Post de Championnat de France des économies d'énergie

📰 [Revue de presse] 📰 La démographie. Le fameux sujet “tabou” dont nous entendons pourtant parler quotidiennement. Nous serions pour certains trop sur Terre, et il serait urgent de trouver des solutions pour y remédier. Pour répondre à un sujet aussi compliqué que complexe, il faut du temps. Après trois ans de travail sur la démographie et les enjeux écologiques, Emmanuel Pont sort son premier livre Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ? aux Éditions Payot. https://lnkd.in/esQVszjX

Je pense qu'un jour on saura voyager dans l'espace facilement. En 2000 ans de civilisation on a la voiture,l'avion... Donc imaginez dans 100 000 ans! Peut être quand même qu'on s'est développés très vite et de - en - mais quand même, sur une très longue période peut être. Si un jour on est trop nombreux sur la planète, on pourra peut être se téléporter ailleurs, sur d'autres planètes, pour y vivre, y travailler, faire de l'agriculture pour la terre... On n'a que 2000 ans de civilisations d'ici 100 000 ans ce sera peut être possible facilement. Je pense que quand on saura voyager facilement et efficacement dans l'espace, ce sera la fin des guerres, parce qu'on aura autant de ressources de place et de territoires qu'on veut. Tant qu'on n'arrive pas à voyager facilement et efficacement dans l'espace, je pense qu'un jour il faudra contrôler les naissances, pour garder une population qui puisse être satisfaite par les ressources de la planète, avec maximum 2 enfants pour 2 parents la pop. serait stable.

💥 Exploratrice des temps moderne ou Syndrome de l’imposteur ? Ma vie professionnelle commence à un endroit pour se ramifier et s’entrelacer sans cesse. 🔎 Forte de mon super diplôme d’urbaniste, ce n’est pas vraiment la joie. J’ai dû me tromper de voie car rond-point et feux rouge et objectif élection. Pas trop mon truc. 🔎 1er enfant, diagnostiqué asthmatique. Me voici partie dans une quête d’information sur la santé et l’habitat. Passionnant tous ces produits et matériaux générateurs de pollutions. Bingo, 1 BB qui réagit à tous ces produits. Pas possible de faire un métier sur les pollutions de l’air intérieur. Vous êtes médecin ? non, alors catalogué non légitime. 🔎Partie dans le sud- ouest, je fais quoi maintenant ?    Agent immobilier, en voilà une idée : maison, urbanisme, histoire, découverte du territoire. Et hop, c’est parti pour 3 ans jusqu’à commencer un cursus d'expert judicaire en valorisation immobilière.  🔎Mais la vie à d’autre projet, 2 BB pour 1 seul ventre. Fini de partir au 4 coins du territoire, donc arrêt sur image. 1 an passe et une école de formation aux techniques anciennes du bâtiment à 20mn de chez moi. Je suis fascinée par ces habitats en terre, en chaux, en plâtre. Des chantiers de la buanderie ou château, physiquement c’est chaud bouillant, pas vraiment la stature . 🌻 1er regard en arrière : urbanisme, maison, habitat et santé … et si j’ouvrais un négoce de matériaux naturels et écologiques tout en faisant de la sensibilisation auprès du public et des institutions sur l’impact des matériaux sur la Santé. 10 ans puis voilà internet et la vente en ligne. Pas trop mon truc d’être derrière un ordi et d’emballer des cartons. La vie m’offre une nouvelle prise de conscience avec 2 décès de proches rapprochés. Et là je me dis la vie et trop courte pour s’obliger dans une voie qui ne m‘amuse plus. OUI mais !  🌻 Pour mon négoce je fais intervenir un géobiologue. Révélation, c’est cela que je perçois depuis toute jeune, la vie intrinsèque des lieux. J'arrête le négoce et me lance dans cette nouvelle aventure d'1 an de formation. Cela fait maintenant 10 ans. 🌻 ☀ Aujourd’hui je suis fière de ce parcours d’exploratrice vu souvent comme chaotique, car pour faire mon métier de géobiologue j’ai besoin d’absolument TOUS ces ingrédients. Pour faire un gâteau, les ingrédients sont écrits en haut de la fiche. Moi, j’ai pu dresser la liste des ingrédients qu’après plein de détours et ramifications.   Aujourd’hui je choisi ☀ Mes missions ☀Mes heures de travail ☀Préparer mes dossiers sur ma terrasse ☀Ecouter mes envies     Pour comprendre les changements, il faut avancer sur le chemin et aussi prendre du recul comme l’oiseau pour apprécier l’arbre dans son entier. Ça tombe bien, j’adore les arbres et faire la cuisine sans recette toute préétablie ! 🌲 Au choix un 👍 ou 🤗 www.diane-geobiologue.com #JeRamenMaFraise @RamenTaFraise @Nina Ramen photo ⭐️Gwen Bovilan

