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Post de CESTES - Centre de l'économie sociale et solidaire
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Quand c’est flou c’est qu’il y a un loup… quand c’est trop précis aussi. Par une décision du 17 juin 2024, le Conseil d'Etat a annulé le recrutement d’un universitaire au motif que la fiche de poste avait été spécialement taillée pour lui : « la fiche de poste établie pour le poste nouvellement créé de professeur des universités en littératures françaises et francophones correspond de manière particulièrement étroite, du fait de la combinaison très précise et ciblée des compétences et thèmes d'enseignement attendus, aux matières enseignées par M. C... et aux domaines de recherche dont il est spécialiste ». Pour rappel, le « localisme » est le fait de favoriser, lors du recrutement d’un enseignant-chercheur par une université, le candidat local (i.e. déjà en poste dans cette même université). Il constitue une rupture d’égalité dans l’accès aux emplois publics comme le rappelle la décision du 17 juin dernier. Pour lutter contre cette dérive, l’article L. 952-6-1 du code de l’éducation impose que le comité de sélection soit composé pour moitié de membres extérieurs à l’établissement de recrutement. Ces dispositions n’empêchent pas certaines stratégies que le juge de l’excès de pouvoir censure au cas par cas (par exemple : interruptions et réouvertures successives du même concours, constitutives d’un détournement de pouvoir, CE 4/5 SSR, 25 février 2015, n° 374002). Récemment, certaines dispositions de la LPPR du 24 décembre 2020 (chaires de professeurs juniors et dispenses de qualification par le CNU) ont ravivé les craintes de recrutements « localistes » (F. Melleray, AJDA 2021.561). https://lnkd.in/ee_yva_J #droituniversitaire #localisme
Décision n° 468740 - Conseil d'État
conseil-etat.fr
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Les universités ne sont pas les seules touchées par les restrictions budgétaires. Dans l'enseignement agricole public par exemple, on s'apprête à supprimer 45 postes. Pour vous donner un ordre d'idées par rapport aux effectifs de l'Education Nationale, cela reviendrait à supprimer l'équivalent de 6 000 postes selon L’intersyndicale ELAN COMMUN, FO-EA et SEA UNSA.
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A LIRE: l'article de l'Etudiant de Judith Dargère sur les dotations aux universités vient d'être publié. A lire pour comprendre comment le service public qui doit soi disant être le même pour tous est financé de manière inégalitaire sur le territoire. Cela en surprendra plus d'un de voir que Paris 1 et Paris 2 sont des "facs prolétaires". Il est disponible à cette adresse :
Budgets : les universités de sciences humaines et sociales s’estiment lésées
letudiant.fr
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Mettre fin à l'irrégularité des attributions de chambres en cités universitaires : une mesure nécessaire mais à quel prix ? La récente décision du gouvernement visant à rétablir l’ordre dans l’attribution des chambres universitaires mérite d’être saluée, car elle met fin à une situation d’anarchie qui régnait sur nos campus. Cependant, elle soulève plusieurs interrogations légitimes. Premièrement, comment la FESCI a-t-elle pu s'arroger le droit d'attribuer les chambres, alors que cette responsabilité incombe normalement au CROU ? Ce dysfonctionnement interpelle et invite à une réévaluation des mécanismes en place. Deuxièmement, la question du timing de cette mesure et de ses conséquences mérite d’être soulevée. Bien que cette décision soit justifiée, elle semble être le résultat d'une réaction émotive du gouvernement, privant certains étudiants de logement en plein milieu de l'année universitaire. Que deviennent ceux qui n’ont ni famille ni soutien à Abidjan ? Où dormiront-ils ? Où mangeront-ils ? De plus, il serait intéressant de savoir si les chambres concernées étaient majoritairement occupées par des membres de la FESCI. N’aurait-il pas été plus sage et plus humain d’accorder un préavis plus long aux étudiants concernés ? Ces derniers, bien qu’en situation d’irrégularité, sont avant tout les victimes d’un système défaillant qui appelle une réforme depuis longtemps. En conclusion, cette décision, bien qu’elle marque un pas vers un assainissement du milieu universitaire, nécessite une approche plus nuancée. Il est impératif que les autorités apportent des solutions transitoires pour les étudiants affectés et repensent la gestion des cités universitaires, afin d’éviter que de telles situations ne se reproduisent. Une meilleure coordination entre le CROU, les étudiants, et les parties prenantes est cruciale pour garantir une gestion plus transparente et équitable à l’avenir. .
