Le déficit public français à la dérive L’annonce récente émanant du ministère des Finances, plus connu sous le nom de Bercy, a résonné comme un coup de tonnerre dans le paysage économique français. Selon les dernières prévisions, le déficit public pourrait s’envoler et atteindre 5,6 % du produit intérieur brut (PIB), dépassant ainsi largement l’objectif initialement fixé à 5,1 %. Cette situation critique, révélée à un moment où le gouvernement actuel se prépare à quitter la scène, suscite à la fois l’inquiétude et l’ironie chez de nombreux observateurs. Le fait que cette alerte survienne alors que l’équipe de Bercy est sur le départ ajoute une dimension presque surréaliste à cette situation économique préoccupante.
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Le matraquage médiatique actuel pousse à regarder du côté des dépenses plutôt que des recettes, pour limiter la plongée dans le rouge des comptes publics. Encore faut-il regarder du bon côté. Extraits : Le capital biberonné à la dépense publique C’est l’explication avancée par une note de l’Institut La Boétie. A partir des comptes de la nation, le think tank de La France Insoumise a calculé qu’entre 2000 et 2022, les dépenses publiques destinées au financement des services publics n’avaient augmenté que de 27 %, quand celles consacrées aux subventions et transferts en capital triplaient en euros constants (c’est-à-dire corrigées de l’inflation.) « Même si on avait de bons indicateurs, il faut faire de l’évaluation, c’est-à-dire tenir compte du contexte de mise en œuvre des politiques publiques », Xavier Timbeau, économiste Avant transferts, les ménages aisés ont un revenu 18 fois plus élevé que celui des ménages pauvres, contre un rapport de seulement 1 à 3 après transfert La question de l’efficacité des services publics soulève celle des moyens, celle de l’organisation et celle de la communication sur les dysfonctionnements lorsqu’il y en a Censé favoriser l’innovation dans les entreprises, le crédit impôt recherche coûte 7 milliards par an. Et les études ont montré son inefficacité pour les grandes entreprises
L'Etat dépense-t-il efficacement l'argent public ?
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Il est incroyable que le pays le plus fiscalisé au monde enregistre une telle dette et de tels deficits. "L'Administration" a t elle simplement la compétence pour développer et gérer un pays, quand nombre de ses représentants sont uniquement passés des bancs des écoles aux bureaux de la fonction publique, en ayant toujours baigné dans une théorie savamment implantée dans leurs esprits (qui seraient par ailleurs perspicaces dans d'autres secteurs)? Tout cela en piochant sans limites dans les poches de ceux qui créent de la richesses. Il est d'ailleurs étonnant que tous les "fameux" économistes qui ont murmuré à l'oreille des presidents depuis des décennies, ne voient toujours que par l'impôt et la taxe, quand les conséquences sont aussi désastreuses. Les pistes d'économies massives sont pourtant nombreuses... Une théorie, pire un mode de pensée, sans obligation de résultats, à mille lieux des réalités quotidiennes des entreprises, entrepreneurs, salariés, investisseurs, propriétaires, locataires, handicapés, riches, pauvres, certains fonctionnaires (soignants, FDO, enseignants...) etc. Chacun de nous a d'ailleurs perdu une fois dans sa vie la notion des réalités, enfermé dans son monde. Pourrait on donc leur en vouloir? OUI, tant les répercutions sont désastreuses, pour la collectivité, et pour chaque individu. Tout (ou presque) ce que touche l'Etat est parti en fumée. Ne devrait il pas se limiter à ses fonctions régaliennes? Il y a déjà énormément de travail... L'excès de normes, de fiscalité, à l'extreme opposé du libéralisme quoiqu'en pensent certains (nous sommes en France idéologiquement à gauche, voire extreme gauche y compris les partis de "droite") sont deux des fléaux principaux contre lesquels il conviendrait de lutter pour relancer ce pays. Avec la justice, au sens large, également.. A vouloir tout contrôler -et visiblement ce qui sort de sa réelle compétence- "l'Etat" a factuellement détruit non seulement l'économie et le social. Et toutes velléités d'émancipation des individus... Est ce d'ailleurs vraiment un hasard?
