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CNPF Centre national de la propriété forestière FRANSYLVA Fédération Forestiers Privés de France Réseau AFORCE (RMT) ALLIANCE Forêts Bois FNCOFOR ONF (Office National des Forêts) https://lnkd.in/epMUecMX Demain je prends la route pour la 2de foire forestière du Lot; Challose- Ségalà en 2 jours avec étape en Lot et Garonne, faut ce qu'y faut; slow move and gastronomie; on n'est pas des boeufs. Entre autres, j'y ferai une conférence Quel avenir pour la forêt lotoise? Voila le résumé Par son climat, son histoire, sa culture, le département du Lot appartient au Sud-Ouest. Cependant sa géologie lui donne une identité propre très forte avec la majorité du territoire occupé par un plateau calcaire : le Causse qui le rattache aux autres causses français du Languedoc et de Provence. Ce Causse, aux sols pauvres, est profondément entaillé par des vallées riche Dordogne, Célé et Lot ; à l’est se trouve une région le Ségala qui se rattache au département voisin , idem vers Gourdon se rattachant au Périgord. La forêt Lotoise souvent d’origine récente et issue de la déprise agricole s’est développée sur les sols les plus pauvres, et donc essentiellement le Causse où elle forme des peuplements à base de chêne pubescent avec une flore qui la rattache aux flores méditerranéennes. Dans le Ségala acide on est dans la chênaie châtaigneraie. Sans bruit, spontanément, quasi sans reboisement et avec très peu de gestion, Le lot est devenu en moins d’un siècle l’un des départements le plus boisés de France en dehors des régions méditerranéenne. Plus de la moitié de la surface est aujourd’hui en forêt Son caractère sub méditerranéen la rend résiliente et en quelques sorte préadaptée aux impacts du changement climatique. Pour autant la question des valeurs et de la valorisation de cette forêt reste posée et de manière de plus en plus forte. Déjà, majoritairement, naturellement pauvre et peu productive au niveau de la production de bois, le changement climatique va aggraver la situation Pour autant les questions de l’avenir de cette forêt ne cessent de se poser et vont l’être de plus en plus : quelles fonctions ? quels risques ? quels usages ? quelle gestion ? par qui ? et pour qui ? Il parait qu'il va pleuvoir et pas faire si chaud que çà : normal je parle de rechauffement climatique, à chaque fois c'est pareil.

🌎 La Seconde promotion du programme des Chaires René Cassin a pour thématique "L'humain face au défi climatique". La question qui s'est plus précisément posée aux lauréats sélectionnés a été"Comment s'adapter face aux conséquences du changement climatique". 🚰 L'appauvrissement de la terre et des sols, la rareté grandissante des ressources telles que l'eau posent d'importantes questions concernant la sécurité alimentaire à l'avenir. L'adaptation et la résilience des populations est et sera donc un enjeu fondamental pour nos sociétés contemporaines. 🐟 🌱 Les Chaires d'excellence René Cassin ont décidé d'explorer une des solutions d'adaptation en voie de développement: l'aquaponie. Cette méthode d'agriculture, respectueuse de l'environnement, combine l'élevage de poissons avec la culture de légumes dans un cycle vertueux sans intervention de pesticide, sans subir le problème de l'érosion des sols et avec une utilisation raisonnée en eau. C'est également une méthode facilement transposable sur de petites surfaces. Les Chaires ont ainsi à coeur de vulgariser et diffuser les méthodes pratiquées par l'aquaponie à la fois à Strasbourg et la Région Grand Est mais aussi à une échelle internationale. Dans cette optique, elles se sont rendues dans la commune de Chamousey, dans les Vosges, pour rencontrer Madame Noémie Charpentier, qui a été à même de partager son expertise en leur faisant visiter la Ferme Aquaponique de L'abbaye. 🔜 Un appel à manifestation d'intérêt à la formation dédiée sera prochainement lancé, nous vous proposons en attendant de découvrir la courte vidéo de présentation réalisée par les lauréats à l'occasion de ces échanges. Nos lauréats: Rosemonde Etile Mokhtar TRIKI Myagis Jeannine LOVESSE Salva Amisi Marie Courtoy Frédéric Wilfried BEBEY MBOU Un grand merci à nos soutiens et partenaires: Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères Ville et Eurométropole de Strasbourg Région Grand Est Collectivité européenne d'Alsace Clinique de la Médiation Strasbourg Grand Est #Changementclimatique #Résilience #Strasbourg #Aquaponie https://lnkd.in/eAhUEwCA

