[ 📌 ] ON L'A ÉCHAPPÉ BELLE CETTE FOIS-CI mais c'est la dernière chance. En effet, la France est en crise depuis 1974 (première année de déficit public du pays). Depuis cette date jusqu'à ce jour, le pays n'a fait que cumuler un déficit chronique qui dure depuis près de 50 ans. Et depuis près de 50 ans de nombreux diagnostics ont été posé pour résorber ce fléau mais sans succès. On oublie souvent qu'une crise n'est pas seulement qu'une menace mais UNE SOMME de menaces + des opportunités. Une des opportunités à explorer est la transformation effective des structures de l'Etat : transformation économique, politique et sociale. - La transformation économique pour enfin libérer toutes les énergies disponibles (d'ou qu'elles viennent) et générer de la valeur. - La transformation politique pour enfin réconcilier le citoyen avec les affaires de la cité et celles du pays. - La transformation sociale pour rendre ses lettres de noblesse au triptyque : Liberté Égalité Fraternité. Dans TOUS LES CAS, les "nouvelles" autorités issues des urnes ne pourront pas faire l'économie de cette transformation. Par ailleurs, en 2019 j'ai écrit un mémoire de MBA IAE Paris - Sorbonne Business School dont le titre est : " La transformation de l'action publique : se réinventer pour mieux servir ". Et honnêtement, je n'ai jamais imaginé que 5 ans plus tard, la question de la transformation de l'action publique se poserait avec autant d'acuité (cf. post précédent : https://lnkd.in/edtEd-cf). #France #transformation #structure #politique #économie #social
Post de Christian ACHILLE ✅ MBA, Mines, Ms
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[#ISR] 🌱 𝟐𝟎𝟐𝟑 𝐚 é𝐭é 𝐥’𝐚𝐧𝐧é𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐜𝐡𝐚𝐮𝐝𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐞𝐧𝐫𝐞𝐠𝐢𝐬𝐭𝐫é𝐞 🔸 𝐄𝐧𝐯𝐢𝐫𝐨𝐧𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 : L’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) a publié en mars son nouveau rapport. Sans surprise, ses conclusions confirment que 2023 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée, avec une température moyenne à la surface du globe de 🌡️ +1,45°C (+/-0,12°C) au-dessus du niveau de référence de l’ère préindustrielle. 🔸 𝐅𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞 : Pour Gilbert F. Houngbo, Directeur général de l'OIT« Le travail forcé perpétue les cycles de pauvreté et d'exploitation et porte atteinte à la dignité humaine. Nous savons aujourd'hui que la situation n'a fait qu'empirer. La communauté internationale doit s'unir d'urgence pour prendre des mesures afin de mettre fin à cette injustice.» Depuis 2014, le montant total des profits illégaux tirés du travail forcé a augmenté de 37% 📈. Dans l’économie privée il génère 236 Mds$ par an. 🔸 𝐆𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞 : Selon l’étude annuelle du gérant Janus Henderson, 1 660 Mds$ de dividendes ont été distribués en 2023 aux actionnaires des grandes sociétés cotées mondiales. En 2024, le montant devrait s’établir à 1 720 Mds$. Pour en savoir plus, découvrez le Flash Info ISR n°81 d'Avril 2024 par Murielle Hermellin ⬇️ https://lnkd.in/esHEJXZt
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Partout dans le monde et en particulier dans les pays en développement, les gouvernements rencontrent des difficultés pour mettre en place et maintenir les infrastructures nécessaires à la croissance économique de leur pays et à la prestation de services publics à leurs citoyens. En dépit des efforts considérables déjà déployés dans les marchés émergents, une partie significative de la population mondiale n’a toujours pas accès aux services sociaux de base. Mis en place dans de bonnes conditions, les PPP peuvent être une option viable pour le développement d’infrastructures qui engendrent la croissance et fournissent des services publics de qualité aux citoyens.
