Post de Chambre d'agriculture de Loir et Cher

Le saviez-vous ? Le logo « Volaille Française », qu’on retrouve sur les volailles et les produits élaborés et transformés, offre la garantie d’une volaille née, élevée, abattue, découpée et transformée en France. 🇫🇷 A l'heure où la filière est éprouvée et où certains éleveurs ont du faire face à une surmortalité provoquée par les fortes chaleurs, notre filière se mobilise pour les soutenir dans ces épreuves et leur témoigner notre solidarité. Nos éleveurs sauront trouver les solutions adaptées, nous en sommes persuadés. Découvrez en vidéo les chiffres clés de la filière avicole française Abonnez vous à notre page Syndicat de la Volaille et du Gibier Source Interprofession ANVOL

La Minute Riches : Les Lambert, rois du poulet... et de la salade! Denis Lambert incarne la famille qui contrôle LDC Groupe, le N°1 du poulet en France. Sa famille est la 165ème fortune française, avec une fortune estimée 825 millions d'euros. Et pour son 64ème anniversaire, l'an dernier, après 20 ans à la tête du groupe, denis lambert a cédé sa place pour devenir président du conseil de surveillance. Pour fêter le coup, les éleveurs de #Poulets_de_Loué lui avaient offert... une caisse en bois à son nom. Un clin d'oeil sur les origines de la famille : c'est avec ces caisses que son grand-père et son père faisaient les marchés. Mais ces aieux ont aussi eu le flair de s'associer à leurs concurrents, les Dodard et Chancereul (les "D" et "C" de LDC), il y a 55 ans. Depuis, les Dodard ont quitté le groupe mais deux autres familles l’ont rejoint : les Guillet en 1990 et les Huttepain (de HUTTEPAIN ALIMENTS) en 2001. Ensemble, elles détiennent 70 % du capital. Denis Lambert, après 20 ans de direction, n'a pas à rougir de son parcours. Son groupe réalise 6,2 Md€ de CA et 304 M€ de bénéfices net, fait travailler 23 000 salariés et possède des marques aussi connue des Français que les poulets de Loué, Le Gaulois et MARIE - Groupe LDC... et bientôt les crudités de Groupe Pierre Martinet, selon une information Les Echos. Car #Philippe_Gélin, le successeur opérationnel, ne va pas chômer. Il s'apprête à croquer les salades de #Pierre_Martinet. A 77 ans, le "traiteur intraitable" souhaite passer la main. Et comme aucun de ses 5 enfants ne veut reprendre son affaire (CA : 230 M€), il a signé avec LDC Groupe. Le groupe va voir son activité traiteur (CA 2023 : 911 M€) bondir et passer le milliard d'euros, grâce à l'apport de Martinet, de ses barquettes de carottes râpées, céleri rémoulade, ses salades et ses préparations marines (La Belle Henriette) et charcutières (dont le saucisson brioché). Ce sera une prise majeure pour le groupe et le couronnement de plus de 20 ans de gouvernance "Lambertienne". Depuis l'arrivée de Denis Lambert (2001) à la tête du groupe, en effet, le groupe a multiplié par cinq son activité, malgré les crises aviaires à répétition et grâce à des rachat majeurs comme #Doux, Maître CoQ et Marie. Pas mal pour un petit gars du terroir, qui n'a en poche qu'un modeste DUT en gestion et finances des entreprises. Il a du commencer, en 1977, et comme c'est d'usage dans la famille, tout en bas de l'échelle, en contrat étudiant : "Puis mon père m’a mis deux mois à l’abattoir poulet, à passer sur tous les postes. C’est le plus grand service qu’il m’ait rendu. J’en ai tiré tout le respect que j’ai pour ce métier », confiait Denis Lambert au quotidien Ouest-France l'an dernier. Et tant pis sur les associations de défense animale, L214 en tête, dénoncent les élevages qui fournissent LDC dans leurs vidéos...

**MOUTONS D'EXCEPTION POUR L'AÏD : encouragez vos éleveurs marocains À l'approche de l'Aïd, nous sommes fiers de vous présenter nos moutons élevés dans le respect de la tradition paysanne.    Pourquoi choisir nos moutons ?   1. ** Elevage Bio** : Nos moutons pâturent et se nourrissent d'herbes naturelles, foin, avoine et bottes de fourrage de qualité garantissant une viande saine et savoureuse comme vous pouvez le voir dans les photos.   2. **Tradition Paysanne :**  Nous sommes la 4ème génération d'éleveurs-agriculteurs dans une ferme située au cœur de la nature dans la région Chaouia spécialisé en mouton "BERGUI" et perpétuons les méthodes traditionnelles de soin et d'attention envers notre élevage.   3. **Facilité de Paiement :** Nous comprenons l'importance de cette célébration pour vous et votre famille. C'est pourquoi nous proposons des facilités de paiement adaptées à vos besoins, vous permettant d'acquérir votre mouton en toute sérénité.   4. **Venez nous voir** : combiner plaisir et achat en venant nous rendre visite et constater par vous-même notre vie d'éleveurspar l'achat direct sans intermédiaire !!!! **

