Post de COACH OMNIUM

📷 « Les vies qu’on mène » : notre exposition est de retour ! Après Paris en 2022 et Raon-l'Étape en 2023, le projet photographique que nous avons conduit avec TENDANCE FLOUE s’invite à Lunéville en Meurthe-et-Moselle. Comme à Raon-l'Étape, on se penche sur la vie des personnes habitant hors des grandes villes. Aux plans géographique et démographique, on a du mal à circonscrire précisément le sujet : espaces peu habités, espaces périphériques, espaces dépendants des métropoles, espaces en déclin… Les qualifier de « peu denses », c'est désigner en creux leur manque : on vise les territoires où la densité de population serait insuffisante pour que le déploiement d’une offre de transports collectifs conséquente puisse trouver une pertinence économique. Raison pour laquelle, entre autres, la voiture y est reine, et ses habitants sans réelle alternative pour se déplacer. Mais pourquoi ne pas les requalifier, positivement, de "grands espaces" ? Étant devenus, pour certains, plus désirables encore à la sortie des confinements successifs, car synonymes de plus d’espace. Plus d’espace dans son logement pour élever des enfants, accueillir des animaux domestiques, recevoir des amis, jardiner, bricoler... Plus d’espace aussi pour profiter pleinement de la nature, de paysages et de loisirs en plein air. 🗓️ Du 7 mars au 5 mai 2024 📍 Château de Lunéville, 54300 Lunéville Agathe Lefoulon Jérôme Sessini Pascal Aimar Mat Jacob philippe lopparelli Meyer Pour en savoir plus 👉 https://lnkd.in/eDjERUUf

ChangeNow, c’est le salon qu’il faut copier et je vais vous dire pourquoi ! Chaque année, je bloque mon agenda pour me rendre à ChangeNOW, le plus grand événement de solutions pour la planète. Et j’y vais pour le Fond ET la Forme. Le principe : réunir ce qui se fait de mieux - les meilleurs speakers, les meilleures idées et les meilleures solutions - pour un demain plus responsable, plus respectueux et plus vertueux. C’est toujours un shoot de bonnes ondes et d’espoir de voir toutes ces forces vives réunies ! Mais j’aime y aller aussi en tant que pro de l’événementiel pour constater qu’on peut faire des événements responsables pour des milliers de personne, avec un décor canon tout en limitant son impact. Oui c’est possible ! Je vous invite à écouter l’épisode de LiveStories dans lequel Rose-May Lucotte la co-fondatrice de ChangeNOW et Michel Rivet de Moma Event m’ont raconté les coulisses de cet événement - de la génèse aux détails de la production, à la reflexion autour de l’impact carbone. C’est passionnant ! Je vous mets le lien dans les commentaires. Quelques bonnes idées à reproduire : - pas de stands énormes et qui en jettent, mais tous à la même enseigne, un panneau explicatif clair pour comprendre l’offre et un desk pour discuter … car c’est le propre d’un salon ! Se parler … - les scénographies épatantes et éco-conçues par épatant. On n’a jamais vu des tasseaux aussi sexys ! Là encore, les salons négligent souvent ces espaces de conférence alors qu’ils font l’image du salon et son faire venir … - un panneau pour expliquer ce qu’est un événement responsable ( sensibilisation et pédagogie 😉) - des fontaines à eau - les poubelles de tri clairement expliquées - un véritable parking à vélo surveillé et encore plein de bonnes initiatives ! Je vous partage quelques photos dans les commentaires. Et vous, quelle est la bonne pratique éco responsable que vous avez vu ou mis en place dernièrement et que vous aimeriez voir se généraliser ? #eventprofs #evenements #ecoresponsable #changenow #rse

