Post de CAISSE NATIONALE DU GENDARME

Dans les entrailles d’un remorqueur en pleine tempête : la leçon que j'ai apprise Imagine-toi au cœur du Pacifique, à bord d'un remorqueur de haute mer. Dehors, la tempête fait rage. Les vagues s'écrasent contre la coque, le vent hurle comme un fauve déchaîné. Mais moi, je ne suis pas sur le pont à tenir la barre. Je suis dans les entrailles du bateau, au poste de transmissions, impuissant face à la furie des éléments. C’est dans cet espace confiné, loin de la lumière du jour, que je me suis senti le plus vulnérable. Les transmissions que j’envoyais n’étaient que des mots dans le vide. Je ne pouvais pas voir ce qui se passait au-delà des parois d’acier, mais je ressentais chaque mouvement, chaque soubresaut du remorqueur. À cet instant, j'ai compris une chose : même quand on ne tient pas la barre, on a un rôle crucial à jouer. Dans la tempête, chacun dépend des autres : ➤ Le capitaine a besoin de mes communications pour connaître la météo et recevoir les ordres du commandement pour la poursuite de la mission. ➤ L’équipage compte sur chaque transmission à bord pour rester coordonné. Mais face à cette immense puissance de la nature, il est facile de se sentir insignifiant. "Je me sentais impuissant", pris entre la force de la tempête et mes propres limites. Et pourtant, c'est là que réside la vraie leçon : ➤ Ce n’est pas toujours celui qui est aux commandes qui détermine le cours des choses. ➤ C’est l’équipage entier. ➤ Parfois, ce sont les petites actions – comme transmettre un message crucial à temps – qui font toute la différence. Dans la tempête, il y a trois choses que j'ai apprises : 1. Ne sous-estime jamais ton rôle : Peu importe où tu te trouves à bord, ce que tu fais compte. Chaque action contribue à la survie de l’équipage. 2. Reste connecté : Quand la tempête frappe, la communication est vitale. Assure-toi que chaque message, chaque information, circule clairement et rapidement. 3. Fais confiance à ton équipe : Tu n'es pas seul dans cette tempête. Fais confiance à ceux qui sont avec toi, chacun a une part à jouer. Même sans tenir la barre, j’ai compris que j’avais le pouvoir de contribuer à notre survie. Alors, quand tu te sens impuissant, souviens-toi : ➤ Ta force réside dans ta capacité à soutenir l’équipe, où que tu sois. Si cette histoire te parle, partage-la. Quelqu’un d’autre a peut-être besoin de ce rappel aujourd’hui. Comment fais-tu face à l’impuissance? Partage tes expériences en commentaire. 🌞Je suis Frédéric, je mets du soleil dans ta vie, pour t’aider à prévenir l'isolement, le déséquilibre vie professionnelle et personnelle, et éviter le burnout. Abonne-toi pour plus d’astuce, ici, tu trouveras, des outils de productivités, méthodes et techniques pour mieux gérer ton quotidien stressant.

