Notre rapport hebdomadaire sur le transport des céréales de l’Ouest du Canada est maintenant disponible. Apprenez-en plus sur la semaine 14 de la campagne agricole ici : https://lnkd.in/e5qB27-w
Post de CN
Plus de posts pertinents
-
🥖 Veille Au Grain estime la récolte Française de Blé Tendre en 2024 à seulement 26,9 Mt. Cette production catastrophiquement faible s'explique avant tout par le climat qui a eu un impact double sur les surfaces et le rendements. 🌧 En Agriculture, on aime le temps qui change... et c'est la pluie incessante qui a dominée le climat français (et européen) depuis le 1er Novembre 2023. En conséquence, une chute des surfaces de 8% au plus bas niveau depuis 35 ans. Second impact des excès d'eau, une fécondation des blés au mois de Mai sous la pluie avec les conséquences associées en terme de remplissage des épis. 🚜 Les récoltes sont dorénavant réalisées à environ 50% au Sud de la Loire et progressent rapidement vers le Nord de la France. Les rendements chutent de -10 à -40% selon les secteurs. Veille Au Grain estime le rendement moyen à 63.5 quintaux/ha à ce stade mais les prévisions seront ajustées au gré de l'avancée des coupes dans l'hexagone. Les rendements pourraient être supérieurs à 2016, maigre consolation pour une année vite oubliée des agriculteurs français. 💦 Concernant la qualité, la chute des rendements a permis de valoriser les apports azotés sous forme de protéines, plutôt au-dessus des moyennes. En revanche les PS (Poids spécifiques) sont dans la majorité des cas inférieurs à 76 (norme meunière et export). 🚢 La France est traditionnellement exportateur de 17 Mt de blé dont 60% vers Pays-tiers, le reste en intracommunautaire. Ce sera une fois de plus la variable d'ajustement cette année. Les exports internationaux chuteraient à seulement 6 Mt contre 9 Mt en moyenne ces dernières années. 💰 Economiquement, toute la chaine de valeur agricole va une nouvelle fois souffrir de ce manque de productivité. Bon courage à nos agriculteurs pour la suite des moissons. Moi-même je moissonne cette après-midi, entre les gouttes... 😅 Je reste à votre disposition pour toutes questions. Veille Au Grain accompagne la filière agricole et agro-alimentaire dans la compréhension des marchés et les stratégies de couverture de risque. Nicolas PINCHON Veille Au Grain #blé #france #agri #agriculteur #agriculture #ferme #moisson #farine #prix #marchés #agroalimentaire #récolte #moisson2024 #rendement #production
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
Les denrées alimentaires post-récolte sont des produits agricoles qui subissent diverses altérations entre le moment de leur récolte et leur consommation. Cette période, souvent négligée, est cruciale pour garantir la qualité et la sécurité alimentaire. Les pertes post-récolte représentent un défi majeur pour l'agriculture mondiale, en particulier dans les pays en développement, où elles peuvent atteindre jusqu'à 37% de la production totale. Le système post-récolte englobe toutes les activités techniques mises en œuvre après la récolte d'un produit agricole jusqu'à sa transformation et sa consommation. Ce système comprend plusieurs étapes clés : la récolte, le stockage, la transformation, le conditionnement, et la commercialisation. Chaque étape est susceptible d'introduire des pertes quantitatives et qualitatives dues à divers facteurs (Le Fonio 2024). Les pertes post-récolte au Cameroun représentent un défi majeur pour la sécurité alimentaire et le développement économique du pays. Ces pertes, qui se produisent à toutes les étapes de la chaîne d'approvisionnement, ont des conséquences significatives sur la disponibilité des produits alimentaires et sur les revenus des agriculteurs. Les pertes post-récolte engendrent des coûts économiques considérables. Par exemple, les pertes dans les filières du manioc, de la tomate et de la pomme de terre se chiffrent en milliards de FCFA, ce qui nuit non seulement aux revenus des producteurs mais également à l'approvisionnement alimentaire du pays (Nanfack et al., 2015). #sustainableagriculture FAO #agriculture Programme Alimentaire Mondial #agroalimentaire #agrivert Food Africa Tina Ngwane #greenhand #ruralagriculture
