61% des healthtechs françaises n’ont pas connaissance de ce dispositif ❌ Pourtant, celui-ci peut permettre à votre PME de récupérer 50% des factures de ses prestataires de R&D en crédit d’impôt ! Si vous êtes une ETI ou une grande entreprise, ce taux est de 40% dans la limite des 6 millions d’€ de dépenses déclarées 💰 Mais alors, qui est cet allié si discret ? 👀 👉 Le Crédit d’impôt en faveur de la recherche collaborative, plus connu (quoique) sous le petit nom de CICo ! Bien qu’actif depuis le 1ᵉʳ janvier 2022, seulement 39% des 393 healthtechs interrogées par France Biotech sur ce sujet, dans le cadre du Panorama France Healthtech 2023, ont connaissance du CICo. Pire, elles ne sont que 7% à avoir utilisé le dispositif en 2022/2023 😱 Ma mission avec ce post ? Faire en sorte que vous puissiez prendre connaissance de cette belle opportunité de financement, tout simplement ! Vous souhaitez plus de contenus sur les sujets liés au financement ? Likez ou commentez ce post pour me le faire savoir 💬 #Healthtech #Medtech #InnovationSanté #Startups #HCNext
Post de Clementine Duflot
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« Bien que notre écosystème de financement de la #HealthTech soit robuste, comme en témoigne l’investissement de près de 1,2 milliard d’euros par #Bpifrance en 2023, les défis de financement durant la phase d’industrialisation demeurent significatifs. » Une contribution de Lucas Thiery, co-fondateur de MedInTechs Malgré le dynamisme de la France dans le domaine florissant de l’innovation en santé, un paradoxe préoccupant demeure : en dépit de financements publics substantiels en phase d’amorçage, de nombreuses #startups prometteuses échouent à un moment critique de leur développement. Ce phénomène met en lumière une faille systémique dans notre approche du financement de l’innovation en santé, un problème qu’il est urgent de résoudre.
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Le paradoxe du financement des startups HealthTech en France. Lucas Thiery, cofondateur de MedInTech (plateforme et salon annuel dédiés aux innovations en santé), publie une contribution dans Forbes sur ce sujet très important. En France, l'argent public finance très bien l'innovation à ses débuts - grâce notamment au travail exceptionnel de BPI. Les pouvoirs publics ont bien compris l'intérêt de "pousser" ces innovations hors des labo, vers l'industrie. Mais, au moment de lancer les études cliniques, dont le budget se chiffre rapidement en grosses unités de millions d'€, les financements publics stoppent... ...et, le plus souvent, les produits ne sont pas encore assez avancés pour intéresser les investisseurs institutionnels: . "Revenez me voir avec du clinique" . "Mais j'ai besoin d'argent pour obtenir du clinique !" ...le dialogue est impossible car les attentes ne sont pas alignées (visibilité sur l'obtention du marquage CE/autorisation FDA vs. fonds pour démarrer l'investigation clinique - qui va donner la visibilité). L. Thiery prône un changement de paradigme dans l'approche du financement de ses startups, de façon à mettre les startuppers et les financeurs autour de la même table dès le début du projet. Cependant, on pourrait arguer que les attentes des investisseurs institutionnels ne vont pas changer, et qu'ils auront toujours besoin de visibilité sur les 5 années de leur présence dans les startups (qui vont correspondre grosso modo aux années des études cliniques animales + humaines et aux succès des premiers dossiers de remboursement, ces derniers validant le business model de la startup). Dans ce cadre, il peut paraître également intéressant d'explorer une voie alternative : les BA et les Family Offices. Bien sûr, ces investisseurs ont des poches moins profondes que les fonds, mais ils sont plus patients, et peuvent rester au capital beaucoup plus longtemps que les fonds. Du côté de la start-up, il conviendra alors de séquencer ses levées, les petits ruisseaux faisant les grandes rivières... peut-être en séquençant aussi les études (safety/efficacy 1/efficacy 2/efficacy 3...). Bien sûr, les startuppers seront toujours en train de lever... mais c'est ça ou l'arrêt du projet.
Le paradoxe du financement des start-up de la santé en France : un système à réinventer - Forbes France
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🇫🇷 Malgré un écosystème dynamique avec 1,8 milliard d'euros levés en 2023, les startups HealthTech françaises peinent à passer la phase d’industrialisation. 💼 La divergence d'intérêts entre acteurs publics et privés crée des impasses financières. 💸 Des startups prometteuses sont parfois rachetées par des leaders mondiaux étrangers, ce qui limite les retours sur investissement pour la France. 🤝 Une collaboration précoce et étroite entre les acteurs publics et privés permettrait un financement plus cohérent et durable.
