Post de Breakee

💡 Qu’est-ce qui vous retient de prendre les transports en commun ? Moins de 60 % des Français les utilisent régulièrement... Pourtant, c'est économique, pratique et bon pour la planète 🌍 ! Du 16 au 22 septembre, la Rentrée du Transport Public vise à sensibiliser le grand public aux avantages des transports en commun de proximité. Organisée par le GIE Objectif Transport Public avec le soutien du Ministère Écologie Territoires, France Mobilités, et l'ADEME, cette initiative nationale encourage un changement de comportement vers une #mobilité plus durable et respectueuse de l’environnement. 🚇🚠🚍🚅🚆🚲🌱 ➡ Retrouvez toutes les actions de sensibilisation menées en France pour montrer les bénéfices concrets des transports publics en termes de réduction de l’empreinte carbone, d’économies financières et de praticité : https://lnkd.in/erpn8asv ✔Un évènement qui s’inscrit dans le cadre de la Semaine Européenne de la Mobilité visant à inciter le plus grand nombre de personnes à adopter un mode de déplacement écoresponsable et écocitoyen. #RentreeTP #SEM #SEMD #MobilitéDurable #TransitionÉcologique #AgirPourLaPlanète #TheMobilityCompany UTPF - Union des Transports Publics et Ferroviaires GART

🌎Journée mondiale de l’environnement🌱 Les transports en commun ont un rôle essentiel à jouer dans la lutte contre les changements climatiques. Au Québec, le secteur des transports représente 43% des émissions de gaz à effet de serre de la province. En optant pour le transport collectif, on s’attaque à la plus grande source de GES du Québec! Prendre le transport en commun, c’est: - 50 voitures de moins sur nos routes par autobus - 20 tonnes de CO2 évitées par tonne émise par le transport collectif - 46% de moins de GES émis si les trajets entre le travail et la maison de 10 kilomètres et moins étaient faits en transport collectif - Et bien plus! En cette journée mondiale de l’environnement, optons pour le transport collectif! 🌳

Pour réussir la décarbonation des transports, des leviers technologiques permettent d’agir. On ne compte plus les débats sur la transition énergétique qui repose même sur un outil stratégique pour être pensée et permettre les arbitrages nécessaires. La confrontation à fleurets mouchetés a à peine commencé, car les orientations ne semblent pas définitives. Certains répètent la partition de cette planification écologique, d’autres font le gros dos en se disant qu’on marche sur la tête. Exemple où il est question d’une région et de mobilité hydrogène : https://lnkd.in/enYNZW-6 Nul doute que si on veut penser cette transition, il faut aussi agir sur les habitudes. La manière dont on parle de la voiture à batteries qui électrise les débats en est une bonne illustration. Il s’agit aussi de représentations - celle qu’on a de soi et du monde ; mêlées avec le possible, elles rendent difficilement appréhendable le souhaitable. Alors qu’est-ce qui peut changer ?Illustration avec Métropole Européenne de Lille (MEL). Forte du succès du programme #Econobus, la MEL a voté l’extension de son dispositif à deux nouveaux axes majeurs du Nord et du Pas-de-Calais. Son programme Ecobonus est étendu aux axes A25 et RN41 dès le mois de septembre prochain. Via ce programme, la MEL souhaite « inciter les conducteurs auto-solistes à changer leurs pratiques et les encourager à utiliser un autre mode de déplacement pendant les heures de pointe, à co-voiturer ou à déclarer leurs trajets en dehors de ces moments ». 2 euros par trajet évité: https://lnkd.in/e_UaSsTM Pour cela, la Métropole a mis en place son programme « Changer, ça rapporte », atout anti-embouteillages qui récompense tous les automobilistes qui changent leurs habitudes. Éviter les bouchons et tester un changement d’habitudes peut rapporter jusqu’à 80 € par mois. Les nouvelles zones concernées par les deux axes sont les suivantes : Armentières, Hazebrouck, Bailleul, Steenvoorde, Saint-Omer, Aire-sur-la-Lys, Béthune, Lens et Dunkerque. Depuis septembre 2023, la Métropole Européenne de Lille a mis en place l’Ecobonus. Il s’agit d’inciter les automobilistes à changer leurs pratiques : utiliser d’autres modes de transport aux heures de pointe, covoiturer ou encore décaler autant que possible leurs trajets à des heures auxquelles il y a moins de circulation. Avec l'Ecobonus, les automobilistes qui ont emprunté les autoroutes A1 et A23 en dehors des heures de pointe ont été récompensés. C’est original. C’est ne pas encore le péage urbain. Celui ci se voudrait dissuasif, l’autre ici attractif -vraiment ? « Jetons-nous dans la rumeur du temps, dans le roulement de l’éventuel ! Puissent alors alterner douleur et plaisir, réussite et dégoût, selon qu’il se pourra. Pourvu que l’homme s’active sans trêve  ».