6 informations étonnantes pour comprendre le dérapage de nos finances publiques et la dégradation de la note de la France. 💡 1️⃣ Même respecté, le budget 2023 eût encore produit le pire déficit public jamais enregistré hors pandémie. Dixit la Cour des comptes : « Les raisons de cette dégradation sont multiples mais tiennent, en premier lieu, à une loi de finances initiale peu ambitieuse ». 2️⃣ En dépit de 28 Md€ d'économies sur le démantèlement des mesures Covid, la dépense publique continue de croître du fait notamment de la progression du point d'indice, de la hausse des effectifs (+9.000 sur le périmètre de l'État, +60.400 sur la fonction publique au sens large), du coût exorbitant du bouclier énergétique et de l'effet boule de neige de la charge de la dette. 3️⃣ Quand Bruno Le Maire et Thomas Cazenave invoquent devant la Commission des finances du Sénat un trou d'air inattendu sur l'acompte de décembre de l'impôt sur les sociétés, ils prennent comme point de référence une reprévision excessivement agressive produite le 30 novembre par leurs propres services (loi de finances de fin de gestion). Sur l'année, les encaissements d'IS sont en réalité meilleurs que prévus dans le budget initial : 56,8 vs 55,2 Md€. 4️⃣ Derrière le rideau de fumée de l'IS se cache le rendement misérable de la contribution sur les rentes infra-marginales. Ce nouvel impôt - qui devait taxer les rentes privées créées sur les deniers publics par la gestion calamiteuse du marché de l'électricité depuis 2010 (ARENH + marché européen) - n'aura rapporté qu'1/20ème de ce qui était attendu (0,6 vs 12,3 Md€). La Cour des comptes n'est pas tendre : « Cet écart massif entre la prévision de recettes et le produit réellement constaté soulève nécessairement la question de la pertinence, voire de la sincérité de la première ». Pour autant, ne vous y trompez pas, les recettes fiscales prises dans leur ensemble restent supérieures de 43 Md€ à leur niveau de 2016. 5️⃣ Le déficit de la sécurité sociale, ramené à moins de 2 Md€ en 2018-19, approche 11 Md€ en 2023. Plus grave encore, le gouvernement abandonne toute ambition de rétablissement avec une nouvelle trajectoire affichant 17 Md€ de déficit en 2027. 6️⃣ La charge liée aux arrêts maladie explose : +56 % en 5 ans. La Cour des comptes souligne la facilité à se procurer de faux justificatifs et la faiblesse du dispositif de lutte contre la fraude. Pour en savoir plus encore, ne manquez pas ce nouvel article MoneySmart !
Dégradation de la note souveraine française
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La France 🇫🇷 sur le podium des pays les plus endettés d'Europe 🇪🇺 Alors oui je vous l'accorde y a plus fun comme sujet mais ça interroge 💡 même si chouette on est les champions 😂 L'INSEE vient de publier les chiffres 2023 sur les comptes publics français et ça dérape!!! Fin 2023 le déficit public atteint 5.5% du PIB, c'est plus que prévu et que l'année précédente. Cela représente un trou de 154 milliards d'euros entre les dépenses et les recettes budgétaires soit une dette qui se creuse et atteint désormais 3101 milliards d'euros. Bon j'arrête avec les chiffres, je sais c'est barbant 🙄 Les dépenses publiques augmentent et cela devient structurel, il est donc légitime de se