«Design actif : et si on passait de l’expérimentation au déploiement ?» Retrouvez ma tribune dans Club Acteurs du Sport de la La Gazette des communes parue le 13 juin 2024 : Le design actif, c’est l’aménagement des espaces publics et des bâtiments afin d’inciter à l’activité physique et sportive, au mouvement, de manière libre et spontanée, pour toutes et tous. Le design actif permet d’adopter un mode de vie + actif à proximité de chez soi, de se réapproprier l’espace public (femmes, piétons, cyclistes, personnes âgées ou en situation de handicap), de bâtir des villes à hauteur d’enfants plus hospitalières. Des équipements peu onéreux : marquages au sol et signalétiques, « coups de pouce » informationnels, cheminements piétons ou sentiers pédestres, parcours de la forme ou de santé, aires de jeux ou de fitness. Une expérimentation a été lancée en 2021 par Paris 2024, l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires (ANCT) et la Cité du Design de Saint-Etienne avec 6 collectivités dont Saint-Dizier et Plaine-Commune, étendue depuis à 80 communes du réseau « Action Cœur de Ville » pour un montant financier de 300 000€. Et puis plus rien, pas de suite envisagée. Certes, des crédits de l’ANS ont bien été fléchés dans le cadre du plan 5000 équipements sportifs de proximité et l’aménagement des cours d’écoles actives et sportives (170 en 2023). 500 cours d’écoles supplémentaires sont programmées en 2024, et 1500 sur 3 ans -sur un total de 50 000 en France- mais nous venons d’apprendre que dans le cadre de la 1ère vague de coupes budgétaires, les crédits prévus initialement (10 millions€) seront ramenés à 2,5 millions €, soit une subvention de l’opérateur moyenne de 5000€ au lieu de 20 000€ par cour d’école. Les collectivités territoriales devront une fois encore faire un effort financier. Alors, on passe enfin de l’expérimentation à la généralisation dans tous les territoires ? Je préconise la mise en place d’un fonds pérenne « Héritage design Actif » de l’Etat (ANCT/ANS) financé notamment par l’augmentation des taxes affectées (paris sportifs) pour aider les collectivités à s’équiper avec le soutien des départements, acteur majeur des solidarités humaines en direction des publics plus fragiles (personnes en perte d’autonomie, handicap, enfance). => les aménagements design actif dans tous les territoires et un grand programme d’aménagement des abords des écoles pour favoriser les mobilités actives sur le trajet domicile-école => le financement dans l’enseignement supérieur de campus actifs promoteur de santé, le déploiement des tests de condition physique mobiles à l’école, en entreprise, en établissements sociaux, l’intégration du bienfait des activités physiques dans les documents d’urbanisme => un crédit d’impôt permettrait d’inciter les PME à investir dans les aménagements d’espaces de travail, de postes de travail, le mobilier actif (bureaux réglables en hauteur, assises actives), dans les salles de sport, douches et vestiaires

L’esprit de l’outdoor est-il soluble dans la ville ? La scène a lieu dans une salle d’escalade, lors d’un événement récent, le « Feats of Strength« . L’idée, comme le suggère le nom, c’est l’exploit physique. C’est indoor, jeune, festif, saturé de bruit et de cris d’encouragement, le speaker ne s’économise pas. La lumière extérieure, le calme, le rocher et l’outdoor sont loin, ce n’est pas un jugement, juste un constat. Le changement de référentiel par rapport au début de la grimpe est total. Pourquoi pas, mais revenons un peu en arrière. Une partie de l’histoire de l’escalade nous emmène en Californie dans les années 60 et 70. On y croise des gens comme Yvon Chouinard, Lynn Hill, le groupe des Stonemasters. On parle aussi de Camp 4 où plane une ambiance « unanimement reconnue comme rebelle et en marge des normes sociales établies de l'époque ». À ce moment, résonne encore l’écho de la contre-culture américaine. La France découvre Patrick Edlinger au début des années 80, et la grimpe va sans doute incarner très tôt ce que deviendra plus tard l’univers outdoor, dont l’imaginaire penche nettement du côté de la montagne. On ne parle pas forcément de contre-culture, mais l’idée est certainement d’être différent. Les premières salles de grimpe apparaissent dans les années 90, mais la grimpe en falaise reste la référence. Ce n’est que beaucoup plus tard que les salles connaîtront le succès. En 2024, la grimpe est devenue un sport majoritairement pratiqué par des urbains en indoor, elle est aux Jeux olympiques de Paris 2024, et l’épreuve de vitesse est devenue technique et athlétique. Un sport outdoor « alternatif » est devenu un sport indoor assez normé. Le public a donc changé. Le profil du grimpeur n’est plus le même, ses références culturelles non plus, ses attentes encore moins. Dans quelle direction ira la prochaine génération, c’est ça le vrai débat, c’est la question que l’avenir nous pose. La prospective ne consiste pas à imaginer les scénarios que l’on souhaite, mais ceux qui adviennent. C’est plus compliqué. CODEZERO AGENCY - Sports Innovation & Brand Strategy Christophe Dumarest arkose&co Grégoire De Belmont SIMOND Petzl Jean Baptiste Tribout

