ÉCOLE DE LA MANIFESTATION CHAPITRE VI : LA LOI DE LA JUSTICE DE DIEU ET NOTRE TRANSFORMATION. C'est par sa justice que Dieu nous bénit en rapport avec notre transformation... A chaque dimension de notre transformation, correspond un état de richesse, que Dieu amène vers nous, par la loi de sa justice. Ne cherche pas le bien dont tu as besoin. Cherche plutôt le niveau de la mentalité, de la justice divine qui correspond à ce dont tu as besoin. Accomplis la loi qui attire les choses de venir à toi. C'est la loi de la justice divine dont parle le Roi et Prophète David. ( psaumes 37 : 25 - 33)
Post de Bienvenue Mayotila
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Justice divine, un concept qui divise les croyants et les sceptiques depuis des siècles. Et pourtant, imaginons un instant qu'elle vienne sauver un ex-président aux pratiques contestables, face à une justice terrestre bien réelle qui ne manquera pas de trancher sur ses attitudes plus que répréhensibles. Dans ce scénario hypothétique, certains pourraient dire que la justice divine est enfin intervenue pour corriger les erreurs de l'homme. Un présage mystique qui viendrait bousculer nos certitudes et rappeler que nous ne sommes pas les seuls détenteurs de la vérité. Pour ces personnes, la clémence divine serait une opportunité pour l'ancien président de se repentir, changer sa voie et réparer les torts causés à la nation. D'un autre côté, il y aurait ceux qui rejettent en bloc cette notion de justice divine. Pour eux, il n'y a rien d'hypothétique là-dedans, simplement un homme corrompu tentant de s'en sortir par des moyens détournés. La justice terrestre, selon eux, devrait être suffisante pour juger et punir ceux qui ont trahi la confiance du peuple et enfreint la loi. Ils affirmeront avec force que la justice divine n'est qu'une chimère, une illusion destinée à justifier l'injustifiable. Dans tous les cas, cette hypothétique intervention divine révèle les fractures de notre société. Elle soulève des questions profondes sur le rôle de la foi dans nos vies et le pouvoir des institutions humaines. Faut-il croire à cette justice divine pour parvenir à la paix intérieure ou faut-il se contenter de confier notre destin à une justice imparfaite mais bien réelle ? Alors que les débats font rage entre les partisans et les détracteurs de cette pseudo justice divine, une chose est sûre : la justice terrestre ne laissera pas les pratiques contestables de l'ancien président impunies. Quoi qu'il en soit, la vérité éclatera au grand jour, que cela vienne de la main de l'homme ou d'une intervention divine. "Deus Ex Praeside"
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À Laurent de Médicis a été dédiée l'œuvre majeure de Machiavel, "Le Prince". Force et ruse, violence et mensonge sont hélas le fondement du totalitarisme. La vertu est celui de la démocratie. La modération des gouvernants et la discipline des gouvernés assurent la pérennité de ce dernier régime. Dont le concept devient hélas de plus en plus évanescent. https://lnkd.in/eMpjwNDN
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DE L’ESPRIT DES LOIS P231) Chapitre ✖️ Autres causes de la chute des Codes des lois des barbares Du Droit romain et des capitulaires. Lorsque les nations GERMAINES CONQUIRENT L’EMPIRE ROMAIN ELLES Y TROUVÈRENT L’USAGE DE L’ÉCRITURE ET À L’IMITATION DES ROMAINS ELLES RÉDIGÈRENT LEURS USAGES PAR ÉCRIT ET EN FIRENT DES CODES. LES RÈGNES MALHEUREUX QUI SUIVIRENT CELUI DE CHARLEMAGNE LES INVASIONS DES NORMANDS LES GUERRES INTESTINES REPLONGÈRENT LES NATIONS VICTORIEUSE DANS LES TÉNÈBRES DONT ELLES ÉTAIENT SORTIES ON NE SUT PLUS LIRE NI ÉCRIRE. CELA FIT OUBLIER EN FRANCE ET EN ALLEMAGNE LES LOIS BARBARES ÉCRITES LE DROIT ROMAIN ET LES CAPITULAIRES. L’USAGE DE L’ÉCRITURE SE CONSERVA MIEUX EN. ITALIE OU RÉGNAIENT LES PAPES ET LES EMPEREURS GRECS ET OÙ IL Y AVAIT DES VILLES FLORISSANTES ET PRESQUE LE SEUL COMMERCE QUI SE FÎT POUR LORS. CE VOISINAGE DE L’ITALIE FIT QUE LE DROIT ROMAIN SE CONSERVA MIEUX DANS LES CONTRÉES DE LA GAULE AUTREFOIS SOUMISE AUX GOTHS ET AUX BOURGUIGNONS D’AUTANT PLUS QUE CE DROIT Y ÉTAIT UNE LOI TERRITORIALE ET UNE ESPÈCE DE PRIVILÉGE . Il y A APPARENCE QUE C’EST L’IGNORANCE DE L’ÉCRITURE QUI FIT TOMBER L’ESPAGNE LES LOIS WISIGOTHES. ET PAR LA CHUTE DE TANT DE LOI LOIS IL SE FORME PARTOUT DES COUTUMES . LES LOIS PERSONNELLES TOMBÈRENT. LES COMPOSITIONS ET CE QUE L’ON APPELAIT [FREDA ]SE RÉGLÈRENT PLUS PAR LA COUTUME QUE PAR LE TEXTE DE CES LOIS . AINSI COMME DANS L’ÉTABLISSEMENT DE LA MONARCHIE ON AVAIT PASSÉ DES USAGES DES GERMAINS À DES LOIS ÉCRITES ON REVINT QUELQUES SIÈCLES APRÈS DES LOIS ÉCRITES À DES USAGES NON ÉCRITS .