🔔 𝐌𝐚𝐫𝐝𝐢 𝟏𝟕 𝐬𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 : Ne ratez pas le Colloque de Restitution "Le Cèdre, de la graine aux produits finis" ! FIBOIS Occitanie est co-porteur du projet « Le Cèdre de l’Atlas, de la graine aux produits finis » pour la période 2022-2024, en collaboration avec France Forêt PACA, la Provence Alpes FNBet FIBOIS SUD. Les études montrent que le changement climatique devrait étendre les aires bioclimatiques favorables à l’épanouissement du cèdre sur le territoire français. Ce projet a pour objectif de confirmer que le cèdre de l’Atlas est une essence prometteuse pour la filière forêt-bois française, en évaluant à la fois la ressource et les caractéristiques de son bois, afin de préparer son développement futur. Voir le programme et s'inscrire : https://lnkd.in/gNXmCNV3 𝘊𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 𝘦𝘴𝘵 𝘧𝘪𝘯𝘢𝘯𝘤𝘦́ 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘙𝘦́𝘨𝘪𝘰𝘯𝘴 : Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur , La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée , 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦 Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire 𝘦𝘵 𝘱𝘢𝘳 France Bois Forêt. 𝘌𝘵 𝘦𝘴𝘵 𝘦𝘯 𝘱𝘢𝘳𝘵𝘦𝘯𝘢𝘳𝘪𝘢𝘵 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭'𝘢𝘴𝘴𝘰𝘤𝘪𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘍𝘰𝘳𝘦̂𝘵 𝘔𝘦́𝘥𝘪𝘵𝘦𝘳𝘳𝘢𝘯𝘦́𝘦𝘯𝘯𝘦 𝘦𝘵 Fibois Ardèche-Drôme

🎤 [A VOIR OU A REVOIR] - CONFERENCE POLITIQUES ET PRATIQUES AGRICOLES : DEFIS ET SOLUTIONS POUR LA PRESERVATION DE L'EAU 🍿 Pour découvrir ou revoir la conférence sur l'eau et l'agriculture, pilotée par l'Agence de l'Eau Artois-Picardie qui a eu lieu à Gayant Expo Concerts à Douai le mercredi 29 mai à l'occasion de Cycl'eau Hauts-de-France, c'est par ici : 👇🏼👇🏼 https://lnkd.in/dSC8rUzf 💧💧Dans les Hauts-de-France, la consommation d'eau est répartie selon plusieurs usages dont 6 à 20 % pour l'agriculture selon les années, en augmentation du fait d’années plus sèches et du développement des cultures irriguées. Avec les tensions liées au manque d'eau, il convient donc de revoir les types de cultures et espèces choisies ainsi que les pratiques afin d'améliorer l'efficacité de l'irrigation tout au long du cycle de la plante afin de limiter les besoins. ✅ L'activité agricole a également un effet néfaste sur la qualité des milieux. Il convient donc de limiter l'utilisation des engrais et des produits phytosanitaires et leur impact sur les cours d'eau et les nappes souterraines. Par leurs bonnes pratiques, les exploitants agricoles peuvent contribuer à la préservation de la ressource en eau et des milieux aquatiques. L'Agence de l'Eau Artois-Picardie par ses actions et celles de ses partenaires, vise à proposer des dispositifs d’aide aux agriculteurs s'engageant dans la transition agroécologique. Sont présents autour de la table : Patrice BIZAIS, Chef de service, Agence de l'Eau Artois-Picardie Anne Trombini, Directrice Générale, Pour une Agriculture du Vivant Laetitia Ouziaux, Animatrice Protection de la ressource, Agglo Lens-Liévin Audrey CARON, Chargée de mission, Douaisis Agglo 🗓️ Découvrez les prochains RDV CYCL'EAU pour 2024 : 📍Journée Thématique CYCL'EAU Corsica à Ajaccio, le 19 Septembre à Palais des congrès Ajaccio Inscription : https://lnkd.in/dKSRf97r 📍Le prochain Salon, c'est à Orléans les 9 & 10 Octobre au Co-met pour CYCL'EAU Centre-Val de Loire Inscription : https://lnkd.in/dwwWWUAe