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Félicitations aux Présidentes et Présidents d'Université qui se sont associé.es à cette démarche ! Quelques craintes que ces menaces ne soient pas suivies d'effet tant les gouvernements successifs s'échinent à dégrader les services publics en prétendant les réformer ; tant aussi, les agents des services publics répugnent le plus souvent à faire peser sur les usagers de telles décisions. Car les services publics ne sont pas un luxe ou des dépenses somptuaires et les agents de ces services, qu'ils soient fonctionnaires de l'une des trois fonctions publiques ou déjà passés sous régime de droit privé, vivent au quotidien cette réalité banale : la dégradation des services publics, ce sont les usagers qui en payent le prix les premiers et ce sont les plus démunis pour qui ce prix est le plus fort ; à la différence de leurs ministres, les agents, eux, le savent, le vivent et le subissent également. Donc félicitations, à nouveau, d'avoir enfin affirmé cette évidence : moins de budget, c'est moins de service. Si le(s) gouvernement(s) l'impose(nt), qu'il l'assume ; sans faire peser la responsabilité sur les services et les agents qui, eux, font de leur mieux. Et pour conclure, j'aurais bien ajouté une mention spéciale pour le Ministre de la fonction publique, de la simplification et de la transformation de l'action publique. Mais je crains qu'il n'y ait quelques mots superflus dans sa titulature et qu'il ne soit au fond ministre que de la simplification, grossière. #fonctionpublique, #servicepublic, #esr, #egalite, #droits Collectif Nos Services Publics ; Le Sens du Service public
📣 [communiqué] ‼️ Engagé pour la défense d’une université publique au service de sa jeunesse et de son territoire, je soutiens pleinement l’action inédite initiée par France Universités auprès du Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Ce jeudi 21 novembre 2024, les Présidentes et Présidents ont en effet alerté le Ministre sur la situation financière intenable des universités, conséquence des mesures nationales prises par l’État sans qu’elles ne soient compensées. Ils lui ont exprimé tout à la fois leur crainte et leur colère. Ainsi, pour l’Université Paris-Est Créteil (UPEC) , les mesures salariales ont représenté une charge supplémentaire de 3,6 millions d’euros depuis 2023. Le Ministre s’est engagé, devant les Présidentes et Présidents, à renoncer à prélever 1 % supplémentaire sur les budgets des établissements pour créer un fonds de solidarité. Mais si le Gouvernement confirmait son intention d’augmenter, sans compensation, le Compte d’Affectation Spéciale pension (CAS) - destiné au recouvrement et à la gestion financière du régime des retraites de l’État -, c’est un nouveau surcoût estimé à presque 3,2 millions d’euros qu’il va prélever sur le budget 2025 de l’Université Paris-Est Créteil. Les Présidentes et Présidents ont prévenu le Ministre : le Gouvernement doit aujourd’hui assumer les décisions qu’il prend. Les universités ne pourront plus les absorber et seront pour certaines en incapacité de payer les salaires de leurs personnels. Si leurs revendications n’étaient pas prises en compte, l’État prendrait la responsabilité de contraindre les universités à n’avoir d’autres choix que de : ♦️Baisser les capacités d’accueil sur ParcourSup et donc le nombre de places pour les futurs bacheliers, ♦️ Fermer des sites universitaires délocalisés, ♦️ Réduire son offre de formations, ♦️ Revoir à la baisse voire stopper la rénovation de son patrimoine immobilier, ♦️ Réduire le niveau de service, par exemple le nombre de bibliothèques universitaires, ♦️ Basculer une partie des enseignements à distance pendant la période hivernale, Université de valeurs, l’Université Paris-Est Créteil regretterait d’être condamnée à dégrader la qualité de ses formations et de sa recherche, au détriment de l’avenir de sa jeunesse. https://lnkd.in/et9qQKRz
Universités : attention danger !
u-pec.fr
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Des campagnes d’emplois de fonctionnaires très réduites allant vers la suppression de postes permanents à terme, sans remplacement par des contractuels; La diminution en conséquence de la charge d’enseignement (réduction de l’offre de formation ainsi que de nos capacités d’accueil, Si les choix du gouvernement sont confirmés, ces mesures s’étaleront sur plusieurs années et produiront un effet décalé dans le temps. Il est donc probable que nous serons à nouveau amenée à réduire une nouvelle fois le programme d’investissement de l’établissement courant 2025. Autant de travaux qui ne seront pas réalisés pour l’entretien minimal des bâtiments, l’amélioration des conditions de travail et d’étude, la transition écologique. Nous avons des fonds disponibles dans nos fonds de roulement et nos trésoreries ». C’est exact en apparence les l’Université ces fonds sont intégralement gagés : ils sont constitués par des avances de financement de projets pour lesquels les dépenses sont à venir ou par des engagements pour de l’investissement immobilier ou des équipements. Combien d’entreprises de nos territoires peuvent défiscaliser à hauteur de 100 M€ de dépense de recherche ? Associé à une simplification des dossiers de demande de CIR, cette mesure donnerait un nouvel élan à l’innovation dans les petites et moyennes entreprises et permettrait en même temps de financer l’arrêt de la saignée des universités publiques et des organismes de recherche. Il est encore possible de choisir une voie plus équitable au bénéfice de nos territoires. Le gouvernement aurait pu encore faire d’autres choix, comme par exemple suivre les recommandations de la Cour des comptes qui propose de modifier le mécanisme du Crédit d’impôt recherche (CIR) : Actuellement : 30 % de crédit d’impôt est octroyé à hauteur de 100 M€ de dépenses de recherche, et 5 % de crédit d’impôt au-delà ;
Universités : attention danger !
