Post de Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH)

Une prise de conscience récente !!! mais comment aller plus vite !? Les violences envers les femmes peuvent prendre des formes très diverses : - violences domestiques (coups, violences psychologiques, viol conjugal, féminicide) ; - harcèlement ou agression sexuelle (viol, avances sexuelles non désirées, harcèlement dans la rue, cyberharcèlement) ; - mariage précoce et forcé ; - mutilation génitale féminine ; - trafic d’êtres humains (esclavage, exploitation sexuelle) Exemples : - 50 000 femmes entre 20 et 59 ans sont victimes de viol chaque année. - En 2023, sur 114 100 victimes de violences sexuelles (dont 65 300 mineures) Des moyens se déploient, - déploiement de 3 000 téléphones grave danger supplémentaires ; - renforcement du recours aux bracelets anti-rapprochement ; - contrôle des acquisitions et détentions d'armes ; - création d'un fichier des auteurs de violences conjugales ; - renforcement de la gouvernance locale de la politique de lutte contre les violences conjugales ; - renforcement de la mission interministérielle en faveur de la protection des femmes victimes de violences. Je m'interroge et vous interroge encore !?

Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes "Chaque année, le 25 novembre est la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Cette journée a été instaurée le 25 novembre 1999 par l’organisation des Nations Unies (ONU). Tous les jours, nous lisons dans les journaux des faits de violences faites aux femmes. Tous les jours, les femmes subissent des violences sexistes et sexuelles dans la rue, sur leur lieu de travail et à la maison. Les violences faites aux femmes sont d’autant moins signalées quand elles ont lieu au sein du couple, comme l’atteste le cas de Gisèle Pelicot, qui a accepté de témoigner lors du procès des viols de Mazan en brisant ainsi le silence sur tout ce dont elle a été victime, à son insu, pendant des années. Elle est un exemple pour nombre de femmes : les dépôts de plaintes en cas de violences conjugales sont rares, en particulier lorsqu’il s’agit d’agressions à caractère sexuel. Il est néanmoins important de souligner que, outre la honte et la peur, c’est le manque de preuves qui empêche les femmes de porter plainte : la preuve d’une violence conjugale étant souvent absente – difficile de prouver qu’il s’agit d’un viol alors que la violence sexuelle arrive au sein d’un couple. Malgré cela, entre 2014 et 2020, le nombre de femmes se déclarant victimes de ces violences conjugales a augmenté de 86%. Parmi les plus fragiles, il y a toujours le cas des femmes handicapées et des femmes étrangères". (...) https://lnkd.in/ghQupR4N

#25 Novembre : Journée Mondiale de Lutte contre les Violences faites aux femmes Parce que les chiffres restent édifiants, restons toutes et tous mobilisés ! Soyons sensibles à nos "Biais de conformité" ou "effet témoin" pour savoir réagir 👇 ⁉️ L'effet témoin ou effet spectateur - spectatrice est un processus psychologique qui entrave notre sens de l'action et de l'aide lorsque l'on est témoin avec d'autres d'une agression. Pourquoi ❓ Des études ont identifié un certain nombre d'inactions suite à une interprétation erronée de l'absence de réaction des autres : - Chaque individu a tendance à se conformer au comportement de la masse et il est plus difficile d’agir différemment du groupe : si l'autre ne fait rien, je ne dois rien faire ! - La non réaction des autres est perçue comme une indication que l'aide n'est pas nécessaire avec une confusion ou une diminution des responsabilités (peur de mal faire, le sens des responsabilités ressenties est partagé et il devient diffus avec les autres membres présents du groupe ...). - Enfin, on rationalise en se disant que ce ne sont pas nos affaires, ce qui se passe au sein du couple, de la famille doit rester en son sein... Or, en intervenant, on peut ouvrir la porte à celles et ceux qui n’osaient pas autour afin de provoquer une effet de masse et dissuader l'agression. Si vous êtes témoin ou victime : 𝗘𝗻 𝗰𝗮𝘀 𝗱'𝘂𝗿𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 : 𝟭𝟳 𝗘𝗻𝗳𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 : 𝟭𝟭𝟵 𝗩𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗳𝗼 : 𝟯𝟵𝟭𝟵 𝗣𝗮𝗿 𝗦𝗠𝗦, 𝘀𝗶 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗿 : 𝟭𝟭𝟰