On commence cette semaine en continuant le tour d'horizon de nos producteurs membres. Aujourd'hui, laissez nous vous présenter le domaine de la Perrole à Aigle, qui s'étend sur 18ha et cultive aussi bien des légumes et des fruits que des grandes cultures céréalières ou oléagineuses. Un moulin à même été installé sur site. La majorité des produits sont vendus sous forme de paniers hebdomadaires. Voici la philosophie de cette ferme particulière: "L'ambition de la Perrole est de mener une agriculture vivrière de qualité, respectueuse de l'environnement, adaptée aux besoins de la population locale. L'agriculture est menée sur le Domaine de La Perrole selon les principes de l'agriculture biologique. Le terme agro-écologique a été retenu pour qualifier le domaine car le projet inclut des aménagements écologiques pour l'accueil de la biodiversité et l’enrichissement du paysage; des recherches de techniques culturales respectueuses du sol et des expériences liées à la sauvegarde des abeilles. L'idée est de faire du domaine autre chose qu'une « exploitation agricole », un lieu de production adapté aux nouvelles problématiques liées à l'alimentation auxquelles nous sommes confrontés :le goût, la santé, l'écologie et le maintien de la vie paysanne. Il s'agit d'un exercice délicat, un défi qu'ont décidé de relever deux amis passionnés. Pour eux, la clé réside dans la diversité. Celles des espèces cultivées, comme celles des espèces sauvages, mais aussi celles des échanges et des moyens de distribution de leur récolte." Si vous habitez dans la région d'Aigle, nous ne pouvons que vous encourager à faire un tour sur leur site ou directement sur place ! https://lnkd.in/eNeYJf5z

Préservation de l'eau 💧 ✅ Amélioration de la qualité de l’eau, support de vie pour la biodiversité, les cultures et l’élevage, étalement des pics de crue, les services rendus par nos cours d’eau sont multiples. ✅ Dans le cadre du Contrat Territorial Eau « Littoral Sud Estuaire et Côte de Jade », le service GEMAPI de la CCSE poursuit ses travaux de renaturation des cours d’eau agricoles. Ceux-ci ont notamment été sur-creusés, élargis et déplacés lors du remembrement de 1994. ✅ Jusqu'à la fin de l'année, des travaux de restauration hydromorphologique sont en cours au niveau du Boivre au lieu-dit la Pitardière, ainsi que ses affluents : 💧 Le ruisseau du Gaillard au sud de Saint-Père-en-Retz 💧 Le ruisseau de la Pacauderie, affluent du Grésillon à Saint-Père-en-Retz 💧 Le ruisseau de Glande à Saint-Viaud 💧 Le chêne Tied à Saint Viaud ➡ Coût de l’opération : 108 000€ TTC, subventionnés par l'Agence de l'eau Loire-Bretagne (54 000€), la Région Pays de la Loire (16 200€) et le Département de Loire-Atlantique (16 200€). 21 600€ restent à la charge de la CCSE. Jérome LE DAVADIC Claire Quéré

Début des travaux de restauration de la tourbière à l’ouest du Prédame ! Je suis très heureux que les travaux de revitalisation de la tourbière située sur la commune des Genevez ont officiellement commencé. Ce projet, mené par l'État, vise à restaurer cet écosystème précieux, inscrit aux inventaires fédéraux des hauts-marais et bas-marais d’importance nationale. Les interventions actuelles incluent le déboisement et le débardage par hélicoptère, avec des actions supplémentaires prévues en 2025 pour neutraliser les drainages et améliorer les conditions hydrologiques. Cette restauration permettra non seulement de protéger la biodiversité unique de la région, mais aussi d'accroître la séquestration de carbone, contribuant ainsi à nos objectifs de décarbonation. 🌿 Je me réjouis de ces avancées significatives pour la préservation de notre environnement et pour la lutte contre le changement climatique. Ces actions sont essentielles pour construire un avenir durable pour les générations futures. #biodiversité #développementdurable #climat #restaurationécologique #CantonduJura République et Canton du Jura Mélanie Oriet Laurent Gogniat https://lnkd.in/efF422Zp

La Coop de L’Eau 79 vient d’annoncer le démarrage d’un nouveau chantier de méga-bassines dans le Marais Poitevin. Le projet d’Epannes avait déjà mobilisé des milliers d’opposants lors de deux manifestations massives (le 11 octobre 2020 et le 26 mars 2022). Les autres chantiers actuellement en cours font l’objet d’une forte contestation et l’arrêt de la cour administrative d’appel de Bordeaux pourrait faire annuler le projet de 16 méga-bassines dans les prochains mois. C'est la preuve que le Marais Poitevin peut obtenir toutes les reconnaissances possibles sur l'importance de ses zones humides, sur sa biodiversité, sur sa fragilité, l'agriculture intensive s'assoit sur notre territoire en péril. Profitez du Marais Poitevin aujourd'hui car peut être que dans 10 ans, il ne possédera plus aucune zone humide et la biodiversité aura totalement disparu. #eau #ressource #agriculture #agricultureintensive #fnsea #lobbying #nature #preservation #business #destruction https://lnkd.in/gpBXQeNi

