Post de CYCL'EAU

Petit partage estival... Réchauffement... [Extrait] : " Hausse des températures, changement du régime des pluies, salinisation des sols due à la montée de l'océan : le delta du fleuve Sénégal est confronté aux conséquences du réchauffement climatique. Doté de terres fertiles, ce territoire sahélo-saharien est historiquement reconnu comme le grenier du pays. Mais désormais, les écosystèmes fragilisés par les activités humaines sont moins résilients, les marées rendent les terres incultivables, tempêtes et courants aggravent l'érosion. Les eaux montent également, menaçant Saint-Louis, classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, et emportant des villages. Des milliers d'habitants sont contraints à l'exode : ce sont les premiers réfugiés climatiques d'Afrique. " Qui sont les climato-sceptiques et sur quelles théories se basent-ils ? (Geo, 2022) https://lnkd.in/e49JS555 https://lnkd.in/ekMfGYVC

🔴D'après les prévisions météorologiques, la future tempête Djoungou engage un déplacement vers l'Est, ce qui va l'éloigner rapidement des terres habitées. En revanche, une ou plusieurs zones suspectes pourraient potentiellement trouver des conditions favorables pour se développer. 🔹Le développement d’une circulation actuellement sur Madagascar, qui devrait retrouver l’océan indien vendredi ou samedi au large de Toamasina est évoqué par le site cycloneoi; ainsi qu'un précurseur qui se mettrait en place plus à l’Est. Dans ce contexte, il existe une probabilité de cyclogenèse en cours de semaine prochaine, mais pour l'heure, ces nouvelles activités suspectes sont encore de l’ordre de la théorie, souligne le site. Toute l'actualité de Madagascar sur https://actu.orange.mg/

[8 juin 🌊 #worldoceanday] La Fondation de la Mer se mobilise pour le #corail. La France est le 4e pays au monde en terme de surface de récifs coralliens... des coraux qui ne vivent pas que dans les eaux tropicales mais aussi en Méditerranée. 👉 Et qui tous sont menacés par le réchauffement des eaux, les pollutions, les comportements humains... 🆘 Il est urgent d'agir pour protéger ces écosystèmes essentiels à l'équilibre de la planète : avec #SOSCORAIL vous pouvez trouver des projets à soutenir https://lnkd.in/es2FQ_QP Initiative Française pour les récifs coralliens (Ifrecor) Direction générale des outre-mer (DGOM) Ministère Écologie Territoires Sud Radio Sabine Roux de Bézieux https://lnkd.in/edb4na98

La transformation du désert en océan En 24 heures, il est tombé l'équivalent de deux ans de précipitations à Dubaï. La plus grande ville des Émirats arabes unis a été le théâtre d'inondations aussi inhabituelles que spectaculaires ce mercredi. Ces pluies torrentielles, qui ont également frappé Bahreïn, le Qatar ou encore le sultanat d'Oman ces derniers jours, sont les plus importantes jamais enregistrées dans le pays depuis le début des relevés en 1949. Malgré son climat désertique, cette région du monde peut tout de même faire face, à cette période de l'année, à des épisodes orageux. En revanche, une telle intensité est tout à fait inédite, analysent de concert la plupart des experts. Un puissant cumul de pluie qu'il est difficile de ne pas imputer au dérèglement climatique et à sa capacité à accentuer la virulence d'un évènement extrême. "On voit qu'avec le réchauffement, les pluies les plus importantes augmentent en volume. Dorénavant, à chaque fois que nous aurons des pluies torrentielles, elles seront plus importantes que celles qui tombaient auparavant", éclaire Françoise Vimeux, climatologue à l'Institut de recherche pour le développement. "Si vous prenez cet évènement il y a 100 ans et que vous le remettez dans un climat non modifié, il est fort probable que vous obteniez des volumes de pluie inférieurs", ajoute-t-elle. Nous subissons les conséquences de nos mauvaises actions sur l'environnement. Les catastrophes se suivent les unes aux autres et rien ne peut les arrêter. La solution la plus adaptée est de construire durablement, de vivre sainement et surtout de respecter notre environnement dans toutes les actions que nous poserons. #ECOSOLUTION #ECODESIGN #ECOBUILDING #ECOCATASTROPHE #GREEN