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Montesquieu toujours. 1) Anatomie (c’est à la mode) d’une DISSOLUTION : latin dissolvere, dissoudre, solvere, solvant : « substance qui a le pouvoir de dissoudre d'autres substances » (Le Robert), un prince président dissolvant des députés, par exemple. 2) LE PRINCE (voir ci-dessous) 3) LES CONSEILLERS « Il y a tel prince qui se croirait anéanti s’il n’avait sans cesse autour de lui des conseillers qui délibèrent ». Quelqu’un « demande si un prince doit mettre les affaires de son état entre les mains de ceux qui gouvernement sa conscience. Non, non, dit-il, car ceux qui ont l’esprit du monde sont entièrement incapables de gouverner sa conscience, et ceux qui n’ont pas cet esprit sont incapables de gouverner son État. Il dit même que c’est rendre son directeur inutile, car il est établi pour l’avertir des fautes qu’il fait, mais comment l’avertira-t-il de celles qu’il lui fera faire ? » Montesquieu, Mes Pensées. 4) COMMENTAIRE : « Je ne puis comprendre comment les princes croient si aisément qu’ils sont tout et comment les peuples sont si portés à croire qu’ils ne sont rien. » Montesquieu, Mes Pensées. 5) ÉLIRE : « Vieux : Choisir comme meilleur. » (Le Robert). Aujourd’hui : Choisir selon ce qui apparaît un moindre mal — Exprimer son désespoir. 6) Et à la prochaine élection ? Tout commence maintenant (sur ce point voir sur https://lnkd.in/eZSqmz9T le dernier § d'un texte en date du 2 juillet).
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Ponce Pilate a commis une énorme erreur de management lors du procès de Jésus-Christ. Pour rappel, Ponce Pilate est un personnage historique présent dans les Évangiles. Il est devenu célèbre pour avoir ordonné la crucifixion de Jésus à l'issue de son procès à Jérusalem. Quand le peuple juif présenta Jésus à Ponce Pilate pour qu'il soit mis à mort, il l'interrogea mais ne trouva rien à lui reprocher. Il voulut le libérer mais la foule insista. Elle préférait que soit libéré Barabbas, un meurtrier emprisonné à Jérusalem. Après avoir tenté de raisonner la foule en vain, il se lava les mains et dit : « Je suis innocent du sang de cet homme : cela vous regarde ! » Et voilà, la faute de management de Ponce Pilate. Car comme le dit le fameux proverbe militaire : « C'est toujours la faute du chef ! » (cc Hervé Jouffe) Ponce Pilate doit être tenu pour responsable d'avoir laissé faire cet acte qu'il ne cautionnait pas. En tant que dirigeant, nous sommes tenus responsables de tout ce qui se passe sous nos ordres. De ce que nous avons décidé. Tout comme de ce que nous avons laissé faire. Alors, ne soyez pas comme Ponce Pilate. Ne vous lavez pas les mains quand une décision difficile doit être prise. Car même si vous le faisiez, on vous tiendrait malgré tout pour responsable *** Je m'appelle Antoine Rager, Je suis l'auteur de « Et si le Christ était notre PDG ? » - dans lequel je partage 30 conseils de leadership et de management inspirés de la vie de Jésus. Pour plus d'info, c'est par ici : www.lechristpdg.fr
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Les Chatons Philosophes bonjour Le dimanche, c'est le jour de la découverte de.... Au fil d’une œuvre* Aujourd'hui... LE PRINCE NICOLAS MACHIAVEL « Une société corrompue est une société dans laquelle les hommes ne savent plus exercer leur liberté. » L’ouvrage comporte 26 chapitres. L’auteur analyse notamment la liberté politique et adresse ses conseils au prince, symbole du gouvernant. La passion du peuple pour la liberté, symbole de non-domination, fait partie de l’ordre des choses. Le prince ne doit pas la considérer comme une menace mais plutôt comme une opportunité de légitimer son pouvoir. Il doit instituer une économie politique intégrant le peuple car la liberté collective dépend de la conjugaison des forces. Le conflit est inhérent à la conduite de la politique. La guerre, problème central dans la perspective de la libération des peuples, constitue une épreuve de vérité, révélatrice des rapports entre les êtres humains. * Si vous voulez approfondir votre réflexion, n’hésitez pas à commander mon fascicule Qu’est-ce que la liberté ? et le semainier 2025 Les Chatons Philosophes dont la semaine 31 est consacrée à la thématique à leschatonsphilosophes@gmail.com D'avance un grand merci ! 😌
