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Le Tour de France 2024 réserve une belle surprise aux amoureux de la montagne avec le retour du Massif central au programme. Et c’est lors de la 11e étape, seule incursion dans la région cette année, que les grimpeurs auront une superbe occasion de s’illustrer. Au menu de cette journée entre Évaux-les-Bains et Le Lioran : plus de 4300 mètres de dénivelé positif et un enchaînement d’ascensions qui pourrait faire des dégâts parmi les favoris du classement général. Un tracé exigeant avec une arrivée au sommet Après une première semaine plutôt tranquille, les coureurs vont devoir se frotter à un profil nettement plus accidenté pour cette 11e étape longue de 211 kilomètres. Si la première partie de course s’annonce assez calme, les choses sérieuses débuteront après une centaine de kilomètres avec l’ascension du col de Néronne (8,1 km à 4,8 %). Un premier test avant d’attaquer les 50 derniers kilomètres particulièrement usants. L’enchaînement Puy Mary Pas de Peyrol (5,4 km à 8,1 %), col de Pertus (3 km à 7,6 %), col de Font de Cère (3,3 km à 5,8 %) et la montée finale vers la station du Lioran (1,6 km à 6,2 %) offrira un terrain de jeu parfait pour une bataille entre les meilleurs grimpeurs du peloton. Avec une arrivée jugée à 1232 mètres d’altitude, il faudra avoir les jambes pour s’imposer et éviter de perdre du temps au classement général. Les horaires clés et comment suivre l’étape Le départ fictif sera donné à 11h20 depuis Évaux-les-Bains et l’arrivée est prévue entre 16h54 et 17h15 au Lioran selon les estimations. Les téléspectateurs pourront suivre la course en direct sur France 3 puis France 2 à partir de 15h. La chaîne Eurosport proposera également une diffusion intégrale de l’étape. Un passage devant l’église Saint-Pierre de Messeix Parmi les sites remarquables traversés durant cette 11e étape, les coureurs passeront devant l’église Saint-Pierre de Messeix, classée Monument historique. Construite au cœur de cette commune du Puy-de-Dôme qui a longtemps abrité des mines de charbon, cet édifice mérite assurément un coup d’œil. Un musée retrace d’ailleurs l’histoire du bassin minier de Messeix. Quel scénario et quels favoris pour la victoire d’étape ? Plusieurs scénarios sont envisageables sur un tel parcours. Une échappée, si elle prend suffisamment d’avance, peut aller au bout. Des puncheurs-grimpeurs comme Ben Healy ou Santiago Buitrago pourraient tenter leur chance. Mais les leaders du classement général, à l’image de Remco Evenepoel et Tadej Pogacar, ont aussi montré de belles dispositions en montagne depuis le départ et pourraient frapper un grand coup. Réponse en juillet prochain pour cette étape qui s’annonce d’ores et déjà palpitante. D’ici là, amateurs de vélo et de beaux paysages peuvent déjà se projeter devant leur écran pour encourager le peloton dans sa traversée du majestueux Massif central ! The post Tour de France 2024: Découvrez l’étape 11 et son profil montagneux first appeared on ViralMag.fr.

