Post de Biocoop Restauration

👤✨ Découvrez Simon Lemière, Directeur du site des "Éleveurs de la Charentonne" à Château-Renard ✨👤 Depuis 2019, les EDLC se sont installés dans la région Centre-Val de Loire, proposant une gamme de produits locaux de qualité, en circuit direct. 🔍 À propos de Simon Lemière et des Éleveurs de la Charentonne : Parcours et Motivations : Issu d’un parcours en agronomie et production végétale, Simon a travaillé en tant que technicien de production légumière avant de devenir directeur de site aux Éleveurs de la Charentonne. Ce poste lui a permis de relever de nouveaux défis et d’assumer des responsabilités accrues dans une entreprise locale en plein essor. L'Entreprise : Les Éleveurs de la Charentonne sont spécialisés dans la vente de viandes en circuit direct et d’autres produits locaux comme les œufs, fromages, jus et miels. Leur boutique de 260 m² à Château-Renard propose des produits de qualité, tout en garantissant le bien-être animal et une juste rémunération des producteurs locaux. 🚀 Défis et Réussites : Pour Simon, les défis ont été nombreux : apprendre à manager une équipe, comprendre les exigences strictes de l’agroalimentaire et recruter du personnel qualifié. Sa plus grande fierté réside dans la montée en compétences de ses collaborateurs, qui deviennent des acteurs clés de l’entreprise. Le déménagement récent du magasin en novembre 2023 a été un moment marquant, offrant à l’équipe une meilleure visibilité et des conditions de travail optimisées. 💬 Conseils et Inspiration : Bien que Simon ne se considère pas comme un entrepreneur au sens traditionnel, il est inspiré par la célèbre citation d’Albert Einstein : « La vie, c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre. » 🌟 Engagement Local : Les Éleveurs de la Charentonne ont créé une trentaine d’emplois dans le Loiret et participent activement à l’économie locale. Ils travaillent avec des restaurateurs et collectivités pour fournir des produits frais et proposer des solutions logistiques comme la location de véhicules frigorifiques. 🤝 Rôle des Entrepreneurs et LEA : Simon estime que le développement économique est essentiel au maintien de la démographie dans les zones rurales. LEA facilite les échanges entre acteurs locaux, et Simon espère que l’association continuera à organiser des événements, des visites d’entreprises et des séminaires pour renforcer le tissu économique local. LEA remercie Simon pour son engagement et sa contribution au dynamisme de notre communauté. --- Pour en savoir plus sur les Éleveurs de la Charentonne, rendez-vous sur notre site : https://lnkd.in/ewxUrCVB #LEAGâtinEst #EntrepreneursLocaux #PortraitsDentrepreneurs #Inspiration #GâtinaisEst

