🌍✈️ Le 9 mai est une journée qui célèbre les grands pas en avant dans l'histoire de la technologie et de la science! En 1926, Richard E. Byrd et son copilote Floyd Bennett ont survolé le Pôle Nord pour la première fois, ouvrant la voie à l'ère de l'exploration aérienne moderne. Un exploit qui inspire encore l'audace dans nos quêtes contemporaines 🚀. 🌐💊 En 1960, un autre type d'innovation marquait cette date: la légalisation de la pilule contraceptive aux États-Unis, une révolution pour le contrôle des naissances et l'émancipation des femmes. Cet événement a profondément transformé les sociétés et continue d'influencer nos discussions sur les droits de reproduction. 🌌🛰️ Et n'oublions pas 1965, lorsque l'Union Soviétique a tenté de faire atterrir Luna 5 sur la Lune. Malgré l'échec, cet essai a été crucial pour les missions lunaires suivantes, nous rappelant que chaque échec est une étape vers le succès. Ces moments de courage, d'innovation, et de persévérance définissent notre histoire et façonnent notre avenir. Quelle est la prochaine grande découverte? Engageons-nous à repousser les limites du possible! 💡🔭 👥 Partagez vos pensées sur ces incroyables avancées et discutons ensemble des futures innovations qui pourraient transformer notre monde!
Post de Benedetto PROFESSO
Plus de posts pertinents
-
Fascinant, à lire et débattre ! Ce matin, en entendant que les États-Unis veulent imposer l'heure sur la lune avant que les chinois ne le fassent, je me dis qu'il ya quelque chose de pas clair avec cette histoire de "conquête spatiale". On pourrait même dire pas casher et on aurait raison, dans la mesure où les premiers ingénieurs qui ont bossé sur Apollo qui ont permis d'aller sur la lune avant les soviétiques étaient des allemands qui fabriquaient des missiles V2 pour les nazis discrètement exfiltrés en 1945, mais quand l'affaire est sorti, ça fit mauvais genre... Il y a quelque chose de pas net dans cette histoire de conquête coloniale (coucou Kourou, et coucou les territoires pillés pour construire les navettes). Il y a évidemment quelque chose de pas règlé chez les mecs qui veulent avoir la plus grosse fusée, de Bezos à Musk. Quelque chose de pas décent à dépenser à nouveau des dizaines de milliards pour s'envoyer en l'air, autant qu'on ne met pas pour régler les catastrophes sur terre. A l'acmé de la guerre froide, la conquête spatiale occupa jusqu'à 4,4% du PIB des USA. Ça a dégringolé, avant de remonter en emportant dans le sillage des fonds publics les milliardaires et leurs délires techno solutionnistes de voyage interstellaires, de colonisation spatiale et autres délires. Les auteurs, Irénée Régnauld et Arnaud Saint Matin glissent malicieusement en conclusion un article de 1978 qui pourrait avoir été écrit ce matin. 50 années de non avancées ne nous ont pas désintoxiqué de nos imaginaires malades. Comme l'écrivent les auteurs en conclusion "tout n'est pas à jeter dans le spatial. Mais force est de constater que ce qui en détermine les orientations nous mène au désastre. Les surenchères martiales, propagandistes, extractivistes et commerciales rendent d'autant plus criantes les réalités d'une "planète A" bien malmenée" (...). De toute évidence, les conquérants de l'espace et les fossoyeurs de la vie sur Terre sont les mêmes".