Le premier Plan Herbe mosellan a été officialisé il y a quelques jours ! 👏 Les protagonistes : les communautés de communes Sarrebourg Moselle Sud, du Pays de Phalsbourg et du Saulnois, la Chambre d'agriculture de la Moselle et l'agence de l'eau Rhin-Meuse. Concrètement, il s’agit d’adopter des systèmes d’élevage valorisant l’ensemble des services rendus par les prairies et leur biodiversité associée. Les actions principales identifiées sont : • Des accompagnements et des soutiens financiers pour les services rendus à l’environnement (paiements pour services environnementaux) et l’acquisition de matériels pour optimiser l’exploitation de l’herbe, • De la sensibilisation pour le grand public autour de l’importance des prairies pour l’environnement, • Des animations de groupes de travail pour une réflexion collective sur l’avenir des exploitants, • Une politique de gestion de la demande en eau. "Le plan herbe proposé par l'agence de l'eau permet d'apporter des appuis et des financements aux agriculteurs qui s'investissent sur leur territoire, et il est également source de bien-être pour les habitants", résume Xavier Morvan, directeur général. Pour Roland Klein, président de la Communauté de Communes Sarrebourg Moselle Sud, " cette démarche vise à conforter un système agroécologique résiliant et rémunérateur." COMMUNAUTE DE COMMUNES DU SAULNOIS

💧Avec son Plan Or Bleu, la Région Sud - Provence-Alpes-Côte d'Azur veut sécuriser l’accès à l’eau mais aussi l’élargir Annonçant la possibilité de « raccordement à moyen terme » de 60 communes varoises, les collectivités confient à la Société du canal de provence un plan d’investissements de 620 millions d’euros. Avec un petit 10% de fuites, le Canal de Provence revendique un rendement exemplaire. Chaque année, 30millions d’euros sont investis dans le patrimoine hydraulique régional "on l’appelait la rivière des Hommes", loue Renaud MUSELIER, depuis le siège de la concession du Canal de Provence au Tholonet. "Nos aînés ont fabriqué les lacs de Serre-Ponçon et de Sainte-Croix, qui amènent de l’eau à Marseille et dans le Var, poursuit le président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur. L’intelligence humaine a fabriqué des réponses à des carences." Et c’est exactement le fond de sa pensée pour l’avenir. Avec des retenues artificielles qui constituent le stock d’eau douce de 2 millions d’habitants et permettent d’irriguer 75.000 hectares de terres agricoles, la Région est persuadée de pouvoir faire face à l’avenir. Sécuriser et irriguer Ce que la présidente de la concession régionale, Benedicte Martin livre d’un trait: "Nous avons la chance, au Canal de Provence, de pouvoir nous appuyer sur une ressource sécurisée. Jusqu’en 2100, on sait qu’on peut faire." À tel point qu’en plus de sécuriser l’eau potable pour les habitants, il est toujours question d’irrigation, avec une référence appuyée à la viticulture varoise. Dans le Var, les projets structurants sont d’abord la liaison Verdon-Saint-Cassien, la sécurisation des communes du Pays de Fayence et la desserte agricole du territoire de Pierrefeu. "moyen terme", l’ambition est de proposer à 60 nouvelles communes varoises la possibilité d’être desservies, en plus des 65 (souvent du littoral) déjà raccordées. Sur les 620 millions d’euros de programme d’investissements annoncés jusqu’en 2038, plus de la moitié (334 millions d’euros) est consacrée au Var. "Est-ce qu’il y aura assez d’eau pour tout ça?" Benoit MOREAU directeur du développement au Canal de Provence admet qu’il ne passe pas une journée sans que la question lui soit posée. "Le changement climatique, ce sont des extrêmes. Globalement, il y aura plus de débit l’hiver sur la Durance et le Verdon. Un peu moins de neige, mais toujours de la pluie. Cela veut dire qu’on est capable de remplir les réserves. En quinze jours, en cas de fortes pluies." Pourtant, les sécheresses estivales imposeront un déstockage plus marqué. Le président du conseil départemental du Var s’enquiert de la côte touristique des lacs. "Il faudra s’adapter à des variations de niveau", lui est-il répondu. Justement, Jean-Louis Masson présente la démarche qu’il a initiée, Var Eau 2050, à la recherche "des leviers d’action, par territoire, pour sécuriser l’accès à l’eau, mais aussi pour que l’eau soit considérée comme un bien précieux, qu’il faut savoir préserver"