Post de Béton[s] le Magazine

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🏗 Le secteur du BTP, comme tous les secteurs économiques, est confronté à l'impératif de réduire son empreinte carbone. La construction en béton, fortement dépendante du clinker, un matériau générateur de CO2, est particulièrement visée. Pour répondre à ce défi, le développement de bétons à empreinte carbone réduite est devenu une priorité. Cette évolution a des conséquences directes sur l'ensemble de la chaîne de production, notamment pour les adjuvantiers. Ils doivent plus que jamais s'adapter aux besoins spécifiques de leurs clients, les producteurs de béton. Chaque projet nécessite une formulation personnalisée pour atteindre le niveau de réduction de carbone souhaité. Le taux de clinker incorporé dans la formule béton variant en fonction des objectifs de réduction de CO2, mais aussi du sourcing disponible et de la qualité des matières premières. La réduction de l'empreinte carbone du béton implique aussi l'utilisation de matériaux alternatifs et la recherche de solutions innovantes. Les adjuvantiers doivent donc élargir leurs supports techniques afin d’aider à l’annulation d’éventuels effets secondaires sur la qualité des bétons. Pour les adjuvantiers, c’est véritablement une nouvelle philosophie faite de collaboration étroite avec les producteurs de béton pour réajuster les solutions d'adjuvantation en fonction des nouveaux cahiers des charges et des spécificités de chaque projet. Cette collaboration est devenue essentielle pour garantir la performance environnementale des bétons tout en respectant les exigences des équipes de construction. Le dossier "Les adjuvants face au bas carbone" à retrouver dans Béton[s] le Magazine n°114. 🗞 Envoyez vos coordonnées par mail à nzanoun@acpresse.fr pour recevoir le numéro

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Didier BEILINE

Directeur des achâts GO - Directeur des études de GO - Directeur de Travaux et Méthodes - spécialiste des bétons conventionnels, d'ingénierie, performanciels

3 sem.

Attention il faut garder la tête sur les épaules, Avoir du bon sens et ne pas mettre en péril les structures avec des vieillissement plus ou moins stables aux échéances que nous devons garantir 50 ans pour les bâtiments communs 100 ans pour les ouvrages d'art et il me semble 300 ans pour les ouvrages exceptionnels tels que les barrages Prendre les véritables valeurs d'empreintes carbone des matériaux phare du moment Prendre en compte la temporalité des périodes de Coulage car pour certains bétons il ne se passe plus grand chose en dessous de 10°C Le hors site redevient un atout de par l'étuvage des éléments qu'il n'est pas envisageable de réaliser sur un chantier Ou accepter des cycles à 3 jours pour les voiles, du ressuage pendant 2 à 3 jours sur les planchers, des retraits supérieurs au mm/m Travaillons sur le fond plutôt que la forme

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