demander si ces dépenses sont encore sous contrôles??? La gestion des dépenses publiques n'est pas un sujet simple dans un état providence et cela souligne l’importance de la gestion budgétaire pour maintenir l’équilibre financier 🇫🇷💶 Quand les recettes manquent et qu'on ne peut pas gagner PLUS, on peut certainement dépenser MIEUX. La France est un des pays d'Europe qui investit le plus dans l'Education et pourtant c'est aussi en France que les professeurs sont les moins payés 🤔 Pour ceux qui souhaitent en savoir plus, la vidéo de Pierre Moscovici est ici 👇 Et vous ça vous inspire quoi ce podium 🇫🇷 😅 ? https://lnkd.in/d5JjbpvP
Déficit public : le président de la Cour des comptes évoque un "dérapage" qui est "très très rare"
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6 informations étonnantes pour comprendre le dérapage de nos finances publiques et la dégradation de la note de la France. 💡 1️⃣ Même respecté, le budget 2023 eût encore produit le pire déficit public jamais enregistré hors pandémie. Dixit la Cour des comptes : « Les raisons de cette dégradation sont multiples mais tiennent, en premier lieu, à une loi de finances initiale peu ambitieuse ». 2️⃣ En dépit de 28 Md€ d'économies sur le démantèlement des mesures Covid, la dépense publique continue de croître du fait notamment de la progression du point d'indice, de la hausse des effectifs (+9.000 sur le périmètre de l'État, +60.400 sur la fonction publique au sens large), du coût exorbitant du bouclier énergétique et de l'effet boule de neige de la charge de la dette. 3️⃣ Quand Bruno Le Maire et Thomas Cazenave invoquent devant la Commission des finances du Sénat un trou d'air inattendu sur l'acompte de décembre de l'impôt sur les sociétés, ils prennent comme point de référence une reprévision excessivement agressive produite le 30 novembre par leurs propres services (loi de finances de fin de gestion). Sur l'année, les encaissements d'IS sont en réalité meilleurs que prévus dans le budget initial : 56,8 vs 55,2 Md€. 4️⃣ Derrière le rideau de fumée de l'IS se cache le rendement misérable de la contribution sur les rentes infra-marginales. Ce nouvel impôt - qui devait taxer les rentes privées créées sur les deniers publics par la gestion calamiteuse du marché de l'électricité depuis 2010 (ARENH + marché européen) - n'aura rapporté qu'1/20ème de ce qui était attendu (0,6 vs 12,3 Md€). La Cour des comptes n'est pas tendre : « Cet écart massif entre la prévision de recettes et le produit réellement constaté soulève nécessairement la question de la pertinence, voire de la sincérité de la première ». Pour autant, ne vous y trompez pas, les recettes fiscales prises dans leur ensemble restent supérieures de 43 Md€ à leur niveau de 2016. 5️⃣ Le déficit de la sécurité sociale, ramené à moins de 2 Md€ en 2018-19, approche 11 Md€ en 2023. Plus grave encore, le gouvernement abandonne toute ambition de rétablissement avec une nouvelle trajectoire affichant 17 Md€ de déficit en 2027. 6️⃣ La charge liée aux arrêts maladie explose : +56 % en 5 ans. La Cour des comptes souligne la facilité à se procurer de faux justificatifs et la faiblesse du dispositif de lutte contre la fraude. Pour en savoir plus encore, ne manquez pas ce nouvel article MoneySmart !