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Rien de plus déraisonnable chez l’homme, nous disaient les Anciens, que son désir d’accéder aux cieux. De la Tour de Babel au vol d’Icare, des mythes ancestraux nous avertissent contre cette folie d’atteindre, voire même de naviguer, un espace qui ne nous appartient pas. Et pourtant, cette folie s’est perpétuée à travers les siècles, des ailes en cires de Dédale aux machines volantes de Léonard de Vinci, du prototype des frères Montgolfier au premier vol humain dans l’espace le 12 avril 1961. Que l’exploit soit réalisé par Youri Gagarine depuis l’URSS rend le scénario encore plus improbable. Contrairement aux États-Unis, l’URSS avait été frappée de plein fouet par la guerre 16 ans plus tôt. Elle y avait perdu plus de 25 millions de civils, une part considérable de ses infrastructures et tout son avantage technologique. Son obsession dans cette Course à l’Espace avait donc toutes les raisons d’échouer, comme l’avaient déjà fait 12 des 24 derniers lancements spatiaux soviétiques avant Vostok 1. Mais contre toute attente, c’est un mot russe, “Poyekhali” (“C’est parti !”), une joyeuse injonction lancée par Youri au décollage et retransmise depuis dans le monde entier, qui marquera l’entrée de l’humanité dans l'ère spatiale. Nous changeons notre monde tous les jours dès que nous refusons un état des faits. Inversement, nous qualifions souvent une personne de raisonnable quand celle-ci accepte le statu quo. À quand remonte alors la dernière fois où l’on vous a reproché d’être déraisonnable ? C’était peut-être un signe que vous étiez sur une piste intéressante ! #coaching
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Ce sont bien les citoyens des USA qui vont choisir leur Président dans quelques jours. Personnellement j’espère que la personne qui sera élue apportera la paix dans ce monde en folie, une paix armée certes, mais une paix qui évitera l’apocalypse. C’est ce que j’ai toujours défendu et j’espère que les apprentis sorciers qui gouvernent en ce moment seront empêchés de nuire. La conquête spatiale sera forcément un challenge pour l’avenir de l’Humanité. Il faudra éviter de découper la Lune et Mars en tranches pour ne pas reproduire les conflits territoriaux terrestres. Il faudrait d’abord s’entendre pour l’exploration et l’exploitation des océans et des régions polaires, aussi bien l’Artique que l’Antartique… 🙏 Retour sur la Lune, soutien de Buzz Aldrin, liens avec Elon Musk ... Pourquoi Donald Trump mise sur le rêve spatial américain https://lnkd.in/eekWiMbZ
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
📺 Lundi - c'est le jour des Séries ! 📺 Si je vous dis "leader de la base lunaire Alpha", "prise de décisions sous pression", et "exploration spatiale", à qui pensez-vous ? 🌕 C'est bien sûr le Commandant John Koenig, le personnage principal de la série télévisée de science-fiction "Cosmos 1999". Interprété par Martin Landau, le Commandant Koenig est célèbre pour son leadership dans des situations extrêmement difficiles et imprévues. Dans la série, suite à une catastrophe nucléaire qui éjecte la Lune de l'orbite terrestre, il doit guider et protéger les résidents de la base lunaire Alpha, tout en explorant l'espace pour trouver un nouveau foyer. 🌕 Dans "Cosmos 1999", le Commandant Koenig se distingue par sa capacité à prendre des décisions difficiles, son courage et son engagement envers son équipage. Confronté à des défis sans précédent et à des rencontres extraterrestres, il incarne l'esprit d'exploration et de résilience face à l'inconnu. 🌕 Anecdote sur la série : "Cosmos 1999" s'est inspirée de plusieurs œuvres de science-fiction précédentes, notamment "2001, l'Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick pour son design et ses effets spéciaux. La série a également été influencée par le climat politique et scientifique des années 70, reflétant des préoccupations telles que la guerre froide et la course à l'espace. 🌕 "Alors, prêts à révéler le Commandant Koenig qui est en vous avec leadership, détermination et vision futuriste ?" 🌕 Et si pour commencer, vous exploriez de nouvelles compétences ou connaissances qui semblent hors de votre zone de confort, à l'image de l'équipage d'Alpha s'aventurant dans l'inconnu de l'espace ? -------------------------------------------- Je vous aide à vous sentir pleinement vivant, dans : ✅ 𝗔𝗽𝗽𝗿𝗲𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗜𝗻𝗾𝘂𝗶𝗿𝘆 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 : Accompagnement des leaders (femmes et hommes) pour maximiser leurs forces et celles de leur organisation ✅ 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 @𝗩𝗜𝗩𝗩𝗔𝗡𝗧 : pour les hommes qui se posent des questions et qui veulent être ou redevenir leaders et entrepreneurs de leur vie.. 👉 Suivez-moi et faites sonner la 🔔 sur mon profil ou ↔️ Connectez-vous avec moi. #CommandantKoenig #Cosmos1999 #LeadershipSpatial #Sérieculte