Flâneries à #VivaTech2024 Que retiendrons-nous de nos flâneries à VivaTech 2024... de l'IA, de l'IA et de l'IA. L'IA était partout. Toutefois, nous avons trouvé deux pépites : Bioteos et THE SORORITY FOUNDATION. ⚗ Bioteos aspire à révolutionner la vie au bureau. Comme dit la chanson de Mickey3D "il faut que tu respires !". Saviez-vous que de par l'imprimante, photocopieuse, ou tout simplement air venu de l’extérieur, vos bureaux peuvent être 8 fois plus pollués que les rues des grandes villes ? L'appareil de Bioteos vous donne de l'air frais ! 🚨 The Sorority, quant à elle, mise sur l’entraide entre les femmes. Grâce à une carte interactive, lorsqu’une personne est dans une situation qu’elle estime dangereuse, elle peut déclencher une alerte sur l’application avertissant de facto immédiatement toutes les inscrites situées aux alentours qui pourront ensuite prendre les mesures nécessaires tout en assurant leur sécurité. 👁 https://lnkd.in/eJr7Cjma #assistante #officemanager #air #bureaux #securite

🏆Ma Petite Entreprise 2024 Présentation des équipes pour la finale au Campus des Métiers 37 : 🏆 𝑩𝒍𝒖𝒆 𝑾𝒂𝒍𝒍𝒔 : Constitution de l'équipe : ➡️ Shanie CHAMIGNON ➡️ Camille Delimbeuf ➡️ Karim Moulay ➡️ Nathan Marchais ➡️ Mathéo Payen "Chez Blue Walls, nous comprenons l'importance cruciale de protéger les yeux des enfants dans un monde de plus en plus numérique. 💡C'est pourquoi nous avons développé des verres hydrogel à destination de vos grands écrans avec un traitement anti lumières bleues, spécialement conçus pour offrir une protection optimale de la vision des générations de demain. Nous croyons fermement à l'importance de soutenir l'économie locale et de réduire notre empreinte environnementale. C'est pourquoi nos produits sont fabriqués en France, avec un engagement envers la qualité et la durabilité. En choisissant Blue Walls, vous optez pour une protection visuelle de qualité supérieure, tout en contribuant à un avenir plus vert et plus responsable. ♻️ Rejoignez nous dans notre mission de préserver la santé visuelle de votre famille, tout en soutenant l'économie circulaire et l'industrie française. Ensemble, faisons de Blue Walls le choix évident pour un avenir plus lumineux et plus sain. 💪🏻" #BlueWalls #MPE #VisionResponsable #EnfantsHeureux #MadeInFrance. " Montrez votre soutien en commentaire 💪