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Et le problème, il est où? S'ils sont flamands, ce sont des réussites flamandes. Comme une évidence. C'est même une belle prouesse pour Alost, dont Evenepoel est originaire. Il faut juste être cohérent. Mais ce n'est pas simple, d'évidence. On est belgicain, et parfaitement bilingue? Outre le préalable, rarement assumé par ceux qui s'en revendiquent trop aisément en français, d'un pin's un peu dérisoire, voire ridicule, la réalité institutionnelle de la Belgique n'est plus en phase avec une vision bloquée sur le symbole de la Muette de Portici... On vit dans la Belgique d'aujourd'hui, avec ses structures: la Flandre cohérente d'un côté. La Wallonie de l'autre; Bruxelles, de l'autre; la Fédération Wallonie-Bruxelles, de l'autre. Vous voyez un problème? , à propos, il est où, le problème? de quel côté? En tant que wallon, je suis fier d'un Raphaël Liégeois, namurois, astronaute de la promotion 2022 prêt à s’envoler pour la Station Spatiale Internationale (ISS). Il est belge. Mais que les flamands soient fiers des « médailles flamandes » après la performance des coureurs cyclistes Remco Evenepoel et Wout van Aert est parfaitement légitime. Et ils sont belges. Le pire qui puisse nous arriver: le syndrome français. Et le constat d'une incapacité à vivre ensemble. Alors qu'il n'y a ici qu'à partager les réjouissances... On ne se met pas à exister contre. Mais pour. #Belgique #Wallonie #Bruxelles #Flandre #Wallonie #Victoire #FédérationWallonieBruxelles #RemcoEvenepoel #WoutvanAert #JanJambon #institutions #partage

Samedi dernier, dans les montagnes du Colorado, le Français Ludovic Pommeret a créé la sensation en s’adjugeant la victoire sur la redoutable Hardrock 100, l’une des courses d’ultra-trail les plus exigeantes au monde. Non content de signer sa première victoire sur cette épreuve mythique à 48 ans, Pommeret a atomisé le record de l’épreuve, bouclant les 170 km et 10 000 mètres de dénivelé positif en un temps canon de 21h33mn. Une performance époustouflante signée par un vétéran de l’ultra Ludovic Pommeret n’est pas un inconnu dans le milieu de l’ultra-trail. Ce Savoyard de 48 ans, ingénieur informatique de profession, compte déjà à son palmarès des victoires de prestige sur l’Ultra-Trail du Mont-Blanc (UTMB) en 2016 et le Grand Raid de la Réunion en 2021. Mais sa performance du week-end dernier sur la Hardrock 100 le propulse dans une autre dimension. En bouclant le parcours en 21h33, il a explosé de 3 minutes le précédent record établi l’an dernier par la légende espagnole Kilian Jornet (21h36). Une prouesse d’autant plus impressionnante que les conditions étaient particulièrement éprouvantes, avec de la neige en altitude et un terrain très technique. La Hardrock 100, un défi hors norme Course d’endurance par excellence, la Hardrock 100 se déroule chaque année dans les montagnes Rocheuses du Colorado, sur un parcours en boucle reliant la petite ville minière de Silverton à elle-même. Ultra technique, le tracé enchaîne les cols à plus de 4000 mètres d’altitude, avec des portions non balisées en terrain d’aventure. Considérée comme l’une des courses les plus ardues au monde, la Hardrock attire chaque année l’élite mondiale des trailers, pour qui terminer l’épreuve est déjà une victoire en soi. Avec près de 40% d’abandons en moyenne, l’épreuve ne laisse aucun répit aux coureurs, soumis pendant près d’une journée entière à un effort continu en très haute altitude. Pommeret, un mental d’acier et une gestion de course parfaite Pour s’imposer sur un tel monstre, Ludovic Pommeret a su mobiliser toute son expérience des courses d’ultra. Auteur d’une entame prudente, il a laissé filer en tête son compatriote François D’Haene, triple vainqueur de l’UTMB et recordman de la Hardrock en 2021 (21h45). Mais ce dernier a fini par craquer après une centaine de kilomètres, laissant le champ libre à Pommeret. Gérant parfaitement son effort, le Français a alors accéléré dans la deuxième partie de course, repoussant ses limites pour creuser un écart abyssal sur ses poursuivants. Malgré la fatigue et l’altitude, il a réussi l’exploit de maintenir un rythme soutenu jusqu’à la ligne d’arrivée, qu’il a franchie en vainqueur sous l’ovation du public. “C’était un rêve. J’ai rêvé toute la journée. J’attendais le cauchemar mais il n’est jamais venu”, a déclaré Ludovic Pommeret après son extraordinaire performance. L’ultra-trail français au sommet Avec ce succès retentissant, Ludovic Pommeret marche dans les pas d’autres grands noms de l’ultra-trail hex...