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La pâte c’est la base dans l’alimentation et ça, les agriculteurs l’ont compris du nord au sud du pays puisque la production de cette denrée est passée de 1 619 605 tonnes en 2021-2022 à 2 059 254 tonnes en 2022-2023. Dans ce cas on devrait s’attendre à une diminution du selon les principes de l’offre et de la demande n’est-ce pas. Mais ce n’est pas aussi simple que ça en agriculture. On a tous constaté une augmentation du prix du maïs sur le marché et y a bien des raisons à cela mais pas celle du Maitre Djogbenou qui évoquait que la ration des poulets serait à l’origine de la hausse du prix du maïs sur le marché béninois. La réalité en est tout autre. Si non en 2020 et 2021, les engrais étaient fixés à 240 FCFA/kg, soit 12 000 FCFA le sac de 50 kg. En 2022, le prix des engrais a augmenté à 280 FCFA/kg, soit 14 000 FCFA le sac de 50 kg, et pour la campagne 2022-2023, il a atteint 22 500 FCFA, soit une augmentation de 8 500 FCFA par rapport à l'année précédente (une situation due à l’augmentation des matières premières des intrants et du covid selon le rapport du conseil des ministres du 20 avril 2022). Et comme on nous l’apprend à l’école, lorsque les charges varient, le prix aussi fluctue indépendamment de l’offre. Conséquence, tout le monde doit payer un peu plus pour manger notre bonne pate que nous gobons tous. Le prix du kilogramme de maïs est passé de 230-269 FCFA en 2022 à 400-450 FCFA en 2023. Et ce qu’il faut aussi savoir est que les producteurs sont les premiers touchés. La hausse des coûts des intrants signifie que le revenu des producteurs chute drastiquement. La solution est de réduire le coût de production aux agriculteurs pour que nos assiettes se sentent mieux. Il s’agit pas de chercher à berner l’intelligence collective en accusant à tort nos chicken. Si non ça risque de s’aggraver d’année en année.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
📊 🚜 Intrants #agricoles #IPAMPA. En 2023, la baisse du prix des intrants, est liée principalement à celle des engrais et de l’énergie. En 2023, le prix des biens et services de consommation courante utilisés par les exploitants pour leur activité agricole baisse de 3,5 %, après deux années de hausses exceptionnelles. ✔Le recul en 2023 résulte de la chute du prix des #engrais et #amendements (-25,3%) et du repli du prix de l'#énergie et des lubrifiants (-4,6%), alors que le prix des aliments pour animaux progresse modestement (+0,5%) malgré le repli amorcé début 2023 (à noter : les prix des aliments céréales et sous-produits reculent de -7,3%). ✔ Le prix des biens d’investissement (donc, hors produits de consommation courante) s’accroît également (+3,9%), dans le sillage de la progression du prix du matériel agricole (+7,3%). https://lnkd.in/ek-EYjtq
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les agriculteurs français spécialisés dans les grandes cultures, notamment le blé, font face à des défis majeurs cette année. L'organisation FranceAgriMer, lors de sa récente présentation, a annoncé une prévision peu encourageante pour les exportations de blé tendre, avec un recul prévu de 15 % par rapport à la campagne précédente, établissant les volumes possibles à 14,1 millions de tonnes. Cette baisse touche également d'autres céréales comme les orges et le blé dur, utilisé notamment pour la fabrication de pâtes, avec des diminutions respectives de 15 % et 10 %. Ces difficultés trouvent leur origine dans les conditions climatiques défavorables des derniers mois en France, incluant de la pluie, de la grêle et un manque de soleil, qui ont perturbé les cultures. Selon les prévisions de Agreste, le service statistique du ministère de l'Agriculture, la production de blé tendre ne devrait pas dépasser 29,7 millions de tonnes cette année, ce qui représente une chute de 15 % par rapport à 2023. Cela marque la troisième fois depuis 2000, après les étés de 2003 et 2016, que la production passe sous la barre des 30 millions de tonnes. Malgré ces perspectives sombres, Benoît Piétrement, président du conseil spécialisé grandes cultures chez FranceAgriMer, souligne que la qualité du blé reste satisfaisante. Intercéréales et l'institut Arvalis partagent cette vision optimiste, notant que la teneur moyenne en protéines du blé est comparable à celle de l'année précédente et proche de la moyenne des dix dernières années, un facteur crucial pour la compétitivité des céréales françaises sur le marché. Le manque de volume attendu est d'autant plus préoccupant que le marché mondial des céréales connaît une déflation après l'envolée des prix suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022. Ces deux pays étant d'importants exportateurs de céréales, les prix avaient atteint des sommets avant de redescendre progressivement. L'Ukraine a néanmoins réussi à maintenir une partie de ses exportations grâce à des voies alternatives comme le train et la route, malgré la fin du corridor céréalier en mer Noire. Dans ce contexte, Benoît Piétrement met en garde contre un resserrement des trésoreries des exploitations agricoles, exacerbé par l'achat d'engrais à des prix élevés en 2023. Il rapporte également une hausse significative des dossiers en assurance climatique cette année, signe des difficultés rencontrées par les agriculteurs. Enfin, Marc Zribi, chef de l'unité grains et sucre chez FranceAgriMer, tempère les inquiétudes quant à l'impact à long terme de cette mauvaise récolte sur la position de la France dans les exportations mondiales de céréales. Bien que la situation actuelle puisse entraîner la perte de quelques marchés, il estime qu'il est encore trop tôt pour évaluer l'ampleur réelle de ces pertes.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
