Post de Claire FABRE

En France on possède plus d'une soixantaine d'aéroports civils dans nos régions qui sont sous perfusion de subventions pour fonctionner faute de passagers et désertes suffisantes. Alors certains aéroports pourraient se diversifier en accueillant des avions civils à recycler. C'est une économie circulaire qui permet à Airbus de promouvoir des pièces mécaniques, hydrauliques et électroniques reconditionnées comme pièces détachées d'avions. On peut recycler plus de 90% d'un avion de ligne afin de récupérer des matières premières. Ce projet permettrait de promouvoir l'emploi et des activités dans certaines régions françaises. C'est une voie de réindustrialisation. Airbus est un constructeur et concepteur d'avions , un acteur majeur de la maintenance et du suivi de ces avions de lignes, un acteur futur dans le recyclage et le reconditionnement de pièces détachées.

Airbus Les activités de services après-vente, maintenance et formation, pèsent de plus en plus lourd dans les résultats d'Airbus.A cela s'ajoutent les perspectives du marché du recyclage des vieux avions. #economie #avions #airbus #recyclage

18.460 avions à recycler : la manne qui va doper les profits d'Airbus 🛫 Les activités de services après-vente, maintenance et formation, pèsent de plus en plus lourds dans les résultats d'Airbus et de Boeing. À cela s'ajoutent les perspectives du marché du recyclage des vieux avions. https://lnkd.in/eUFJbsku

#aeronautique #airbus #boeing .ೃ࿔ ✈︎ *:･ 15 000 appareils en commande, 18% de hausse : après la pandémie et une crise de la supply chain, la production devient l'enjeu des fabricants d'avions dans un contexte de forte croissance. 🛬 Le salon aéronautique de #Farnborough au Royaume-Uni ouvre ses portes sur fond de forte croissance des secteurs aérien et de défense dans le monde et de difficulté des avionneurs à adapter leur production aux besoins. Au programme : une belle place à la défense, aux projets d'aéronefs décarbonés, le traditionnel match des commandes entre Airbus et Boeing et probablement des annonces de contrats. 📈 Mais le sujet majeur qui plane sur le salon, c'est la difficulté d'honorer 𝐥'é𝐧𝐨𝐫𝐦𝐞 𝐜𝐚𝐫𝐧𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝟐 𝐚𝐯𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐜𝐮𝐦𝐮𝐥𝐞 𝐩𝐫è𝐬 𝐝𝐞 𝟏𝟓.𝟎𝟎𝟎 𝐚𝐩𝐩𝐚𝐫𝐞𝐢𝐥𝐬, 𝐞𝐧 𝐡𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝟏𝟖% 𝐬𝐮𝐫 𝐮𝐧 𝐚𝐧, et qui garantit du travail jusqu'à la fin de la décennie. ✈︎ Avec un enjeu supplémentaire pour #boeing le géant de Seattle, empêtré dans des problèmes de production et de qualité sur ses trois avions commerciaux 737, 787 et 777 : sur les six premiers mois de l'année, Boeing a livré beaucoup moins de ses avions qu'au premier semestre 2023. Le groupe se concentre désormais sur le renforcement de la sécurité et de la qualité et sur le respect des engagements envers ses clients. ✈︎ En attendant, #Airbus domine le coeur du marché avec ses monocouloirs de la famille A320, avec l'ambition d'augmenter sa production. Alors qu'il avait réduit sa production à 40 A320 mensuels pendant la pandémie, et qu'il en a livré un peu moins de 44 par mois depuis le début de l'année, l'avionneur européen compte passer à 75 A320 mensuels, en 2028. Airbus, qui a annoncé un programme de réduction de coûts, est contraint par les difficultés de la chaîne de fournisseurs à monter en puissance après avoir été fragilisé par la pandémie, la hausse des taux d'intérêt, les pénuries et les difficultés à recruter. Ses goulets d'étranglement seraient notamment les équipements de cabine, les trains d'atterrissage pour avions gros-porteurs ou encore les moteurs. Source BFM TV 👉 https://lnkd.in/eECtpg9N?

Airbus évalue le besoin d’avions gros-porteurs à 8900 appareils, dont 940 dédiés au fret d’ici 2043, soit 20 % du total d’avions à livrer, quand Boeing l’estime à plus de 9000. Et si l’irruption du modèle d'Airbus, l’A321 XLR, un monocouloir à très long rayon d’action déjà vendu à près de 550 exemplaires, pourrait rebattre les stratégies des compagnies aériennes, les gros-porteurs ne vont pas disparaître du marché, estime Darren Hulst, vice-président de Boeing chargé du marketing. « Environ 25 % des sièges de long-courriers se trouvent encore sur des avions de 330 places ou plus, ce qui signifie que nous avons besoin d’un remplaçant efficace pour les avions long-courriers », affirme-t-il, jugeant que ces grands marchés ne sont pas près de disparaître. #Salon #aréonautique #Farnborough #RoyaumeUni #malgré #réduction #taille #avions #demande #pour #grosporteurs #est #toujours #bien #présente