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
En écrivant sur l'industrie astronautique et son histoire, je n'avais pas idée de ce dans quoi je m'embarquais. Un sujet paisible, de niche, à l'abri des habituels conflits qui traversent les affaires numériques auxquelles je suis désormais habitué ? Pas. du. tout. Le spatial est un sujet explosif, une « communauté » fractionnée, avec ses églises et ses croyants, souvent idéologisés jusqu'à la moelle, prêts à tout pour une once de reconnaissance et d'attention – le plus souvent lorsque leurs travaux académiques sont inexistants : peanuts ! Mais c'est apparemment un sésame pour étaler sans honte son ignorance. ⬇ Un exemple ici de détournement crasse, de diffamation dégoulinante de mépris, de « name and shame » (dans le dos), qu'il me faut, au bout d'un moment, retourner à son envoyeur Pierre-José Billotte (voyez, moi je n'ai pas de problème à vous pointer du doigt) au risque de lui donner une visibilité dont on se passerait bien. Car à force de travail et d'acharnement, de centaines de bouquins lus et dûment annotés, cités, analysés, partagés avec les pairs, et d'entretiens avec de multiples acteurs du domaine, on se retrouve à devoir s'abaisser à répondre à de telles bêtises qui, dans une grande ironie, valident totalement notre analyse du champ de l'astronautique. Disons-le clairement, le domaine astronautique français n'est pas réductible à cet échange : la majorité des entrepreneurs, salariés de grands groupes, fonctionnaires et associatifs que j'ai croisé sont des gens parfaitement conscients des enjeux du secteurs, ouverts à la critique sinon critiques eux-mêmes. Loin de cette toute petite minorité radicalisée qui n'aurait jamais dû quitter le café du commerce.
LES NAZIS SONT-ILS A L’ORIGINE DE LA CONQUETE SPATIALE ? (PARTIE 1) C’est en effet ce que laisse entendre l’ouvrage (son titre) Une histoire de la conquête spatiale : des fusées nazies aux astrocapitalistes du NewSpace (A. Saint-Martin/I. Régnauld). Alors, le spatial trouve-t-il vraiment son origine avec les nazis ? En lisant ceci, un étudiant de première année en histoire des sciences sursauterait sur sa chaise. Et il aurait bien raison. Le terme d’ailleurs de "fusées nazies" en lui-même est faux. Les nazis n’ont jamais envoyé de fusées dans l’espace, notre étudiant le sait, seulement des missiles balistiques pour détruire Londres et Paris. S’agit-il alors des Allemands qui migrèrent aux USA. Là encore c’est doublement faux. Rappelons que ceux-ci furent filtrés par la doctrine Truman. Puis, sur le sol américain ne furent, là aussi, pas les premiers à lancer une fusée et un satellite dans l’espace. Ça aussi notre étudiant de première année le sait. Ce sont bien les soviétiques qui lancèrent la première Semyorca en 1957. Donc, en toute rigueur historique, notre étudiant aurait lui titré "Des fusées soviétiques aux astrocapitalistes du NewSpace". Alors, les auteurs veulent-ils entendre que ce sont les nazis qui préparèrent ce qui allait devenir des fusées ? Là encore c’est historiquement faux, bien avant les nazis, les ingénieurs-pionniers de l’astronautique sont russo-soviétique, américain, français, allemand. Aucun nazi à l’horizon… Et si l’on devait n’en retenir qu’un, notre étudiant répondrait spontanément Konstantin Tsiolkovski, russo-soviétique... Le titre aurait été alors "De Tsiolkovski aux astro-capitalistes du NewSpace"… Donc le titre, quel que soit le bout par lequel on le prend, est historiquement - et horriblement - faux. Alors pourquoi, sous couverture de faire un ouvrage à la prétention historique, induire en erreur le lecteur? Et la presse? (Libération titrant par exemple : Conquête spatiale, d'une culture raciste aux "astrocapitalistes"), etc. Quelle est la logique poursuivie ? Suite au second épisode :-) @newspace @space LibérationCNES Le Monde L'Humanité CNRS GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales Alliance Stratégique des Étudiants du Spatial (ASTRES)
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La DARPA a trouvé une solution pour résoudre tous nos problèmes géopolitiques, militaires, environnementaux, écologiques : coloniser la lune et se balader dessus en train. Euh, c'est quoi le coût et l'empreinte carbone (sur Terre) de ce projet de colonisation ? Heureusement que l'occident n'a pas besoin d'aider des alliés en guerre, de repenser sa défense et d'augmenter le rythme de la transformation écologique.