En plein cœur du Tour de France, l’équipe cycliste Astana crée la surprise en annonçant un partenariat d’envergure avec le fabricant chinois de vélos XDS. Cette alliance, prévue pour durer au moins cinq ans, vise à propulser la formation kazakhe dans la cour des grands, aux côtés des mastodontes du peloton comme UAE Emirates et Jumbo-Visma. Un investisseur providentiel pour de grandes ambitions Depuis plusieurs saisons, Astana cherchait activement un partenaire capable de lui donner les moyens de ses ambitions. C’est désormais chose faite avec l’arrivée de XDS dans le giron de l’équipe. Cet investisseur chinois, spécialisé dans la fabrication de vélos haut de gamme, s’engage sur le long terme. On était à la recherche d’un investisseur capable de porter l’équipe à un nouveau niveau de développement. XDS est prêt pour s’engager sur le long terme. – Alexandr Vinokourov, manager de l’équipe Astana Au-delà de l’aspect financier, ce partenariat comprend également un volet technique, XDS devenant le fournisseur officiel de vélos de l’équipe. Les coureurs d’Astana auront ainsi à leur disposition un matériel de pointe pour accomplir leurs objectifs. Jouer dans la cour des grands Grâce à cet accord, Astana disposera de moyens à la hauteur des meilleures équipes du World Tour. Un changement de dimension qui ravit Alexandr Vinokourov, manager général de la formation : Le projet va apporter des changements significatifs mais on y est prêts et je suis très heureux d’en faire partie. – Alexandr Vinokourov De quoi permettre à Astana de se mêler à la lutte avec les ténors du peloton comme UAE Emirates, vainqueur des deux derniers Tours de France avec Tadej Pogacar, ou encore la redoutable armada Jumbo-Visma de Jonas Vingegaard et Primoz Roglic. Mark Cavendish, symbole des nouvelles ambitions Pour incarner ce nouvel élan, Astana pourra compter sur son sprinteur vedette Mark Cavendish. Arrivé cette saison au sein de l’équipe, le Britannique aux 34 victoires d’étape sur le Tour de France apporte toute son expérience et sa hargne légendaire. Avec ce partenariat prometteur, la formation kazakhe espère briller sur les plus grandes courses du calendrier. Le Tour de France, bien sûr, mais aussi les classiques ou encore les grands tours italiens et espagnols. Une montée en puissance qui devrait profiter à l’ensemble des coureurs de l’effectif. Un défi sportif et économique Si ce partenariat constitue indéniablement un formidable tremplin pour les ambitions sportives d’Astana, il représente également un véritable défi sur le plan économique et managérial. Intégrer un nouveau partenaire majeur et changer d’équipementier implique de repenser tout le fonctionnement de l’équipe. Mais Alexandr Vinokourov se veut confiant et voit dans cette alliance une fantastique opportunité de développement : C’est un nouveau chapitre qui s’ouvre pour Astana. Avec l’aide de nos partenaires kazakhs et chinois, nous avons tous les atouts en main pour bâtir u...

