Chargé de diffusion un métier en transformation ? Depuis quelques années le métier de chargé de diffusion change, les méthodes d’envois de mails massif, de relances et de coup de téléphone semble ne plus portés leur fruits, faute à des programmateur de plus en plus surchargé de mails, de sollicitation, de nouveau projets, mais aussi à des finances de la culture de plus en plus faible, avec de moins en moins d’ouvertures public… face à cette réalité comment s’adapter ? Inviter sur les spectacle ? Pas le temps. Demandez des rendez- vous ? Priorité aux compagnie / artistes déjà connus du programmateur ou dont le bouche à oreille a déjà fonctionner. Alors que faire ? Ou aller ? Notre métier est il destiné à s’arrêter ? Être remplacer par de la production pur et dur et de l’entretient de réseau ? Ce sujet est vaste, compliqué, sensible, la réalité du monde du spectacle aujourd’hui fait froid dans le dos, quel est la place de la culture pour demain ? Quel seront les budgets, les envies, les attentes ? Tant de questions auxquels nous n’avons pas la réponse ! Et vous, comment diffusez vous vos spectacle / groupes ?
Post de Clément CORRIETTE
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#REPORTAGE ENVOYE SPECIAL #COMEDIES MUSICALES : LA PARTITION DU SUCCES. Au vu du regrettable amenuisement progressif des sujets culturels au sein de l'espace médiatique, je ne peux qu'évidemment, me réjouir qu'un identifiable magazine d'information tel qu'Envoyé Spécial, consacre en première partie de soirée sur le service public, un sujet d'investigation journalistique, sur ce genre de productions spécifiques en France, qu'est celui de la comédie musicale. Autant le dire sans tergiversation, bénéficié d'une fenêtre de visibilité avoisinant en moyenne, les 2,5 millions d'intéressés sur 12 % de parts de marché un jeudi soir, n'est clairement pas négligeable. Après avoir essuyé auparavant, je l'admets, quelques déconvenues face à d'autres soirées de reportages "spécial comédies musicales" sur le petit écran. Les traits d'une mine boudeuse commençaient bigrement, à se creuser sur mon visage perceptiblement renfrogné. Désappointé, il faut bien le dire, par la frugalité de leur traitement informatif paru à mon sens, plutôt comme un amoncellement d'images d'archives de journaux télévisés et d'émissions d'accueils, diffusées sempiternellement à maintes reprises. Soyons néanmoins à minima logique, de bonne foi et d'intégrité intellectuelle, cette ligne-là se justifiait alors sans doute, je l'imagine, par son parti-pris de commande, probablement aligné sur l'identité télévisuelle de son diffuseur dans un esprit plus feel-good et divertissant... Pour leur premier reportage produit pour Envoyé spécial, Philippe Thuillier et Adl-TV, évitent l'écueil simpliste du publi-reportage et s'attèle dans un travail globalement de bonne facture, à partiellement relayer d'observables éléments économiques et logistiques d'ordre factuel. Dépenses en gestion interne, coût de location des salles, coût de revient du plateau, statistiques et projection du point d'équilibre financier, sans filtrer par correction du secret professionnel, sur la question des chiffres personnels. Sans se noyés dans le mutisme du Control Freak, les intervenants producteurs aguerris aux médias, jouent le jeu en leadership et communication avec de bons éléments de langage, étayent le plein potentiel de leur productions respectives. Et donnent une image de la comédie musicale totalement attractive et séduisante. Certes, le reportage ne brasse pas en longueur, tous les titres de comédies musicales actuels et à venir l'année prochaine, il est vrai. Mais il affirme la soutenance de typologies de public extrêmement larges, de toutes catégories socio-professionnelles et de tranches d'âges allant du plus jeune au plus ancien, pour ce genre de spectacle dont l'apanage semblait autrefois appartenir aux anglosaxons et aux américains. Il confère globalement une image positive du genre et démontre qu'elle peut poursuivre son ancrage culturel, à condition d'être bien fait. Roberto Ciurleo Valérie PAYET Jan Erik Frogg Marguerite Quadrelli DALIDA INSTITUTE