📊 Légère baisse des prix #agricoles au sein de l'Union européenne en 2024. Les premières estimations pour 2024 indiquent que le prix moyen des produits agricoles (#IPPAP) dans l'UE a diminué de 2% par rapport à 2023, tandis que le prix moyen des biens et services consommés dans l'agriculture (#IPAMPA) a baissé de 6%. Cette baisse des prix agricoles fait suite à de fortes augmentations en 2021 et 2022, ainsi qu'à une hausse modeste en 2023. ✔️ #IPPAP. En 2024, l'évolution des prix a été très variable selon les produits. L'huile d'olive (+30%), les pommes de terre (+12%) et les fruits (+7%) ont connu de fortes augmentations, tandis que les bovins (+2%) et le lait (+1%) ont connu de légères hausses. En revanche, les céréales (-15%), les œufs (-8%), les porcins (-7%), la volaille (-6%) et les légumes et produits horticoles (-2%) ont enregistré des baisses. ✔️ #IPAMPA. Parmi les biens et services consommés dans l'agriculture, des augmentations modérées ont été observées pour les prix des semences et des plants, ainsi que pour les frais vétérinaires (+3% chacun). En revanche, les prix ont fortement baissé pour les #engrais et amendements (-18%), les aliments pour animaux (-11%) et les lubrifiants énergétiques (-8%), avec un taux de baisse plus faible pour les produits phytopharmaceutiques et les pesticides (-2%). ✔️ Les prix du #lait en 2024 étaient inférieurs à ceux de 2023 dans 16 pays de l'UE. Les taux de baisse les plus élevés ont été observés en Finlande (-12%), au Portugal (-10%) et en Espagne (-8%). En revanche, les taux d'augmentation les plus élevés ont été enregistrés en Irlande (+15%), en Lituanie (+11%) et en Lettonie (+10%). https://lnkd.in/epg7bPNB
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
📢 🌽 📈 🌽 Retrouvez, comme chaque semaine, notre analyse des marchés du #maïs dans notre rendez-vous hebdomadaire #MardiEconomie ! 🌍 Coté #International, le maïs américain à son plus haut depuis juin Du 27/12 au 03/01, le cours de l’échéance mars à Chicago a perdu 2 $/t pour se situer à 177 $/t. Les producteurs américains accélèrent traditionnellement leurs ventes en ce début d’année et les fonds prennent leurs profits après une fin d’année marquée par un retour au-delà du seuil des 4,5 $/boisseau, résistance datant de juin 2024. La semaine passée aux Etats-Unis, les contractualisations à l’export ont atteint 0,78 Mt, un chiffre inférieur aux attentes des opérateurs. Cependant en date de fin de décembre, 62% du volume d’exportations attendu par l’USDA (63 Mt) était déjà contractualisé ou expédié contre 54% en moyenne à cette date. Par ailleurs, les Etats-Unis ont gagné un panel face au Mexique dans le cadre de l’accord de libre-échange USA-Mexique-Canada. Celui-ci a jugé illégal les restrictions imposées par le Mexique sur l’importation de maïs OGM américain à destination de l’alimentation humaine, interdiction qui devait s’étendre à terme à l’alimentation animale. [...] 🇪🇺 Côté #Europe, l’euro au plus bas depuis 2 ans L’euro est au plus bas depuis fin 2022 après l’annonce par la Fed mi-décembre d’une politique monétaire moins expansionniste que prévu en 2025 et tandis que la BCE devrait continuer à baisser ses taux régulièrement compte-tenu de la situation économique de la zone euro. Cela favorise la compétitivité des céréales européennes face à leurs concurrentes. A la mi-décembre, l’UE avait importé 9,2 Mt de maïs, un rythme conforme à la moyenne à cette date. Dans son bilan de décembre, la Commission Européenne a laissé inchangée sa prévision d’importations pour la campagne, à 19,5 Mt. En Ukraine, 9,5 Mt de maïs ont été exportées sur les 6 premiers mois de campagne sur un programme d’exportation évalué à environ 20 Mt. Le cours du maïs rendu Odessa a légèrement progressé pour s’établir à 205 $/t 🇫🇷 Côté #France, l'alimentation animale en hausse La semaine passée, le cours de l’échéance mars d’Euronext a gagné 3,75 €/t, pour se situer à 210 €/t. Selon FranceAgriMer, 1,2 Mt de maïs ont été incorporés dans les rations en alimentation animale au 1er décembre, une progression de 9% par rapport à l’an passé. Cette dynamique devra se renforcer dans les prochains mois pour atteindre la projection attendue pour la campagne en cours (3,2 Mt) et éviter un alourdissement des stocks, déjà conséquents (2,7 Mt). ⬇ Retrouvez notre lettre des marchés du maïs : https://lnkd.in/eN8y9UfQ #agriculture #territoires #céréales #cultures