Un train sur la Lune ? La DARPA étudie l'idée pour la colonisation spatiale
journaldugeek.com
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
LE SOPHISME MORAL COMME ARME ANTI-SPATIAL... (PARTIE 2) Dans mon post précédent https://lnkd.in/eKUCYsRq, je démontrais que le titre du livre "La conquête de l'espace, des fusées nazies aux astrocapitalistes du Newspace" était historiquement faux. Alors pourquoi, sous couverture de faire un ouvrage historique, induire en erreur le lecteur et la presse? Il y a deux réponses possibles. La première : la méconnaissance de l’histoire spatiale des auteurs, ce qui serait très gênant pour qui prétend écrire de l’histoire, notamment quand on travaille au @CNRS. La seconde hypothèse est que ce titre est intentionnellement erroné, c’est-à-dire que nous sommes en présence d’une tromperie. Tromperie qui par ailleurs repose sur un sophisme d’autorité en s’appuyant sur l’usage de l’autorité du CNRS. Pour l’honneur des auteurs, c’est cette hypothèse que je retiens. Alors quel est le but poursuivi ? La réponse s’impose : il s’agit là de ce que l’on appelle en rhétorique un sophisme moral qui consiste à « faire une association dégradante contre l'adversaire afin de l'associer à une idéologie ou une thèse que tout le monde admet comme exécrable et immorale » et donc ici de faire accroire que le spatial est marqué par un pêché originel, le pire qui soit : le nazisme (bien pire que Caïn !). Et corolairement que le spatial est votre ennemi. Vous êtes infréquentable. Pire, car ici l’association dégradante ne se situe pas n’importe où dans la chaîne temporelle : à votre origine ! Et donc que tous ceux qui pratiquent cette activité ont comme « ancêtres professionnels » les nazis, oui rien de moins. Ajoutons que ces auteurs qualifient Elon Musk (qui s’inscrit dans la démocratie américaine, notre étudiant..) de « techno-fasciste », tout devient très clair. Tous les tenants du spatial et de la nouvelle économie spatiale s’inscrivent dans une généalogie fasciste qui se passe de génération en génération puisque le dernier né (très turbulent, on en convient !) est un techno-fasciste, mais que plus généralement sont des techno-fascistes… Eh oui ! Il s’agit par ce procédé qui commence par une tromperie de type « scientificwashing » sur l’information historique, de diaboliser et de disqualifier, hors de toute rigueur scientifique, une personne, un groupe, un secteur, une activité. Il s’agit d’un détournement de la référence historique pour établir un récit politique visant non pas à éclairer le lecteur mais à l’influencer idéologiquement, procédé d’ailleurs dont le comité éthique du CNRS devrait se saisir. Notre étudiant, lui, j’en suis sûr, ne s’y laissera pas prendre J Alors, pourquoi vouloir diaboliser les acteurs spatiaux ? Le néologisme « astrocapitaliste » va nous y aider. Réponse dans l’épisode 3... ;-) @newspace @space CNRS LibérationL'Humanité GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales Alliance Stratégique des Étudiants du Spatial (ASTRES)Alliance NewSpace France CNES
LES NAZIS SONT-ILS A L’ORIGINE DE LA CONQUETE SPATIALE ? (PARTIE 1) C’est en effet ce que laisse entendre l’ouvrage (son titre) Une histoire de la conquête spatiale : des fusées nazies aux astrocapitalistes du NewSpace (A. Saint-Martin/I. Régnauld). Alors, le spatial trouve-t-il vraiment son origine avec les nazis ? En lisant ceci, un étudiant de première année en histoire des sciences sursauterait sur sa chaise. Et il aurait bien raison. Le terme d’ailleurs de "fusées nazies" en lui-même est faux. Les nazis n’ont jamais envoyé de fusées dans l’espace, notre étudiant le sait, seulement des