Dégradation de la note souveraine française
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Quant un « journal de référence » arrive à qualifier de « bonne nouvelle » un déficit budgétaire public de l’ordre de 170 Milliards c’est vraiment qu’on marche sur la tête. Certains prétendent s’attaquer au déficit et à la dette de l’Etat en augmentant les impôts; d’autres s’y opposent et privilégient la réduction des dépenses. Faux débat. Il faut évidemment faire les deux. Et il ne serait pas absurde de l’admettre et de débattre plutôt de la façon la plus intelligente (ou la moins stupide) de le faire. Est-il vraiment impossible dans un pays comme le nôtre de fonder un débat politique sur la réalité et pas sur des fantasmes? Le problème c’est que les Français ont vu beaucoup augmenter les impôts sans jamais observer la moindre réduction du déficit. Et qu’ils voient augmenter depuis des décennies les dépenses de l’Etat tout en constatant la dégradation voire la disparition des services publics les plus essentiels. Double peine. Alors si une femme ou un homme politique voulait rétablir un minimum de confiance sur ce sujet ce ne sera pas avec des discours genre: « Nous sommes sur la bonne voie pour maîtriser la croissance de l’augmentation de la dette etc… ». Mais bonne année tout de même pour vous et ceux que vous aimez. PS: j’ai quand même une bonne nouvelle: les quelques 170 milliards de deficit correspondent à un calcul conventionnel imposé par l’UE et qui conduit à y inclure environ 16 milliards au titre du besoin de financement des collectivités locale. Or ce n’est pas un déficit, c’est un endettement nouveau que vos communes, départements, regions utilisent exclusivement pour investir (écoles, colleges, lycées, transports, camions de pompiers, etc.). Si vous trouvez que cela consiste à additionner des choux et des carottes vous avez raison mais c’est fait par des gens super intelligents n’ayez aucune inquiétude 😉 #deficit #dette #budget Inspection générale des finances Alain Lambert Aline SYLLA-WALBAUM Assemblée des Départements de France Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité
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et il n'y a pas de dotations d'amortissement (peu d'immobilisations et surtout du fonctionnement) pour améliorer la CAF et donc couvrir le remboursement du capital emprunté. Bref avec Jerome RIVALIN on le fait avec les collectivités en conseil d'aide à la décision et ça marche. Une démarche pragmatique de revue de toutes les politiques publiques sans tabou : on parle de quel service public, combien ça coûte (en complet), comment s'est géré, quels résultats par rapport aux objectifs fixés ? Puis on regarde les priorités (et on peut y mettre la culture), on arrête ce qui ne marche pas et/ou on fait autrement : on transfert en gestion privée (vente ou DSP) ce qu'il peut mieux faire que le public (exemple : la gestion d'un zoo. A voir également en fonction de l'organisation historique ou la pertinence d'un transfert de compétences à un autre échelon public (subsidiarité). On travaille en pluriannuel avec des objectifs chiffrés. Vincent Palierne ça doit te rappeler quelque chose 😊 Bref,,,à voir pour la grande machine de l'Etat où il ne faut pas avoir peur de se donner le temps d'un diagnostic approfondi. MAIS POUR CELA : il faut de la visibilité et travailler sur le long terme... SEMAPHORES #conseil #expertise #secteur #public
« Si vous ne dites pas quelque chose d’une façon qui irrite, vous pourriez aussi bien vous taire. » George Bernard Shaw
Quant un « journal de référence » arrive à qualifier de « bonne nouvelle » un déficit budgétaire public de l’ordre de 170 Milliards c’est vraiment qu’on marche sur la tête. Certains prétendent s’attaquer au déficit et à la dette de l’Etat en augmentant les impôts; d’autres s’y opposent et privilégient la réduction des dépenses. Faux débat. Il faut évidemment faire les deux. Et il ne serait pas absurde de l’admettre et de débattre plutôt de la façon la plus intelligente (ou la moins stupide) de le faire. Est-il vraiment impossible dans un pays comme le nôtre de fonder un débat politique sur la réalité et pas sur des fantasmes? Le problème c’est que les Français ont vu beaucoup augmenter les impôts sans jamais observer la moindre réduction du déficit. Et qu’ils voient augmenter depuis des décennies les dépenses de l’Etat tout en constatant la dégradation voire la disparition des services publics les plus essentiels. Double peine. Alors si une femme ou un homme politique voulait rétablir un minimum de confiance sur ce sujet ce ne sera pas avec des discours genre: « Nous sommes sur la bonne voie pour maîtriser la croissance de