📅 25 novembre : Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes Aujourd'hui, est l'occasion de mettre en lumière une réalité trop souvent silencieuse : la violence à l'égard des femmes. Chaque année, des millions de femmes à travers le monde sont victimes de violences physiques, psychologiques, économiques ou sociales. Ces violences, qu'elles soient visibles ou invisibles, sont une violation des droits humains fondamentaux. 🔸 Quelques chiffres alarmants : 1 femme sur 3 dans le monde subit des violences au cours de sa vie. 137 femmes sont tuées chaque jour par un membre de leur famille (source ONU). Il est de notre responsabilité collective, en tant qu’individus, entreprises et sociétés, de dénoncer, prévenir et éradiquer ces violences. Cela passe par : ✔️ La sensibilisation à ce fléau. ✔️ Le soutien aux victimes. ✔️ La promotion de l’égalité et du respect. Ensemble, nous pouvons agir. Brisons le silence, écoutons les victimes et engageons-nous à construire un monde où chaque femme peut vivre sans peur. #StopViolences #25Novembre #DroitsDesFemmes #AgirEnsemble

25 novembre : journée nationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes 💜 Pour agir efficacement contre toutes les formes de violences sexistes et sexuelles, il est nécessaire de savoir les qualifier et d’avoir une connaissance précise de leur ampleur ✊ Engagé pour les femmes depuis 1997, le LABORATOIRE 7MED profite de cette journée de lutte contre les #VFF pour partager avec vous quelques ressources : 👉 « Quelle est l’ampleur des violences faites aux femmes en France ? » Le Monde : https://lnkd.in/d4-saKWf 👉 « Les violences sexistes et sexuelles sous relation d’autorité ou de pouvoir, agir contre ce fléau trop longtemps ignoré » Secrétariat d'État chargé de l’Égalité femmes-hommes : https://lnkd.in/dyGpqVux 👉 « Les violences conjugales enregistrées par les services de sécurité en 2022 » Ministère de l'Intérieur : https://lnkd.in/egnfDPzJ 👉 « Comprendre les chiffres pour mieux défendre les femmes et les enfants victimes de violences sexistes et sexuelles » NousToutes : https://lnkd.in/ey8Kvebb 👉 «Déclaration sur l'élimination de la violence à l'égard des femmes » United Nations : https://lnkd.in/eZ8iQrsi Nous rappelons aussi que le 3919, numéro dédié, est joignable 24h/24 et 7j/7. #violencesfaitesauxfemmes #sexisme #santédesfemmes

✊🏼 Lundi 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. 😔 Lors de ma vidéo YouTube sur les maltraitances et violences, j'ai omis d'évoquer les situations de #violences #intrafamiliales et #conjugales que les professionnels d'ESSMS peuvent détecter et signaler. 🎁 Dans la continuité du schéma "maltraitance" publié lundi dernier, je vous partage aujourd’hui cette infographie du traitement des actes de violence. L'occasion de : 👉🏼 Faire le point sur vos procédures, outils et organisation ; 👉🏼 Sensibiliser toutes les équipes 👉🏼 Compléter vos connaissances et vos pratiques avec les Recommandations et Outils de la HAS Bonne lecture et belle semaine ☺️☕ _________ RAPPELS en cette journée de prévention et de lutte : ➡️ La violence contre les femmes est une violation des droits de l’homme. ➡️ La violence contre les femmes résulte d’une discrimination à l’égard des femmes, tant dans le droit que dans les faits, ainsi que de la persistance d’inégalités entre hommes et femmes. ➡️ La violence contre les femmes a de lourdes conséquences et peut empêcher la réalisation de progrès dans de nombreux domaines (médical, écologique, sociétal). ➡️ La violence contre les femmes et les filles n’est pas inéluctable et sa prévention est non seulement possible mais essentielle. ➡️ La violence contre les femmes est un problème mondial. Cinq femmes ou filles sont tuées toutes les heures par un membre de leur propre famille (source : ONU Femmes) ➡️ On estime, au niveau national, à 217 000 femmes âgées de 18 à 74 ans qui au cours d'une année sont victimes de viols, tentatives de viol et/ou agressions sexuelles (source : MIPROF).

