[🩺 On prend soin de vous] 🎗️ Aujourd'hui se déroule la journée mondiale de la sclérose en plaques. Présentée comme maladie rare, la sclérose en plaques ne l’est pourtant pas tant que cela, puisqu’elle touche actuellement 150 000 personnes en France. 🧠 La sclérose en plaques (SEP) est une maladie inflammatoire chronique qui touche le système nerveux central c’est-à-dire le cerveau, le tronc cérébral, le cervelet et la moelle épinière. 👉 Un centre de référence et de compétence au sein du CHU de Poitiers prend en charge cette pathologie que différents traitements permettent aujourd’hui de ralentir et de contrôler. ➡️ En savoir plus : https://lnkd.in/enJ8JKdY #chupoitiers #onprendsoindevous #SEP #scleroseenplaques #centredereference #expertise #traitements
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Le laboratoire #I3M, comme au Centre national de la recherche scientifique , à Siemens Healthineers, au CHU de Poitiers et à l'Université de Poitiers travaille à l'aide au diagnostic précis et au suivi thérapeutique de la sclérose en plaques par l'étude approfondie du métabolisme cérébral permis par l'#IRM ultra haut champ associé à de l'#IA. Si des personnes de tous âges peuvent être touchées par cette maladie auto-immune, elle est plus fréquente chez les jeunes adultes (l’âge moyen de début des symptômes est 30 ans) et chez les femmes. Il y a ainsi deux à trois fois plus de femmes que d'hommes atteints par sa forme la plus fréquente (la forme rémittente, qui concerne 85% des malades). Elle représente, par ailleurs, la première cause de handicap sévère non traumatique chez les jeunes adultes. Environ 110 000 personnes sont touchées en France (environ 150 cas pour 100 000 habitants), avec 4 000 à 6 000 nouveaux cas par an. #JournéeMondialedelaSEP #SEP #MultipleSclerosis
[🩺 On prend soin de vous] 🎗️ Aujourd'hui se déroule la journée mondiale de la sclérose en plaques. Présentée comme maladie rare, la sclérose en plaques ne l’est pourtant pas tant que cela, puisqu’elle touche actuellement 150 000 personnes en France. 🧠 La sclérose en plaques (SEP) est une maladie inflammatoire chronique qui touche le système nerveux central c’est-à-dire le cerveau, le tronc cérébral, le cervelet et la moelle épinière. 👉 Un centre de référence et de compétence au sein du CHU de Poitiers prend en charge cette pathologie que différents traitements permettent aujourd’hui de ralentir et de contrôler. ➡️ En savoir plus : https://lnkd.in/enJ8JKdY #chupoitiers #onprendsoindevous #SEP #scleroseenplaques #centredereference #expertise #traitements
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14 avril 2024 : Ce que j’en dis ; Arthrite et douleur, nouvelles perspectives… #chroniques #arthrose L’arthrite est associée à des douleurs chroniques qui détruisent la vie des malades… quand il y a inflammation des articulations, le traitement avec des anti-inflammatoires permet d’améliorer les douleurs mais dans un certain nombre de cas, la douleur est résistante… Les résultats obtenus par le Rockefeller Institute et ses collaborations sont très intéressants… Chez les patients qui souffrent, même sous anti-inflammatoires, les articulations sont douloureuses et gonflées mais en absence d’inflammation notable… Les équipes de chercheurs ont recherché les gènes qui étaient modifiés chez les cellules présentent et ils ont mis en évidence l’expression de certains d’entre eux responsables du développement de terminaisons nerveuses sensibles à la douleur… Leur conclusion est que cela ouvre une nouvelle façon de prendre en charge l’arthrite que ce soit pour les patients qui continuent à souffrir sous anti-inflammatoires ou non. Ces résultats confirment une fois de plus la rapidité du rythme des découvertes en biologie grâce aux progrès fabuleux des technologies d’analyse des gènes associé à ceux des analyses par ordinateurs avec ce que nous appelons IA. Croisons les doigts pour que cette lueur se concrétise car la vie dans la douleur c’est un peu le chemin de croix à vie… Ce que j’en dis… https://lnkd.in/evhfJnTk