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Retour de Virgin Radio : 3 questions à Julien Fregonara 📻 Un an après sa disparition au profit d’Europe 2, Virgin Radio est de retour en France. Elle remplace Virage Radio et émet depuis Lyon. Le directeur général d’Espace Group (qui possède les 2 marques) revient, pour l’Essentiel Lyon, sur ce coup médiatique. 👉 Je m'inscris à l’Essentiel Lyon, notre newsletter locale, brève, gratuite et factuelle : https://lyon.lessentiel.fr Comment êtes-vous passé de Virage à Virgin Radio ? 🤔 ◾ "On s’est rapproché de Richard Branson et on lui a soumis l’idée de pouvoir émettre Virgin sur les fréquences de Virage Radio. Cette dernière est écoutée chaque semaine par 200 000 auditeurs. Elle est diffusée dans la région et sur une trentaine de métropoles". ◾ "Une radio rock : c’était l’esprit que souhaitait le patron du groupe Virgin pour revenir sur le marché français. Rien ne change pour le public, sauf trois lettres et la couleur. On a gardé la même programmation et les mêmes équipes, comme Léa et Boris le matin et Florence et Will l’après-midi". ◾ "Le but était de ne pas déstabiliser les assidus de Virage tout en essayant de fédérer les anciens auditeurs de Virgin Radio et les fans de musique rock". Ce n'est pas un handicap que d'émettre depuis Lyon ? 🤔 ◾ "Notre groupe a été fondé à Lyon par Christophe Mahé. On a plusieurs studios en France, mais la volonté est de garder la grande majorité de nos diffusions à Lyon. On a aussi le but de lancer des émissions d’interviews d’artistes qui se feront, elles, à Paris". ◾ "Virgin est une belle marque mais il faut comprendre que nous avons des radios à dominante locale, comme Radio Espace à Lyon. On a désormais 4 marques plus importantes : M Radio, Jazz Radio, Générations et donc Virgin". ◾ "Grâce au DAB+, quelqu’un qui est dans sa voiture à Paris, Nantes ou Strasbourg peut dorénavant recevoir ces quatre radios". Qu'est-ce que le DAB+ ? 🤔 ◾ "On a connu l’arrivée de la TNT à la télévision. On est passé de 6 chaînes hertziennes à 30 numériques. En radio, la même chose arrive et ça s’appelle le DAB+. Ça permet d’avoir plus de radios et une meilleure qualité d’écoute". ◾ "Quand les premières fréquences ont été lancées il y a 15 ans, Espace Group y a tout de suite cru. Un pari qui nous a permis d’avoir une diffusion beaucoup plus large, d’envergure nationale, et de lancer de beaux projets comme Virgin". ◾ "C’est encore en cours de déploiement. À terme, on pourra faire Paris-Marseille en écoutant nos stations. Je pense que la radio est un média d’avenir : 39 millions de Français l’écoutent tous les jours. Avec le DAB+, qui s’est imposé dans d’autres pays, on observe une nouvelle hausse des audiences". 📰 Retrouvez toutes les actualités essentielles du 26 avril : https://lnkd.in/er7QpmDB #journalisme #radio #virginradio #interview #lyon
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Les industries culturelles sont sous pression. Face à la raréfaction des fréquences hertziennes, l’avenir de la création de contenus reste incertain, alors que la demande explose et que les exigences de qualité sont de plus en plus élevées. Comment éviter que l’écosystème culturel ne s’approche d’un point de bascule qui serait à terme préjudiciable aussi bien pour les producteurs de contenus que pour les opérateurs de réseaux ? Guillaume Mascot nous livre son analyse d’une situation susceptible d’impacter fortement l’industrie du divertissement telle qu’on la connaît aujourd’hui si rien ne change. Merci Les Echos de nous permettre de faire entendre cet appel à une prise de conscience collective. #Shure #livesound https://lnkd.in/gqueJHmW
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L'importance de la narration dans la radio moderne Dans le paysage médiatique actuel, la narration joue un rôle crucial dans la radio moderne. La radio n'est plus seulement un moyen de diffuser de la musique et des informations, mais aussi une plateforme pour raconter des histoires captivantes qui résonnent avec les auditeurs. 📻✨ La narration permet aux animateurs de créer une connexion intime avec leur public. En partageant des anecdotes personnelles, des histoires locales ou des récits inspirants, ils donnent vie aux ondes et créent une expérience immersive. Cette approche humanise la radio, la rendant plus relatable et engageante. De plus, la narration aide à distinguer les émissions et les stations dans un marché saturé. Les auditeurs sont attirés par les contenus uniques et authentiques qui captivent leur imagination et leurs émotions. Une bonne histoire peut transformer une émission ordinaire en un rendez-vous incontournable. Enfin, la narration enrichit le contenu en le rendant mémorable. Une histoire bien racontée peut rester dans les esprits bien après la diffusion, créant ainsi un lien durable entre la station et son auditoire. En somme, la narration est un atout précieux pour la radio moderne, permettant de se démarquer, de fidéliser les auditeurs et de créer des moments inoubliables. 🎙🌟 #RadioModerne #Narration #Storytelling #Engagement #Innovation #Médias #espérancefmdakar