Saviez-vous que 𝗹𝗲𝘀 𝗰𝗵𝗮𝗺𝗽𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗽𝗶𝗹𝗼𝘁𝗮𝗴𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗼𝗶𝗹𝗲 𝗽𝗲𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝗶𝗿 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘂𝘅 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗼𝗼𝘁𝗯𝗮𝗹𝗹 horizontalement au posé?! 🪂 𝗦𝗮𝗺𝗲𝗱𝗶, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗦𝗸𝘆𝗱𝗶𝘃𝗲 🪂 ✨ Aujourd'hui, je vous présente le Pilotage Sous Voile ! ✨ Le pilotage sous voile est une discipline “au posé”, et implique des parachutes petits et très agiles, ainsi que des pilotes hautement entraînés. Pour des raisons de sécurité, les compétitions se déroulent au-dessus de plans d'eau (de 10m de longueur, avec une "porte d'entrée" gonflable) et offrent un spectacle impressionnant à quelques mètres du sol. 🔹 Les disciplines : 𝗣𝗿𝗲́𝗰𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 : Naviguer la section d'eau et atterrir le plus près possible du centre de la cible, située après le plan d’eau. 𝗩𝗶𝘁𝗲𝘀𝘀𝗲 : Parcourir le circuit de 70 mètres le plus rapidement possible 𝗗𝗶𝘀𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 : Voler le plus loin possible après avoir passé la porte d'entrée. 𝗙𝗿𝗲𝗲𝘀𝘁𝘆𝗹𝗲 : Réaliser des figures artistiques en contact avec l'eau et atterrir debout sur la rive. 🔹 Les scores : Précision : Points pour les traînées dans l'eau et atterrissages debout dans la zone centrale. Vitesse : Mesurée au millième de seconde, avec des vitesses pouvant atteindre 124 km/h. Distance : Jusqu'à 222 mètres pour les meilleurs. Freestyle : Jugé sur la difficulté, l'exécution et le style artistique. C’est probablement la discipline la plus dangereuse du parachutisme, qui demande un engagement fort. 𝗟𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝘆 𝗯𝗿𝗶𝗹𝗹𝗲, 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗻𝗼𝘁𝗮𝗺𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗖𝗲𝗱𝗿𝗶𝘃𝗲 𝗩𝗲𝗶𝗴𝗮 𝗥𝗶𝗼𝘀, 𝗺𝘂𝗹𝘁𝗶𝗽𝗹𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗺𝗽𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲, qui m’a fait la gentillesse de me confier cette vidéo de lui (un joli 183 mètre en distance, sous les cri enthousiaste de son entraineur, Philippe Schorno, qui fut aussi le mien il y a quelques années !) #LesDisciplinesDuParachutisme ------- 🪂 Je suis Domitille Kiger, championne du monde de parachutisme & conférencière passionnée et audacieuse ! 🎤 Je tisse des liens entre le parachutisme et le monde de l’entreprise pour booster vos équipes ! ☞ Vous cherchez un conférencier pour votre prochain événement corporate ? Contactez-moi en MP !

👏🏻 Merci de partager avec votre réseau. 👏🏻 Vous maîtrisez la communication presse et les médias sociaux et vous avez envie de donner de la visibilité à un dauphin, qui plus est "Corse" ? je vous présente mon ami (depuis 55 ans...) Thierry Corbalan 🐬 Son credo : " la motivation, la détermination et le travail mènent à la réussite ». Ses rêves n’ont pas de limite. Il nage avec palmes en eaux libres et en piscine et bien qu'amputé des deux bras, il a toujours concouru avec les valides. Ses derniers résultats : - Champion de France 2024 piscine catégorie + de 65 ans. Cinq Médailles d’or (50m, 100m, 200m, 800m et 4X100m) - Champion de France eau libre 2024 catégorie + de 65 ans - Deuxième à l’open de surf des sports de défense 2023 catégorie +55 ans - Deuxième de la traversée 2024 La Rochelle - Ile de Ré Il a aussi relevé bien des défis (relier Calvi-Mandelieu - 180 km, le tour du Léman - 60 km, le surf, … et tant d’autres). Mais, rien ne le rend plus heureux que lorsque quelqu’un lui dit : Monsieur, vous êtes le dauphin corse ? Je vous remercie, votre conférence, m’a donné le courage et la force de perdre 70 kg; Ou encore cette petite fille, qui quelque temps après sa conférence est amputée d’un doigt et dit à ses parents : ce n’est pas grave, le dauphin, lui, n’a plus de bras. Il a besoin d'un coup de main pour mettre sa communication "sous stéroïdes". Si vous pouvez l'aider, merci de le contacter en message privé, sinon merci d'avance de partager cette demande avec votre réseau.