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Nicolas Bouzou Fondateur Asterès Président Les rencontres de l’Avenir interrogé par Patrick Abadie Fondateur de Delville Management - Management de Transition sur le contexte politique 🔸La France a toujours eu une vie politique heurtée. 🔸Une bonne décision d’avoir nommé Michel Barnier. Le budget de la France sujet brûlant. Le déficit représente 40% des dépenses. La charge des intérêts de la dette augmente. Le sujet des finances publiques est primordial. 🔸Les gains possibles de productivité dans le secteur de la santé est gigantesque. Une politique de prévention permettrait de faire des économies très importantes. 🔸La France doit s’appuyer sur tout ce qui marche bien. Les Français ont besoin de projection sur des choses positives. 🔸Son nouveau livre: la civilisation de la peur. On a un pays très clivé et des débats politiques très durs. Ceux qui annoncent des catastrophes ont toujours tort à long terme. On est dans un monde de progrès. Une intervention passionnante 👍 et hâte Nicolas Bouzou de me plonger dans votre nouveau livre! Delphine Phillipe Eric AUDOIN Maud d'Ambrières Carole BAUJARD Bertrand Raynaud
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🏛 Alors que se profile une cure d'austérité féroce, nous organisons ce vendredi une journée de réflexion à l'Assemblée nationale pour débattre de l’alternative juste et heureuse que peut apporter la décroissance. En quoi la nature de la croissance mène t-elle à des politiques d'austérité ? Quel rôle de la dette dans ce mécanisme ? Comment assurer le financement des dépenses publiques tout en respectant les limites planétaires ? Pour en discuter, nous serons en la bonne compagnie de : Olivier De Schutter, Élodie Vieille Blanchard, Christophe Bonneuil, Alma Monserand, Timothée Parrique, Luc Semal, Farida Belkhir, Mathilde Viennot, Mathilde Szuba, Jézabel Couppey-Soubeyran, Delphine Batho, Michel Lepesant, Vincent Liegey, et Agnès Sinaï. L'association Alter Kapitae a participé à la création du séminaire, j'interviens à 17h sur la table ronde « quelles perspectives pour faire de la décroissance l’alternative à l’austérité ? » pour parler de la stratégie politique à adopter. 👉 Pour y accéder en visio, il faut s’inscrire gratuitement ici : https://lnkd.in/eQtDmu7n 🙏 Alors que le service public est de plus en plus menacé par l'avancée des idées néolibérales, il est crucial de porter ce genre de réflexion, car comme disait Jaurès, c'est le patrimoine de ceux qui n'en ont pas. #séminaire #décroissance #AN
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Quand le terrain parle !
Maire de Sceaux - Vice-président de l'AMF - Président du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale
Il est temps de faire confiance. Alors que notre pays vient de traverser une période inédite d’incertitude politique, et qu’un gouvernement vient enfin d’être constitué, il est plus que jamais nécessaire de se tourner vers ceux qui, quotidiennement, sont au contact direct des citoyens : les élus locaux. Depuis trop longtemps, nous constatons et regrettons une centralisation excessive des décisions, souvent déconnectées des réalités locales. Pourtant, les maires et les élus locaux sont les premiers acteurs de la proximité et de la cohésion sociale, capables d’apporter des réponses concrètes et adaptées aux besoins des Français. Nous faisons face à des défis majeurs. Ces défis ne peuvent être relevés uniquement depuis Paris. Ils nécessitent une mobilisation de toutes les énergies, à commencer par celles des maires, véritables « piliers de la République ». Nous sommes des acteurs de terrain, au fait des spécificités et des urgences. Nous avons prouvé, notamment lors de la crise sanitaire, notre capacité à gérer l’urgence, à protéger nos populations et à organiser une réponse collective utile. Pourtant, malgré ce rôle central, les élus locaux sont trop souvent marginalisés, voire méprisés. Très récemment encore, ils ont été injustement accusés d’être responsables du déficit public du pays. Une telle critique est non seulement infondée, mais elle reflète également une méconnaissance des réalités de terrain. Les élus locaux gèrent des budgets contraints, avec des ressources souvent limitées, tout en assurant des services publics essentiels pour les citoyens. Ils n'ont cessé de s'adapter, en optimisant leur gestion financière, malgré la baisse des moyens de l’État. Accuser les élus de mauvaise gestion relève d’une stratégie de diversion qui détourne l’attention des vrais défis auxquels nous devons faire face collectivement. J’appelle donc le nouveau gouvernement à faire enfin confiance aux élus et aux collectivités territoriales, non pas comme de simples relais de ses décisions, mais comme de véritables partenaires stratégiques. Le centralisme technocratique a montré ses limites et a conduit le pays dans les difficultés où il se trouve. Les maires doivent disposer des moyens et de la liberté d’action nécessaires pour mener à bien leurs missions. La France a besoin d’un État fort, qui constitue historiquement et culturellement le ciment de la nation. Mais elle a aussi besoin de territoires dynamiques et innovants. Cela passe par une meilleure répartition des ressources publiques, mais surtout une reconnaissance pleine et entière de l’expertise et de la légitimité des élus locaux. Le temps de la défiance, du mépris et de la condescendance est révolu. Nous devons, au contraire, construire une relation de confiance, de coopération et de respect mutuel. Il est temps d’agir ensemble, dans un cadre de responsabilité partagée, au service de notre pays. Les maires et les élus locaux y sont prêts. Au gouvernement de saisir enfin cette main tendue.
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Il est temps de faire confiance. Alors que notre pays vient de traverser une période inédite d’incertitude politique, et qu’un gouvernement vient enfin d’être constitué, il est plus que jamais nécessaire de se tourner vers ceux qui, quotidiennement, sont au contact direct des citoyens : les élus locaux. Depuis trop longtemps, nous constatons et regrettons une centralisation excessive des décisions, souvent déconnectées des réalités locales. Pourtant, les maires et les élus locaux sont les premiers acteurs de la proximité et de la cohésion sociale, capables d’apporter des réponses concrètes et adaptées aux besoins des Français. Nous faisons face à des défis majeurs. Ces défis ne peuvent être relevés uniquement depuis Paris. Ils nécessitent une mobilisation de toutes les énergies, à commencer par celles des maires, véritables « piliers de la République ». Nous sommes des acteurs de terrain, au fait des spécificités et des urgences. Nous avons prouvé, notamment lors de la crise sanitaire, notre capacité à gérer l’urgence, à protéger nos populations et à organiser une réponse collective utile. Pourtant, malgré ce rôle central, les élus locaux sont trop souvent marginalisés, voire méprisés. Très récemment encore, ils ont été injustement accusés d’être responsables du déficit public du pays. Une telle critique est non seulement infondée, mais elle reflète également une méconnaissance des réalités de terrain. Les élus locaux gèrent des budgets contraints, avec des ressources souvent limitées, tout en assurant des services publics essentiels pour les citoyens. Ils n'ont cessé de s'adapter, en optimisant leur gestion financière, malgré la baisse des moyens de l’État. Accuser les élus de mauvaise gestion relève d’une stratégie de diversion qui détourne l’attention des vrais défis auxquels nous devons faire face collectivement. J’appelle donc le nouveau gouvernement à faire enfin confiance aux élus et aux collectivités territoriales, non pas comme de simples relais de ses décisions, mais comme de véritables partenaires stratégiques. Le centralisme technocratique a montré ses limites et a conduit le pays dans les difficultés où il se trouve. Les maires doivent disposer des moyens et de la liberté d’action nécessaires pour mener à bien leurs missions. La France a besoin d’un État fort, qui constitue historiquement et culturellement le ciment de la nation. Mais elle a aussi besoin de territoires dynamiques et innovants. Cela passe par une meilleure répartition des ressources publiques, mais surtout une reconnaissance pleine et entière de l’expertise et de la légitimité des élus locaux. Le temps de la défiance, du mépris et de la condescendance est révolu. Nous devons, au contraire, construire une relation de confiance, de coopération et de respect mutuel. Il est temps d’agir ensemble, dans un cadre de responsabilité partagée, au service de notre pays. Les maires et les élus locaux y sont prêts. Au gouvernement de saisir enfin cette main tendue.