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Montesquieu a posé dans l'esprit des lois, les bases des remparts d'un pouvoir face à l'absolutisme d'une institution. Ni lui, ni Marx et encore moins Néron n'ont envisagé un jour voir un prolétariat pour le second et une plèbe pour le dernier imposer une nouvelle forme de dictature identitaire: celle du quotient émotionnel véhiculé par des moyens technologiques. Certes Montesquieu, Rousseau comme Marx auraient tous aimé tweeter une pensée via la toile et toucher une infinité d'âmes prêtes à en découdre avec le prince. Mais aucun d'entre eux n'aurait imaginé la réincarnation du prince dans la plèbe, dans le prolétariat ou simplement dans l'opinion. Le prince dérobé à Machiavel voit sa transformation à travers le temps d'une branche du pouvoir vers un concept: l'opinion. Sa dépersonification lui donne aussi les attributs d'un pouvoir dont les limites se confondent entre le néant et l'absolu. L'opinion publique, cette facette à la fois omnipotente et vide de réalisme s'est transformée, au fil du temps, en un pouvoir absolu. Pas besoin de lui doter de pensée cohérente, la masse lui suffit. L'intellect s'est fait museler par l'émotionnel dans l'opinion publique. Le quatrième pouvoir, oui celui là même qui a fait vaciller et tomber Nixon, s'est mué aujourd'hui en un instrument de l'opinion publique. Désormais le mandataire politique prend la température de son avenir non plus dans un hémicycle formé de ses pairs, mais sur la toile où règne, sans partage, le prince moderne: l'opinion publique. Point de raison, point de logique, le quotient émotionnel qui dirige l'opinion est le nouveau Richelieu: il fait et défait les rois!!!
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Le 𝐜𝐞́𝐬𝐚𝐫𝐢𝐬𝐦𝐞 est un concept en droit constitutionnel qui désigne un système de gouvernement où le pouvoir politique, bien que théoriquement détenu par le peuple, est en réalité confié à un seul individu qui l’exerce de manière autoritaire. 𝐃𝐞́𝐟𝐢𝐧𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 Le césarisme tire son nom de Jules César, qui a concentré le pouvoir entre ses mains dans la Rome antique. En effet, dans ce système, le peuple délègue son pouvoir à un homme de confiance qui gouverne de manière autoritaire. Ce système se caractérise par une centralisation extrême du pouvoir et une réduction des contre-pouvoirs et des institutions démocratiques. Par ailleurs, le leader césariste justifie souvent son pouvoir par la nécessité de maintenir l’ordre et de protéger le peuple. Il peut utiliser des référendums ou des plébiscites pour légitimer son autorité, donnant l’illusion d’une participation populaire tout en contrôlant les résultats. Comme conséquences, la concentration du pouvoir peut mener à des abus et à une répression des opposants politiques. De plus, les institutions démocratiques, comme le parlement et les tribunaux, voient leur rôle diminué ou supprimé. 𝐄𝐱𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞 Un exemple historique de césarisme est le régime de Napoléon Bonaparte en France. Après avoir pris le pouvoir par un coup d’État en 1799, Napoléon a progressivement centralisé le pouvoir entre ses mains. Il a utilisé des plébiscites pour légitimer son autorité, devenant empereur en 1804. Bien que le peuple ait théoriquement participé à ces plébiscites, le contrôle strict exercé par Napoléon sur le processus électoral et les institutions a fait de son régime un exemple classique de césarisme. Ainsi, le césarisme est-il un concept important pour comprendre les dérives autoritaires possibles dans les systèmes politiques. Il met en lumière les dangers de la concentration du pouvoir et l’importance des contre-pouvoirs et des institutions démocratiques pour préserver la liberté et la justice.