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Comprendre l’angiopathie amyloïde cérébrale : Prévenir l’AVC hémorragique Avez vous déjà entendu parler de peptide beta amyloïde, cette protéine qui s’accumule dans la paroi des artères dans la maladie d’alzheimer? Alors c’est la même dans l’angiopathie amyloïde mais c’est quoi cette maladie et c’est quoi le lien avec l’AVC? L’angiopathie amyloïde cérébrale est une forme particulière de maladie qui touche les petits vaisseaux du cerveau à partir de 50 ans avec une accumulation de dépôts amyloïdes rendant l’artère fragile avec risque de saignement, troubles de la mémoire et des troubles neurologiques transitoires (TFNE : transient focal neurologic episode )et récidivants avec parfois des sensations de fourmillements, d'engourdissement, ou des difficultés à parler. Parfois découverte fortuite sur IRM cérébrale faite pour un autre motif. Comment est-elle diagnostiquée ? Le diagnostic n'est pas toujours simple. Il repose sur une combinaison de la clinique et une IRM cérébrale. Les médecins cherchent des signes spécifiques tels que : * Des hémorragies cérébrales situées dans les lobes du cerveau (lobar ICH) * La hemosiderose, qui est une trace d’anciennes hémorragies (cSS) * Des microsaignements, petites hémorragies superficielles qui passent souvent inaperçues (CMB) * Une leucopathie vasculaire, qui apparaît comme des taches blanches au niveau du cerveau sur les images d'IRM (WMH). Ces indices aident à évaluer le risque d'hémorragies futures et à comprendre l'étendue des dommages déjà. Une consultation avec un neurologue est cruciale pour un diagnostic précis. Plus tôt la maladie est identifiée, mieux c'est. La prise en charge repose sur la prévention, la prise en charge de l’hypertension artérielle. Il n’existe pas a ce jour de traitement spécifique. N'oubliez pas, notre cerveau est au centre de tout ce que nous faisons. Prendre soin de sa santé vasculaire, c'est prendre soin de notre bien-être global. Creditphoto : a.charidimou #avc, #hemorragiecerebrale, #angiopathieamyloidecerebrale, #avchemorragique, #prevention
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[Journée mondiale de la Sclérose en Plaques] En France, plus de 130 000 personnes sont touchées par la #sclérose en plaques. 🩺 La sclérose en plaques (#SEP) est une #pathologie #chronique inflammatoire qui touche notre système nerveux central. Les zones les plus affectées sont le cerveau, les nerfs optiques et la moelle épinière. En cette journée mondiale de la SEP, nous vous proposons de (re)découvrir notre #webinaire sur le sujet. Pr Pierre Labauge, #neurologue au CHU Montpellier, et Pr David-Axel Laplaud, neurologue au CHU Nantes, nous expliquent les mécanismes de la maladie, les symptômes, les traitements, ou encore les avancées de la recherche. ⬇️ Retrouvez le lien en commentaire. #ScléroseEnPlaques #PathologieChronique #SystemeNerveux
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Maladie d’Alzheimer : une prise de sang pour diagnostiquer la pathologie 🔍 Nouvelle avancée dans le diagnostic de la maladie d'Alzheimer : un simple test sanguin prometteur 🧠 Une équipe de chercheurs suédois a récemment développé un test sanguin capable de diagnostiquer la maladie d'Alzheimer avec une précision impressionnante de 88 à 92 %. Cette avancée pourrait révolutionner la détection précoce de cette pathologie neurodégénérative. L'étude a été menée sur 1213 personnes présentant des symptômes cognitifs légers. Des marqueurs sanguins, tels que la protéine tau phosphorylée (P-TAU 217) et le ratio amyloïde 42/40, ont été mesurés, permettant d'identifier des biomarqueurs clés liés aux lésions typiques de la maladie d'Alzheimer. L'impact est considérable : ce test sanguin améliore significativement la précision diagnostique des médecins généralistes et spécialistes en démence. Plus accessible et moins invasif que les tests traditionnels, il pourrait faciliter la détection précoce de la maladie et, tout aussi important, exclure d'autres causes de troubles de la mémoire, telles que la dépression ou la fatigue chronique. #Santé #Alzheimer #Innovation #MedTech #Diagnostic