Des Paroles et des Actes auraient être la nouvelle émission pour faire revivre cet évènement télévisuel des années 2010. Avant de parler de financement et de renforcement des moyens, une analyse, un état des lieux du fonctionnement actuel de la sécurité civile est necessaire. Cette action devrait apporter un sparadrap sur une jambe de bois vu le fonctionnement actuel. Un simple constat sur la gouvernance : ➡ Une direction générale de la sécurité civile sous la coupe du ministère de l'intérieur. ➡ Les SDIS fonctionnent en totale autonomie pour le financement, le recrutement et le fonctionnent qui sont adaptés aux besoins locaux. ➡ Le Maire est responsable de la sécurité des biens et des personnes de sa commune (35600 communes donc des acteurs, sans parler des Conseillers Départementaux) ↪ 2 types d'agents sous statuts "fonctionnaires" avec des statuts de gestions et de carrières différentes : ⏩ Fonction publique de l’État : ⏭ Militaires sous la direction du ministère des Armés (Paris, Marseille) ⏭ Sécurité Civile sous la direction directe du ministère de l'Intérieur (UIISC) ⏩ Fonction Publique Territoriale : ⏭ Sapeurs-Pompiers Professionnel ⏭ Sapeurs-Pompiers Volontaires Ainsi qu'une pléthore d'associations allant le même but mais complètement autonomes (croix rouge, réserve communale de la sécurité civile, protection civile, etc....) Bien que la DGSC donne le cap global sur les techniques opérationnelles chacun des 95 conseils départementaux à son propre fonctionnement, son propre financement, sa propre gestion des effectifs donc des recrutements, gestions des moyens, etc . Sans parler des unités spécifiques sous la coupe de l'armée de Terre (BSPP), de la Marine Nationale (BSPM), et du ministère de l'Intérieur (UISC). Cette articulation multi-ttes (décideurs) et en silos fonctionne fort heureusement sans toutefois être adapté, efficiente à son temps et sa société. La mise oeuvre d'une politique nationale unique, voir transverse donnerait un nouvel élan, un nouveau cap de gouvernance sans influence politique locale. La courses au plus beau parc de camions rouge, pour prendre uniquement cet exemple, montre des égaux politiques absurdes. Pour approfondir le sujet, je proposerai : ➡ Une gouvernance, un commandement unique sous la DGSC; ➡ d'harmoniser les profils des carrières professionnelles (un temps de travail unique, une grille indiciaire unique SPP, prime identique, évolutions et reconnaissances des compétences uniques, mobilités facilitées sans examen propre à certains SDIS,etc... ); ➡ de mettre en œuvre un réel politique unique du volontariat dans le sens de la création d'une Réserve Opérationnelle de la sécurité civile (nouveau nom des SPV) pour appuyer les unités permanentes, en les intégrant dans les chaînes de commandements sans distinction de lieux, de politique locale ou des pressions syndicales; ➡ d'œuvrer dans le même Intérêt Général.

- "Houhouston, nous avons un problème, ici le capitaine William Top Français (WTF) de la fusée Contrat Social, nous allons traverser la ceinture d'astéroïdes "Nawak", pourtant sur les radars depuis longtemps. A vous, (Houhou) - Contrat Social, bien reçu, diagnostic en cours…. Tout est sous contrôle, pas de  panique. … (Brouhaha en fond) (WTF) - Houhou, vous nous recevez ? La communication semble brouillée, nous captons plusieurs voix, merci de transmettre Fort et Clair. (Houhou) Contrat Social, Nos services sont limités ici depuis l’installation du centre sur la planète “BALEK”. Nouvelle procédure de redressement de cap en cours…  : merci de couper les modules chauffage, lumière, et sait-on jamais l’oxygène. (JPP) Jean Petit Plus (le second) : « Capitaine, WTF,  Vous êtes sûr que BALEK a capté l’état du module ? (WTF) Houhou, les services sont déjà très dégradés, nous passons sous silence la radio, Contrat Social Terminé. (WTF) - JPP, demander au mécanicien Thierry Tombak (TKT) de couper le chauffage et à l’infirmière Pauline Loin-Salut (PLS) de sortir le guide de survie. (WTF) - Équipage, accrochez-vous, nous traversons des turbulences, mais TKT fera le nécessaire et si besoin nous serions prise en charge par PLS. Aux postes.

‼️ Il faut faire attention avant de juger ou analyser une intervention policière que l’on voit dans les médias sociaux ou dans la rue‼️ Ce que l’on aperçoit n’est qu’une partie de l’intervention et ce que l’on voit de nos propres yeux n’est peut-être pas suffisant pour bien comprendre ce qui se passe. Voici ma première chronique SQtv Vlogue policier sur ICI Radio-Canada Première. Les deux vlogues cités dans la chronique se retrouvent en commentaire. N’hésitez pas à partager!

Voici l’horaire et les différents conférenciers de la journée. Nous vous attendons en grand nombres!

Cette vidéo tournée il y a 3 ans est devenue culte. Le candidat du Rassemblement National (Off) et sa répartie digne d’un écolier cancre et fier de l’être. https://lnkd.in/emkRtwn6 Il se plaint et prétend que les questions sont dignes du concours d'entrée à l’ENA. Les questions posées par le journaliste relèvent pourtant d’un niveau collège : un peu de jugeote et la maîtrise de la règle de trois suffisent. Et dire que cet homme aspire aux plus hautes fonctions de l’État. Terrifiant. N'ayons pas d'illusions : il n’a pas progressé depuis cette interview. À Strasbourg, il utilise une oreillette pour la traduction des discours en langues étrangères, mais l’abandonne rapidement. Le problème ? L'incapacité à comprendre les dossiers, même traduits en français. En cinq ans, avec un salaire mensuel dépassant les 7000 euros, il a déposé 21 amendements, alors que la plupart des députés en déposent plus d'un millier. Lorsqu'une journaliste lui demande ce qu'il fait de ses journées parlementaires, il reprend la posture du cancre, son expression faciale le trahit et est tout un poème. https://lnkd.in/egwECbnR Cette campagne des européennes en France est devenue l’affaire d’influenceurs sans envergure politique. Le candidat du RN n’a pour seuls arguments que sa jeunesse, sa "beau gosse" attitude, un sourire béat avec de dents blanches idéal pour les selfies, et l’utilisation de TikTok et Instagram pour vendre de la camelote politicienne xénophobe et islamophobe. En réalité, il ne vaut pas mieux que les influenceurs sur les réseaux sociaux qui vendent des soutiens-gorge, des maillots de bain ou des voyages à bas coût. Il est très regrettable qu'une certaine presse complaisante, très peu exigeante sur le plan intellectuel, le présente comme un homme intelligent, un fin politicien. Pour ma part, j'ai une conception différente de l'intelligence et de la finesse, et j'ai des attentes beaucoup plus élevées. Nous n'avons clairement pas le même référentiel. J’entends ses électeurs dire que les politiciens sont médiocres et décevants, et que le RN n’a jamais été « essayé ». Oui, le pire semble toujours préférable au médiocre, et certains achèteraient un "ticket pour voir" ce triste spectacle. Très bien, ils seront servis. Et c'est quoi la suite ? Jeff Tuche président ? Le premier électorat en France est l’abstention, le deuxième est le RN. En conclusion, quoi qu'il advienne, nous aurons ce que nous méritons.

Vœux pour l’année 2025, À l’attention de l’Exécutif, des Parlementaires, gouvernement, et des Corps Constitués Mesdames, Messieurs, Permettez-moi, fidèle à l’esprit d’honnêteté et de franchise qui caractérise l’institution militaire, de vous adresser ces vœux. En 2025, puissions-nous tous tirer les leçons des erreurs passées et ne plus laisser les appétits personnels et les ambitions démesurées primer sur l’intérêt de la nation. Que cette nouvelle année soit l’occasion, pour vous, de prouver que le service de l’État n’est pas une simple posture, mais un engagement sincère et exigeant. Sachez que les Français, las d’années de désillusions, attendent bien davantage que des promesses : ils exigent des actes à la hauteur des défis. Ainsi, que cette année vous soit propice à rétablir un lien de confiance et de respect avec le peuple. Si tel n’est pas le cas, que la lucidité et le poids des responsabilités viennent vous rappeler que nul n’est indispensable dans le marigot politique. Avec la franchise que réclament ces circonstances, Régis Ollivier Version revue et corrigée par ChatGPT ******************************* Voici la version originale : Vœux 2025 à l’exécutif, aux parlementaires, gouvernement, et aux corps constitués. Dans l’ordre protocolaire.  « Vos gueules là-dedans ! Je vous souhaite, vil troupeau, en mon nom et au nom des Français malmenés depuis des décennies de ripailles gouvernementales, une bien vilaine année 2025. Foutez-vous en plein la gueule. Que la première bouchée vous régale, que la dernière vous étouffe afin de faciliter, par là, le jeu normal de l'avancement dans le marigot politique français. » Interprétation libre du popotier

La Provence : vite, une médiation D’accord, je ne suis pas le mieux placé pour parler de la crise secouant La Provence. J’ai dirigé ce journal. Et j’y ai eu maille à partir avec les professionnels du lancer de couteau dans le dos. Mon avis n’est pas objectif. Il l’est d’autant moins que ma passion pour Marseille, son peuple et son quotidien est loin d’être éteinte. L’expérience dans la presse régionale légitime cependant les remarques qui suivent. J’ai applaudi à l’arrivée du nouveau propriétaire. J’ai de l’estime pour Rodolphe Saadé. La solution locale me paraissait être la mieux adaptée à l’équation complexe du quotidien marseillais. Les multiples changements de patrons et donc de caps depuis la mort de Gaston Defferre, ont compromis ses chances de survie dans notre monde « de citoyens conditionnés par l’usage addictif des téléphones portables », dirait Michel Onfray. Pour affronter ce tsunami qu’est la crise de la presse, il faut du professionnalisme, de la clairvoyance, du talent, mais aussi de la permanence dans les objectifs, un management stable, et une foi commune entre tous les rouages concourant à ce défi quotidien qu’est la réalisation d’un journal. J’ai de l’estime pour R. Saadé. J’en ai aussi pour Aurélien Viers, directeur de rédaction dans l’œil du cyclone. J’ai aimé ses premiers pas, la nouvelle maquette, le mariage subtil entre les préoccupations de la société et le vécu marseillais. Il me semblait bien parti même si les résultats de diffusion ne sont pas là. On ne retourne pas une situation aussi dégradée en quelques mois. Il serait en outre injuste de faire porter à la rédaction tout le poids du désarroi commercial. La Une du 21 mars 2024, qui a déclenché la crise, est une grossière erreur. Une vraie bêtise pour ne pas être vulgaire. On ne peut pas sembler donner le dernier mot aux dealers. C’est pourtant ce que dit cette Une. Je veux croire que c’est involontaire. Comme si titre et photo, qui ne caractérisent pas la même chose, avaient été conçus sans coordination. Et maintenant ? Une grève interminable comme à Europe1, au JDD ? Avec au bout du bout le remplacement de toute l’équipe rédactionnelle ? Ce serait un drame pour Marseille, privée d’information et de porte-voix. Un drame pour les journalistes qui ne trouveront pas à se recaser dans un autre média localement. Un drame pour l’actionnaire au moment où il réclame la confiance de tout un groupe de médias nationaux. Il n’y a donc pas d’autre issue que de nouer les fils du dialogue. Se parler. Et revenir aux fondamentaux : à quoi sert le journal dans la société, comment lui parle-t-on ? Construire un projet éditorial partagé audacieux. Sans doute faudra-t-il faire appel à un médiateur ou à une médiatrice. Gardons espoir. Sous sa carapace gouailleuse et forte en gueule, Marseille ne manque pas d’esprits sages, libres et responsables.   #laprovence #rsaade #aviers #crisedelapresse #marseille

Journées des réservistes. il y a 1 an, je devenais réserviste de la Police Nationale avec beaucoup de fierté. La devise de la Police Nationale "pro patria vigilant" prenait alors tout son sens. Il a fallu se faire accepter des actifs, ce qui a été plus facile pour moi sans doute étant déjà dans " la maison" au sein de la brigade des accidents et des délits routiers. Aujourd'hui le bilan est mitigé : juin le couperet tombe plus de budget alors que l on commençait à peine à se faire accepter! Du coup, très peu de vacations depuis 4 mois, 1 seul tir en 2024!!! Comment acquérir de l expérience et être efficient si l'on n a pas de vacations régulières ? Pourquoi continuer de former si l on n’a pas de vacations à proposer à ceux déjà en place? Quel avenir pour la ROPN? Le budget de l’état étant en berne peut-on espérer une amélioration en 2025? La gendarmerie a su maintenir sa réserve depuis juin pourquoi pas nous? Beaucoup de questions et d'inquiétudes dans nos rangs mais malgré tout, mes collègues réservistes et moi croyons en notre engagement et continuons d'espérer des jours meilleurs.... #PoliceNationale #ministèredelintérieur #GendarmerieNationale #MichelBarnier

La ligne d'influence de la réaction d'appui est analysée attentivement même en cas de travée isostatique en présence de dalette de continuité pour avoir les effets les plus défavorables souhaités: deux travées adjacentes maximisent la réaction dans leur appui intermédiaire et au delà de part et d'autres soulagent la réaction. en intervenant sur des ouvrages existants, lors de passage de convoi exceptionnel par exemple on arrive à soulager les moments et ET par augmentation de nombre d'essieux de la remorque contrairement à la réaction d'appui où il faut raisonner autrement ou passer par calcul complet au lieu de la comparaison aux effets des charges réglementaires.