QU'ALLONS NOUS FAIRE DE LEURS 20 ANS ? Voici une question que serait en droit de nous poser un enfant de 6 à 7 ans qui aura la vingtaine dans les années 2040.. A l'occasion de la 54ème #journeedelaterre, face au défi du siècle qu’est le dérèglement climatique, défi qui n’épargne aucun territoire, qu’allons-nous léguer à cette génération ? Qu’allons-nous faire, décideurs publics de tous niveaux, acteurs privés (industries, monde agricole, secteur des services), pour leur laisser un monde qui aura progressé et pris en compte la nécessité de repenser ses façons de produire, construire, se déplacer, consommer ou vivre-ensemble ; en un mot un monde plus sobre, durable et résiliant ? Cette interpellation est avant toute chose un appel à l’action collective. En dressant le portrait climatique du Lot d’ici 2050, portrait qui sera présenté lundi prochain aux élus départementaux en session et travaillé en concertation avec tous les acteurs, le Département du Lot a voulu documenter scientifiquement quelles pouvaient être les sensibilités les plus critiques de notre territoire et leurs conséquences sur la vie de chacun. C’est aussi le point de départ d’un chemin nouveau pour accélérer notre bifurcation écologique. Le Département n’est pas en reste et a déjà pris ces enjeux à bras-le-corps dans de nombreuses politiques publiques : premier établissement scolaire à énergie positive à Bretenoux, aide Lot Solaire pour les particuliers, création et gestion des espaces naturels sensibles, sécurisation de la ressource en eau, soutien au développement des mobilités douces, voies vertes, etc... Nous allons continuer et approfondir nos actions concrètes. Nous le devons à nos enfants, à nos petits-enfants. Plus que jamais, il s’agit, ici et maintenant, de semer les graines de l’avenir ! https://lnkd.in/eQaacUiC #transitionecologique #transitionenergetique #AdaptationClimatique #journeemondialedelaterre #environment