La RTE (Responsabilité Territoriale des Entreprises), vous connaissez ? Je me lance ! Extraits: “Il ne faut pas se raconter d’histoires, mais une histoire valorisant la géographie, les ressources, la gastronomie, en utilisant le fameux « biaïs ». Stéphane Linou, réalisant actuellement un tour de France où il propose des formations aux élus et dans le cadre des RTE (responsabilité territoriale des entreprises): « Avant, rien ne se perdait, et pour chaque aliment à transformer, il y avait un outil selon l’état de maturité : les dents pour les fruits juste à point, le rouleau à pâtisserie pour les tartes garnies de fruits plus mûrs, le couteau et le cuiseur pour la confiture réalisée avec des fruits juteux, Les fruits encore plus mûrs régalaient le cochon qui fournissait le jambon et toutes les réserves puisque, dans le cochon, tout est bon ! » «Enfin, les fruits pourris ou en surplus, qu’aujourd’hui on arrose de gas-oil avant de les écraser, finissaient à l’alambic pour l’eau-de-vie. » C’est à cette prise de conscience que sont invités tous ceux qui peuvent récolter des fruits, les bouilleurs de cru. qui sont devenus très rares à avoir le droit d’héritage pour distiller eux-mêmes, mais ils peuvent contribuer à maintenir le métier de bouilleur ou distillateur en leur apportant leurs fruits. Au cours de cette journée informative autour de l’alambic et gourmande autour d’un méchoui agneau, lui aussi, du Quercy, tous ceux qui le désireront repartiront avec des documents pour mieux connaître la législation qui donne à tout le monde le droit de transformer les fruits de son verger ou de son jardin en eau-de-vie. «Lo Biaís», c’est le bon sens paysan (gens du pays), la débrouille, le savoir-faire. Avec des outils de transformation liés à des métiers, de la convivialité, une assiette à remplir ensemble avec ce que l’on a autour, voilà comment se dire les choses et se préparer aux temps qui viennent autour de l’essentiel. «Bouilleurs de cru de tout le Quercy (réunifié pour une fête gourmande), unissez-vous !» «Cela ne s’était jamais fait, explique Stéphane Linou, fondateur de Cartes sur tables, mais j’ai décidé d’organiser le premier repas proposant de réunir ceux qui ramassent des fruits et ceux qui les transforment en eau-de-vie !» Cette fête n’est pas une incitation à l’alcoolisme mais l’occasion de promouvoir les métiers de distillateur (le bouilleur) et de cueilleur (le bouilleur de cru). «L’enjeu, explique Stéphane Linou (dont il ne faut pas oublier qu’il fut le premier locavore de France), est de faire la passerelle entre deux artisans, tout en faisant des économies et en entretenant de la convivialité sur le territoire en identifiant ses richesses !» Approvisionner l’alambic Suite en 1er commentaire.

☀😎 𝗥𝗲𝘀𝘁𝗲𝘇 𝗰𝗼𝗻𝗻𝗲𝗰𝘁𝗲́𝘀 𝗽𝗲𝗻𝗱𝗮𝗻𝘁 𝘃𝗼𝘀 𝘃𝗮𝗰𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝘀𝗲́𝗹𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘀𝘁𝗶𝘃𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗯𝗹𝗼𝗴 ! Cette semaine, voici quelques études de cas clients sur les bénéfices de la préfiguration industrielle 👉 Une Coopérative maraichère qui s’est doté d’un process de refroidissement et de stockage plus performant et à faible impact environnemental. 👉 Nos derniers travaux sur le comportement thermique d’un emballage de produits alimentaires 👉 Projet collaboratif #COOLCONTROL concernant l’optimisation énergétique et sanitaire de la chaîne du froid en atelier agroalimentaire 👉 https://lnkd.in/eUWJWbBg

🌰 Soutenons la filière française de la noisette : un joyau menacé, essentiel à nos traditions gourmandes de Noël ! 🎄 Noël approche et avec lui, les plaisirs de la table : bûches pralinées, rochers croquants, gianduja, et bien sûr le célèbre Nutella® qui illumine nos goûters en famille. Mais derrière ces délices se cache une réalité préoccupante : 90 % des noisettes consommées en France sont importées, principalement de Turquie. La filière française, pourtant riche de savoir-faire, ne représente qu’1 % de la production mondiale, soit 11 000 tonnes en équivalent coque. Pourquoi un tel déséquilibre ? 🤔 👉 Des défis majeurs pour nos producteurs : Avec seulement 7 000 hectares cultivés par 350 producteurs, la France peine à rivaliser face aux géants du secteur. Les coûts de production explosent, passant de 1 €/kg en 2018 à 1,50 €/kg en 2023, en raison de l’augmentation des prix des intrants, de l’énergie et de la main-d’œuvre. De plus, les rendements stagnent, voire régressent, à cause de ravageurs dévastateurs comme le balanin, la punaise diabolique, et le phytopte, qui détruisent jusqu’à 80 % des récoltes. 👉 Une concurrence mondiale déséquilibrée : La Turquie, qui produit 75 % des noisettes mondiales, décide des prix de référence tout en opérant sous des normes bien moins exigeantes que celles de l’Union européenne. Conséquence : les noisettes françaises, respectueuses de l’environnement et des consommateurs, peinent à s’imposer sur le marché. 👉 Des solutions innovantes en attente : Malgré les défis, la filière s’organise. L’Association Nationale des Producteurs de Noisettes explore des solutions comme les parasitoïdes pour contrer la punaise diabolique ou les kairomones pour le balanin. Ces innovations, encore en phase de recherche, nécessitent des investissements massifs. 🎯 Un appel à l’action : En cette période de fêtes, choisir des produits valorisant les noisettes locales, c’est soutenir une filière engagée dans la qualité, la durabilité et le respect des normes européennes. Favoriser les circuits courts, c’est offrir un avenir à nos producteurs tout en ravissant nos papilles. 🍫🌰 🎄 Et si, cette année, votre gourmandise devenait un acte engagé ? Ensemble, redonnons à la #noisette française la place qu’elle mérite sur nos tables de fêtes et dans nos cœurs. ❤️ Phyteis UNICOQUE - Noisettes & Noix de France Jean-Luc Reigne Daniel Sauvaitre Arnaud Camuset Alain Gardeils #FrAgTw #agriculture