l’augmentation de la dette etc… ». Mais bonne année tout de même pour vous et ceux que vous aimez. PS: j’ai quand même une bonne nouvelle: les quelques 170 milliards de deficit correspondent à un calcul conventionnel imposé par l’UE et qui conduit à y inclure environ 16 milliards au titre du besoin de financement des collectivités locale. Or ce n’est pas un déficit, c’est un endettement nouveau que vos communes, départements, regions utilisent exclusivement pour investir (écoles, colleges, lycées, transports, camions de pompiers, etc.). Si vous trouvez que cela consiste à additionner des choux et des carottes vous avez raison mais c’est fait par des gens super intelligents n’ayez aucune inquiétude 😉 #deficit #dette #budget Inspection générale des finances Alain Lambert Aline SYLLA-WALBAUM Assemblée des Départements de France Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité
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Un déficit qui passe de manière imprevue de 5,1% à 5,6% soit dans les 15mds€... Le mur de la dette commence à nous cacher le soleil. Alors que notre pays croule déjà sous les impots, toute hausse du taux pour compenser la baisse du rendement serait mauvaise pour l'économie et donc pour les rentrées fiscales. De même, les baisses ne me paraissent pas forcement raisonnables avant d'avoir bouché le trou. Alors que la part de la depense publique dans le PIB est de 58%, toute baisse de l'investissement public devra être compensée par le privé pour sauver la nécessaire croissance... Il faudra bien boucher le trou... Quand à la structure des dépenses sociales... Je crois que jamais le pays n'a eu autant besoin d'une politique budgétaire et économique de droite "entière" qui remodèle pour demain notre systeme et sans cet en même temps aujourd'hui décrédibilisé. Mais rarement les équilibres politiques ont été autant contre à cause du poids du #NFP et... ... du #RN qui n'est même pas membre de la droite la plus étatiste sur les questions budgétaire et économique. Le RN étant le "en même temps" du social gauchisant du nord et de l'anti-immigrationniste du sud. Bonne chance à tout le monde. Car au fond, nous avons tous contribué à construire cette nasse. #PremierMinistre #Dette #économie #impôts #LR
Ces documents de Bercy qui révèlent le risque d’un sévère dérapage du déficit public dès 2024
lefigaro.fr
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Cela fait 50 ans que la France est en état de déficit public. Le dernier budget présentant un solde positif remonte à 1974 : +8,5 milliards de francs de l'époque, l’équivalent de 6,7 milliards d'euros environ aujourd'hui. Pour rappel, le déficit public, c’est la situation dans laquelle le solde public (c’est-à-dire la différence entre dépenses et recettes des administrations publiques) est déficitaire. Par « public » on entend l’État, les collectivités locales et la Sécurité sociale. Enfin, c’est l’accumulation, d’année en année, qui nourrit la dette publique. Le déficit peut être exprimé en valeur absolue (€) ou en valeur relative (% du PIB). Voilà un bilan global des soldes publiques sur un demi-siècle. Michel Barnier Bruno Le Maire #deficit #dette #france #europe Fondation iFRAP https://lnkd.in/eUkhv6aD
Retour sur 50 ans de déficit public
ifrap.org
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Préparez-vous dans les prochaines semaines, le mot déficit sera sur toutes les lèvres. Or, au Québec, quand on parle de déficit du budget de l'État, on ne parle pas de ce à quoi vous pensez. Ce très bon travail de vulgarisation de Guillaume vous explique pourquoi.
Le super solde « spécial Québec »
https://iris-recherche.qc.ca
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Déficit 2023: ce trou béant de 5,5 % du PIB qui n’avait pas été anticipé. Pour rappel, Bruno Le Maire qu’il est aux commandes de l’économie française depuis 7 ans... Le gouvernement ne montre pas l'exemple ; rien de très étonnant même si cela est révoltant et écœurant. La caisse a bel et bien été cramée alors même que la France est déjà la championne d'Europe des prélèvements obligatoires. Le déficit public a dérapé à 5,5%, bien au-delà des prévisions du gouvernement à 4,9%. La dette publique atteint 110,6% du PIB, le déficit commercial est abyssal à 130 milliards, les faillites d'entreprise sont en augmentation de 34%, le chômage atteint 7,5% et le plus dur est à venir... La croissance vient d'être revue à la baisse à 1,0% (0,8% Banque de France) alors que le budget 2024 a été bâti sur une hypothèse de croissance à 1,4%.
Malgré la situation budgétaire, le gouvernement continue à dépenser des milliards d’euros
europe1.fr
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