UN 1ER AVRIL SÉRIEUX, SOUS LE SIGNE DE LA BLUE BEAUTY ! Balayés les cosmétiques verts, green… Dépassés. On n’en est plus là. De vert, on est passé au rouge, lorsque l’on a pris conscience que la pollution de nos vertes prairies finissait, un jour ou l’autre, par se traduire par une pollution des océans. La planète bleue fait grise mine, selon Jeannie Jarnot, la créatrice de la marque Beauty Heroes et Kapua Browning, la fondatrice de la marque Honua skincare, toutes deux à l’origine de marques ayant une dizaine d’années. Pour pallier au désastre annoncé, les deux femmes vont décider de créer le concept de « Blue Beauty », visant à qualifier des produits cosmétiques non toxiques pour les océans et donc conçus avec des ingrédients triés sur le volet, avec un emballage n’impactant pas non plus la qualité des océans. Des cosmétiques green, en somme, qui calquent leur concept sur le précédent (ces cosmétiques green étant en général formulés à l’aide d’ingrédients végétaux), en allant chercher, dans les océans, les ingrédients actifs mis en avant. Le groupe L’Oréal a, bien évidemment, plongé, tout habillé, dans ce séduisant bain cosmétique. Les laboratoires Biotherm, qui puisent leur phytoplancton dans la fontaine bleue de jouvence, afin de mettre au point des cosmétiques performants et ocean-friendly, s’inscrivent, bien évidemment, dans un double concept marin (avec des ingrédients marins dans la formule et avec un impact sur le milieu marin le plus minime possible). D’autres structures de taille plus modeste commencent à lâcher le « green » pour le « blue », en indiquant que, finalement, depuis le début, elles sont dans le bleu à 100 %. C’est le cas par exemple de Lamazuna. Il y a forcément beaucoup de communication dans tout cela. Mais tout de même, en ce jour, où les poissons d’avril vont se déplacer dans le dos de beaucoup de promeneurs, on a eu envie de faire la peau à ce poisson qui sort de son élément préféré, une fois l’an. La peau, la tête, les arêtes… on va tout passer à la moulinette, afin de savoir ce qu’il a dans le ventre ce poisson, dont les déchets risquent fort de finir dans notre dentifrice, notre crème de jour ou notre sérum de nuit ! la suite : https://lnkd.in/eciNVw8Z #poissondavril #1eravril #ingrédient #bluebeauty #green #blue #écologie #environnement #santé #filtresUV #microplastiques FEBEA, Cosmetic Valley, Société française de journalisme médical, SFC - Société Française de Cosmétologie, Congrès Réglementaires Parfums Cosmétique
Un post qui peut se lire le 1er avril ou le lendemain ou le surlendemain. Poke Tony Jaillot, Jeanne Florentin
😀
Dr en pharmacie - Dr de l'Université de Nantes
8 moisChose promise chose due Pascale Brousse