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
Au 18 avril 2024, le Conseil international des céréales (CIC) a abaissé sa prévision de récolte mondiale de céréales (blé et céréales secondaires) de 3 millions de tonnes sur un mois, à 2 301 millions de tonnes pour 2023-2024. Cela s’explique uniquement par « des perspectives dégradées pour le maïs, liées principalement à l’augmentation des maladies et du stress dû à la sécheresse dans certaines parties de l’hémisphère Sud », explique le CIC. Ce niveau de production resterait supérieur à celui de 2022-2023, estimé à 2 266 millions de tonnes. Cette baisse de l’offre, couplée à une révision à la hausse de la consommation, entraîne une baisse de la prévision des stocks de fin de campagne de 8 millions de tonnes, à 591 millions de tonnes. Dans une lettre publiée le 15 avril, l’AGPM notait qu’en Argentine, « 15,3 % des maïs étaient récoltés » au 11 avril. Dans le pays, « les fortes pluies ralentissent les chantiers dans le Nord. Les producteurs s’inquiètent de plus en plus des dégâts provoqués par la cicadelle sur les semis tardifs. » Au Brésil, l’USDA a maintenu son estimation de production le 11 avril, alors que la Conab l’a abaissée le même jour. Des semis sous surveillance Pour la future campagne de commercialisation, 2024-2025, le CIC a également revu à la baisse sa première estimation de production du mois dernier, à 2 322 millions de tonnes (–10 millions de tonnes en glissement mensuel). L’organisation justifie cette évolution principalement par un abaissement des prévisions de maïs aux États-Unis. La production est néanmoins « toujours estimée à un nouveau sommet », relève le CIC. Les stocks de fin de campagne sont évalués à 592 millions de tonnes (–9 millions de tonnes par rapport à la première estimation de mars 2024). L’AGPM estimait le 15 avril que pour les semis de maïs aux États-Unis en cours, « la météo se complique du fait des pluies sur le nord-ouest de la Corn Belt mais rien de rédhibitoire à ce stade. » Au 7 avril, « 3 % des maïs étaient semés aux États-Unis contre 2 % en moyenne à cette date (2019-2023). » En France, selon l’observatoire Céréobs, 3 % des semis de maïs avaient été réalisés au 8 avril 2024.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
ACTU CAMEROUN 🇨🇲 : 50% de la demande alimentaire assurée par de petites exploitations agricoles. Dans un contexte où, 92% des petits exploitants agricoles produisent plus de 50% de la demande alimentaire mondiale et où l’Afrique, malgré un potentiel important de 60% des terres arables de la planète, importe environ 80 % de produits alimentaires, la nécessité pour les observateurs de booster la production des petits fermiers s’impose( A24).
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
A propos des céréales Il y'a un mois, je publiais un post sur le délire collectif qui s'était emparé de l'Algérie à propos de la production de céréales. https://lnkd.in/eMGFmvts Aujourd'hui encore, je ne comprends toujours pas comment un mensonge aussi grossier a pu passer. Voilà un article qui remet les choses à leur place. https://lnkd.in/eBXdCHcR La dépendance de l'Algérie en matières de céréales est gigantesque. L'Algérie devrait importer 14 millions de tonnes de céréales durant l’exercice 2023/2024, soit près des deux tiers des besoins du pays. Selon le rapport de la FAO publié en avril dernier, il s’agirait d’un niveau record, «le plus élevé des cinq dernières années». J'ajoute trois choses. 1. L'autosuffisance est une absurdité. Ce quil faut rechercher, c'est une balance alimentaire équilibrée ou excédentaire. 2.Être dépendant pour un produit, ce n'est pas la fin du monde. Il faut proposer d'autres produits à l'exportation, de préférence pas seulement des matières premières. 3.Les politiques menées jusque-là en matière de céréales ont mené à l'impasse. Il faut changer de paradigme. Une révision déchirante des prix, et des investissements massifs pour mobiliser eau et engrais. Un dernier chiffre pour conclure. Avec plus de trois millions d'hectares, l'Algérie produit 35 millions de quintaux de céréales. Avec un million d'hectares irrigués, la production peut doubler. Encore faut-il mobiliser l'eau et les engrais nécessaires.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire