Post de CAPEB Landes

[Extrait] : « Cette année, tous les voyants ne sont pas au vert, a expliqué David Guyomar, le président de la structure, lors de son assemblée générale annuelle, vendredi 14 juin 2024. Nos partenaires financiers historiques nous ont annoncé très tardivement des modifications de règles d’attribution et de méthodes de calcul, entraînant des réductions de financements significatives et inattendues. Je ne me résoudrai jamais à l’idée que l’insertion socioprofessionnelle devienne une variable d’ajustement ou un levier d’économie de politique publique. La baisse de dotations dont parle le président est de 120 000 €. Le directeur, Guillaume Arson, développe. Il va falloir faire avec cette donne, alors l’année est bien entamée. L’État se désengage pour 90 %, le Département pour le reste. Cela représente l’équivalent de trois postes de travail en moins. Notre résultat comptable de 2023 ne sera pas atteint en 2024. Le Conseil régional, le fonds social européen (FSE), les EPCI (communautés de communes) comptent aussi parmi les financeurs. (…) En 2024, toutes les enquêtes en font état. Les jeunes ont besoin que les pouvoirs publics soient à leur côté, pour les soutenir, les protéger et les accompagner dans la construction de leur parcours de vie. Le président fait référence aux actions. La créativité et le dynamisme de nos équipes laissent présager de beaux succès pour les jeunes.  Dans un contexte encore plus incertain après les élections européennes et la dissolution de l’Assemblée nationale, les administrateurs réaffirment l’intérêt premier de la Mission locale. »

Les coupes budgétaires annoncées avec brutalité par Bercy, aussitôt entérinée par décret, frappent de plein fouet les services publics de notre pays. La transition écologique, la santé, l'éducation et l'aide au logement en font les frais, tandis qu'aucun privilège fiscal n'est remis en question, de manière à faire toujours plus progresser les inégalités. Avec près de 10% le programme création (131) du Ministère de la Culture est un des plus durement touchés. Une nouvelle fois, nous avons l'impression d'être considérés comme peu essentiels et tout juste bons à être baladés à coup d'injonctions contradictoires et de douches froides budgétaires. Pendant ce temps-là les salariés du secteur, à commencer par les intermittent.e.s du spectacle, ne cessent de voir leur niveau de vie baisser. Quand arrêtera-t-on de maltraiter ce pays ? https://lnkd.in/eeKcxYs3

Jeudi 22 février 2024, Yves Langlois Président de l’U2P Centre-Val de Loire était l’invité de Marie DORCET sur l’antenne de France BLEUE ORLEANS. Il s’exprime sur la situation des petites entreprises qui ont le sentiment d’être bien seules et peu entendues. Yves LANGLOIS a évoqué 3 points importants : => La hausse du coût de l’énergie et des matières premières qui a fortement dégradé la situation financière de petites entreprises. => Les difficultés à recruter des salariés par manque d’attractivité de certaines professions mais également par un changement des attentes de la jeune génération dans leurs relations au travail. => Une représentativité patronale déséquilibrée : la situation est inacceptable puisque 92% des entreprises française ont moins de 11 salariés. En l’absence de modification de dispositions législatives actuelles, les représentants des grandes entreprises continueront d’édicter les règles au sein des branches professionnelles. Le Président de l’U2P Nationale Michel PICON demande au Premier Ministre l’ouverture de négociation pour rééquilibrer la représentativité patronale après l’échec de la mission flash du 19 juillet 2023.   L’U2P Centre-Val de Loire remercie la rédaction de France Bleue de nous avoir donné la parole. Ce fût l’occasion d'exprimer les difficultés rencontrées par les patrons des toutes petites entreprises qui se battent au quotidien pour défendre leur secteur d’activité et représentent 2/3 des entreprises en France…

❗Comme dans le reste du pays, les petits patrons du Puy-de-Dôme réunis au sein de la CPME craignent l’impact de plusieurs mesures inscrites au budget 2025 de l’État. Il en va de la survie de leurs entreprises, clament-ils. ➡️Suppression de l’allègement des cotisations patronales : la suppression de cet allègement, qui concerne plus de 50 % des salariés en France, pourrait augmenter le coût du travail de 8 % à 10 % pour les petites entreprises. ➡️Les petites entreprises, déjà fragilisées par un nombre record de défaillances, risquent de fermer en raison de cette mesure et d'autres réductions de remboursements de Sécurité sociale et d'aides à l’apprentissage. ➡️Les bénéfices moyens des PME se situent entre 3 % et 7 % du chiffre d'affaires. Les nouvelles mesures pourraient faire passer ces entreprises en dessous de la ligne de flottaison, menaçant ainsi l'emploi. 🗞️Bonne lecture 👇

La #formation des #élus est un #enjeux essentiel au bon fonctionnement des #politiques #publiques. Retrouvez mon interview dans le dernier #INFFOFORMAMATION de Centre Inffo et l’article sur KONSILIOM #organismedeformation #formationpro #collectivite #elus #maires #mairie