La Journée mondiale de la montagne, célébrée le 11 décembre, est l’occasion idéale de mettre en lumière non seulement la beauté des montagnes, mais aussi le vocabulaire particulier qui les entoure, comme dans le domaine de l’escalade. L’Office québécois de la langue française (OQLF) propose un lexique essentiel pour comprendre les nuances de ce sport riche en histoire. L’importance du lexique en escalade Le lexique de l’escalade permet de formaliser et de standardiser le langage utilisé dans le cadre de ce sport. Terminologie précise : Chaque terme a une définition claire qui contribue à éviter les malentendus. Par exemple, le terme couenne décrit une « voie d’escalade dont on peut atteindre le sommet à l’aide de la longueur d’une seule corde, aménagée avec des ancrages et pourvue d’un seul relais qui marque la fin de l’ascension », alors que le mot lolotte est utilisé pour parler d’une posture particulière des genoux et des hanches. Expressions particulières : Des expressions comme avaler du mou (demander à l’assureur ou l’assureuse de tendre la corde) ou escalader à vue (réussir une ascension lors du premier essai sans connaître la voie) enrichissent le vocabulaire et permettent d’exprimer des actions précises dans le contexte de l’escalade. Variété des épreuves : Le lexique distingue également différentes épreuves d’escalade, telles que l’épreuve de bloc, où les adeptes tentent d’atteindre un sommet sans corde sur des voies courtes, et l’épreuve de difficulté, qui consiste à grimper le plus haut possible sur une voie déterminée. https://lnkd.in/eJdMgZTf  

Quelques mots de la Fédération française des Clubs alpins et de montagne sur notre séjour en Corse

La Solitaire du Figaro Paprec - ÉTAPE 2/3 ✅ 👉 Le debrief : « Une course qui n’a pas été facile et qui s’est essentiellement jouée au début du parcours, en baie de Gijón. Il fallait essayer de tirer son épingle du jeu pour sortir en tête, ce que Tom Dolan a très bien réussi. Comme d’habitude, je n’ai pas réussi à performer dans ces petites conditions et à faire avancer mon bateau, ce qui m’a fait prendre pas mal de retard. Le plus dur, ça a été de tenir mentalement. Je savais que c’était une course où les écarts se creusaient rapidement et où il y aurait très peu d’opportunités pour revenir. Il fallait juste s’accrocher et ne rien lâcher, ce que j’ai fait pendant toute la durée de la course, ce qui m’a permis de faire une belle remontée. Le classement en soi n’est pas si mal, même si je suis déçue car j’ai pris beaucoup de temps de retard par rapport à mes concurrents directs sur cette étape. C’est la définition même de La Solitaire, qui est à la fois dure et impitoyable. Le plus beau souvenir de cette étape reste l’apparition d’une baleine juste avant de passer les « Islas Sisargas ». J’ai vu un grand jet d’eau et une baleine sortir de l’eau face à moi, puis replonger tout doucement. Ce sont quand même des moments exceptionnellement magiques que j’ai la chance de vivre grâce à mon sport. Je garde tout de même en tête la troisième étape, qui se jouera dans du vent et des conditions plus techniques avec des cailloux, ce que j’apprécie. Il va y avoir plein d’opportunités pour aller chercher un meilleur classement en termes de temps et de résultat. » ➡️ Rendez-vous à Royan, dimanche à 14h, pour le départ de l’ultime étape ! 👀🏁 CAP INGELEC - Matthieu BRAMOULLÉ - Jean-Marc Messié - Anne-Marie CUESTA - Gilles BERTEL - BPN 📸 : Alexis Courcoux Classe Figaro Beneteau #SolitaireduFigaroPaprec #Courseaularge #SailingLife #FigaroBeneteau #OffshoreRacing #ReadyToGo