🚨 Journée Internationale de la Lutte contre les Violences Faites aux Femmes 🚨 Les chiffres sont alarmants et choquants : selon le dernier rapport de l'Unicef, 𝟯𝟳𝟬 𝗺𝗶𝗹𝗹𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗶𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 dans le monde ont été victimes de viols ou d’agressions sexuelles avant l’âge de 18 ans. Cela représente 𝟭 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗼𝘂 𝗳𝗶𝗹𝗹𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝟴 à l’échelle mondiale. 😢 Et ce n’est pas tout. En incluant des formes de violence sans contact, comme le harcèlement en ligne, ce chiffre monte à 650 millions, soit 1 femme sur 5.  Mais le plus effrayant, c’est que 80 % des victimes ne parlent jamais de ce qu’elles ont vécu. 😔 Ce mois-ci, nous mettons un point d’honneur à sensibiliser sur cette cause et à encourager le dialogue. Il est temps de prendre conscience de la réalité et de dire STOP aux violences faites aux femmes. Si vous êtes victime ou témoin, n'hésitez pas à dénoncer : 𝗘𝗻𝗳𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝗻 𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿 : 𝟭𝟭𝟵 𝗩𝗶𝗼𝗹𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗳𝗼 : 𝟯𝟵𝟭𝟵 𝗣𝗮𝗿 𝗦𝗠𝗦, 𝘀𝗶 𝘃𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇 𝗽𝗮𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗿 : 𝟭𝟭𝟰 𝗘𝗻 𝗰𝗮𝘀 𝗱'𝘂𝗿𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 : 𝟭𝟳 #stopviolence #justicepourlesfemmes #briserlesilence #lapuissancedulien #25novembre #sensibilisation #actionurgente

📢 25 novembre - Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes. Pourquoi le 25 novembre ? Cette journée a été instituée le 25 novembre 1999 par l'Organisation des Nations Unies (ONU). Cette date a été retenue en hommage aux sœurs Mirabal, militantes dominicaines tragiquement assassinées sur ordre du chef d'État Rafael Trujillo. Le problème des violences faites aux femmes est mondial : jusqu’à 70 % (pourcentage non exhaustif) des femmes subissent des violences au cours de leur vie. Cyberharcèlement, sexisme, violences conjugales, harcèlement, agressions sexuelles, mariages forcés, violences psychologiques, féminicides, et j’en passe : partout dans le monde, les femmes et les filles subissent des violences. Et même en France, qui est un pays « avancé », la réalité est glaçante : • 1 viol y est commis toutes les 6 minutes. • Dans 91% des cas de viols, ou tentatives de viols, les victimes connaissent leur agresseur. • 94% des plaintes pour viol sont classées sans suite. Ces chiffres sont effrayants, mais ils rappellent l’urgence d’agir. Le 25 novembre n’est pas qu’une journée de sensibilisation. C’est un appel à chacun·e d’entre nous pour dénoncer, éduquer, se remettre en question, et soutenir les initiatives en faveur de l’égalité et de la protection des femmes et des minorités de genre. Sources : La fondation des femmes, TV5 Monde, Le Monde, France Info.

Les violences faites aux femmes sont une violation grave et inacceptable des droits de la femme. Toutes les formes de violence, y compris la violence physique, sexuelle, psychologique et économique, doivent être condamnées et prévenues. Les femmes ont le droit de vivre dans une société libre de violence et de discrimination fondée sur le genre. Il est essentiel de créer des espaces sûrs pour les femmes et de fournir des ressources adéquates pour les aider à surmonter les conséquences des violences. Les gouvernements, les organisations non gouvernementales et la société civile doivent travailler ensemble pour mettre fin aux violences faites aux femmes et promouvoir les droits de la femme. Non aux violences faites aux femmes !

Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes : AGISSONS ! Loin des contes de fée, la vie peut rapidement devenir un cauchemar, voire un film d'horreur pour les femmes qui subissent moultes violences verbales, physiques et sexuelles. Ne pensez pas que cela n'arrive qu'à une minorité. TOUTES LES FEMMES, je dis bien toutes les femmes, sont victimes de remarques sexistes ou déplacées, de harcèlement, de tentatives de viol ou de viol, de mains sur les fesses ou de coups. Interrogez les femmes autour de vous et vous verrez que la violence contre les femmes est un mal répandu dans toute notre société et qui la ronge. La question est : qu'allez-vous faire ? Que faites-vous pour dénoncer ou lutter contre ces violences ? Riez-vous aux blagues sexistes ? Fermez-vous les yeux ? Ou dénoncez-vous les actes de violence contre les femmes ? De quel côté vous placez-vous ? Car vous êtes soit du côté des victimes, soit du côté des bourreaux. Il n'y a pas de terrain neutre. Se taire, c'est accepter l'état de fait, c'est collaborer. Et faites votre examen de conscience. De quelle manière je contribue à la violence contre les femmes. Je m'adresse bien-sûr aux hommes, mais aussi aux femmes qui parfois se taisent aussi. Agissez pour que ce que vous ne voudriez pas qu'il vous arrive ou qu'il arrive à une femme de votre entourage, n'arrive pas aux autres. Car c'est toute la société qui doit dire NON au violences subies par les femmes. En ce 25 novembre, la Préfecture d'Occitanie écrit "la violence contre les femmes est une violation des droits de l'homme". La formulation montre à quel point nous avons besoin de faire évoluer notre langue française pour accorder aux femmes les droits les plus basiques.