J’ai eu le plaisir d’échanger à Toulouse jeudi 4 juillet, à propos des enjeux de décarbonation de l’industrie des mobilités à l’occasion de la Convention du Cluster TOTEM qui regroupe les acteurs engagés au profit de l’évolution de la mobilité en La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.   Le secteur des transports est le premier contributeur aux émissions de gaz à effet de serre de la France (32 %), avec 130 millions de tonnes équivalent CO2 émises en 2022, dont 0,4% pour #TER soit 500 000 tonnes d’émissions directes. Le ferroviaire est ainsi pleinement concerné par cet enjeu majeur. Grâce au volontarisme des Régions, les Français sont de plus en plus nombreux à faire le choix du train : en 2023, nous avons accueilli 21% de voyageurs supplémentaires dans nos TER par rapport à 2019. On estime que ce report modal de plus de 200 000 voyageurs par jour vers le train permet d’éviter, sur un an, l’émission de 500 000 tonnes de CO2. Rendre le train plus attractif, c’est donc contribuer à la décarbonation du secteur des mobilités en favorisant le report des voyageurs vers un mode de transport moins émetteur.   Mais le ferroviaire n’en doit pas moins continuer à se réinventer pour limiter encore davantage ses émissions de gaz à effet de serre. SNCF Voyageurs est pleinement engagée à cet égard : pour TER, notre objectif est de réduire de -50% nos émissions d’ici 2030 avant d’atteindre la neutralité carbone en 2050.   Cela se traduit dès aujourd’hui par des actions concrètes pour réduire l’énergie consommée de nos trains à l’arrêt (éco-stationnement) comme en circulation (éco-conduite). Le recours aux biocarburants HVO100 et B100 permettent également de réduire sensiblement les émissions de gaz à effet de serre par rapport au diesel (-60% pour le B100 ; entre -50% et -90% pour le HVO100). Nous prolongeons également la durée de vie de nos matériels afin de réduire leur empreinte carbone sur l’ensemble de leur durée de vie : notre programme OPTER permettra de rénover, en une dizaine d’années, près de 1 000 rames TER arrivées à mi-vie (20 ans).   A moyen et long terme, des innovations technologiques doivent permettre d’aller encore plus loin dans cette trajectoire de décarbonation : TER à batteries, TER hybride, TER à hydrogène mais aussi matériels légers et moins énergivores tels que le Train léger innovant (Telli) ou encore Draisy. Ces projets reposent sur l’implication conjointe des Régions et des industriels de la filière, que cette Convention du Cluster Totem a permis de mettre en lumière. Un grand merci au Cluster TOTEM de nous avoir réunis pour cette journée riche en échanges ! #TeamTrain #ClusterTotem #Innovation

👻🙈KL est le Sens de la MobiLité DurABLe ? La MObilité durRaBle est le TERMe utilisé pour DésIGNer le TRAnsPort dans Une PErsPEctive EnViroNNemenTale ou ÉColoGIque . En FIN de COmpTe, l’OBjeCTif de la MoBILIté DurABle esT d’ATTénUEr le ReCouRs à UnE ConSoMMaTIOn ExcEssivE dE CarBurAnT eT De RéDuIRe leS ÉMissiONs aFIn qUe nOs écOsYsTÈmES pUIsseNT Se REconSTiTueR🐥🐸🐺🦌🦊🐌🐛🦋🐞🐝👽 21 avr. 2023

"Ce qui ne se mesure pas ne se réduit pas", l’infographie du secrétariat à la planification écologique ne reprenant pas les émissions des bus (urbains) et autocars et ne communicant aucun chiffre il sera difficile pour les agglomérations, territoires et régies de transport d’agir sur la réduction des émissions de CO2, mais également des autres polluants impactant pourtant la santé de leurs concitoyens. Pourtant ces émissions font partie intégrante des émissions de la mobilité et au-delà du bilan carbone de la France, c’est pourquoi je maintiens la méthodologie de calcul reposant sur les données de l’Ademe et du ministère de l’écologie sur le nombre de véhicules en circulation et leurs consommation moyenne au 100 Km suivant lien en 1er commentaire Il faut distinguer les bus urbains qui sont du ressort principalement des régies de transport en commun et des autocars qui sont à la fois des opérateurs privés, on peut comme sur le précédent post prendre pour exemple la ville de Marseille qui avec ses 553 bus thermiques émet environ 18 925 tonnes de CO2 pour 51,5 millions de voyageurs transportés (en bus ) soit 0,36 kg de CO2 par passager. On peut aussi évaluer la quantité d’émissions par passager des voitures particulières en circulation à Marseille en considérant que chaque voiture transporte en moyenne 1,7 passagers ce qui fait un total de 210 Millions de passagers par an transportés par des voitures particulières pour 700 250 tonnes de CO2 soit 3,33 Kg de CO2 par passager, près de 10 fois plus que les bus… Il existe donc un potentiel conséquent de réduction de CO2 à Marseille par le transfert vers les BUS et transport en commun de la masse des passagers circulant en VP, sans compter que cette quantité de CO2 correspond à une quantité énorme d’autre émissions polluantes affectant directement la santé des citoyens. On pourrait évidement se poser la question du financement locale de ce changement de mobilité et c’est là qu’en ces temps d’élection européenne on se doit de considérer l’apport à venir des financements européens. A partir de 2028 c’est au total 32 Millions d’€ par an qui vont être générés par les VP et les BUS marseillais au titre d’ETS 2, qui vont alimenter les programmes de financement de la transition énergétique européens, c’est donc potentiellement ce à quoi la municipalité de Marseille peut prétendre en candidatant à ces programmes. Mais ce qui vaut pour Marseille vaut pour la métropole d’Aix Marseille, celle de Lyon, Bordeaux, Grenoble, les régions et territoires bref tous les acteurs à même de maitriser leurs données de mobilité et donc d’agir directement dans la planification d’une transition écologique locale. Nous retiendrons donc en conclusion de ce chapitre que les VP c’est 2,05 tonnes de CO2 par an, les autocars 20 et les bus urbains 34, il faudrait ajouter aux chiffres globaux d’émissions de C02 intermédiaires les véhicules étrangers en circulation, mais il n'existe pas de références et c'est bien dommage 😪

🚉 85% de la population française n'a pas de gare à moins de 10 min à pieds de chez elle. 🚲53% des français doivent pédaler + de 10 min pour accéder au train. L'accès aux transports en commun est empêché pour 10 millions de français. Des chiffres qui font réfléchir pour trouver de nouvelles solutions de mobilité. L'intermodalité est une piste à envisager sérieusement. A votre avis, quelles sont les alternatives à l'autosolisme?

UFC-Que Choisir publie une étude percutante qui, malheureusement, confirme ce que nous affirmons avec Solidarauto, Réseau Mob'In ou Donnezvotrevoiture.org depuis déjà longtemps ... ➡️ Un ménage dépense en moyenne 3 805 € par an pour sa voiture (carburant, entretien, assurance), soit environ 317 € par mois. Ces dépenses peuvent atteindre près de 5 000 € dans les zones périurbaines et rurales, où l’usage de la voiture est indispensable. ➡️ Cette situation accroît les inégalités économiques : les ménages les plus modestes consacrent en moyenne 21,3 % de leur revenu disponible aux dépenses de transport 🤯 ⚠️ A l'heure de la contraction du pouvoir d'achat, la mobilité des personnes doit être fondamentalement repensée. Il faut accompagner les menages à trouver des solutions et développer des alternatives durables et solidaires en complément des transports en commun, qui ne couvrent et ne couvriront jamais la totalité du territoire.

4,3 % des habitants du Pas de Calais n’ont pas accès aux transports en commun à proximité de leur domicile 82,5 % des habitants du département n’ont pas un accès à une gare à moins de 10 minutes de marche de chez eux. En prenant en compte la possibilité d’une multimodalité consistant à accéder à une gare en utilisant un vélo, on constate que ce sont encore 41,2 % des habitants du Pas de Calais qui résident à plus de 10 minutes en vélo d’une gare.

[#Rapport] 📈 Le dernier rapport de l’UFC-Que Choisir met en lumière une réalité préoccupante : 17,4 % des Français n'ont pas accès à une offre de transport en commun à moins de 10 minutes à pied. Dans les zones rurales, notamment dans le Sud-Ouest (Gers, Lozère, Dordogne), la situation est encore plus critique : 60 % de la population est totalement dépourvue de transports publics dans un rayon de 10min à pied. Cependant, les résultats de cette étude sont porteurs d’espoir : si 85,3 % des Français sont à plus de 10min à pied d’un arrêt de transport ferré, cette proportion chute à 52,7 % lorsqu'on prend en compte un accès en 10 minutes à vélo 🚲. Cela montre l'importance de solutions de mobilité alternatives, adaptées aux réalités locales. L’Alliance des Mobilités, croit fermement que les nouvelles mobilités portées par nos adhérents sont une partie essentielle de la solution : ✅ Déploiement rapide, même dans les zones isolées, ✅ Adaptabilité pour tous les publics, ✅ Modularité selon les besoins spécifiques de chaque territoire L’Alliance des mobilités se tient à la disposition de toutes les AOM pour les accompagner et les aider afin de garantir à chaque citoyen une offre de transport digne et adaptée. https://lnkd.in/gi54r4ck #mobilité #vélo #mobilitédurable #transport #libreservice #covoiturage Bartholome Francis | Xavier HORENT | Denis Saada | Aurelien de Meaux | Julie Sadaka-Entringer l Dorothee Dayraut Jullian | Louis Cadou | Juliette Lenglart | Jules Benoist