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Effectivement l'escalade est à la croisée des chemins , d'un coté l'outdoor et encore je devrai dire les outdoors! En effet entre les couennes bien sécurisées des petites falaises (en hauteur, pas en difficulté) , les grandes falaises ou l'on trouve des grandes voies parfois mythiques et l'escalade Trad comme on l'appelle aujourd'hui, sans parler de l'alpinisme, il y a mille pratiques de l'outdoor! En fait quand on pratique l'outdoor en général on navigue entre ces différents modes! Un peu comme moi avec mes 50 ans de grimpe et mes bientôt 70 ans, je suis passé progressivement des parois montagne ou terrain d'aventure aux longues voies bien équipées, et je m'entraine sur de "petites falaises"!Mais revenons à la croisée des chemins, et la bifurcation qui se joue entre l'outdoor et l'indoor: les salles d'escalade sont amenées à un fulgurant développement de la pratique urbaine, cette croissance poussée par la FFME qui ayant délaissé l'outdoor s'est précipité sur les JO!L'indoor et les salles c'est la totale urbanisation de la pratique avec des codes nouveaux, l'escalade remplace les salles de fitness aujourd'hui avec ses 3 millions de pratiquants et ses créations permanentes de nouvelle salle qui devienne de vrai lieu de loisir avec restauration et musique, on est loin de la grande aventure!On rentre dans le vrai business.. Je vois plusieurs options possibles au devenir de la pratique: - d'abord une scission nécessaire de la Fédération Montagne et de l'escalade, d'un coté une fédération qui reprend l'activité en extérieur à son compte, de gros problèmes à gérer, conventionnement des falaises en particulier!! - de l'autre coté une Fédération Olympique qui gére l'Indoor et toute la pratique liée aux salles ainsi que la gestion des compétitions! Chacun retrouvera alors ses billes! 2 enjeux cependant aujourd'hui si on veut que l'escalade poursuive son développement: - les diplômes, un tas de diplôme voit le jour pour la salle et on sait qu'ils viendront grignoter sur le diplôme existant du BE ou DE escalade, donc attention! - amener certains pratiquants de salle à l'outdoor, d'ou création de falaise ou d'équipement plutôt aseptisé sur certaines voies qui permette une pratique totalement No Risk! Donc de gros enjeux entre l'indoor et l'outdoor avec une fédération qui à mon avis a trop penché vers la salle!

[Sur le toit] Marcher sur le toit du Stade de France en reco pour un projet. Discuter amicalement avec un artiste ultra-connu entre deux prises de son en studio. Faire une courte balade d'hélico dans les Alpes. Contribuer à financer une maison d'hébergement pour alléger le quotidien d'humains qui souffrent du cancer. Imaginer l'architecture de marque complexe d'une entreprise technologique présente dans les gratte-ciels du monde entier. Concevoir la collection de vêtements de Noël d'un club de foot mythique. Se retrouver à Hô Chi Minh pour une semaine intense en vue du lancement mondial de nouvelles chaussures d'une marque historique. Investir sa créativité afin de valoriser l'accès à l'eau potable dans les pays en voie de développement... Je pourrais continuer à écrire d'autres exemples pendant des heures. Vous vous demandez où je m'en vais avec tout ça? On critique souvent notre industrie des agences créatives. J'en suis. Mes idéaux d'équité et de progrès sont souvent perturbés par certains enjeux déprimants. Soit. Mais il y a aussi tous les bons côtés de notre industrie. Ces aspects qui nous donnent l'impression un instant parfois, voire souvent, d'être réellement privilégiés et de marcher sur le toit métaphorique du monde. Les exemples mentionnés au début de ce texte sont issus du quotidien chez Camden dans nos différents bureaux lors de la dernière année. C'est aussi ça évoluer en agence. Pas tout le temps. Mais quand même. Et si on sait bien qu'on ne sauve pas des vies et qu'on opère pas à coeur ouvert, c'est pas rien et peu d'industries peuvent espérer faire vibrer autant leurs membres au quotidien. Faut le dire. A2C - Association des agences de communication créative #creation #marketing #branding #communication #social #publicité

Clair et efficace, à généraliser en ERP ?