u-pec.fr
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Objet : TR: Décret financier : la soutenabilité budgétaire des établissements devrait désormais être évaluée au regard de trois critères...Pour info. Bon week-end. https://lnkd.in/emwZmn5N La soutenabilité budgétaire définie par trois critères Selon les informations d’AEF info, afin d’apprécier la santé financière d’un établissement du supérieur et l’activation d’un plan de rétablissement à l’équilibre financier, le futur décret financier devrait supprimer le seul critère du compte de résultat au profit de la prise en compte de la soutenabilité budgétaire de l’établissement appréciée au regard de trois critères. Ces derniers devraient être les suivants : un niveau de trésorerie supérieur à 30 jours de fonctionnement en crédits de paiement hors investissement ; un niveau de fonds de roulement supérieur à 15 jours de crédits de paiement hors investissement ; des charges de personnel inférieures à 83 % des produits encaissables. Ce seuil devrait être porté à 85 % pour les établissements à dominante SHS. Autre changement majeur : le prélèvement sur fonds de roulement devrait devenir libre, dès lors que le budget demeure soutenable et qu’il est voté par le CA de l’établissement. Enfin, les excédents des ressources tirées de la formation continue peuvent être librement utilisés.
Un fonctionnaire sur cinq ne sera pas renouveléL’université Clermont Auvergne ne pourra "pas absorber une troisième année de déficit". Un fonctionnaire sur cinq ne sera pas renouvelé Une soixantaine d’emplois contractuels n’ont pas été renouvelés en 2024. En 2025, ce seront un emploi fonctionnaire sur cinq qui ne seront pas renouvelés, avec des départs non compensés. Les dépenses de fonctionnement seront également affectées Une débâcle quasiment générale, puisque 60 universités sur 71 risquent le déficit cette année, contre 27 l’année dernière, avait annoncé le syndicat Snesup-FSU lors de sa conférence de rentrée. https://lnkd.in/eTfnWGTR
L'université Clermont Auvergne ne pourra "pas absorber une troisième année de déficit"
letudiant.fr
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🫁 𝗣𝗟𝗙 𝟮𝟬𝟮𝟱 : 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗿𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘂𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗲𝗻 𝗷𝗲𝘂 ! La volonté affichée par le Premier ministre, dans sa déclaration de politique générale, de faire de l’éducation et de l’enseignement supérieur des priorités gouvernementales a constitué un signal positif, hélas très vite rattrapé par les restrictions budgétaires pesant sur les universités. France Universités n’ignore rien de l’effort de maîtrise ou de réduction des dépenses publiques du pays, car les universités y prennent leur part depuis des années. Leur situation devient aujourd’hui intenable, faute d’une juste compensation des charges qui lui sont unilatéralement imposées par l’État, dont le CAS Pension et les mesures Guerini. ❌ Les établissements sont arrivés au point de bascule où ils vont être obligés de prendre des mesures qu’ils savent problématiques pour l’avenir de la jeunesse et des territoires : fermeture de diplômes ou d’antennes universitaires, réduction des capacités d’accueil, réduction de leurs offres de services, gel ou report de leurs investissements alors qu’une partie de leur patrimoine immobilier est vétuste et énergivore. 👉 Lire le communiqué de presse de France Universités dans son intégralité : https://lnkd.in/e48QgZqi Sénat - Yan Chantrel - Pierre Ouzoulias - Sylvie Robert - Louis Vogel - Claude Raynal - Jean-François Rapin - Élisabeth Borne - PHILIPPE BAPTISTE
PLF 2025 : la survie des universités est en jeu ! | France Universités
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En tant que responsable de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (ESR) dans une métropole, cette annonce résonne particulièrement fort. Les universités ne sont pas seulement des lieux de transmission des savoirs, elles sont des moteurs d’innovation, d’attractivité et de cohésion sociale pour nos territoires. Si les moyens financiers ne suivent pas la montée en puissance des enjeux (réussite étudiante, transition écologique, besoins en infrastructures modernes, renforcement des partenariats internationaux…), nous risquons de fragiliser durablement notre capacité à former les talents de demain et à soutenir la recherche, vecteur de transformation économique et sociétale. Les collectivités locales, bien qu’investies, ne peuvent pallier seules ces manques structurels. Il est essentiel que l’État réaffirme son engagement en faveur de l’ESR, avec un financement à la hauteur des défis à relever.
