Nous avons le plaisir de vous annoncer la reprogrammation de la rencontre auteur avec Gérard Noiriel au jeudi 4 décembre à 15h! 📆 04/12 à 15h Pour s'inscrire et visionner la rencontre🎥: https://lnkd.in/gk5efwnz Quelles ont été au cours du siècle dernier les principaux déterminants des flux migratoires ? Ont-ils évolué depuis ces vingt dernières années ? La sémantique entourant la question migratoire est-elle neutre ? Quelles sont les effets démocratiques de la notion de « préférence nationale » ? L’éducation populaire est-elle un outil efficace pour transmettre l’histoire de l’immigration et des peuples ? Rencontre Cairn.info et Éditions de l'Attribut - NECTART · DARD/DARD · PANARD avec Gérard Noiriel.
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LA HAINE DE L’AUTRE : parlons-en ! J’adore Clément Viktorovitch, politologue, enseignant, chroniqueur et auteur. Je regarde souvent ses vidéos sur YouTube où il analyse les discours et prises de parole des politiques. Hier, j’ai regardé sa vidéo d’analyse rhétorique du débat (qui n’avait pas lieu d’être), entre Jordan Bardella et Gabriel Attal. La partie sur l’immigration était particulièrement déplorable, ce qui n’est pas étonnant au regard des deux partis qu'ils représentent. Ci-dessous, un extrait où il décrit parfaitement cette partie du débat : « le jeu de : qui est le plus raciste ? » L’art de s’affronter tandis qu’au fond ils sont d’accord. Tous deux n’évoquent jamais les humains derrière ces flux migratoires. Puisqu’ils ne l’abordent pas, je vais me permettre de le faire. Les idées reçues : ❌ NON, les personnes migrantes ne quittent pas leur pays pour le fun. ❌ NON, les demandeuresses d’asile ne racontent pas des salades. ❌ NON, les personnes migrantes ne viennent pas en France pour les aides.* ❌ NON, les personnes migrantes ne voleront pas vos emplois. ❌ NON, les demandeuresses d’asile ne sont pas accueilli·es comme des reines et des rois. ❌ NON, la France n’accueille pas toute la misère du monde. ❌ NON, la France n’est plus le pays des droits Humains, des lumières. ❌ NON, les personnes allophones n’ont pas systématiquement droit à un·e interprète. *elles sont même surprises de savoir qu’elles vont recevoir des aides comme l’ADA (allocation pour demandeuresses d’asile) et potentiellement prétendre au RSA si leur demande d’asile est acceptée. Par contre : ✅ OUI, les demandeuresses d’asile dorment à la rue, dans les gares... ✅ OUI, même les enfants dorment à la rue. ✅ OUI, les campements des mineur·es isolé·es sont démantelés sans mise à l’abri. (bonjour le « nettoyage » de la capitale en vue des J.O.) ✅ OUI, les personnes migrantes ont des droits, des droits qui ne leur sont parfois pas expliqués. ✅ OUI, les demandeuresses d’asile doivent attendre trois mois de résidence en France pour obtenir un numéro de sécu. ✅ OUI, les demandeuresses d’asile doivent attendre des mois et des mois pour obtenir une réponse de l’OFPRA/CNDA. ✅ OUI, les demandeuresses d’asile doivent répéter sans cesse les raisons de leur exil. ✅ OUI, les personnes migrantes souffrent de discriminations en tout genre. Sachez que cette liste n’est hélas pas exhaustive. En tant qu’interprète de service public (ISP), je travaille au quotidien avec des personnes exilées et je fais de ces sujets un vrai combat. J’ai moi-même entrepris un parcours migratoire, pour des raisons économiques, depuis le Portugal à l’âge de 11 ans et j’ai vu à quel point j’ai été privilégiée en tant qu’immigrée européenne, blanche et de confession chrétienne. L’accueil des personnes étrangères est à géométrie variable. BREF, c’est pour ces raisons et tant d’autres qu’il est important d’aller voter le 9 juin. Pour la paix et non pour la haine. 🗳
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Le débat
La voix et la plume des personnes allophones 🌍⚖️ | Traductrice et interprète en portugais, espagnol et anglais
