Post de Challenge Maroc

ULM INDUSTRIES : Partenaire de Croissance dans le Secteur Minier Marocain ! 🌟 Leila Benali, ministre de la Transition énergétique, met en lumière le rôle vital du Maroc dans l'industrie minière mondiale. Nous sommes enthousiastes à l'idée de nous aligner sur cette vision ! Selon les données présentées par Leila Benali, le Maroc se classe de manière impressionnante dans la production mondiale de plusieurs minéraux essentiels : - L'argent : 17e mondial et premier en Afrique - Le cobalt : 12e mondial et troisième en Afrique - Le nickel : 28e mondial et sixième en Afrique - La barytine : quatrième mondial et premier en Afrique Chez ULM INDUSTRIES, nous sommes fiers de partager cette vision. Notre participation témoigne de notre dévouement au progrès collaboratif et au développement durable de l'industrie minière marocaine. 🤝 Ensemble, nous construisons un avenir prospère pour le Maroc dans le secteur minier mondial, en alignant nos actions sur les ambitions nationales de transition énergétique, d'industrialisation et de digitalisation. 💼🌍 Découvrez comment nous contribuons à cette croissance sur : [https://lnkd.in/e8ZR9StA) 🚀 #ULMIndustries #Maroc #SecteurMinier #TransitionÉnergétique #DéveloppementDurable

Après le lancement des grands projets structurants de Gara Djebilet, Oued Amizour et Tébessa : Place à une véritable industrie minière https://lnkd.in/eQVDcTCE

Le secteur minier marocain est un levier stratégique fondamental dans l’architecture économique du pays. Porté par une géologie exceptionnelle, le Royaume exploite une vaste diversité de ressources, des phosphates aux métaux précieux et stratégiques, en passant par les minerais critiques essentiels à la transition énergétique.

Et en Afrique Centrale ; Gabon, Cameroun, Congo Brazza, Tchad, Centrafrique ,Guinée Équatoriale.. ou sont vos projets miniers qui rentrerons en production en 2025??? l Afrique de l 'Ouest est 30 ans en avance sur nous au plan minier.

Afrique de l'Ouest : ces projets miniers qui entreront en production en 2025

Dans sa forme actuelle, la réforme du régime minier québécois découragera l’exploration minière et réduira les découvertes de nouveaux gisements de minéraux critiques et stratégiques (MCS). À terme, le Québec risque même de devoir importer des MCS afin de poursuivre sa transition énergétique, affirme l’Association de l'exploration minière du Québec (AEMQ). En entrevue avec Les Affaires, le directeur général de l’association, Alain Poirier, explique que les travaux actuels d’exploration afin d’exploiter à terme des mines de MSC — lithium, graphite, nickel, etc.) — se poursuivront. En revanche, l’incertitude provoquée par la réforme minière incitera des sociétés d’exploration à exercer leurs activités pour de futurs travaux dans d’autres juridictions regorgeant de MCS, comme l’Ontario, estime-t-il. «Sur une période de 10 à 15 ans, il va y avoir un trou au niveau des découvertes. Les entreprises vont préférer explorer pour de l’or dans des secteurs connus comme l’Abitibi et la Baie-James, et pas nécessairement pour d’autres types de minéraux. Donc, à la fin de la journée, on va finir par importer les minéraux des autres pays afin de pouvoir faire la transition énergétique», dit-il. #mine #exploration #MCS #minérauxcritiquesetstratégiques

[LA GUINEE EST D’ABORD SCANDALE GEOLOGIQUE, Plus profitable que le secteur agricole] La Guinée est dotée d’importantes ressources minérales. Elle dispose selon les estimations actuelles : - Plus d’un tiers des réserves mondiales de bauxite (40 milliards de tonnes avec une teneur en alumine supérieure à 40%) ; - Les plus grands gisements inexploités de fer à forte teneur au monde ; - Plus de 700 tonnes de réserves d’or ; - Des réserves en diamants de 30 à 40 millions de carats ; et - De nombreux autres minerais tels que le Manganèse, le Zinc, le cobalt, le nickel et l’uranium. Un Pays qualifié de scandale géologique, ayant servi au grand rendez-vous de toutes les ressources minérales. L’exploitation minière occupe une place importante dans l’économie nationale, générant plus de 80% des exportations, fournissant plus de 25 à 30% des revenus de l’État, sans compter des dizaines de milliers d’emplois directs. Pour le cas spécifique de SIMANDOU, il sera la plus grande mine de minerai de fer jamais développée en Afrique, caractérisée par une haute teneur en fer et un faible niveau d’impuretés. Ce projet minier incomparable à un PROJET AGRICOLE pour le développement de la Guinée, est une porte d’entrée vers la transformation de l’économie nationale, c’est à dire un PONT VERS LA PROSPERITE. Un gigantesque projet d’investissement minier avec un potentiel de viabilité économique, couvrant quatre composantes importantes (Mines, infrastructures ferroviaires, Port en eau profonde et de l’aciérie) pour le développement socio-économique de la Guinée. L’exploitation du Projet minier SIMANDOU entrainera une augmentation significative du volume d’extraction des gisements minéraux du Pays, ce qui permettra à l’économie nationale de se développer très rapidement par le financement d’autres secteurs tels que l’agriculture, la création d’industries etc. Le secteur minier guinéen sous l’égide du Général Mamadi DOUMBOUYA est désormais conscient de la nécessite d’extraire de manière responsable, de veiller à ce que les entreprises prennent des initiatives sociales, de mettre davantage l’accent sur l’engagement communautaire, d’utiliser des processus plus sûrs, d’adopter de nouvelles technologies durables, de promouvoir l’amélioration du bien-être des communautés locales, d’adopter la responsabilité sociale des entreprises et de respecter et d’honorer des politiques environnementales strictes. "La rentabilité d'un Projet minier est jugée par les spécialistes en Économie minière et Mines"