🫁 𝗣𝗟𝗙 𝟮𝟬𝟮𝟱 : 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗿𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘂𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗲𝗻 𝗷𝗲𝘂 ! La volonté affichée par le Premier ministre, dans sa déclaration de politique générale, de faire de l’éducation et de l’enseignement supérieur des priorités gouvernementales a constitué un signal positif, hélas très vite rattrapé par les restrictions budgétaires pesant sur les universités. France Universités n’ignore rien de l’effort de maîtrise ou de réduction des dépenses publiques du pays, car les universités y prennent leur part depuis des années. Leur situation devient aujourd’hui intenable, faute d’une juste compensation des charges qui lui sont unilatéralement imposées par l’État, dont le CAS Pension et les mesures Guerini. ❌ Les établissements sont arrivés au point de bascule où ils vont être obligés de prendre des mesures qu’ils savent problématiques pour l’avenir de la jeunesse et des territoires : fermeture de diplômes ou d’antennes universitaires, réduction des capacités d’accueil, réduction de leurs offres de services, gel ou report de leurs investissements alors qu’une partie de leur patrimoine immobilier est vétuste et énergivore. 👉 Lire le communiqué de presse de France Universités dans son intégralité : https://lnkd.in/e48QgZqi Sénat - Yan Chantrel - Pierre Ouzoulias - Sylvie Robert - Louis Vogel - Claude Raynal - Jean-François Rapin - Élisabeth Borne - PHILIPPE BAPTISTE
PLF 2025 : la survie des universités est en jeu ! | France Universités
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Les universités publiques et privées en partenariat avec l’État (les EESPIG d’après le sigle un peu barbare pour dire « Établissements d’enseignements supérieurs privés d’intérêt général ») sont l’une (pas la seule) des garanties de lendemains meilleurs. La question du budget est donc d’importance ! Après tout, Hermokratès, syracusain, affirmait déjà durant la guerre du Péloponnèse au sujet des Carthaginois qu’ils « ont en abondance de l’or et de l’argent ; c’est le nerf de la guerre, comme de toute entreprise. » Près de 2 500 ans après, rien n’a changé : beaucoup se joue pour l’enseignement supérieur dans les amphithéâtres, mais aussi dans les tableurs Excel… Ce qui se produit pour nos partenaires des universités avec qui nous travaillons comme l’Université de Reims Champagne-Ardenne nous touche aussi à l’Institut Catholique de Paris. Il importe d’être vigilant et constructif sur nos politiques publiques pour soutenir l'ambition d'une recherche et d'un enseignement supérieur de qualité dans un monde toujours plus concurrentiel à l'international. Toutes les aides sont donc les bienvenues ! Pour l’ICP (tout campus confondu, dont celui de Reims), si jamais vous voulez mettre votre pierre à l’édifice, cela se passe soit en me contactant, soit ici : https://lnkd.in/grgteZ2Q
🫁 𝗣𝗟𝗙 𝟮𝟬𝟮𝟱 : 𝗹𝗮 𝘀𝘂𝗿𝘃𝗶𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘂𝗻𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗲𝘀𝘁 𝗲𝗻 𝗷𝗲𝘂 ! La volonté affichée par le Premier ministre, dans sa déclaration de politique générale, de faire de l’éducation et de l’enseignement supérieur des priorités gouvernementales a constitué un signal positif, hélas très vite rattrapé par les restrictions budgétaires pesant sur les universités. France Universités n’ignore rien de l’effort de maîtrise ou de réduction des dépenses publiques du pays, car les universités y prennent leur part depuis des années. Leur situation devient aujourd’hui intenable, faute d’une juste compensation des charges qui lui sont unilatéralement imposées par l’État, dont le CAS Pension et les mesures Guerini. ❌ Les établissements sont arrivés au point de bascule où ils vont être obligés de prendre des mesures qu’ils savent problématiques pour l’avenir de la jeunesse et des territoires : fermeture de diplômes ou d’antennes universitaires, réduction des capacités d’accueil, réduction de leurs offres de services, gel ou report de leurs investissements alors qu’une partie de leur patrimoine immobilier est vétuste et énergivore. 👉 Lire le communiqué de presse de France Universités dans son intégralité : https://lnkd.in/e48QgZqi Sénat - Yan Chantrel - Pierre Ouzoulias - Sylvie Robert - Louis Vogel - Claude Raynal - Jean-François Rapin - Élisabeth Borne - PHILIPPE BAPTISTE
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Psychologue, thérapeute familiale; Responsable projet " Un zeste vers l'autre"; ateliers de cuisine intergénérationnels, Manager d'organismes à vocation sociale
3 moisBRAVO à vous toutes et tous !! Une ancienne de la promo 29 ....