elles continuent d’augmenter ! À titre de comparaison, la production d’acier des États-Unis atteint… Seulement 80 millions de tonnes. Sujet de friction à venir entre les deux puissances ? #Pétrole Trump a annoncé qu’il va renforcer « drastiquement » les sanctions contre l’Iran et réduire sa capacité à exporter son pétrole alors que l’administration Biden avait plutôt desserré la ceinture. Ce ne fut pas efficace puisque cela a fait croire à l’Iran que les États-Unis étaient en position de faiblesse. Remous à venir sur le WTI ! #Or Petite correction (qui est salutaire) en raison de la force du dollar et de la hausse des taux de rendement sur l’obligataire aux États-Unis. Nous pensons toujours que la tendance de fond est nettement haussière. Mais il fallait bien faire une pause et prendre des bénéfices après la hausse des dernières semaines. #finance #markets DeftHedge

#𝐌𝐨𝐧𝐝𝐞 #𝐄́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞 : 𝐋𝐞𝐬 𝐏𝐫𝐢𝐱 𝐝𝐮 𝐏𝐞́𝐭𝐫𝐨𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟓, 𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐍𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐃𝐨𝐧𝐧𝐞 ? Les marchés pétroliers ont entamé 2025 avec une légère hausse. Le Brent se stabilise à 74,80 $/baril, tandis que le WTI grimpe à 71,91 $/baril, des variations alimentées par l’optimisme autour d’une éventuelle relance économique en Chine. Le président Xi Jinping promet des politiques proactives pour booster la demande, alors que les tensions commerciales avec les États-Unis et la stratégie “forer, bébé, forer” de Donald Trump pourraient redistribuer les cartes. L’OPEP, fragilisée par la concurrence américaine et les incertitudes sur les marchés asiatiques, pourra-t-elle encore influencer durablement les prix ? 📊 Quels scénarios pour le marché pétrolier en 2025 : domination asiatique ou nouvel équilibre géopolitique ? #Pétrole #Énergie #Chine #OPEP #USA #Marchés

#DAVOS: Entre promesses ambitieuses et stratégies controversées ➡️ Lors de son intervention au Forum Économique Mondial, Donald Trump a présenté une série de mesures choc, suscitant débats et interrogations : 🔵 Un coup de pression sur le pétrole : 👉 Il appelle l’OPEP et l’Arabie Saoudite à baisser les prix, affirmant que cela pourrait marquer la fin du conflit entre la Russie et l’Ukraine. 🔵 Une pression sur les taux d’intérêt : 👉 Trump exige une baisse immédiate pour soutenir l’économie américaine face aux incertitudes mondiales. 🔵 Des incitations pour produire aux États-Unis : 👉 Les entreprises internationales seraient moins taxées si elles relocalisent aux USA. Sinon, des droits de douane pourraient s’appliquer à leurs exportations. 🔵 Une baisse historique des impôts : 👉 Une réforme fiscale sans précédent promise pour dynamiser l’économie américaine. 🔵 Un appel à l’équité avec la Chine : 👉 Trump demande des règles commerciales plus équilibrées entre les deux géants économiques. 💡 Ces propositions reflètent une stratégie protectionniste et une volonté de redéfinir les règles du jeu mondial. Mais quelles seraient les conséquences ?

https://lnkd.in/epH55EYQ  fin septembre-début octobre: en réponse à la disparition du chef religieux du Hezbollah (H.Nasrallah), l'Iran a lancé, pour la seconde fois, mardi 1er octobre, environ 200 missiles sur l'Israël qui menace de détruire les infrastructures pétrolières iraniennes. Ainsi la prime au risque d'extension des tensions au M.O. a propulsé, dans un premier temps, le cours du Brent vers les 81 $/b (81,16 $/b) pour se stabiliser autour des 78 $/b en fin de semaine. Selon les experts, l'offre est supérieure à la demande (les économies US, Chine et EU ont des difficultés à se relancer, l'Arabie saoudite et les Emirats envisagent d'ouvrir ses vannes comme le font certains pays de l'OPEP, notamment le Kazakhstan_export 1,6 Mb_ et n'oublions pas l'accord en Libye (prod=3,4 Mb/j---> export > 1 Mb/j). Le gaz suit le pétrole... pour atteindre les 40 €/Mwh.. . Au cours de la seconde semaine d'octobre, l'absence d'intervention d'Israël... tempéré par le président Joe Biden, a stabilisé le cours du Brent autour des 78 $/b et le gaz à 39 €/Mwh...la 3ème semaine a été marquée par le retour du Brent sur les 73 $/b dû: 1 _ à la perspective d'un assouplissement d'une riposte israélienne sur les infrastructures pétrolières iraniennes à la suite de l'élimination du chef du Hamas (Y. Sinouar - cerveau de l'attaque meutrière - plus de 1 200 morts - du 7 octobre 2023), 2 _ à l'annonce de l'AIE qui prévoit une offre excédentaire en 2024 (ex:USA= 13,4 Mb/j) et un ralentissement de la demande (économies US+Chine+UE en berne _ la Chine annonce une croissance de son PIB plus faible en 2024: 4, 6 % au lieu de 5% prévue..et ce malgré les mesures de soutien à son économie intérieure (baisse des taux et immobilier)..._Christine Lagarde (BCE) abaisse à nouveau les taux de 25 pts à 3,25% (FR=1,1%, Zone UE=1,7% en sept, 2,2% en août, et 4% e sept.2023 plus haut taux depuis la création de l’euro en 1999) car l'économie européenne stagne (faible croissance 0,8% en 2024)))... le gaz se maintient autour des 39 €/MWh..

