Post de Cercle d'Éthique des Affaires

Notre interview dans Le Monde du Droit c’est ici ⤵️

Aurélie Kaczmarek CEO de VIKTA et Sandrine MATEUS, nouvellement nommée Directrice Commerciale sont ravies d’avoir été conviées au tout premier Forum des Éclaireurs du Droit organisé lundi par Lamy Liaisons - Groupe Karnov sur le thème passionnant « l’#IA et la pratique du #droit , prise de recul sur une métamorphose en cours ». Des intervenants de grande qualité pour éclairer sur les Enjeux et les risques de l’IA pour les professionnels du Droit et les Hommes en général. Elles ont pu apprécier les interventions magistrales de Raphaël Enthoven , Raphaël Doan, Bruno Patino , Olivier Babeau , Julie Couturier, Pierre TARRADE, Jean-Philippe Gille, Jacques Mestre, Betty Jeulin, Renaud Lefebvre, Sarah Lelouch, Pascal ALIX, Sabrina GABTENI, Alexia Arno, Bruno Deffains, Daniel Benabou et Stephane Baller. A la question « l’algorithme libère-t-il ou asservit-il le juriste ? » Jean-Philippe Gille Président de l’AFJE et Julie Couturier, présidente du CNB semblent pencher pour une « libération » à condition par exemple pour le premier : d’une nécessaire formation des juristes face à ce qui peut sembler être de la « magie » et pour la seconde de régler le risque de « fracture » entre ceux qui ont les moyens d’avoir accès à des IA avancées et les autres…  #ForumdesÉclaireursduDroit #event #juridique #transformationdigitale #legalinnovation #legaltech #innovation #droit

📺 Le Sommet du Droit en Entreprise (SDE) fête ses 10 ans avec Mathilde Aymami, Directrice de la rédaction de DÉCIDEURS JURIDIQUES dans #LexInside sur B SMART 📅 Retrouvez #LexInside tous les mercredis et vendredis à 15h00 et 23h00 sur B SMART 📢 Chaque semaine, Lex Inside, animée par Arnaud Dumourier, analyse l'actualité juridique avec des experts. À travers des interviews et des analyses, l'émission décrypte les évolutions législatives et jurisprudentielles, offrant une perspective unique sur le #droit.

🧱𝐋𝐞 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫, 𝐨𝐛𝐣𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐧𝐨𝐦𝐞 𝐜𝐫é𝐚𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐮𝐱 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐞𝐭 𝐩𝐚𝐫 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐬𝐲𝐬𝐭é𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞 Ayant conçu le colloque qui s'est déroulé le 21 novembre 2024 à la Cour de cassation sur et ayant opéré la synthèse de celui-ci, 🔴lire une présentation générale du colloque, menant vers la vidéo complète: ➡️https://lnkd.in/eZYVaVMz cela a conforté les observations suivantes que j'ai pu faire en synthèse : Le #futur est désormais un objet autonome de contentieux parce que des #ong ou d'autres organisations forment des prétentions en se présentant comme incarnant ce futur, à travers par exemple les "générations futures" (mais ce n'est qu'un exemple) et demandent à ce titre aux #juges d'agir en Ex Ante dans des disputes, qui sont soit dirigées contre les #Etats contre des #entreprises qui ont pour caractéristique (partagée) avec ceux-ci de développer de la #puissance, soit pour être sanctionnés à ce seul titre, soit pour être contraints à en faire usage comme les demandeurs prétendent qu'il convient qu'il en soit ainsi. Dans ces litiges d'un type nouveau, ce sont les #systèmes eux-mêmes qui sont présents devant les juridictions : systèmes bancaire, financier, énergétique, climatique, algorithmique, etc. Et ce sont toutes les entreprises #systémiques qui sont les unes après les autres qui sont assignées devant toutes les sortes de juges, indépendamment des branches du #Droit : juge #constitutionnels, #civils, #commerciaux, etc., indépendamment de la zone juridique : juges nationaux, européens, internationaux, étrangers, arbitraux : le #droit comparé est plus que jamais un droit pratique. Cela renouvelle les méthodes #processuelles : le juge doit faire en sorte de comprendre les #intérêts spécifiques des systèmes eux-mêmes, qui sont à la fois spécifiques et qui ont tous en commun d'avoir un intérêt : celui de ne pas défaillir. Cela est exprimé par le principe de #durabilité. Ce #butmonumental négatif montre que l'esprit de ce contentieux qui porte sur le futur, de nature systémique, est proche du Droit de la #Compliance, lequel est en train de se #juridictionnaliser et de transformer l'office du Juge, comme l'a montré d'une façon très claire François Ancel. Le système n'étant pas une personne mais un #fait #global, la question technique est de déterminer en procédure comme il peut s'exprimer. Il y a beaucoup de candidats pour ce faire..., car il y a beaucoup de pouvoirs à être reconnus comme défenseurs systémiques, etc. : c'est la question de l'intérêt et de la qualité à agir, notamment des #ong. L'on peut estimer que les Autorités de #Régulation sont bien placées pour exprimer l'intérêt des systèmes, comme l'est naturellement le #Parquet, y compris en matière civile. Ces naturels #amiciCuriae doivent aussi laisser place aux scientifiques, car le juge doit être aidée pour comprendre les systèmes, préalable nécessaire pour prendre en considération l'intérêt spécifique de ceux-ci.