missiles balistiques pour détruire Londres et Paris. S’agit-il alors des Allemands qui migrèrent aux USA. Là encore c’est doublement faux. Rappelons que ceux-ci furent filtrés par la doctrine Truman. Puis, sur le sol américain ne furent, là aussi, pas les premiers à lancer une fusée et un satellite dans l’espace. Ça aussi notre étudiant de première année le sait. Ce sont bien les soviétiques qui lancèrent la première Semyorca en 1957. Donc, en toute rigueur historique, notre étudiant aurait lui titré "Des fusées soviétiques aux astrocapitalistes du NewSpace". Alors, les auteurs veulent-ils entendre que ce sont les nazis qui préparèrent ce qui allait devenir des fusées ? Là encore c’est historiquement faux, bien avant les nazis, les ingénieurs-pionniers de l’astronautique sont russo-soviétique, américain, français, allemand. Aucun nazi à l’horizon… Et si l’on devait n’en retenir qu’un, notre étudiant répondrait spontanément Konstantin Tsiolkovski, russo-soviétique... Le titre aurait été alors "De Tsiolkovski aux astro-capitalistes du NewSpace"… Donc le titre, quel que soit le bout par lequel on le prend, est historiquement - et horriblement - faux. Alors pourquoi, sous couverture de faire un ouvrage à la prétention historique, induire en erreur le lecteur? Et la presse? (Libération titrant par exemple : Conquête spatiale, d'une culture raciste aux "astrocapitalistes"), etc. Quelle est la logique poursuivie ? Suite au second épisode :-) @newspace @space LibérationCNES Le Monde L'Humanité CNRS GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales Alliance Stratégique des Étudiants du Spatial (ASTRES)
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Éclairage d'actualité : « La course à l'espace extra-atmosphérique entre défis scientifiques, compétition économique et rivalités de puissance » 🚀🛰 #HGGSP #Espace et #1reTechno #aéronautique Le premier lancement d'Ariane 6 intervient dans un contexte d'effervescence dans le domaine spatial. À la course à l'espace pendant la guerre froide avait succédé une période d'accalmie. La décennie actuelle voit en revanche se multiplier les projets, qui sont aussi et surtout, pour les États et les entreprises concernées, une façon de s'assurer une place dans une compétition technologique, mais aussi industrielle et commerciale.️ https://lnkd.in/dBpYSTEz
La course à l'espace extra-atmosphérique entre défis scientifiques, compétition économique et rivalités de puissance
geoconfluences.ens-lyon.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
IMAGE | Il y a 55 ans aujourd'hui, l'Amérique fascinait le monde entier lorsque Neil Armstrong posa le premier pas de l'Homme sur la Lune. Cet événement, point culminant d'un programme spatial de dix ans, dépassait largement une simple prouesse technologique. Il incarnait une démonstration éclatante de la suprématie scientifique et du leadership mondial des États-Unis, en plein cœur de la guerre froide. Le programme Apollo, avec sa dimension stratégique, constituait une opération de prestige visant à surpasser l'Union soviétique et à consolider l'image de puissance des États-Unis sur la scène internationale. Il est intéressant de souligner que le succès des missions spatiales précédant Apollo 11 reposait, entre autres, sur la présence... d'une simple caméra vidéo. Les images en direct, diffusées à travers le monde, avaient un impact inégalé, contribuant à une médiatisation sans précédent. Les Américains, pleinement conscients de l'importance de la perception publique, devaient démontrer leurs réussites en temps réel. La mission Apollo 11 fut ainsi un triomphe médiatique (malgré l'ignorance délibérée de la presse