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Pour sortir de l'opposition mortifère entre rigueur budgétaire par crainte d'insoutenabilité de notre dette et financements publics débridés alors que la France est l'un des pays où le niveau des dépenses publiques est déjà l'un des plus élevés de l'UE, il faut nous interroger sur le rôle de la croissance potentielle et de la croissance décarbonée à venir justement comme facteur de soutenabilité de notre dette publique... Sinon la transition écologique ne sera jamais amorcée et notre dette... deviendra insoutenable même avec des coupes croissantes !
RFI - Radio France Internationale- La France va-t-elle vers l’austérité ? Ce début d’année 2024 est marqué par des annonces de cures économiques en France : - 12 milliards d’euros prévus en 2025, - 10milliards décidés en urgence par le ministère de l’Économie. Raison invoquée : la nécessité de réduire la dette alors que la croissance est atone. Ces économies sont-elles inévitables ? Quelles conséquences pour la population ? L’austérité risque-t-elle de toucher toute l’Europe dans les prochaines années ? Quelle autre voie est possible ? J'ai participé à cette émission et eu le plaisir de débattre avec @Lucie Castets, porte-parole du collectif « Nos services publics » et @Mathieu Plane, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économique (OFCE). OFCE Collectif Nos Services Publics BDO France # Economie https://lnkd.in/dFpM5rak
Débat du jour - La France va-t-elle vers l’austérité ?
rfi.fr
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C’est vrai qu’avec un triplement des bénéficiaires de l’aide alimentaire d’urgence en France depuis 10 ans, on peut quand même commencer à questionner les résultats de la politique libérale. A part celui de mettre le feu au pays.
Quand Emmanuel Macron a présenté un programme non chiffré en 2022, il n'y avait eu aucune polémique, aucune attaque dans les médias. Alors pourquoi le programme du Nouveau Front Populaire soutenu par des économistes mondialement reconnus est comparé à l'enfer sur Terre ? Une question ouverte, peu importe votre bord politique : peut-on vraiment dire que des économistes comme Esther Duflo (prix "Nobel" 2019 d'économie), Michael Zemmour ou Anne-Laure Delatte, qui soutiennent toutes et tous le programme économique du Nouveau Front Populaire, sont des personnes qui ne comprennent pas l'économie ? Quand on lit le président du MEDEF Patrick Martin déclarer dans le Figaro "Le programme du RN est dangereux pour l'économie française, la croissance et l'emploi, celui du Nouveau Front Populaire l'est tout autant, voire plus", sur quoi se base-t-il pour dire cela, et/ou sur quelle analyse d'économiste sérieux ? Bruno Le Maire pense lui que le programme du NFP est "un délire total". Très bien, mais quel est le bilan du gouvernement Macron ? - explosion record de la dette avec 1000 milliards en 7 ans - hausse des inégalités - hausse de la pauvreté - une croisse en berne (pour un gouvernement qui ne jure que par la croissance...) - une économie loin de suivre le chemin nécessaire à la décarbonation du pays afin de respecter nos objectifs climatiques Il serait bienvenu de voir les médias questionner l’extrême droite et le gouvernement comme ils le font pour le Nouveau Front Populaire. C’est grâce au débat que des précisions seront apportées, des précisions nécessaires pour éclairer le vote des Français afin de choisir l’avenir du pays pour les prochaines années.
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RFI - Radio France Internationale- La France va-t-elle vers l’austérité ? Ce début d’année 2024 est marqué par des annonces de cures économiques en France : - 12 milliards d’euros prévus en 2025, - 10milliards décidés en urgence par le ministère de l’Économie. Raison invoquée : la nécessité de réduire la dette alors que la croissance est atone. Ces économies sont-elles inévitables ? Quelles conséquences pour la population ? L’austérité risque-t-elle de toucher toute l’Europe dans les prochaines années ? Quelle autre voie est possible ? J'ai participé à cette émission et eu le plaisir de débattre avec @Lucie Castets, porte-parole du collectif « Nos services publics » et @Mathieu Plane, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économique (OFCE). OFCE Collectif Nos Services Publics BDO France # Economie https://lnkd.in/dFpM5rak
Débat du jour - La France va-t-elle vers l’austérité ?
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