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La SPA est une maladie inflammatoire s’attaquant à différents systèmes de l’organisme et principalement aux articulations de la colonne vertébrale et du bassin. - Diagnostic de la spondylarthrite : • Radiographies •Analyses de sang ( VS /CRP/parfois la présence du gène HLA-B27 ) •Parfois, imagerie par résonance magnétique (IRM) -Traitement de la spondylarthrite : •Anti-inflammatoires non stéroïdiens Sulfasalazine, méthotrexate, inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale et sécukinumab ou ixékizumab •Exercice physique : Le traitement de la spondylarthrite s’attache avant tout à : Soulager la douleur dorsale et la douleur articulaire Maintenir l’amplitude de mouvement dans les articulations Prévenir les lésions dans d’autres organes Prévenir ou corriger les difformités de la colonne vertébrale
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Oxygène et infarctus : point trop n’en faut ? L’infarctus aigu du myocarde, communément appelé « crise cardiaque », se produit lorsque les cellules musculaires du cœur meurent en raison d’un manque d’oxygène, généralement lorsqu’une artère coronaire se bouche par un thrombus. La première étape du traitement consiste à rétablir le flux sanguin le plus rapidement possible grâce à l’angioplastie coronaire percutanée. Cependant, cette procédure peut causer des dommages supplémentaires, connus sous le nom de lésion de reperfusion, en raison du retour soudain de l’oxygène créant un stress oxydatif. Les avantages et les risques de l’administration d’oxygène supplémentaire aux patients victimes d’une crise cardiaque sont encore débattus. La recherche du Docteur Siham Hbat, intensiviste à l’Hôpital Erasme, vise à montrer que l’exposition des cellules cardiaques à des niveaux élevés d’oxygène après une période de privation d’oxygène est nocive et augmente la mort cellulaire par rapport à des niveaux normaux ou bas d’oxygène. Le processus en question est appelé pyroptose, ou mort cellulaire programmée inflammatoire. L’objectif final est d’identifier de nouvelles stratégies pour réduire les dommages causés par la reperfusion, diminuer la taille de l’infarctus et réduire les risques d’insuffisance cardiaque et de mortalité post-infarctus. La chercheuse travaille avec des cultures de cellules cardiaques de rat. Elle les expose à une privation d’oxygène suivie de 3 conditions différentes de réoxygénation : taux d’oxygène normal ou normoxie, taux oxygène élevé ou hyperoxie et taux d’oxygène légèrement diminué ou hypoxie permissive. L’importance de la mort cellulaire pendant la période de reperfusion est mesurée et le mécanisme qui en est responsable est identifié. Les résultats préliminaires montrent que la reperfusion hyperoxique est nocive, elle augmente la mort cellulaire par rapport à la reperfusion normoxique et l’hypoxique permissive. Ces résultats suggèrent également que des niveaux élevés d’oxygène déclenchent une mort cellulaire par pyroptose. Cette étude est soutenue par le Fonds pour la Chirurgie Cardiaque (FCC) depuis 2018 et a bénéficié d’un budget de 30 000 €.
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🔎 𝐄𝐓𝐔𝐃𝐄 𝐃𝐄 𝐂𝐀𝐒 La 𝗳𝗮𝘀𝗰𝗶𝗶𝘁𝗲 𝗮̀ 𝗲́𝗼𝘀𝗶𝗻𝗼𝗽𝗵𝗶𝗹𝗲, ou 𝗺𝗮𝗹𝗮𝗱𝗶𝗲 𝗱𝗲 𝗦𝗰𝗵𝘂𝗹𝗺𝗮𝗻, est une maladie rare du tissu conjonctif caractérisée par un œdème symétrique, induré et douloureux et un épaississement de la peau et des tissus mous et une éosinophilie périphérique. 👉 Cette femme sans antécédents de 42 ans est référée dans le service de médecine nucléaire pour un TEP/TDM au FDG dans le cadre de l’exploration d’un 𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲𝗮𝘂 𝗽𝗼𝗹𝘆𝗮𝗿𝘁𝗵𝗿𝗮𝗹𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝘀𝘆𝗻𝗱𝗿𝗼𝗺𝗲 𝗼𝗲𝗱𝗲́𝗺𝗮𝘁𝗲𝘂𝘅 𝗱𝗶𝗳𝗳𝘂𝘀, prise de poids de 10 kg et syndrome inflammatoire biologique. ➡️ La TEP (𝗧𝗘𝗣 𝟭) montre un hypermétabolisme intense polyarticulaire et des hypermétabolismes musculaires diffus. Une biopsie musculaire réalisée établit le diagnostic de fasciite à éosinophiles et la patiente est traitée par corticothérapie, entraînant une régression rapide quasi complète de tous les symptômes cliniques et biologiques. ➡️ Un 𝗧𝗘𝗣/𝗧𝗗𝗠 𝗱’𝗲́𝘃𝗮𝗹𝘂𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗮̀ 𝟲 𝗺𝗼𝗶𝘀 de traitement (TEP 2) démontre l'excellente réponse sur le plan métabolique. #EtudedeCas #MaladieDeSchulman #MaladieRare #MédecineNucléaire #TEP #MédecineInterne #Grenoble #Isere Le patient a donné son accord écrit pour l’utilisation des images de cet examen à des fins de publication.