et de la radio chinoises). Le premier voyage de l'homme sur la Lune reste, à ce jour, l'un des événements les plus emblématiques pour l'histoire et l'image des États-Unis. Il a engendré des avancées technologiques majeures, conférant aux Américains une avance considérable dans un domaine alors en pleine expansion. Les répercussions de cet exploit, notamment en terme de prestige international, perdurent encore aujourd'hui. De plus, cet exploit a eu un effet psychologique puissant, suscitant admiration et fierté dans une époque marquée par les assassinats de figures emblématiques (John F. Kennedy, son frère Robert, Martin Luther King) et la guerre du Vietnam. En somme, cette prouesse, sans doute la plus grande de l'histoire, symbolise une époque, certes, et se doit d’être rappelée. Particulièrement en cette période trouble que traversent actuellement nos voisins du sud, où les leçons de l'histoire et les symboles de l'unité nationale revêtent une importance renouvelée. 🚀
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
LES NAZIS SONT-ILS A L’ORIGINE DE LA CONQUETE SPATIALE ? (PARTIE 1) C’est en effet ce que laisse entendre l’ouvrage (son titre) Une histoire de la conquête spatiale : des fusées nazies aux astrocapitalistes du NewSpace (A. Saint-Martin/I. Régnauld). Alors, le spatial trouve-t-il vraiment son origine avec les nazis ? En lisant ceci, un étudiant de première année en histoire des sciences sursauterait sur sa chaise. Et il aurait bien raison. Le terme d’ailleurs de "fusées nazies" en lui-même est faux. Les nazis n’ont jamais envoyé de fusées dans l’espace, notre étudiant le sait, seulement des missiles balistiques pour détruire Londres et Paris. S’agit-il alors des Allemands qui migrèrent aux USA. Là encore c’est doublement faux. Rappelons que ceux-ci furent filtrés par la doctrine Truman. Puis, sur le sol américain ne furent, là aussi, pas les premiers à lancer une fusée et un satellite dans l’espace. Ça aussi notre étudiant de première année le sait. Ce sont bien les soviétiques qui lancèrent la première Semyorca en 1957. Donc, en toute rigueur historique, notre étudiant aurait lui titré "Des fusées soviétiques aux astrocapitalistes du NewSpace". Alors, les auteurs veulent-ils entendre que ce sont les nazis qui préparèrent ce qui allait devenir des fusées ? Là encore c’est historiquement faux, bien avant les nazis, les ingénieurs-pionniers de l’astronautique sont russo-soviétique, américain, français, allemand. Aucun nazi à l’horizon… Et si l’on devait n’en retenir qu’un, notre étudiant répondrait spontanément Konstantin Tsiolkovski, russo-soviétique... Le titre aurait été alors "De Tsiolkovski aux astro-capitalistes du NewSpace"… Donc le titre, quel que soit le bout par lequel on le prend, est historiquement - et horriblement - faux. Alors pourquoi, sous couverture de faire un ouvrage à la prétention historique, induire en erreur le lecteur? Et la presse? (Libération titrant par exemple : Conquête spatiale, d'une culture raciste aux "astrocapitalistes"), etc. Quelle est la logique poursuivie ? Suite au second épisode :-) @newspace @space LibérationCNES Le Monde L'Humanité CNRS GIFAS - Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales Alliance Stratégique des Étudiants du Spatial (ASTRES)
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
Publié par le même auteur
-
La Patience, Clé de Voûte du Succès Professionnel
Benedetto PROFESSO 8 mois -
L'Art de l'Équilibre Travail-Loisirs : Clé du Bien-être et de la Productivité
Benedetto PROFESSO 8 mois -
Prioriser sa santé mentale et physique : Un impératif pour notre bien-être et notre efficacité
Benedetto PROFESSO 9 mois