Bonjour la team ⏰ C’est l’heure de votre actualité internationale du mardi 17 Déc 2024: 🎯 𝐅𝐥𝐚𝐬𝐡 𝐄𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 – 𝐋𝐞 𝐫𝐞́𝐜𝐚𝐩’ ⤵️ 🔵 𝐏𝐄́𝐓𝐑𝐎𝐋𝐄 𝐀𝐃𝐍𝐎𝐂 𝐫𝐞́𝐝𝐮𝐢𝐫𝐚 𝐬𝐚 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐩𝐞́𝐭𝐫𝐨𝐥𝐞 𝐛𝐫𝐮𝐭 𝐝𝐞 𝟐𝟐𝟗 𝟎𝟎𝟎 𝐛𝐚𝐫𝐢𝐥𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐣𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐧 𝐟𝐞́𝐯𝐫𝐢𝐞𝐫 La compagnie pétrolière ADNOC annonce une réduction de 229 000 barils/jour en février 2024, conformément aux ajustements des quotas OPEP+. Cette baisse, ciblant les flux de brut acide, aura un impact limité sur les marchés mondiaux. 🔵 𝐃𝐈𝐏𝐋𝐎𝐌𝐀𝐓𝐈𝐄 𝐄́𝐍𝐄𝐑𝐆𝐄́𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐋𝐞𝐬 « 𝐬𝐡𝐚𝐝𝐨𝐰 𝐭𝐚𝐧𝐤𝐞𝐫𝐬 » : 𝐮𝐧 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮 𝐜𝐥𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧 𝐪𝐮𝐢 𝐚𝐥𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐯𝐞𝐧𝐮𝐬 𝐩𝐞́𝐭𝐫𝐨𝐥𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐫𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐢𝐫𝐚𝐧𝐢𝐞𝐧𝐬: L’Ukraine alerte sur 238 pétroliers clandestins transportant du pétrole sanctionné. Ces « shadow tankers » jouent un rôle central dans les revenus russes et iraniens tout en posant des risques majeurs pour l’environnement et la sécurité maritime. 🔵 𝐃𝐈𝐏𝐋𝐎𝐌𝐀𝐓𝐈𝐄 𝐄́𝐍𝐄𝐑𝐆𝐄́𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐋𝐚 𝐝𝐞́𝐯𝐚𝐥𝐮𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐰𝐨𝐧 𝐚𝐜𝐜𝐞𝐧𝐭𝐮𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐚𝐟𝐟𝐢𝐧𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐬𝐮𝐝-𝐜𝐨𝐫𝐞́𝐞𝐧𝐬 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐱𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞: La chute du won face au dollar impacte lourdement les coûts d’importation de brut des raffineurs sud-coréens. La crise politique autour de la loi martiale aggrave les pertes et affaiblit la confiance des investisseurs. MARDI 17 DÉCEMBRE 2024 🔵 𝐏𝐎𝐋𝐈𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐄́𝐍𝐄𝐑𝐆𝐄́𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐋𝐢𝐛𝐲𝐞 : 𝐥𝐚 𝐫𝐚𝐟𝐟𝐢𝐧𝐞𝐫𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐙𝐚𝐰𝐢𝐲𝐚 𝐚̀ 𝐥’𝐚𝐫𝐫𝐞̂𝐭 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐨𝐥𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐚𝐟𝐟𝐫𝐨𝐧𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬: Des combats entre groupes armés ont forcé l’arrêt de la raffinerie de Zawiya, un site clé pour l’approvisionnement en carburant. Des incendies majeurs ont amplifié la crise locale, fragilisant encore plus l’économie libyenne. MARDI 17 DÉCEMBRE 2024 🔵 𝐃𝐈𝐏𝐋𝐎𝐌𝐀𝐓𝐈𝐄 𝐄́𝐍𝐄𝐑𝐆𝐄́𝐓𝐈𝐐𝐔𝐄 𝐋𝐞 𝐑𝐨𝐲𝐚𝐮𝐦𝐞-𝐔𝐧𝐢 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐍𝐨𝐫𝐯𝐞̀𝐠𝐞 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐞́𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐞́𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞: Londres et Oslo annoncent un partenariat axé sur les énergies renouvelables et le captage de carbone. Une initiative visant à sécuriser leurs intérêts énergétiques communs et soutenir la transition vers une économie verte. MARDI 17 DÉCEMBRE 2024 🔵 𝐄𝐍𝐕𝐈𝐑𝐎𝐍𝐍𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐋𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐜𝐨𝐫𝐝𝐬 𝐜𝐥𝐢𝐦𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟒 : 𝐮𝐧 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐥 𝐝’𝐚𝐥𝐚𝐫𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐭𝐢𝐟𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬: Les années 2023 et 2024 ont pulvérisé les records de température mondiale, poussant les climatologues à s’interroger sur les causes précises de cette surchauffe exceptionnelle et ses conséquences. Restez informés des dernières tendances énergétiques avec 𝐅𝐥𝐚𝐬𝐡 𝐄𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 ! 🌍

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A court-terme, le risque géopolitique implique une augmentation de la volatilité avant et au début du conflit. A moyen terme, les conflits perturbent les marchés du pétrole et du gaz et s’avèrent sources de perturbations dans les chaînes d’approvisionnement. A long-terme, les indices actions augmentent: les investisseurs à long terme ont donc intérêt à garder la tête froide face à de telles crises.