LA HAINE DE L’AUTRE : parlons-en ! J’adore Clément Viktorovitch, politologue, enseignant, chroniqueur et auteur. Je regarde souvent ses vidéos sur YouTube où il analyse les discours et prises de parole des politiques. Hier, j’ai regardé sa vidéo d’analyse rhétorique du débat (qui n’avait pas lieu d’être), entre Jordan Bardella et Gabriel Attal. La partie sur l’immigration était particulièrement déplorable, ce qui n’est pas étonnant au regard des deux partis qu'ils représentent. Ci-dessous, un extrait où il décrit parfaitement cette partie du débat : « le jeu de : qui est le plus raciste ? » L’art de s’affronter tandis qu’au fond ils sont d’accord. Tous deux n’évoquent jamais les humains derrière ces flux migratoires. Puisqu’ils ne l’abordent pas, je vais me permettre de le faire. Les idées reçues : ❌ NON, les personnes migrantes ne quittent pas leur pays pour le fun. ❌ NON, les demandeuresses d’asile ne racontent pas des salades. ❌ NON, les personnes migrantes ne viennent pas en France pour les aides.* ❌ NON, les personnes migrantes ne voleront pas vos emplois. ❌ NON, les demandeuresses d’asile ne sont pas accueilli·es comme des reines et des rois. ❌ NON, la France n’accueille pas toute la misère du monde. ❌ NON, la France n’est plus le pays des droits Humains, des lumières. ❌ NON, les personnes allophones n’ont pas systématiquement droit à un·e interprète. *elles sont même surprises de savoir qu’elles vont recevoir des aides comme l’ADA (allocation pour demandeuresses d’asile) et potentiellement prétendre au RSA si leur demande d’asile est acceptée. Par contre : ✅ OUI, les demandeuresses d’asile dorment à la rue, dans les gares... ✅ OUI, même les enfants dorment à la rue. ✅ OUI, les campements des mineur·es isolé·es sont démantelés sans mise à l’abri. (bonjour le « nettoyage » de la capitale en vue des J.O.) ✅ OUI, les personnes migrantes ont des droits, des droits qui ne leur sont parfois pas expliqués. ✅ OUI, les demandeuresses d’asile doivent attendre trois mois de résidence en France pour obtenir un numéro de sécu. ✅ OUI, les demandeuresses d’asile doivent attendre des mois et des mois pour obtenir une réponse de l’OFPRA/CNDA. ✅ OUI, les demandeuresses d’asile doivent répéter sans cesse les raisons de leur exil. ✅ OUI, les personnes migrantes souffrent de discriminations en tout genre. Sachez que cette liste n’est hélas pas exhaustive. En tant qu’interprète de service public (ISP), je travaille au quotidien avec des personnes exilées et je fais de ces sujets un vrai combat. J’ai moi-même entrepris un parcours migratoire, pour des raisons économiques, depuis le Portugal à l’âge de 11 ans et j’ai vu à quel point j’ai été privilégiée en tant qu’immigrée européenne, blanche et de confession chrétienne. L’accueil des personnes étrangères est à géométrie variable. BREF, c’est pour ces raisons et tant d’autres qu’il est important d’aller voter le 9 juin. Pour la paix et non pour la haine. 🗳
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Le Nouvel An musulman, communément appelé "#Hégire", revêt une signification profonde. Ce terme, qui signifie "migration", marque le début de l'année musulmane et fait référence à un événement historique majeur : la migration du prophète Mahomet, alors âgé de cinquante ans, et de ses partisans de La Mecque vers Médine. Cette #migration, survenue il y a exactement 1 401 ans selon le calendrier grégorien, fut motivée par la persécution à laquelle ils étaient soumis, les poussant à chercher refuge à Médine. Depuis toujours, l'homme a ressenti le besoin de #mobilité, de se déplacer, souvent contraint de fuir la persécution, l'injustice et la peur. Quitter son foyer et ses proches n'est jamais une décision anodine. L'immigration représente une quête légitime de subsistance, de liberté de pensée, de connaissance, ou encore d'aventure. Cependant, le racisme et la xénophobie, qui resurgissent avec force aujourd'hui, sont les fruits d'idéologies extrémistes, qui ne sont plus le monopole de l'extrême droite. Ces dernières engendrent violence et génocides #palestine, résultats de la peur de l'autre, de l'étranger perçu comme la source des problèmes sociétaux. La condition d'étranger, au sens juridique, devient de plus en plus compliquée et stigmatisée. Pourtant, nous sommes tous, à un moment ou à un autre, des étrangers, et notre passage sur cette terre n'est que temporaire. Il est essentiel de reconnaître notre humanité commune et de lutter contre les idéologies qui sèment la division et la haine.