En tant qu'avocat, l'expertise s'impose à moi, que je le veuille ou non. En revanche, la médiation reste un processus volontaire. Il y a là une ambivalence troublante dans le concept d'ordonnance 'deux en un'."– eric Ericsebban, président de l'Institut IEAM. Avec cette réflexion lors du colloque CNIDECA le 05/11, Eric Sebban interroge le positionnement de l'expertise et de la médiation dans le cadre juridique. Une analyse qui ouvre le débat sur l’équilibre entre ces deux processus. Merci, Eric Sebban, de questionner les fondements de ces approches pour enrichir le débat sur l’évolution de la Justice. #JusticeModerne #Médiation #Expertise #InnovationJuridique #CNIDECA

🎙 [Interview] Michèle Girot-Marc, Bâtonnier de l'Ordre des Avocats de Grenoble. Le Village de la Justice a parlé notamment capacité d’action et d’#innovation des bâtonniers avec elle. 💬 << Le métier d’#avocat est protéiforme et en constante évolution (mutation informatique, technologique, mutation des réseaux sociaux, de la communication, mise en place de la médiation...), et il y a des enjeux importants auxquels la profession doit travailler pour s’adapter et le barreau est là pour accompagner, mettre en œuvre. Je pense que le bâtonnier est là pour être l’articulation, l’interface de tous ces mouvements.>> (🔗 Lien vers l'interview en commentaire ⤵ )

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Quand une affaire fait la une, il est souvent en première ligne. David Koubbi est avocat et l’un des acteurs incontournables des affaires les plus médiatisées en France. Reconnu pour son éloquence et ses stratégies percutantes, il s’est entouré des meilleurs pour créer son cabinet 28OCTOBRE_AVOCATS. Parmi eux : l’IA générative, un sparring-partner qui ne dort jamais. Qu’il s’agisse de confronter ses idées, explorer des concepts ou approfondir ses recherches, il s’en sert pour accroître sa productivité et sécuriser sa stratégie. Il reste que jamais la technologie ne lui dictera comment se comporter en audience, comment convaincre un juge, comment parler avec son client. Merci Monsieur Koubbi pour votre témoignage. 📺 Rendez-vous chaque jeudi pour regarder la mini-série Doctrine.

📺J'ai reçu Mathilde Aymami, Directrice de la rédaction de DÉCIDEURS JURIDIQUES dans #LexInside sur B SMART pour évoquer le 10e anniversaire du Sommet du Droit en Entreprise (SDE) 📅 Retrouvez #LexInside tous les mercredis et vendredis à 15h00 et 23h00 sur B SMART 📢 Chaque semaine, Lex Inside analyse l'actualité juridique avec des experts. À travers des interviews et des analyses, l'émission décrypte les évolutions législatives et jurisprudentielles, offrant une perspective unique sur le #droit.

Un immense merci à Madame la Première Présidente Gwenola Joly-Coz d’avoir, ce matin, ouvert, avec des mots si justes et engagés, notre formation à l’ARA à la Cour d’appel de Poitiers. Je remercie aussi le GEMME et l’ENM pour leur confiance dans cette mission qui nous est confiée avec pascale Loué-Williaume. L’ARA peut devenir un outil puissant de règlement amiable des différends. Il sera bénéfique pour tous: les justiciables qui se sentiront écoutés et trouveront des solutions choisies (au lieu de décisions bien souvent vécues comme subies), les avocats et les magistrats qui, au travers de méthodes novatrices, pourront notamment : 1- remettre, au centre de leur action, les liens humains qui leur manquent (nous sommes nombreux à déplorer la désertification des palais et la convivialité qu’on y trouvait), 2- retrouver du sens dans leur mission de restauration de la paix sociale, 3- améliorer leurs conditions de travail. Mais, si on souhaite que l’ARA fonctionne, ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : il faut y mettre des moyens financiers et humains (par exemple : tout comme il était indispensable d’étendre l’aide juridictionnelle versée aux avocats en matière amiable, il est nécessaire de correctement rémunérer les magistrats honoraires qui deviendront juges de l’ARA en matière civile et de dégager du temps aux juges de l’ARA pour pratiquer, ce qui oblige à des décharges et embauches supplémentaires). Ne laissons pas l’ARA devenir, comme la procédure participative, un mode amiable trop peu connu et utilisé. Cette politique de l’amiable est une chance pour toutes et tous. Elle va contribuer à apaiser la société et protègera nos professions de certaines dérives de l’intelligence artificielle qui pourraient les faire disparaître. #avocats #justice #magistrats #modesamiables