Voilà près de 30 ans que la filière des volailles du Bourbonnais attendait cette AOP, la deuxième au monde pour un poulet, après celui de Bresse. Pour obtenir une appellation d’origine protégée, il faut réunir un terroir, un savoir-faire et un produit. Ici, le produit a une longue histoire, comme le raconte François Périchon, ancien président de la filière, l’un des artisans du renouveau de la race : "C'est une race issue d'un croisement entre une poule blanche, que l'on trouvait dans les fermes du Bourbonnais au siècle dernier, et un coq Brahma. Elle a un joli camail, une crête dentelée et une queue avec des plumes en forme de faucilles. Et c'est aussi l'histoire du métayage, avec les femmes qui, autrefois, donnaient à cette race du lait caillé en fin d'élevage, une tradition que nous avons reprise." Tripler la production Ainsi, le poulet du Bourbonnais est élevé plus de 100 jours en plein air, sur un parcours herbeux. Il cherche désormais à se faire une place de choix, aux côtés de la volaille de Bresse. Certains chefs l’ont complètement adoubé, à l’image d’Olivier Valade, du restaurant étoilé La Chapelle, à Montluçon : "Moi je ne prends que des poulettes, qui ont un flan plus charnu. Le taux de gras est très intéressant et elles ont une chair d'un fondant exceptionnel." Olivier Valade se veut désormais ambassadeur de la volaille du Bourbonnais. L’attribution de l’AOP a donné un sérieux coup de pouce aux ventes. De nouveaux éleveurs se positionnent pour rejoindre la petite dizaine qui forme actuellement la filière. La production devrait ainsi tripler d’ici trois ans, en passant de 500 à 1 500 poulets, vendus chaque semaine Source franceinfo Podcast audio en cliquant sur le visuel Abonnez vous à notre page Syndicat de la Volaille et du Gibier pour suivre nos actualités

LE SAVEZ-VOUS ? Pourquoi la Fédération nationale des chasseurs souhaite remettre dans l’assiette des Français cette viande de #gibier de nos terroirs ? Les populations de grands gibiers notamment le sanglier sont en explosion depuis quelques années, notamment du fait du réchauffement climatique. Dans ce contexte, on comprend que le développement de la consommation de cette viande de gibier est un vrai défi. Selon une récente étude, 31% de cette viande est offerte à l’entourage des chasseurs. Alors que la souveraineté alimentaire et l’accès à l’alimentation devient un enjeu économique et social majeur, continuer pour les chasseurs de manger le fruit de leur chasse et permettre plus largement, aux Français, de consommer cette viande naturelle est indispensable. De plus, la viande de gibier cumule tous les attributs en vogue aujourd’hui : proximité, naturalité, authenticité et qualité ! Pourquoi s’en priver ! La FNC travaille à faciliter l’accessibilité de la venaison pour le consommateurs notamment en permettant la vente de cette viande aux bouchers et aux charcutiers dans le cadre de circuits courts. Vous avez des questions, posez-les nous en commentaire. ➡️ En savoir + https://lnkd.in/eJj_BXBJ

La revue de presse du retail : Foie gras : un rebond fragile pour les producteurs du Sud-Ouest - Objectif Aquitaine: Sur les 3.500 salariés du leader en grande distribution du foie gras et du saumon fumé, 1.400 travaillent dans les Landes et les Pyrénées-Atlantiques. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

« Fumé en France » 2019-2024 : 5 ans d’engagements concrets pour la préservation du fumage du saumon et de la truite en France et la responsabilité sociétale de l’activité. À quelques semaines des fêtes de fin d’année, moment privilégié de consommation du saumon fumé en France, les entreprises de fumaison françaises réunies au sein du groupe du Saumon et de la Truite Fumés des ETF - Entreprises du traiteur frais (STF - ETF) fêtent les 5 ans de leur démarche « Fumé en France ». 🇫🇷 Un logo pour identifier le saumon et la truite fumés en France ✍️ Huit entreprises de fumaison signataires 🇫🇷 Préparation française et responsabilité sociétale 🔎 73 points de contrôles strictement surveillés 📜 Les fumeurs français unis par leur savoir-faire historique 🗺️ Le Saumon Fumé en France : une garantie de traçabilité 🤝 Le Saumon « Fumé en France » : un repère de confiance 🇫🇷 « Fumé en France » : un repère convaincant aussi pour la truite