Quoi ma gueule! 🤟 Vous connaissez la suite n’est ce pas? [Journal d'études, Semaine du 25-Mars-2024] Une fois n’est pas coutume, voilà une photo souvenir de cette semaine intense et heureuse! J’ai eu la chance de passer une journée dans les Vosges du Nord avec Jean-Claude Genot pour ma commande et je vous en reparlerai très prochainement! Le programme hebdomadaire s’est poursuivi avec les travaux de groupe en cours : avec Xavier Fourt nous avons continué à préparer notre dernière expédition autour de l’élaboration d’un cahier des charges pour un débat public sur la transmission d'un paysage. Avec le Collectif TAMA et mon groupe SIRVENT Nathalie, Nathalie DUBOIS et Semra Sonmez nous enquêtons sur l'excellente initiative #Européenne https://lnkd.in/epCHsQ-T Nous avons dressé une première carte sensible et j’ai réussi à interviewer 4 personnes pour poursuivre le travail de #cartographie sensible la semaine prochaine. Il n’y pas de transition sans #sobriété et donc changement de nos modes de consommation selon Victor Petit. Petit( 😅 ) traité philosophique en 6h de la terre du milieu, ou l’étude de la #mésologie "science des liens de causalité entre l’humain et ses différents milieux".  Contrairement à l’environnement, pour changer le milieu, il faut se modifier soi-même, changer mes relations aux techniques qui sont ni des dieux ni des esclaves mais comme nos propres enfants. Quels sont les premiers mots qui viennent quand on parle de nos enfants ? #Soin et #responsabilité. Avec Garance Navarro Ugé nous discutons de la #loi comme outil collectif d’autonomie. Comment pourrons nous créer de nouvelles règles adaptées à l'anthropocène sans que celles-ci viennent forcément de l'État? En quoi ces règles serviront les #redirections écologiques que nous appelons de nos vœux? Enfin, si vous avez lu l’épisode précédent concernant le workshop de Nicolas Roesch, le suspense est à son comble concernant la question “Comment utiliserons-nous cette expérience afin de continuer à apprendre et nous enrichir de nos différences plutôt que de nous freiner?” avec Romain Barrallon, Isabelle NOGHA, Marc Jolivalt et Semra Sonmez. Malgré toute les difficultés, atelier hybride et en anglais, travail sur les émotions et la perception de la dé-artificialisation, nous avons réussi 😊 à dérouler notre atelier et à apprendre énormément de cette première version qui nous donne envie de poursuivre le travail. Merci à Jean-Claude Genot pour la photo!   Lien vers l’épisode précédent: https://lnkd.in/eFVwGcB8

Connectons nos enfants à la nature et au vivant ! 🌍🌱👁️💚 Combien d'enfants de nos villes n'ont jamais marché pieds nus dans l'herbe ? S'il sont capables de reconnaître des dizaines de logos et de pubs, combien d'espèces d'arbres peuvent-ils nommer ? Comment protéger ce qu'on ne connaît pas ? L'initiative "Classe dehors" offre aux enfants des expériences directes avec la nature. 👏 Apprendre dehors, c’est non seulement bénéfique pour leur santé physique et mentale, mais c'est aussi une rencontre essentielle avec le vivant. Une étape déterminante dans l'éveil de leur conscience écologique. #classedehors #education #environnement

🔽 Le nouvel épisode de mon podcast est enfin disponible sur toutes les plateformes 🔽

😊 Après de longues semaines d’absence dues à un agenda chargé, c’est avec une joie profonde qu'aujourd'hui, j’ai retrouvé O. ⛵ O est un Columbia 56, un ketch de 54 pieds construit en 1976. Je l’ai acheté pour une somme plus que dérisoire il y a un an, à l’état de quasi épave. Après reconditionnement, le moteur de 140cv démarre au quart de tour. Reste un long travail de refit des deux carrés et des trois cabines doubles, exclusivement réalisé avec des matériaux récupérés et des équipements de seconde main. Un voilier est un formidable terrain flottant de jeu et de découverte. Vivre à bord , c’est : ⛵savoir se connecter à son environnement et composer avec lui, ⛵comprendre le principe de cause à effet, ⛵mesurer l’interdépendance des phénomènes, ⛵expérimenter les #limitesplanétaires, dans une certaine mesure, ⛵être vigilant quant à son impact sur l’#environnement (le moins de déchets possible, plastique quand aucune autre solution n’est possible) ⛵ apprendre la lenteur et la concrentration : la précipitation et un esprit distrait peuvent se payer chèrement O est la concrétisation de mon troisième rêve de petite fille (les deux premiers - dont celui de vivre en #Polynésie - ayant déjà été réalisés!). 2 années de visites se sont écoulées avant que mon choix se porte sur lui. La patience est mère de toute chose 😉 Un pensée hindoue dit qu’un idéal n’a aucune valeur si nous ne pouvons pas le mettre en pratique. O m’apporte la possibilité de mettre vivre le mien en toute humilité : ⛵vivre dans une #sobriété heureuse quand je suis à bord tout en étant connectée à l’environnement qui me correspond : l’océan O a encore une longue vie devant lui. Une fois le refit achevé, il sera le pilier d’un projet à dimension sociale. Une autre façon de mettre en pratique un idéal de #partage et de #solidarité. La suite dans quelques mois !