[LA GUINEE EST D’ABORD SCANDALE GEOLOGIQUE, Plus profitable que le secteur agricole] La Guinée est dotée d’importantes ressources minérales. Elle dispose selon les estimations actuelles : - Plus d’un tiers des réserves mondiales de bauxite (40 milliards de tonnes avec une teneur en alumine supérieure à 40%) ; - Les plus grands gisements inexploités de fer à forte teneur au monde ; - Plus de 700 tonnes de réserves d’or ; - Des réserves en diamants de 30 à 40 millions de carats ; et - De nombreux autres minerais tels que le Manganèse, le Zinc, le cobalt, le nickel et l’uranium. Un Pays qualifié de scandale géologique, ayant servi au grand rendez-vous de toutes les ressources minérales. L’exploitation minière occupe une place importante dans l’économie nationale, générant plus de 80% des exportations, fournissant plus de 25 à 30% des revenus de l’État, sans compter des dizaines de milliers d’emplois directs. Pour le cas spécifique de SIMANDOU, il sera la plus grande mine de minerai de fer jamais développée en Afrique, caractérisée par une haute teneur en fer et un faible niveau d’impuretés. Ce projet minier incomparable à un PROJET AGRICOLE pour le développement de la Guinée, est une porte d’entrée vers la transformation de l’économie nationale, c’est à dire un PONT VERS LA PROSPERITE. Un gigantesque projet d’investissement minier avec un potentiel de viabilité économique, couvrant quatre composantes importantes (Mines, infrastructures ferroviaires, Port en eau profonde et de l’aciérie) pour le développement socio-économique de la Guinée. L’exploitation du Projet minier SIMANDOU entrainera une augmentation significative du volume d’extraction des gisements minéraux du Pays, ce qui permettra à l’économie nationale de se développer très rapidement par le financement d’autres secteurs tels que l’agriculture, la création d’industries etc. Le secteur minier guinéen sous l’égide du Général Mamadi DOUMBOUYA est désormais conscient de la nécessite d’extraire de manière responsable, de veiller à ce que les entreprises prennent des initiatives sociales, de mettre davantage l’accent sur l’engagement communautaire, d’utiliser des processus plus sûrs, d’adopter de nouvelles technologies durables, de promouvoir l’amélioration du bien-être des communautés locales, d’adopter la responsabilité sociale des entreprises et de respecter et d’honorer des politiques environnementales strictes. "La rentabilité d'un Projet minier est jugée par les spécialistes en Économie minière et Mines"

Les partenariats actuellement en vogue et en vigueur ont en Afrique de façon générale et en RDC en particulier,de l'avis des observateurs avisés une particularité : le déséquilibre des droits entre ceux de l'État et ceux des investisseurs privés. En effet, au-delà de l ombre qui plane sur le processus,il y a pire . Les négociateurs missionnés par l'État surtout sont,pour la plupart,dépourvus de connaissances techniques susceptibles de permettre de poser des questions utiles à la préservation des intérêts du mandant mais, il faut, à cela,ajouter la connaissance exacte de la valeur du sous sol couvert par un titre minier ou pétrolier. On ne peut bien vendre que ce dont on connaît la valeur. Sinon on brade tout .

Hier, un atelier de travail consacré au développement de la filière lithium en Algérie a été ouvert à Alger par le ministre d’État, ministre de l’énergie, des mines et des énergies renouvelables, M. Mohamed Arkab. Cet événement a rassemblé des responsables gouvernementaux, des experts du secteur, ainsi que des chercheurs, dans le but de définir une stratégie ambitieuse pour exploiter cette ressource stratégique et renforcer l’économie nationale. Trois axes principaux ont été abordés lors de cet atelier : l’exploitation des ressources locales, la position stratégique du lithium pour l’Algérie, et la diversification économique à travers le secteur minier.