Savez vous d'où provient notre viande ? De Normandie bien sûr ! Plus précisément de la Chaiseronne, cette boucherie est basée à Brécey dans la Manche. Nous proposons une viande de race Normande, le bœuf est issu d’un circuit court et tracé, leurs bêtes sont nées, élevées et abattues en Normandie. Le cycle naturel et traditionnel de l’élevage bovin est inscrit dans une logique de développement durable. La préparation est artisanale et toutes leurs viandes sont maturées.

[Les chiffres clés de la Volaille Française] Saine et équilibrée, la volaille occupe une place de choix dans le quotidien d'1 Français sur 2 qui la consomme fréquemment ! Avec le logo Volaille Française, nous apportons une réponse supplémentaire aux attentes des Français en leur garantissant une origine 100% française. Véritable repère, notre estampille est connue et reconnue des consommateurs qui trouvent en elle un gage de confiance. Quelques grands résultats de cette enquête : 🍴 96% des Français consomment de la volaille 🐓 90% des consommateurs connaissent le logo Volaille Française 🇫🇷 86% estiment que l'origine 100% française de la volaille qu'ils achètent est un critère de choix important Pour en savoir plus, consultez notre infographie 🐓🇫🇷🔎 Sources : Etude CSA pour l’ANVOL - novembre 2024 ; Etude IFOP pour l’APAF - octobre 2024 ; Etude CIRCANA pour le CLIAA - octobre 2024 #VolailleFrançaise #filière #logo #originefrance Interprofession ANVOL SYNALAF - Syndicat National des Labels Avicoles Comité Interprofessionnel de la Pintade / Branchenübergreifender Perlhuhn-Ausschuss Syndicat de la Volaille et du Gibier

// #14 Bonnes tables // On a la chance incroyable d'avoir près de chez nous des restaurateurs et des bouchers qui ont envie de travailler avec des producteurs locaux et qui s'en donnent les moyens. Plusieurs ont formé leurs équipes à la découpe bouchère; ils peuvent donc travailler à partir de la carcasse entière. Et comme ils sont plusieurs, ils s'entraident pour partager les bêtes quand ils ont des frigos trop petits. ça parait simple mais ça ne l'est pas du tout. Quand d'autres chefs nous demandent " 10kg d'entrecôte", nous producteurs ne pouvons pas répondre, par manque de quantité, ou parce qu'on ne peut pas vendre que les pièces à griller en resto; qu'est ce qu'on fait du reste? En travaillant l’entièreté d'une bête, en valorisant les os, le gras, les abats... par des bouillons, des sauces, en cuisinant des préparations mijotées, des effilochés..., ces restaurants font honneur à nos animaux en ne gâchant rien de ce qu'ils offrent. C'est aussi pour nous une belle reconnaissance de notre travail, parce qu'on sait que chaque morceau sera magnifié et dégusté dans de belles conditions, accompagné d'autres produits locaux. D'autres professionnels mettent aussi à l'honneur nos produits, comme la boucherie le Saint Cochon à Rennes, et la boucherie Les Garçons en région parisienne. En proposant à leurs clients de sortir des sentiers battus et de découvrir de la viande de caractère, persillée et bien élevée, ils contribuent grandement au maintien de races locales, à la promotion du bien-manger et bien élever. Coeur sur eux tous! THE ROOF - ORIGINES , Bombance, Graille, Penates, Fezi, Tête d'ail et bientôt Cueillette; La boucherie le Saint Cochon, Les Garçons Allez une petite devinette pour la route: Une partie de ces restaurateurs rennais se sont fédérés en collectif, avec une Charte regroupant les valeurs qu'ils partagent. Comment donc s'appelle ce collectif? Pas beaucoup de réponses pour la question d'hier, mais je donne quand même quelques réponses: il y a TeleCoop France pour le téléphone, Mobicoop pour le covoiturage, ou encore Sailcoop pour le transport à la voile. Toutes ces structures se regroupent au sein des Les Licoornes, un mouvement d’Économie Sociale et Solidaire qui veut remettre notre économie au service du bien commun #Agriculture #Calendrierdelapres #Lestrognes #Elevage #Paysans #Bretagne #Elevage #FermeBio #AgricultureBio #Food #Foodie #ESS #Cooperative #Restaurant #ShopLocal #Locavore #Rennes Olivier Marie Pur Beurre Bretons en Cuisine