Le paradoxe du financement des start-up de la santé en France : un système à réinventer - Forbes France
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🚀 [Healthtech rise] - La France à la première place des fonds européens Dans la #esante, nous avons une position privilégiée, toutefois sur la vie de tous les jours, on a vraiment beaucoup plus ressenti la baisse de 36 % qui a mis en difficulté nombre de startups. Une étude de Karista très intéressante qui révèle une dynamique compliquée en 2023. Les chiffres 2024 seront meilleurs au vu du trend d'investissement depuis plusieurs semaines 🤞 #digitalsante #frenchtech Nicolas Meric, Christophe VERGNE, Jean-Alexandre KAMINISKY, Patrice Ancillon, Guillaume MAYOT, Julien LEVAVASSEUR
E-santé : en 2023, les investissements dans les start-up européennes ont baissé de 36%
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#Investissement #Europe #Startup E-santé : en 2023, les investissements dans les start-up européennes ont baissé de 36%: La société française de capital-risque Karista a publié son étude annuelle sur les investisseurs européens dans les start-up de santé digitale. Si le nombre de transactions est en hausse par rapport à 2022, 3,08 milliards d’euros ont été investis dans les start-up européennes du secteur en 2023, contre 4,86 milliards d’euros l’année précédente.@LUsineDigitale
E-santé : en 2023, les investissements dans les start-up européennes ont baissé de 36%
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🚀 Quand une idée est puissante, le financement ne devrait jamais être un obstacle. Une startup en santé avec une idée révolutionnaire. Une technologie qui pourrait transformer les soins, mais qui manque de moyens pour franchir les prochaines étapes. Les subventions à l’innovation existent pour ça – des fonds qui, sans dilution, transforment une idée en révolution. Pourquoi les subventions sont-elles l’essence de l’innovation ? Un accès à l’impensable : Sans sacrifier leur indépendance, les entreprises accèdent aux fonds nécessaires pour aller plus loin. Un coup de pouce qui garde intacte leur vision et leur cap. Une preuve de confiance : Obtenir une subvention, c’est une reconnaissance de la valeur du projet. C’est dire aux investisseurs et aux partenaires : « Nous croyons en cette technologie, et elle mérite d’aller jusqu’au bout. » Un tremplin vers l'impact : Des essais cliniques, des validations… Avec les subventions, les startups accélèrent, franchissent les étapes critiques et rendent l’innovation accessible, sans délai. ✨ Un exemple ? Une MedTech IA qui, grâce à une subvention, a lancé ses essais cliniques en quelques mois. Aujourd’hui, elle s’apprête à révolutionner le diagnostic en Europe, aidée par un financement public qui a fait toute la différence. 👉 Votre startup a une vision audacieuse ? Contactez-nous pour découvrir comment les subventions à l’innovation peuvent vous propulser. En échangeant ensemble, nous vous guidons pour obtenir les fonds publics adaptés et optimiser chaque étape de votre projet. #InnovationSanté #Subventions #FinancementPublic #StartupsSanté #AccélérationTechnologique #HealthTech
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🚨 Menace sur la JEI ! 🚨 La lecture de la feuille de route budgétaire, notamment le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, nourrit un sérieux motif d’inquiétude auprès des entrepreneurs de la Healthtech. Parmi les mesures annoncées dans le document transmis au Parlement : la suppression de l'exonération de charges patronales pour les Jeunes Entreprises Innovantes (JEI). Rappelons que le statut de JEI, lancé en 2004 et largement soutenu à l’époque par France Biotech, favorise la création en France de startups innovantes grâce à la réalisation de travaux de recherche. Il permet ainsi aux entreprises de bénéficier d’exonérations sociales et fiscales. Le coup de rabot annoncé, certes dans un contexte budgétaire inédit, est loin d’être anodin pour la filière : 𝟓𝟓% 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞𝐬 𝐇𝐞𝐚𝐥𝐭𝐡𝐭𝐞𝐜𝐡 𝐛𝐞́𝐧𝐞́𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐬𝐭𝐚𝐭𝐮𝐭 𝐝𝐞 « 𝐉𝐞𝐮𝐧𝐞 𝐄𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐈𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐧𝐭𝐞 »*. Ce dispositif est donc largement utilisé et plébiscité par les entrepreneurs biotech, medtech et du numérique en santé, en particulier les jeunes startups issues du milieu académique. 👉 Les conséquences de ces mesures sont sans appel pour les entreprises Healthtech : - une forte augmentation du coût du travail pour les startups innovantes ; - un impact direct sur le financement des collaborateurs en R&D, notamment les doctorants, et donc des recrutements gelés ; - un impact sur le développement des startups dans leur première étape (cruciale) de maturation. L’équipe France Biotech est au travail et se mobilise pour rappeler aux décideurs politiques l’importance que joue le dispositif JEI pour la filière, notamment en terme d’emploi et d’attractivité. Frédéric Girard, président de France Biotech, reviendra sur le sujet lors de son intervention dans « 100% Healhtech, le live de France Biotech » mardi prochain 18h : https://lnkd.in/e7se-nif *source : Panorama France Healthtech 2023 Frédéric Girard David C. Elodie CHAPEL Frédéric Desdouits Catherine George Alexandre Regniault Stephane Tholander Jeanne Volatron Olivier Chabanon Cedric Garcia Lucille Chabanel Lison Dahan Chouraki