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« Avant la Révolution , il y avait une France catholique organisée, vivante, agissante, basée sur l’Evangile, avec ses organes spirituels, les évêques et leurs églises, s’arcboutant à leur clé de voûte : le Pape ; avec ses organes temporels, les Etats, les corporations, les familles, s’arcboutant à leur clé de voute : le Roi. Une seule base spirituelle : l’Evangile, commenté par les deux clergés séculier et régulier, sous l’autorité du Vicaire de Jésus-Christ et politiquement par le représentant de la Loi salique : le Souverain. Deux clés de voûte, l’une spirituelle : le Pape ; l’autre temporelle : le Roi, pour les deux édifices qui sont comme les deux ailes d’un même corps de bâtiment, dont la Clé de voûte suprême au frontispice est le Christ, lui-même Chef des nations comme des individus. Dieu à la base, Dieu au sommet ; entre deux, se donnant la main, l’Eglise et la France ! La Révolution a voulu supprimer tout cela d’un seul coup. Elle a commencé par la base : l’Evangile, relégué par les droits de l’homme au rang méprisable des opinions discutables et discutées. Elle a continué par la clé de voûte temporelle : le Roi, qu’elle a supprimé. Elle vient d’achever par la clé de voûte spirituelle : le Pape, à qui elle vient de signifier brutalement par la séparation de l’Eglise et de l’Etat qu’il n’a plus rien à voir dans un pays désormais sans Dieu, c’est-à-dire sans base et sans idéal, sans racine dans le passé, sans espérance dans l’avenir. Voilà comment la France, séparée de sa base et de ses deux clés de voûte, tombe en poussière ! Quoi de plus naturel ! Le miracle serait qu’il en fût autrement. Il y a bien encore des catholiques français à l’état de molécules éparses, isolées ! Il n’y a plus de France catholique ! […] » Jeanne d'Arc et la monarchie, abbé Marie-Léon Vial
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Bravo ! En ajoutant que le phénomène ne concerne pas que Charbit en France, mais aussi nombre d’intellos juifs US mobilisés pour “la Cause” à commencer par Finkelstein - depuis longtemps chouchou de nos anti”sionistes” de gauche français dont le Monde diplo, est l’un des foyers avec les ineffables Gresh et Vidal, un ancien condisciple. L’autre source bien-aimée de Lemire et de ses copains, c’est Haaretz dont le propriétaire vient de faire son mea culpa. Mais aujourd’hui les idoles de Sciencespo sont Mearsheimer et Walt la fine fleur des penseurs militaires de Harvard dont l’ouvrage sur le “lobby sioniste aux US » se vend comme autrefois le Protocole des Sages de Sion Et ils ne sont pas les seuls… Consolation: à proportion les juifs sont bien plus démocratiquement masochistes que les arabo-musulmans. Tradition du débat peut-être ou vieille tendance à la haine de soi ? Sans parler de l’ignorance crasse des Américains pour le monde en général et le monde arabe en particulier. Aujourd’hui n’en déplaise à Said ce qu’il faudrait analyser c’est moins l’Orientalisme que l’Occidentalisme. Et nos intellos déchirés ou pas font partie de cette histoire.
Un texte qui s’impose aujourd’hui. Yana Grinshpun en est l’auteur. Je lui dis ma gratitude et mon respect
Les mascottes juives des universités et des médias français. Par Yana Grinshpun - Tribune Juive
tribunejuive.info
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