👤✨ Découvrez Sophie et Thierry Pardé, Fondateurs du "Safran de Saint-Hilaire" ✨👤 LEA vous présente Sophie et Thierry Pardé, fondateurs du Safran de Saint-Hilaire, producteurs de safran depuis 2000, perpétuant un savoir-faire artisanal en circuit court. 🔍 À propos de Sophie et Thierry Pardé : Parcours et Motivations : Avant de se lancer dans l'entrepreneuriat, Sophie travaillait dans la grande distribution et Thierry était contrôleur laitier. Leur désir de reprendre l’activité agricole familiale, présente depuis plusieurs générations, les a poussés à développer la culture du safran, une idée neuve pour leur exploitation. L'Entreprise : Le Safran de Saint Hilaire se distingue par sa production artisanale de safran, impliquant la cueillette des fleurs, l’émondage, le séchage et le conditionnement, tout cela réalisé le jour même de la récolte. Leurs produits sont disponibles lors de salons prestigieux, sur les marchés de Noël, en dépôt-vente dans divers commerces locaux, et même dans les Offices du Tourisme de Château-Renard et Montargis. 🚀 Défis et Réussites : Le plus grand défi pour Sophie et Thierry a été de concilier leur vie de famille avec le métier exigeant d’agriculteur. Leur plus grande fierté est d'avoir osé se diversifier, devenant les premiers producteurs de safran dans le Gâtinais et réussissant à transmettre leur savoir-faire à d’autres professionnels de la région et au-delà. Une anecdote marquante ? Lors d’un salon, la fatigue a conduit Sophie à comparer le pistil de safran à un spermatozoïde, laissant une interlocutrice prude visiblement déstabilisée – un souvenir qui les fait toujours rire 20 ans après. 💬 Conseils et Inspiration : "Il faut oser. On peut se planter, cela fait partie de l’apprentissage, mais on se relève toujours, et souvent plus fort." Sophie et Thierry sont inspirés par le mantra : "Prendre son temps pour se lancer. Mais pas trop.". 🌟 Engagement Local : L’originalité de la culture du safran, une plante nécessitant du froid pour se développer, renforce l’image de dynamisme du Gâtinais. Sophie et Thierry contribuent ainsi au développement local en offrant un produit unique et en formant d’autres producteurs. 🤝 Rôle des Entrepreneurs et LEA : Sophie et Thierry considèrent que les entrepreneurs, quels qu’ils soient et quelle que soit leur activité, sont indispensables au dynamisme de la région. Ils croient fermement en la mutualisation des savoirs pour le développement économique et apprécient le soutien collectif offert par LEA. LEA remercie chaleureusement Sophie et Thierry Pardé pour leur engagement et leur contribution au dynamisme de notre communauté. --- Pour en savoir plus sur le Safran de Saint-Hilaire, rendez-vous directement sur notre site https://lnkd.in/en2fBBjg #LEAGâtinEst #EntrepreneursLocaux #PortraitsDentrepreneurs #Inspiration #GâtinaisEst