Une parenthèse comme une digression en ces lieux qui peut-être devraient s'abandonner aux jardins anglais que pourraient inviter nos pensées chômées, se hasardant librement alors aux posts de jardiniers. Sans mètre-mot autre que leur lâcher-dire. Peut-être en sortirait-il de nouvelles traces comme autant d'empreintes dont la longue traîne ne tarderait pas à repérer celles qui déjà se rêveraient en formes comme en usages. A en ouvrir une, de parenthèse, la traversée futile d'une question bien anodine, en marge de tout sujet digne de lecture: au temps du grand covid, nos interfaces étaient-elles réellement prêtes à assumer leur sacerdoce tandis qu'elles furent bientôt les seules à demeurer fenêtres sur le monde ? Ah, non, c'est vrai. Restaient aussi les livres dont on a tiré quelque-uns - à point nommé très situés - de l'oubli relatif dans lequel ils sommeillaient à l'ombre de milles et unes avalanches littéraires. Des rebest-sellers commandés à toute hâte depuis la première lucarne venue. Parce qu'ils venaient promettre une île au chevet du délicat état de siège que nous vivions alors, naufragés de libertés connues comme nous pouvions en ressentir une certaine condition. Trop connues pour être oubliées ? Qu'importe. Je veux dire. Il y avait des lignes, du texte ici, du code là-bas. Et mine de rien, je ne sais si les unes comme les autres ont réellement pu tenir la barre pour nous permettre de trouver quelques sas de respiration. Est-ce que la réalité virtuelle aurait joué au chevalier blanc ? Je n'en sais fichtre rien. Quelles interfaces alors demain pourraient-elles pour ainsi dire "faire face" à de tels événements ? Toutes mutantes qu'elles sont, toutes abreuvées de données qu'elles sont pour destiner de simples Hommes ou Machines en devins ? Et même lorsqu'elles seront sorties des carreaux pour advenir en spectres chatoyants au rythme de nos désirs & data, seront-elles cette heureuse compagnie qui nous manqua, même là encore, relativement ? Voilà. Tout ça pour ça. Autrement écrit pour rien. Ah, si évidemment...De l'énergie en moins, du CO2 en plus. A la bonne heure... "(Ce)silence est d'or" redoublerait de sagesse à considérer sa neutralité apparente...Allez, il est temps de la fermer cette parenthèse de passage.

Au fil des générations, les enfants passent de moins en moins de temps dehors, confirment plusieurs études. C’est ce que l’auteur américain Richard Louv appelait, bien avant l’émergence des smartphones, le «syndrome de déficit de #nature». Les raisons : les écrans, bien sûr, mais aussi l'urbanisation croissante et le sentiment d'insécurité. Rappelons que l'activité en nature permet, entre autres, de lutter contre les troubles de l'attention, de favoriser le sommeil et la santé mentale, et d'améliorer, singulièrement quand elle se consolide durant l'enfance, l'immunité. L'opération #enmaitontealarret (pour s'inscrire, c'est ici : https://lnkd.in/eDW4-W45 ) que propose Le Vif est aussi une manière d'attiser la curiosité pour la nature (bon, entre les gouttes pour le moment 😉)... et d'inciter à en prendre soin: Les travaux sur l'«extinction d’expérience de nature» démontrent que le point de référence à partir duquel on évalue la destruction de la nature, c’est la situation que l’on a connue étant enfant. Or, ce point de référence se dégrade, ce qui nous permet de moins en moins de se représenter la situation d'une biodiversité restaurée.