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Je ne n'arrive pas à comprendre comment ce monsieur était méconnu des sénégalais.
Dieu va t'aider et Dr Mabouba Diagne va réussir dans sa mission inchallah.
Jërëjëfé yalla sougnou borome
https://lnkd.in/eP-VMXUU
UNE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE COMME LES AUTRES : LE THÉÂTRE INFERNAL AFRICAIN !
"La voie est désormais tracée et l'on sait quelle sera l'issue du coup d'État de Idriss Deby fils". Ainsi concluais-je l'interview accordée ( https://lnkd.in/e6R29WD6 ) au lendemain immédiat de la mort brutale par balle, le 20/04/2021 officiellement, du maréchal-président du Tchad Idriss Deby Ithno, et où le fils, général de l'armée et jusque-là patron de la garde présidentielle, s'était empressé de faire main basse sur le pouvoir, après avoir dissous unilatéralement toutes les institutions du pays ! Un classique en Afrique où, la mort du chef de l'État va souvent de pair avec la carbonisation de toutes les institutions, au nom de l'intérieur supérieur de la nation !
Désinvolte à ce flagrant délit de coup d'État, un énième de la longue série dans ce pays et dans la quasi majorité des États de la sous-région d'Afrique centrale francophone (Congo-Brazzaville, RCA, RDC, Gabon), le président français, Emmanuel Macron, s'était empressé d'aller soutenir sur place, à l'occasion des obsèques du disparu, le pouvoir putschiste, "au nom de la stabilité", non sans avoir précisé auparavant que "La France n'a pas de projet... dynastique" dans ce pays. Cela, au regard de plusieurs critiques et précédents dans le continent ! De quoi se demander alors pourquoi n'avoir pas respecté la dévolution constitutionnelle du pouvoir prévue, et qui n'était aucunement incompatible avec les mesures quelles qu'elles soient de sauvegarde de la stabilité et de la sécurité !
Au regard de ce qui était déjà observé au Togo (2005), en RDC (2001), au Gabon (2009) notamment, point n'était besoin d'être fin observateur pour comprendre que les dés étaient jetés à travers cet adoubement. De même que l'on peut se demander de quoi se plaint le Premier ministre Succès MASRA, principal opposant au régime, nommé tout juste en début d'année et candidat à la présidentielle, tout juste pour crédibiliser l'élection, alors que pour presque tous les observateurs 'les jeux étaient depuis faits' ! On attend plutôt son plan B, et non les plaintes classiques, dans un système où le général putschiste contrôlait de bout en bout toute l'organisation de l'élection. De telle sorte que, contrairement aux usages locaux et à l'attente préalablement annoncée de deux semaines, la proclamation a même été anticipée à quelques cinq jours, avec le résultat toujours d'avance connu et expérimenté ici et ailleurs : "KO au premier tour" !
Sacrés politiques africains...
L’initiative d’Ousmane Sonko de tendre la main à Assimi Goïta montre une volonté de préserver des relations solides entre le Sénégal et le Mali, deux pays liés par l’histoire, la culture et la géopolitique. Dans un contexte où les tensions régionales sont exacerbées par les sanctions de la CEDEAO, il est crucial de privilégier le dialogue et la coopération.
Cependant, il ne suffit pas de critiquer les décisions de la CEDEAO ; il est tout aussi important de proposer des solutions viables qui favorisent la stabilité et la transition démocratique au Mali. Sauver « ce qui est sauvable » doit passer par une approche équilibrée qui prend en compte les réalités locales tout en respectant les engagements démocratiques de la région. Espérons que ce rapprochement ouvre la voie à des négociations fructueuses pour l’avenir du Mali et de la sous-région.
Au Mali, Ousmane Sonko tend la main à Assimi Goïta
Lors de sa courte visite à Bamako, le 12 août, le Premier ministre sénégalais a affiché sa volonté de maintenir, voire de renforcer les liens avec le Mali. Critiquant les décisions prises par la Cedeao vis-à-vis de la junte, il a cependant plaidé pour « sauver ce qui est sauvable ».
Changement de statut pendant que votre gouvernement court comme une souris sur les marchés financiers pour alimenter la machine financière de l'état?