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[Formation] Migrations et conflits : entre perceptions, faits et réalités de vie L’adoption, en avril dernier, du Pacte sur la migration et l’asile par le Parlement européen nous rappelle à l’actualité de cette thématique et, par conséquent, à la nécessité de posséder un regard critique sur ce sujet complexe. Pour tout professionnel susceptible d’accueillir ces publics ou d’orienter les lecteurs vers des ouvrages traitant de la problématique et désireux d’aiguiser son esprit critique et de démêler des a priori, la FIBBC s’associe une fois encore à l’asbl Justice et Paix pour vous proposer une formation. Au programme de cette journée : · offrir les outils permettant de saisir la complexité du phénomène migratoire ; · au départ de différentes analyses, se construire un avis critique et étayé ; · identifier les liens, (pas toujours évidents), qui peuvent exister entre ressources naturelles, conflits et migrations ; · prendre connaissance de différentes orientations permettant d’aborder ce sujet avec son public. Laure Didier, responsable Éducation à "Justice & Paix" et Ariane Dewandre, coordinatrice de la cellule Éducation chez Caritas International - Belgique, transmettront aux participant·e·s des outils d'analyse et proposeront également quelques mises en activité permettant de dégager des liens et des orientations sur le sujet. 4 informations à retenir : 1) Date : Lundi 14 octobre 2024. 2) Horaire : De 9h30 à 16h30. Accueil dès 9h. 3) Lieu : Locaux de l’Association « Justice & Paix », Chaussée Saint-Pierre, 208 à Etterbeek. 4) Coût : 30 euros. Pour vous inscrire, envoyez un email à francoise.vanesse@fibbc.be Nous vous donnons rendez-vous à l’automne prochain ! (Pour plus de détails, le lien vers notre agenda se trouve en commentaire)
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Récente à l’échelle de la discipline – au moins comme objet légitime –, l’histoire de l’immigration fournit des recherches majeures depuis une quarantaine d’années, en parallèle d’un débat politique et médiatique intense et passionné. Mais sait-on quelles ont été au cours du siècle dernier les principaux déterminants des flux migratoires ? Ont-ils évolué depuis ces vingt dernières années ? La sémantique entourant la question migratoire est-elle neutre ? Quelles sont les effets démocratiques de la notion de « préférence nationale » ? L’éducation populaire est-elle un outil efficace pour transmettre l’histoire de l’immigration et des peuples ? Rencontre Cairn.info Éditions de l'Attribut - NECTART · DARD/DARD · PANARD avec Gérard Noiriel 🎥 👇 https://lnkd.in/gk5efwnz Gérard Noiriel est agrégé d'histoire. Il a enseigné à l’ École normale supérieure, avant d'être élu directeur d’études à l’EHESS - École des hautes études en sciences sociales et membre associé de l'Institute for Advanced Study de Princeton University. Depuis plusieurs années, il a fait le choix de l’éducation populaire avec le collectif DAJA. Ses travaux portent notamment sur le monde ouvrier, l’immigration, l’épistémologie de la discipline historique et l’histoire de la maltraitance. Il a publié une trentaine d’ouvrages, le dernier étant le Tracts (n°055) des Editions Gallimard : Préférence nationale. Leçon d'histoire à l'usage des contemporains
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C’est officiel : la Conférence Asile Romande (CAR) devient une association pour agir dans le domaine de l’asile ! Depuis 2021, ce rêve collectif a pris vie avec des conférences, des débats et des actions concrètes. Et en 2023 ? Nous avons franchi une étape majeure : la naissance officielle de l’association CAR. C'est une table autour de laquelle s’assoient des dizaines d’organisations membres, toutes animées par un même objectif : défendre les droits des personnes relevant de l’asile. Vous vous demandez peut-être : encore une organisation ? Oui. Mais pas juste une de plus. Le quotidien des personnes relevant de l’asile en Suisse, c’est un parcours semé d’embûches. Paperasse interminable, droits fragiles, regards méfiants. Et pourtant, ces réalités ne font pas toujours les gros titres. C’est là que CAR entre en scène, avec trois missions simples mais ambitieuses : ➡️Informer et sensibiliser: Les idées fausses circulent vite, non ? CAR veut changer cela. En partageant des histoires vraies, des faits concrets et en ouvrant le dialogue, nous visons à démystifier les parcours de l’asile. Parce que comprendre, c’est déjà agir. ➡️ Défendre les droits: L’espace politique est bruyant. Mais qui parle pour les requérant.e.s d’asile ? CAR s’engage à prendre la parole là où elle compte : tables rondes, consultations publiques, ou même dans la rue si nécessaire. et politiques ➡️Collaborer pour amplifier l’impact Seul, on avance vite. Ensemble, on avance loin. Avec ses membres, CAR construit une force collective où chaque expertise trouve sa place pour créer une véritable synergie. CAR, c’est plus qu’une mission. C’est aussi une philosophie. Vous savez quoi ? On ne prétend pas avoir toutes les réponses. On veut réfléchir ensemble, débattre, parfois se remettre en question. Ce n’est pas juste une association, c’est un espace vivant où des associations de citoyen.ne.s, professionnel.le.s, militant.e.s croisent leurs idées. „Prenez par exemple l’histoire de Sara, arrivée en Suisse à 18 ans après un parcours chaotique. C’est en rencontrant des associations partenaires de CAR qu’elle a pu accéder à un logement stable et reprendre des études. Ça, c’est la preuve que l’action collective fonctionne.