NOUVEL ARTICLE ! Vous y trouverez entre autres notre bilan vendanges. Abonnez- vous sur notre site web afin de recevoir l'essentiel de nos actualités de printemps et d'automne (deux fois par an donc). #vin #champagne #gastronomie

Investir 100% en fonds propres pour révolutionner tout un secteur vieillissant, on l'a fait. 🤯 Pourquoi ? Parce qu'il était temps de révolutionner le monde du vin. Avec notre vin en canette, on a voulu croire qu'il était possible de faire les choses autrement. 🚀 Plus accessible : plus besoin de passer 10min dans un rayon sans rien y comprendre 💎 Plus moderne : légère et pratique elle s'adapte à tous les modes de conso ⚡️ Plus innovante : enfin du vin facile à transporter et à ouvrir Et le retour de nos clients est sans attente :  Un mois d'activité et déjà sold-out 😱 + de 100 000 visites sur le site ✅ Le déploiement dans plusieurs magasins de nos canettes 🤝 et encore de très belles collaborations à venir Alors, prêts à rejoindre le futur sur MaisonBagarre.fr ? #MaisonBagarre #Innovation #VinEnCanette L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération

J’habite en région parisienne et ma tête est plutôt… “Chausser les bottes”, marcher dans la glaise, sentir la vie de la campagne autour de moi. Je me sens un peu Boby Lapointe ou Fanfan la Tulipe. On ne se refait pas ! Alors, quel lien avec les coffrets gourmands qui raviront vos clients ?   🔻   1️⃣- Je vous aide à trouver le bon cadeau.   Le salon OMYAGUE, la référence pour le cadeau de luxe, place les produits gastronomiques et les coffrets gourmands en tête des achats pour les cadeaux d’affaires, en 2022.   En effet, les produits du terroir sont très appréciés. Ils offrent un standard de qualité, une identité unique, par l’évocation d’histoires et des traditions locales. Alors, je vous aide à partager de la convivialité, un art de vivre à la française, avec de bons coffrets gourmands bio.   2️⃣- Je vous raconte mon histoire.   Natif de Touraine, j'ai grandi à la ferme de mon grand-père Henry, où les repas festifs étaient arrosés de quilles de Vouvray ou de Chinon. À 16 ans, une première gorgée de vin blanc m'a révélé les subtilités du chenin, cépage emblématique du Val de Loire.   Je me sens ancré dans cette terre, dans ce bien-vivre ramenant à l’essentiel. Après des années dans l'industrie, je me suis reconverti dans la viticulture et l’œnologie puis, j’ai fondé François-Henry de Cormery. J’aime promouvoir l’art de vivre à la française et le terroir.   3️⃣- Je vous aide à répondre aux enjeux de votre marché.   L’engagement des entreprises repose sur une compétitivité compatible avec une politique RSE. Ce qui implique une réelle volonté de discuter ensemble, pour réunir.   Les coffrets François-Henry de Cormery répondent à ces enjeux : -         Des compositions de terroir naturellement bio, de grande qualité -         Des coffrets entièrement fabriqués en France, recyclables -         Un assemblage en ESAT -         Une personnalisation possible sur de petites quantités _____________________________________ 👉 Pour parler de vos projets de cadeaux => francois-henry@francoishenrydecormery.fr   J’ai hâte d’en savoir plus sur vos besoins ! François-Henry.