Est-ce que les Africains sont indépendants ? Mis à part le coton et quelques T-shirts fabriqués par des Indiens de Pondichéry, il est temps de cesser de nous mentir en tant que Béninois. Cette situation est valable pour la majorité des pays africains.
L'Algérie et l'Égypte ont été colonisées, non ? Pourtant, on ne les voit pas organiser des festivals des macaques comme fête de l'indépendance. Même pour ériger un poulailler, il faut recourir aux emprunts obligatoires.
Les accouchements se font à même le sol à 15 minutes de la capitale. Les écoliers sont entassés comme des sardines, dépassant parfois deux fois la capacité des écoles. Ne serait-il pas mieux d'utiliser les maigres revenus de l'État béninois pour financer au moins des écoles chaque année, afin de symboliser votre pseudo-indépendance où les colons viennent vous donner des leçons d'attaquer vos voisins ?
Les Africains, dans leur stupidité... En Asie et dans d'autres parties du monde, ces jamborées ne se fêtent que rarement avec des défilés de macaques. Dans des pays où l'affirmation de l'État se limite aux capitales, on essaie de badigeonner la façade avec de la chaux, avec de l'argent venu d'ailleurs, pour impressionner. Pendant ce temps, les accouchements dans les hôpitaux se font à même le sol, comme en 1780. Boire du champagne à Cotonou ou Abidjan fait de vous des oligarchiques capitalistes monopolistes corrompus au service des colons.
Continuez dans vos conneries. On est indépendant quand un pays peut assurer sa propre sécurité, au lieu de la reléguer à des pays où la moyenne d'âge est de 70 ans et qui sont incapables de tuer les rats mangoustes devenus des hôtes indésirables.
1960-2024 🇧🇯🇧🇯: L'indépendance de notre cher pays le Bénin est plus qu'un simple changement de statut politique.
Elle représente le triomphe de l'identité culturelle et la renaissance d'un peuple. Elle incarne l'aspiration à l'autodétermination, à la dignité retrouvée et à la construction d'un avenir où chaque Béninois peut envisager un horizon ~sans entraves.~toujours plus reluisant.
C’est l'histoire des luttes remarquables, des sacrifices et des espoirs qui ont alimenté ce chemin vers la liberté.
En célébrant cette indépendance, on se remémore non seulement les victoires éclatantes mais aussi des défis persistants.
La route n'est pas toujours lisse, mais chaque pas vers l'avant est un hommage à ceux qui ont rêvé et œuvré pour un Bénin libre, souverain et fort.
Quelques heures avant la commémoration de notre fête nationale que nous célébrons avec fierté, quelques personnalités publiques ont saisi l'occasion pour adresser un message et souhaiter une joyeuse fête de l'indépendance au peuple béninois.
Ouanilo MEDEGAN FAGLAMaryse LOKOSSOUYacine AlaoRanti Akindes 🙏
Tension entre Carthage et ses partenaires méditerranéens
Imaginons que l'Occident, à travers des actions déstabilisatrices, conspire contre notre nation. Face à cette menace, il est crucial de se demander quelles sont les motivations et les objectifs qui animent ces puissances occidentales désireuses de nuire à la Tunisie. Sans clarifications sur ces aspects clés, une analyse objective de la situation serait difficile. Il est dès lors impératif d'approfondir cette question pour saisir pleinement les véritables enjeux en jeu.
Plusieurs pistes de réflexion peuvent être explorées, notamment :
(i) la question de la reconnaissance de l'entité sioniste et l'établissement de relations avec cette entité ;
(ii) la possibilité d'installer un gouvernement peu favorable à l'Algérie, l'ennemie déclarée de l'Occident ;
(iii) la transformation de la Tunisie en un gardien des frontières maritimes de l'Italie, en particulier.
Il est nécessaire d'analyser ces différents axes de manière approfondie pour mieux appréhender les intentions de l'Occident et les implications potentielles pour la Tunisie. Seule une compréhension claire de ces dynamiques pourra permettre à notre pays de prendre des décisions éclairées pour défendre ses intérêts et assurer sa sécurité. MUS 18/05/2024
DBA-Business Science Institute-School of Management iaelyon-Université Lyon III Jean Moulin; Harvard University KSG ; MIT xPRO-ASE-Management of Complex Systems; CRMA; CDPSE; Stanford University; University of Oxford
Il sera maintenant utile d'accélérer le processus de création de la Zone Monétaire Intégrée de l'Afrique de l'Ouest - ZMIAO (version actualisée de la ZMAO), en veillant à l'amélioration des politiques économiques et sectorielles de chaque pays membre, en réduisant les niveaux d'inflation (autour de 2%), et de déficit budgétaire, en augmentant fortissimo les réserves de change. Il convient de créer immédiatement la Banque Centrale Fédérale de l'Afrique de l'Ouest - BCFAO, en continuant à réclamer ex-post de façon permanente et structurelle le respect des critères de convergence, de telle sorte que nous puissions maîtriser et absorber en longue période les chocs asymétriques (chers au Professeur Docteur Mundell, Prix Nobel d'économie), en plus des risques purs - durs - spécifiques - idiosyncratiques et lourds. Nous devons mobiliser des Experts de haut niveau pour assurer la formation des cadres de la nouvelle BCFAO. L' architecture du système financier sera consolidée par la mise en place d'une Organisation de Surveillance et de Régulation du Système Financier en Afrique de l'Ouest - OSRSFAO.
C’est avec un sentiment de grande responsabilité que j’accueille ma nomination comme Ministre de l’Economie, du Plan, et de la Coopération. Je remercie le Président de la République, Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Faye et son Premier Ministre Monsieur Ousmane Sonko pour l’opportunité et la confiance de travailler à leurs côtés pour réaliser la vision d’un Sénégal souverain, juste et prospère, dans une Afrique en progrès. Je remercie tous les parents et amis pour les mots et messages de félicitations. Nous ne ménagerons aucun effort pour que les espérances du peuple sénégalais soient une réalité.
- OBSERVATOIRE DU MAGHREB -
📄MAURITANIE : UN PAYS STRATÉGIQUE POUR L’ALGÉRIE ET LE MAROC
Par Bassem LAREDJ Ph.D, docteur en droit international
LIRE LA NOTE ➡ https://cutt.ly/meUT7GTc
Face aux considérations économiques, diplomatiques et géopolitiques régionales, la Mauritanie se trouve aujourd'hui, malgré elle, intégrée indirectement dans le jeu d'influence et la « guerre froide » qui oppose ses deux grands voisins maghrébins, le Maroc et l'Algérie. Si le Maroc développe depuis au moins deux décennies une véritable stratégie d'influence économique et politique sur le continent africain, notamment vers l'Afrique de l'Ouest ; l'Algérie cherche aujourd'hui, après une longue période de paralysie diplomatique en raison de la maladie de son ancien président, à mettre en place les bases d'une nouvelle stratégie d'influence africaine à travers notamment le développement d'une plus forte coopération économique avec son environnement régional proche. Dans ce contexte et pour atteindre leurs objectifs, la Mauritanie devient un pays central pour Rabat et Alger.
Une belle analyse de ✔️ Oumar Ndiaye
Il faudrait rappeler que le PASTEF est venu au pouvoir avec en bandoulière, la contestation d’un « système » de gouvernance intérieure mais aussi de nos relations internationales, soit le même cadre posé par les militaires qui ont pris le pouvoir ces dernières années au Sahel. La critique de la CEDEAO est un dénominateur commun entre PASTEF et les pays de l’AES et il existait des contacts entre les leaders des deux entités bien avant l’accession au pouvoir de Bassirou Diomaye Faye. Il y a donc une convergence de vision qui donne une légitimité d’emblée à Faye aux yeux des leaders de l’AES.
L’exercice de la démocratie par lequel Diomaye Faye est venu au pouvoir, le renforcement du Sénégal comme une vitrine démocratique en Afrique (de l’Ouest) soutenue par l’élan des premières visites du President dans les pays aux leaders démocratiquement élus, maintient aussi la crédibilité du Sénégal sur la ligne politique de la CEDEAO.
C’est donc de par cette ambivalence que le Sénégal est le plus légitime pour tenter d’encourager une réconciliation entre la CEDEAO et les pays de l’AES mais doit porter la condition des réformes nécessaires en garantie.