“ Et vous, vous en pensez quoi ? Honnêtement, on aimerait bien avoir votre avis. Parce qu’au fond, ce combat ne peut pas se gagner seul.e.s. Alors dites-nous: Quel est, selon vous, le plus gros défi pour améliorer les conditions des personnes relevant de l’asile en Suisse ? 👉 Rendez-vous sur https://lnkd.in/ed2sYuxu pour découvrir nos actions, rejoindre le mouvement ou simplement en apprendre plus. Une dernière chose… On ne le dira jamais assez : chaque voix compte. La vôtre aussi. Que vous soyez enseignant.e, travailleur social, médecin, psychologue, juriste, politique ou simplement citoyen.ne, vous et votre association avez quelque chose à apporter. #ConférenceAsileRomande
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#Lecture "La Ville Indécente. Migration, subalternité et hospitalité" Laurence Roulleau-Berger, Grégory Giraudo, Beatrice Zani, Verena Richardier (Presses universitaires du Midi) "L’objet de cet ouvrage est de montrer comment se fabrique une #Ville #Indécente à partir des figures de l’#Étranger, du #Migrant et de l’#Exclu, généralement pensées et représentées comme disjointes dans le champ sociologique. En analysant comment cette Ville Indécente se forme à partir des #marges intérieures et des #frontières morales entre les « nantis », les « intégrés » et les « non-intégrables », il dévoile un #capitalisme #émotionnel qui vient fixer des grammaires de l’indécence via des dispositifs #biopolitiques et des géographies du #care. Ces grammaires se renforcent avec les processus d’#ethnicisation des marchés du #travail locaux et le développement d’économies de la prédation liées à un nouveau capitalisme global, très peu étudiées dans les travaux sur la question urbaine et la question migratoire. Cet ouvrage propose une nouvelle #sociologie morale et économique de la ville contemporaine à partir de recherches sur des « terrains minés » en #France, ancien pays d’immigration, et en #Italie, nouveau pays d’immigration en Europe, où sont saisies des pratiques – migratoires, urbaines, économiques, professionnelles – des migrants et jeunes descendants d’immigrés dans les villes françaises et italiennes". https://lnkd.in/eYJFWwDH
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Hier nous sommes allé voir L’Histoire de Souleymane, un récit poignant par son hyperréalisme. ⚠️La RTS résume le film et utilise les termes “sans-papier”, “demandeur d’asile” et “clandestin” comme s’ils voulaient dire la même chose. Pourtant, en Suisse, ces mots décrivent des situations bien différentes 👇 : 1. Demandeur d’asile: Personne qui a officiellement demandé une protection et attend une réponse. Elle a un statut temporaire pendant la procédure. 2. Sans-papier: Personne sans titre de séjour valide (souvent après un rejet). Elle n’a pas le droit de travailler et reste dans une situation précaire. 3. Clandestin: Terme qui implique une présence non déclarée. Souvent stigmatisant, il ne correspond pas à un statut officiel en Suisse. 🎬 Le reportage sur l’Histoire de Souleymane nous rappelle que mal choisir nos mots, c’est risquer d’alimenter des préjugés. 👉 Avez-vous déjà observé comment les médias influencent notre regard sur les migrant.e.s ? NB: Les vraies histoires de vie sont parfois plus dures que celles inventées par des passeurs. asile.ch
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Plusieurs pays d’Europe sont engagés dans un déclin démographique. Ils manquent de personnels dans plusieurs secteurs économiques et doivent donc faire appel aux immigrés. Pourtant, les réseaux sociaux déversent de l’agressivité vis-à-vis de l’autre: l’étranger, l'infidèle, le rival, le marginal. Si l’on veut avoir une chance de nourrir des processus de paix, il nous faut maîtriser cette peur de l’autre, de l’altérité. Il est devenu vital de promouvoir le dialogue des cultures, le respect des valeurs et de la diversité des peuples. https://lnkd.in/eUaBJtSC
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Journée internationale des personnes migrantes Les migrations sont une réalité humaine, traversée par des parcours marqués à la fois par le courage et la résilience, mais aussi par des injustices et des inégalités profondes. Aujourd’hui, les personnes migrantes, notamment les femmes, sont encore confrontées à des violences, des discriminations et des obstacles pour accéder à leurs droits fondamentaux : travail, santé, protection. Pourtant, elles jouent un rôle essentiel dans nos sociétés, occupant des métiers clés et contribuant activement à nos économies et à notre vie collective. 🔍 Rappelons-le : Les migrations ne sont ni une menace, ni un problème. Elles sont une richesse humaine et culturelle, qui a toujours façonné nos sociétés. Ensemble, agissons pour plus d’égalité, de justice et de dignité ✊ #JournéeDesMigrants #Solidarité #DroitsHumains #Égalité #Justice #Ubuntu #LOBA
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