L'équipe Carrés Futés est super heureuse de partager avec vous le lancement du premier bouillon 100% Français ! Vous savez peut-être que les bouillons cubes actuels, bien que très pratiques, sont tous fabriqués hors du territoire français. Sans parler des origines des ingrédients qui les composent. Chez Carrés Futés nous voulions que ce savoir-faire revienne en France car tout le monde cuisine (secrètement 😉) avec un petit bouillon cube. N'est-ce pas Camille ? Et cuisiner pour soi ou ses proches à partir d'ingrédients français donne du sens à la cuisine. Concernant les origines des ingrédients : nous avons ce qu'il faut en France ! Faut-il que les bouillons cubes aient des ingrédients qui viennent d'autres pays du monde ? Absolument pas. Quand vous verrez nos bouillons cubes en magasin, n'hésitez pas à consulter l'arrière du packaging pour vérifier l'origine de nos ingrédients 😊 L'équipe Futée les a soigneusement sélectionnés pour vous. On espère que vous vous laisserez tenter par nos Bouillons Français Carrés Futés et qu'ils vous plairont ! #carresfutes #MadeinFrance #FabricationFrançaise #innovation

🛑 Quand les signaux d’alarme s’accumulent… Mais qu’on est beaucoup trop enthousiaste pour les voir. La semaine dernière, je vous racontais ma « légère » mésaventure lors de l’ouverture prévue de ma résidence de chefs LAROUSSELLE - Hors Champ Et pourtant… Il y avait des signes. Tellement emballée par mon projet, par les retours des chefs précédents ayant étrenné cette belle cuisine, par les clients qui répondaient présents, que j’en ai fait abstraction. Flashback, il y a 10 jours… 📅 MERCREDI. Les chefs sont enfin arrivés ! C’est fou comme la pression retombe alors d’un seul coup chez moi. Ils installent très vite leurs bocaux de Pickles, leurs couteaux et les livres qu’ils ont apportés, Escoffier en bonne place. 1er tour des lieux, installation, je débouche une bouteille pour commencer à jouer, un N°38 Grand Cru Pfersigberg 2021, une macération de Gewurztraminer du Domaine Mëralla. A la fin de la bouteille, on n’a pas beaucoup avancé sur l’accord mets-vin, mais on se connaît un peu mieux. On parle des 7 pêchers du jardin (oui, je sais… capitaux…) qui vont offrir leurs fruits d’ici 1 semaine. Je les préviens que tout ou presque mûrit en même temps, il va falloir réagir vite et gérer la conservation. Mais ils ne vont pas voir les pêchers. Je leur indique les chemins bordés de ronces et les kilos de mûres qui sont à point. Mais ils ne vont pas sur le chemin. Je leur dis que Jean-Claude va demain éclaircir la vigne et rapportera du Chenin pour faire du verjus. Ils ne pipent pas. Je dors mal. Je ne sais pas pourquoi. 📅 JEUDI. Notre journée commence à 9h30 par la visite de l’adorable journaliste gastronomique local et on enchaîne sur les détails sérieux. On a commandé un demi-veau. Quand arrive-t-il ? On passe au reste des appros : je sors mon classeur. Les noms, les adresses, en circuits courts, le plus possible en bio. Une mine d’infos. Leurs mines, elles, ne bronchent pas. Je leur laisse la journée pour leurs premiers contacts producteurs. Je dors mal à nouveau et je ne sais toujours pas pourquoi. Ai-je des difficultés à faire confiance ? Quel est ce truc qui ne va pas ? Ils parlent peu. Allez, rien de grave à l’horizon, le logiciel de réservations affiche presque complet pour le 1er week-end, le reste du mois se remplit. Ça m’apaise. Aucune raison que ça ne marche pas. 📅 VENDREDI. Je file à mes rendez-vous. Vous connaissez la suite… (et sinon, je vous invite à lire mon texte de la semaine dernière). Alors, en ce moment, je passe des coups de fil. Beaucoup. J’échange avec des gens talentueux et passionnés. Beaucoup. Et je garde une confiance absolue dans la réussite de cette résidence. Je tire des leçons RH de cette mésaventure (que je vous partagerai la semaine prochaine) mais je mesure surtout à quel point mon enthousiasme, s’il m’a fait négliger ces signaux, est aussi un formidable moteur pour continuer à avancer dans ce projet, malgré tout.