Journaliste- Rédacteur en Chef adjoint Collectivités Territoriales, Analyst in International Relations & Security Studies
Merci beaucoup à mon confrère Amadou Barry de Iradio d'avoir eu l'amabilité de me solliciter pour apporter un éclairage sur le déplacement du Président Bassirou Diomaye Faye au #Mali et #BurkinaFaso. Ce deuxième volet du ballet diplomatique du nouveau dirigeant du #Senegal est consacré aux pays dirigés par les juntes militaires. Deux voyages avec un caractère assez problématique et périlleux du fait des nouvelles tendances des juntes militaires ouest africaines avec un contexte de restrictions des libertés d'expression et d'association et de prolongation des transitions. L'un dans l'autre, ces déplacements sous les auspices de médiation pour faire revenir les pays de l'#Aes dans le giron de la #Cedeao peuvent se révéler payant. Comme je l'ai toujours dit, le Sénégal est taillé pour assumer et assurer ce costume de médiateur, eu égard de son histoire et trajectoire démocratique et aussi des affinités idéologiques qu'il y a entre les dirigeants des pays de l'Aes et ceux du Sénégal.
Nizar DERDABIFadilou NdoyeAlioune Aboutalib LO, Ph.D.
Aujourd'hui, nous célébrons un moment historique d'une grande importance : l'indépendance de l’Algérie. C'est avec une profonde fierté que nous honorons cette journée mémorable, qui marque la lutte courageuse et la détermination d'un peuple à se libérer des chaînes de l'oppression et à défendre sa liberté. L'indépendance de l'Algérie représente bien plus qu'un événement historique, c'est un symbole puissant de la résilience humaine et de la quête universelle de justice et d'égalité. C'est un rappel de la force collective qui émerge lorsque les individus se rassemblent pour défendre leurs droits fondamentaux.
Fiers de notre passé, tournés vers l'avenir, nous célébrons l'indépendance de l'Algérie avec une
Profonde gratitude et un optimisme renouvelé. Ensemble, nous pouvons bâtir un avenir prometteur pour notre pays et contribuer à un monde meilleur pour tous.
#IT_DEV_SOLUTION#ITDS#Algérie#Algérielndependance#AlgérieLibre#FiertéAlgerienne#LuttePourLaLiberté#HérosDeLindépendance#Algérieindépendante#AlgérieFière#AlgérieUnie#AlgérieResiliente#AlgérieSouveraine#révolutionAlgérienne#FrontdeLibérationNationale
https://lnkd.in/eHF4-Dv8
Que dieu nous protège et unisse dans les échanges commerciaux en Afrique...
merci beaucoup Mme et comment refaire où commencer à partir des accords acpeconomiczonesconvention2012 et PDD en Doha restent lettres mortes pour cela vers recomposition et réorganisation des pays et réorientation géographique des flux de capitaux ou REGROUPEMENT régional FMI/GBM OMC et BRICS en Afrique Sierra LEONE et Libéria et Sénégal et Guinée bisseau et Guinée Conakry et GAMBIE forment un ensemble GÉOPOLITIQUES ou pôles pays D'INTÉGRATION économique mondiale en Afrique.
Le sujet du Sahara occidental est complexe et suscite des comparaisons avec d’autres conflits territoriaux, notamment celui de la Palestine. Dans ces deux situations, un peuple revendique le droit de disposer de lui-même, alors qu’il se heurte aux revendications territoriales d’un autre acteur soutenu par des alliances stratégiques.
Au Sahara occidental, le Front Polisario lutte pour l’indépendance des Sahraouis depuis des décennies, face aux revendications historiques du Maroc. Ce dernier a consolidé sa présence dans la région, et certains pays ont reconnu cette souveraineté pour des raisons politiques et diplomatiques. Cependant, de nombreuses voix affirment que cette approche occulte le droit des Sahraouis à l'autodétermination, en dépit des résolutions de l’ONU qui préconisent un référendum pour résoudre la question.
Pour ma part, je pense que le Maroc ne possède aucun droit légitime sur le Sahara occidental. Le cas du Sahara occidental rappelle en effet celui de la Palestine, où les revendications territoriales occultent souvent les droits d’une population à disposer de son propre territoire.