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💊 Les start up medtech : les premières victimes de la vallée de la mort ? 💀💰❌ 👉🏻 Malgré l'impact sanitaire évident 🤒 et un potentiel financier important 💰, les start-ups du secteur médical rencontrent autant, voire plus, de difficultés que dans d'autres industries pour commercialiser leurs produits….. Ce qui mène au paradoxe suivant 🙃 : 👉🏻 Certaines maladies courantes, qui constituent à la fois un enjeu majeur de santé publique et un marché potentiellement lucratif, n'ont toujours pas de traitement. 🧐 La régulation et la RD portent souvent à plusieurs mois la commercialisation des produits …. Cette période de maturation rend le besoin en financement vital…. D’où son nom : la vallée de la mort ! Les solutions ? la réassurance 🤓 👉🏻 compétence et expertise de l’équipe 👉🏻 soutien de l’état 👉🏻 support de fonds spécialisés #startup #medical https://lnkd.in/ecJGEhY9
Les start-up medtech, difficiles mais pas impossibles à financer
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#NumériqueEnSanté #Financements – ‘2024 European Digital Health Funds Mapping’ by Karista : En 2023, des levées de fonds dans le domaine du numérique en santé en baisse de 36% en termes de montants par rapport à l’année précédente mais attirant davantage d’investisseurs. Pour la 4ième année consécutive, Karista, VC spécialisé dans la e-santé, a dévoilé les résultats de son mapping annuel dédié aux fonds de financement européens de la e-santé. Que retenir ? ⚠ Un secteur qui enregistre une baisse significative du fundraising avec 3,08 Md€ levés en 2023 (la France y contribuant à hauteur de près d'un milliard d'euros, quasiment le tiers du montant européen) contre 4,86 Md€ un an plus tôt ; ⚠ Les investissements dans les startups françaises sont en baisse de 40% par rapport à 2022, mais plus importants que les 577 millions d’euros levés en 2021 ; ⚠ Les fonds européens ont investi en moyenne 10,1 M€ par opération, soit moitié moins qu’en 2022. Malgré une baisse des financements quelques signaux encourageants : ✅ 306 transactions conclues, soit 5 de plus qu’en 2022 ; ✅ Plus de 3 000 entreprises actives spécialisées dans le secteur du numérique en santé dans toute l’Europe, un nombre qui a triplé au cours des 3 dernières années ; ✅ Une hausse des fonds ayant investi dans la e-santé européenne au nombre de 217, soit 29% de plus qu’en 2022. ✅ Parmi ces 217 fonds, 49 sont français ; ✅ Près de 6 fonds sur 10 investissent en early stage. 30% d’investisseurs en multi-stage. 12 sociétés investissent en late stage, dont 2 françaises (Eurazeo et Quadrille Capital) ; ✅ La France conserve sa 1ère place dans les fonds européens investissant dans la e-santé (24%), suivie par le Royaume-Uni (21%) et l’Allemagne (18%) ; ✅ La chirurgie robotique avec 2 levées de fonds supérieures à 100 millions d’euros (CMR Surgical et Distalmotion) et la pharmatech (AQEMIA, Owkin) avec des investissements ou collaborations, se démarquent en 2023 dans la e-santé. Dans un contexte économique difficile, les chiffres témoignent quand même d’une certaine résilience du secteur, toujours en développement en termes de nombre de startups créées ainsi que d’un intérêt réaffirmé des investisseurs, le secteur du capital-risque en tout cas reste confiant pour l’avenir. A suivre. Accès au rapport complet ici https://lnkd.in/e6sNcqkd.
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Pour tous ceux qui s'intéressent aux problématiques de financement de l'innovation pour les Start-Up de la medtech : à lire! Robin Pointet : mon cher doctorant, c'est votre deuxième article dans The Conversation mais le premier en solo et en tant qu'auteur. Bravo 🕺
🎉 Première publication dans The Conversation 🎉 Je suis très heureux de partager ma première publication dans The Conversation ! 🚀 Cet article a été rédigé dans le cadre de la Résidence d'écriture The Conversation mise en place par le Département de recherche ECOr, le Département de recherche CHANGES et le Département de recherche Droit & transformations sociales (DETS). Un grand merci à Maelys Soualhia et Emilie Marchès pour cet événement unique ! Dans l'article, j'explore les défis auxquels sont confrontées les startups MedTech, en expliquant pourquoi, malgré leurs bénéfices pour la santé publique, elles ont souvent du mal à obtenir des financements et à commercialiser leurs innovations. J'utilise l'exemple de FineHeart, startup pessacaise passionnante qui développe un dispositif d'assistance cardiaque pour les patients atteints d'insuffisance cardiaque avancée. L'article complet est ici : https://lnkd.in/e5XQxiC4
Les start-up medtech, difficiles mais pas impossibles à financer
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