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Boeing encore un peu plus dans la tourmente... Quand ce n'est pas une porte, c'est une roue qui prend la tangente en plein vol... De quoi faire les affaires d'Airbus? Oui dans l'absolu pour des raisons évidentes mais non dans la pratique car les carnets de commandes sont PLEINS à craquer (je n'ai pas réussi à trouver d'info de délai de réception récent pour les commandes d'Airbus) et les sous-traitants peinent à recruter (LHERS - Mécanique de Précision ou encore Groupe MECACHROME notamment) pour faire face à la demande croissante... https://lnkd.in/eW2Bsu-3

✈ Le secteur aérien est confronté à plusieurs dilemmes : ◾ Les compagnies aériennes doivent encore remplacer 17 000 avions en circulation par des versions plus récentes qui permettent des économies de CO2 de l’ordre de 20 à 25% ❌ mais la production d’Airbus et Boeing n’est pas suffisante. Environ 25% en dessous des besoins (et Boeing connait depuis quelques mois des difficultés de production) ◾ Le trafic mondial continue de progresser (les compagnies aériennes tablent sur une croissance de 3 à 4% par an) ❌ cela entraine une hausse des besoins d’avions neufs, qui se fait au détriment du renouvellement de la flotte. ◾ Et pourtant le trafic aérien doit baisser -> cf un rappel de Bon Pote de ce que représente le trafic aérien : https://lnkd.in/dEkbbG2D ▶ Pour les entreprises industrielles qui participent à la production aéronautique, ces dilemmes posent une question de #pérennité : faut-il continuer à investir dans un secteur en très forte croissance, alors que l’on sait que d’une manière ou d’une autre il va baisser ? ▶ A mon avis non. La hausse actuelle est un leurre. Ce n’est qu’une question de temps. Mais comment dire non à son client qui augmente ses commandes ? https://lnkd.in/dpbKzyc9

Le DG d'Airbus : les industriels de l'Ouest vont devoir travailler d'arrache-pied dans les prochains mois. Airbus doit livrer 770 avions cette année, soit 91 par mois. Mais il en a livré 50 en Septembre. Pourquoi ? parce que les sous-traitants ne sont pas au niveau. Leurs retards s'accumulent. Airbus va donc réaliser une revue de ses sous-traitants. D'après la banque de France, 40 fournisseurs majeurs d'Airbus vont mal. airbus met tout en oeuvre pour les aider. Mais la revue générale de ses fournisseurs est nécessaire pour s'assurer du plan de charge. Ces industriels vont donc passer à la loupe pour assurer la charge. Aider les industriels, fournisseurs des grands donneurs d'ordre, c'est notre vocation chez Concipi : prestation, sous-traitance, conseil, on aide tous les jours ! Le changement pour les vacances, ce n'est pas pour maintenant ! https://lnkd.in/eF8Gi4i3

Le dilemme aéronautique : quand les défis convergent vers une tempête parfaite 🌪️✈️ L'industrie aéronautique traverse une phase tumultueuse. Boeing, embourbé dans une série noire d'incidents, et Airbus, confronté à une stagnation de sa montée en cadence, semblent à première vue voler dans des couloirs aériens différents. Pourtant, une inspection plus minutieuse révèle un fil commun inquiétant. Ces géants de l'air, emblèmes de réussite technologique et commerciale, subissent aujourd'hui les contrecoups d'une course effrénée vers des sommets toujours plus hauts. En arrière-plan, une guerre des coûts sans merci, menée sous la pression de réductions des émissions de CO2 et d'une quête insatiable de nouveaux marchés. Les conséquences ? Des carnets de commandes bondés pour la décennie à venir, certes, mais à quel prix pour la structure même de notre industrie ? Derrière le vernis des succès commerciaux se cache une réalité moins reluisante : la fragilisation de nos chaînes d'approvisionnement. Les sous-traitants, véritables colonnes vertébrales de notre secteur, se débattent pour maintenir des équipes compétentes et innovantes face à des contraintes budgétaires étouffantes. Il faut être compétitif, c'est une maxime indiscutable, mais il faut aussi avoir les moyens de se développer, d'attirer des talents et de rester agile et réactif. La consolidation semble être la réponse instinctive à ces défis – un remède présumé où les "grands" absorbent les "petits" pour rester à flot, pour mieux "absorber" les frais fixes. Pourtant, cette crise actuelle nous montre les limites de cette approche. La solution, hier efficace, est aujourd'hui remise en question face à des problèmes qui s'avèrent être systémiques plutôt que conjoncturels. Dans ce contexte déjà chargé, un nouvel acteur commence à prendre son envol : COMAC. L'industriel chinois, pourrait bien trouver dans leurs difficultés l'occasion rêvée pour redessiner la carte du ciel aéronautique. La situation n'est pas simple, et je ne porte pas de jugement. Simplement, le constat est là : les succès d'hier pourraient bien masquer une réalité plus sombre. L'aéronautique est un fleuron de l'industrie européenne et française. Nous possédons un savoir-faire exceptionnel et un très beau capital humain. Il serait vraiment dommage qu'il subisse les mêmes affres que ceux connus par les secteurs de l'électroménager (produits blancs) et de l'électronique grand public (produits bruns), ou la filière textile. Il est impératif d'agir maintenant pour sauvegarder notre héritage industriel et renforcer notre avenir. L'aéronautique est plus qu'une industrie ; c'est le symbole de notre ingéniosité et de notre engagement envers le progrès. https://lnkd.in/dbceBRAX #Aéronautique #Industrie #Innovation #Boeing #Airbus #COMAC #Défis