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💡 Dans la population générale, l'#hypertension est fréquente, mais qu'en est-il pour les patients après une #transplantation d'organe (rein, cœur, foie ou poumon) ? 👉 Une étude de la Dre Nora Schwotzer du Service de néphrologie et hypertension, en collaboration avec le Service de médecine interne et le Centre de transplantation d’organes du #CHUV et à partir des données de la Swiss transplant Cohort study, révèle une augmentation marquée 📈 de l’hypertension post-transplantation : - La prévalence de l’hypertension artérielle augmente progressivement dans les années suivant la transplantation. - Le taux d’hypertension est plus élevé chez les patient-es après une transplantation rénale, hépatique ou pulmonaire comparé à ceux ayant reçu une greffe cardiaque 💔 - Les antihypertenseurs utilisés diffèrent selon la spécialité médicale et au cours du temps, soulignant la complexité du traitement dans cette population. 🔎 Ces résultats mettent en évidence l’importance d’un #dépistage systématique de l'hypertension artérielle dans les années qui suivent la transplantation. Un contrôle efficace est essentiel non seulement pour réduire le risque cardiovasculaire mais aussi pour prolonger la survie du greffon, en particulier dans le cas d'une greffe rénale. Lire l'étude dans Journal of hypertension ➡️ https://shorturl.at/RxXQ6 Grégoire Wuerzner Pedro Marques-Vidal Dela Golshayan
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🔴 Une thrombocytose révélant une LMC ! Lorsque madame Raimath 46 ans sans antécédent particulier, a été vue par le médecin de travail pour son bilan annuel, elle ne se plaignait de rien. Son hémogramme objective une thrombocytose à 1 640 G/L associée à une hyperleucocytose à 14,6 G/L avec 11,4 G/L de polynucléaires neutrophiles (PNN). L’hémoglobine était à 14,7 g/dL. Devant l’ampleur de l’hyperplaquettose, la patiente est adressée en hématologie clinique pour l’exploration mais comme elle ne sentait rien, elle ne fait pas la consultation en hématologie. Quatre mois plus tard, elle fait une thrombose veineuse profonde du membre pelvien droit. Au cours de son hospitalisation en cardiologie, un nouvel hémogramme montre une thrombocytose à 2 270 G/L accompagnée d’une hyperleucocytose à 16,2 G/L avec les PNN à 8 G/L, les éosinophiles à 1,5 G/L, les basophiles à 1,3 G/L, les monocytes à 0,9 G/L et une myélémie à 3 %. L’hémoglobine était à 10,1 g/dL. Un avis hématologique est alors sollicité. On évoque un syndrome myéloprolifératif. Le myélogramme évoque la LMC en phase chronique qui est confirmée par la cytogénétique avec la présence du chromosome Philadelphie [translocation (9;22)], sans autre anomalie cytogénétique. ⛔ Une hyperplaquettose persistante peut révéler une hémopathie maligne ⛔ Les syndromes myeloproliferatifs peuvent se compliquer d'événements thrombotiques ⛔ Une hyperplaquettose peut être observée dans plusieurs néoplasies myéloprolifératives : 👉 La leucémie myéloïde chronique (LMC) 👉 La thrombocytémie essentielle 👉 La polyglobulie de Vaquez 👉 La myélofibrose primitive ⛔ Restons donc vigilants lors de l’interprétation de la NFS 🔵 Hemato Plus, former pour sauver plus de vies
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6 moisThank, je savais qu’il avait un service que d’après ce qui es écrit a l’air bien 🙏🏽