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"Ici" : Une révolution de façade pour l'audiovisuel public local ? Le passage de France Bleu à "Ici" marque une étape cruciale dans l'évolution de l'audiovisuel public français. Ce changement, présenté comme une simple évolution de marque, soulève en réalité des questions fondamentales sur l'avenir des médias locaux et la stratégie de l'audiovisuel public. Derrière le slogan rassurant d'un changement qui ne changerait rien, se profile une transformation profonde du paysage médiatique local. Le rapprochement entre France Bleu et France 3 sous la bannière "Ici" est le prélude à une fusion plus large, suscitant des inquiétudes légitimes au sein des syndicats. Cette mutation intervient dans un contexte de croissance d'audience pour France Bleu, avec 2,59 millions d'auditeurs quotidiens. On peut s'interroger sur la pertinence de bouleverser une formule qui fonctionne, au risque de perdre l'identité forte construite au fil des années. Le choix du nom "Ici", censé incarner la proximité, pose question. Ne risque-t-il pas de diluer les identités régionales au profit d'une marque générique ? Cette uniformisation pourrait paradoxalement éloigner le média de ses auditeurs, attachés à la spécificité de leur territoire. De plus, ce projet s'inscrit dans un contexte politique incertain, avec une réforme plus large de l'audiovisuel public en suspens. On peut se demander si cette transformation n'est pas précipitée, sans vision claire de l'avenir global du secteur. Cette évolution permettra-t-elle réellement de mieux servir les territoires ou n'est-elle qu'une restructuration déguisée de l'audiovisuel public ? #MédiasLocaux #AudiovisuelPublic #TransformationNumérique
Radio France : France Bleu change de nom et devient Ici
lemonde.fr
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Je suis la Voix! 🎙️ Cette phrase résonne peut-être et vous ramène des années en arrière dans une TV réalité qui a bercé les années 2000… En réalité le pouvoir de la voix n’a pas d’égal. Et cet instrument précieux me permet de porter des messages et de sensibiliser au format de l’audio et du podcast en le diffusant sans limites. Avec Les Grandes Girls, ou l’Office eurométropolitain de tourisme, des loisirs et des congrès de Strasbourg, pour Les Notaires Alsace Moselle (NAM), où lorsque j’enseigne à des étudiants déjà très consommateurs de l’audio. Et vous, avez-vous déjà pensé à développer votre activité ou votre entreprise en investissant le format de l’audio. Concept, narration, écriture, interviews,… On en parle ?
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C'est officiel, l'IA va remplacer le doublage. Du moins, c'est ce qu'il va se passer si nous ne faisons rien pour stopper sa progression. 🤖 Ces derniers mois, la démocratisation de l'IA générative a pris une ampleur sans précédent dans le milieu du doublage, avec une synthétisation de voix plus ou moins convaincante se basant sur les voix réelles de nos comédiens. Au-delà de considérations éthiques liées à la propriété intellectuelle et au vol de contenu, l'IA générative pose de sérieux problèmes sur la qualité des contenus doublés. En retirant toute sensibilité humaine, toute démarche créative et artistique disparaît, ne laissant plus qu'un pur produit de consommation sans aucun engagement ou intention spécifique derrière. Est-ce ce que nous voulons ? Non ! 🙅♂️ 💡 Mais alors que faire face à cette menace ? Il est nécessaire de mettre à l'honneur nos comédiens et de pousser davantage le doublage sur le devant de la scène. Avec près de 230 épisodes doublés depuis 2023 sur ADN, nous avons à cœur de préserver cet art et de continuer à le mettre avant ! En continuant à travailler avec des prestataires et des comédiens qualifiés, nous contribuons à préserver la richesse et la diversité de ce milieu artistique. Car l'IA ne saurait remplacer l'énergie et le cœur que nos comédiens peuvent mettre dans leur doublage, et ce n'est pas Léopoldine Serre qui dira le contraire 💙 Et vous, quelle est votre position sur l'IA générative dans le doublage ?