[Vœux d’été de la CAPEB] Dans son mot d’accueil, Jean Christophe Repon rappelle le rôle qui incombe à une organisation professionnelle comme la CAPEB dans cette période de grande incertitude que nous traversons. « La CAPEB joue un rôle essentiel : auprès des #artisans du bâtiment, en fournissant, à travers son manifeste de propositions, une grille de lecture des programmes des candidats et en réaffirmant haut et fort les valeurs fondamentales de nos entreprises, valeurs qui sont indispensables à leur épanouissement. Auprès des candidats : pour s’assurer que notre voix, celle des TPE du bâtiment soit entendue à la hauteur de leur plus-value. La CAPEB attend de ces élections une Assemblée en capacité de légiférer rapidement. La priorité doit être donnée à la relance de l’activité des TPE du bâtiment, il en va de notre capacité à être la hauteur de défis qui feront notre avenir »

Les Entreprises de taille intermédiaire (#ETI) jouent un rôle essentiel dans l’économie régionale. Elles sont créatrices d’emplois et contribuent à la cohésion sociale et économique de notre territoire. Des membres du #clubetigrandest prennent la parole pour rappeler qu’aucun projet politique n’est viable sans la vitalité des entreprises. 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐭𝐨𝐧𝐬 𝐚̀ 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐮𝐥𝐭𝐞𝐫 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐞𝐱𝐩𝐫𝐢𝐦𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐱 𝐚̀ 𝐜𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐨𝐮𝐡𝐚𝐢𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐝𝐞́𝐛𝐚𝐭 𝐩𝐮𝐛𝐥𝐢𝐜.

Retrouvez l’article de Centre Inffo dans le Mag #Inffoformation sur la formation des #Maires et l’interview de notre #Presidente Catherine VALES @Konsilom l’accélérateur de votre talent 🚀🚀🚀

À l’occasion du rassemblement bi-annuel du réseau CAPEB, Sylvain Manternach, essayiste, géographe-cartographe est intervenu pour apporter un décryptage des derniers résultats électoraux. « Les artisans ont une répartition assez représentative de la France.» Jean Christophe Repon président de la CAPEB : " Notre objectif à la CAPEB est le "vivre mieux demain". Ce décryptage nous permet d'en savoir + sur nos artisans." ➡️Cette Intervention à été suivie de celle de Nicolas Portier, auteur de l’étude « Très petites entreprises : une force économique pour le développement des territoires » publiée par l’ Institut Terram. 💬Nicolas Portier : « Dans cette étude nous avons voulu remettre la TPE au centre de la discussion. Ce sont les entreprises de 1 à 9 salariés. On peut observer que le tissu des TPE est relativement bien réparti sur le territoire national et que c’est ce tissu qui tient les territoires et permet leur résilience. Les TPE ont un rôle majeur dans l’économie de proximité et jouent un rôle de grandes pourvoyeuses de l’emploi sur tout le territoire, notamment ruraux (jusqu’à 60 à 70% d’emplois de certaines communes). Les TPE ont une fonction qu’il faut réévaluer notamment dans la politique économique. » Jean-Christophe Repon a ajouté : « Cette étude nous permet d’avoir une vision objective de la société et des arguments factuels pour démontrer aux acteurs politiques et institutionnels la nécessité de prendre en compte la force motrice que représentent les TPE pour mieux piloter les politiques publiques dans les territoires. On s’aperçoit qu’aujourd’hui nous sommes dilués dans les statistiques alors que nous représentons une catégorie d’entreprises très spécifiques et essentielles à la vitalité de nos territoires et à notre capacité de relever les défis environnementaux et sociétaux »

[ POLITIQUE ET ÉCONOMIE : ARRÊTER DE RAMER À CONTRE-COURANT ] Dans une longue interview pour Le Journal du Dimanche, François Asselin, président de la CPME nationale, analyse les conséquences du contexte politique sur l’économie.  👉 LE PROBLÈME ? « En matière économique, il existe une main invisible qui s’appelle la confiance. C’est elle qui amène à bouger, à prendre des risques. Et la confiance s’appuie sur la stabilité, la visibilité, la lisibilité. Nous avons perdu les trois. Les entrepreneurs, singulièrement les « petits », se sont mis en mode « pause ». Or, dans une entreprise, c’est comme à vélo : quand on arrête de pédaler, on tombe. » 👉 LA SOLUTION ? « Le principal levier pour s’en sortir et assurer la croissance, c’est le travail. En France, sur 100 personnes en classe d’âge de travailler, vous n’en avez que 68 qui ont un emploi. Contre 77 en Allemagne et 80 en Suisse. Nous devons sans attendre augmenter collectivement la quantité de travail. C’est cela le vrai sujet. Or, il a été totalement absent de la campagne des législatives. » Bref, il faut arrêter de ramer à contre-courant ! #cpme #pme #entreprises #politique #économie #syndicat #travail #croissance