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🎶 Ce lundi, nous prendrons l’antenne sur RTS-Première avec de nouveaux habits: l’ensemble des jingles et indicatifs vont changer et ce n’est pas rien. Avec les journaux, la météo, les inforoutes et les “virgules” de transition entre deux sujets, une émission comme la Matinale est traversée de multiples expressions de cet “habillage”. En changer est une opération assez complexe, de la conception à la mise à l’antenne, y compris l’acquisition de nouveaux réflexes par les gens au micro et par les personnels techniques. Ça change beaucoup de choses et c’est rare: l’habillage actuel est vieux de 7 ans. 🎙️ On en change parce que la radio doit sonner avec son temps. Il faut répondre aux évolutions qui touchent l’audio comme les autres domaines de la création. Il faut aussi éviter de lasser, insuffler de la nouveauté. Et, cette année, ces motifs s’ajoutent à la volonté de la RTS de donner une cohérence générale à l’ensemble des habillages. 🌍Celui de “Tout Un Monde” est prêt depuis ce vendredi en milieu d’après-midi (photo⬇️). En attendant de le découvrir, si vous partagez mon intérêt pour les habillages, allez faire un tour sur https://lnkd.in/ewYKvirz. Il recense les musiques des grandes chaînes de télé américaines des dernières décennies.
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COMMENT JE SUIS PARTI D'UN BROUILLON POUR UNE BANDE ANNONCE ?!!! Quelques mois plus tôt, Patrick KENGNE KAMGA vous annonçait le partenariat entre Wouri TV et FRAKTAL GROUP Afrique . L'idée était de produire une émission de qualité pour un public cible. Après la conception et la fabrication du plateau, la conception des habillages de l'émission et autres éléments graphiques, nous sommes enfin entrés en production. Des mois de production pour avoir un résultat appréciable. Après avoir tourné plusieurs émissions, il est enfin temps de vous faire voir le produit. Toutefois nous allons vous l'annoncer de la plus belle des manières: par une Bande annonce. D'où ce bout de papier en image. L'idée de cette bande annonce m'est parvenue lorsque j'empruntais une moto taxi un soir(vous comprendrez pourquoi quand vous la verrez)A mon arrivée, l'idée que je venais d'avoir me hantais tellement. Quand je la propose à mon collaborateur Alain Nkamta , il tombe directement amoureux et m'apporte un tas d'idées complémentaires. C'est alors que nous avons peaufiné les détails (si on peut dire ça de notre brouillon😅). Au final, c'était le scénario et j'étais tout souriant. Avec l'appui de et notre présentateur @faustin Kamgue, nous avons tourné comme je l'avais imaginé. Néanmoins, il fallait encore pas mal d'images pour habiller. Je ne vous en dis pas plus; vous découvrirez la bande annonce très bientôt et me direz ce que vous penser. Paulette Nicole Ngatchou #Bandeannonce #emissiontv #montagevideo #réalisation #télévision #webtv #art #créatif
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Très intéressant ! Pourquoi cette distance avec l’auditeur ? Pourquoi cette prétention de « leaders » … « parce que nous sommes leaders, nous imposons nos modes musicales. NRJ n’est plus populaire c’est tout. Et cela vient en totalité dès cette distance. Pour ma part elle n’est ni urbaine, ni branchée. C’est une coquille vide. La preuve que ça n’a jamais fonctionné. La preuve c’est Nostalgie. La mécanique des horloges copie pale des « Music s & News » américaines depuis des décennies ont non seulement déshumanisé la radio en France et frustré les animateurs devenus des automates du « speak» chronométré. Même France Bleu a réussi à louper son virage de la proximité. C’est une conséquence de sa lourde gestion administrative et de sa politique de gestion de son personnel. En région, des animateurs sont là depuis plus de 30 ans parfois. (C’est la tournée du facteur…) Faire de la radio, c’est donner du plaisir à ses auditeurs. Ça n’est pas si compliqué que cela finalement. Faire passer l’intérêt de l’auditeur à la place de son petit ego de province. Les formats ne sont plus adaptés à l’audience. Il faut raconter quelque chose à ses auditeurs les rendre captifs. La voix est aussi primordiale et, la radio ça ne se film pas (y a pu d’plac
La Lettre Pro de la Radio / Podcast Magazine (Editions HF) et Frédéric Brulhatour m'ont demandé de réagir aux audiences radio publiées ce matin par Médiamétrie pour la période Janvier- Mars 2024. "Il faut sortir de nos tours de verre et du "parisianisme". Il faut aller vers les auditeurs, avec de la proximité, en répondant à leurs attentes, en les écoutant. Le monde évolue à une vitesse incroyable, nous devons aussi le faire et cesser l'immobilisme!" L'ensemble de mon interview est à retrouver ci dessous : #mediametrie #radio #audiences #audiencesradio #analyse https://lnkd.in/etrSb3kR
Audiences : Dominique Bourron décortique l’EAR National
lalettre.pro
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