🌍🌴 "Tropicalisation" en marche dans les pays méditerranéens ! Les événements extrêmes se multiplient, et les pays méditerranéens comme l'Italie sont particulièrement touchés. Un rapport conjoint du service Copernicus sur le changement climatique et de l’Organisation météorologique mondiale (OMM) met en lumière des températures et des inondations supérieures à la moyenne. Source : https://lnkd.in/efNnSBAP 💡 En Italie, le constat est saisissant : on parle désormais de "tropicalisation" du climat. Antonello Pasini, physicien du climat au Conseil national de la recherche, souligne que la Méditerranée est devenue un véritable punching-ball climatique. Des anticyclones africains chauds s'installent de plus en plus, entraînant des vagues de chaleur dépassant parfois les 45 degrés, des épisodes d'inondations dus à des pluies intenses et un contraste brutal avec les courants froids. #ChangementClimatique #TropicalisationClimatique #Environnement #Copernicus #abonnement #Althiatem #AdaptationClimatique 📉 Ce phénomène d'extrémisation du climat italien, plutôt que de tropicalisation, s'accompagne d'un coût considérable. Les inondations en Émilie-Romagne et en Toscane en mai dernier ont engendré des dégâts estimés à plus de 10 milliards d’euros.  🌍🌡 Face à cette réalité, il est urgent d'agir. Le changement climatique n'est pas une fatalité, mais il nécessite une action concertée et rapide. Chaque initiative compte pour préserver notre planète et construire un avenir plus durable.

🌍 CLIMAT | "La crise de l’eau est mondiale. Un quart de la population est aujourd'hui concerné par un stress hydrique annuel extrême, et la moitié l'est au moins un mois par an." Depuis 3 ans, Estelle Peyen (M99) porte l’initiative XCSS Climate Can’t Wait, qui mêle compétition sportive et échanges avec des populations particulièrement impactées par le changement climatique pour sensibiliser aux enjeux environnementaux. Thème de l’édition 2024 organisée entre la France et le Kazakhstan : la crise de l’eau.

Le pourtour de la Méditerranée est l’une des régions qui se réchauffe le plus vite au monde, subissant une sécheresse critique. De la Sicile à la Tunisie, en passant par l’Andalousie, le manque d’eau devient une triste habitude. C’est l’une des zones les plus touchées par le changement climatique sur notre planète. Le bassin méditerranéen subit des « conditions critiques » de sécheresse, ont alerté dès le mois de février les scientifiques du Centre commun de recherche de la Commission européenne. De la Sardaigne au Portugal, en passant par le sud de la France et l’Espagne, ces régions manquent cruellement d’eau. Le Maghreb est même considéré en « extrême gravité » par ce rapport. Il ne s’agit pas d’un épisode exceptionnel, mais bien d’un phénomène durable, installé depuis plusieurs années et dû à une combinaison de températures élevées et de manque de précipitations. « L’augmentation observée des températures dans cette zone est plus importante que la moyenne mondiale, expliquait en mai 2023 à Reporterre l’hydroclimatologue Yves Tramblay, chercheur à l’Institut de recherche pour le développement et coauteur d’un chapitre du sixième rapport du Giec consacré à la région. La planète se réchauffe, et la Méditerranée un peu plus vite. » Le printemps avance désormais et, malgré quelques pluies, la situation ne s’améliore pas sur le pourtour méditerranéen, laissant craindre le pire pour l’été à venir. La suite de l'article sur Reporterre, le média de l'écologie ⏰20/05/2024⬇️ https://lnkd.in/eybz5mvn

❄️ Quand la fonte des glaciers fait bouger les frontières 🌍 📆 Le 27 septembre, la Suisse a validé un nouvel accord pour modifier une partie de sa frontière avec l'Italie, sous le Cervin.  Avec la fonte des glaciers, la ligne de crête qui sépare les deux pays bouge, conséquence directe du réchauffement climatique. 🏔️ Cette situation nous met face aux impacts concrets du changement climatique sur nos paysages, mais aussi sur les enjeux géopolitiques futurs ! ⛷️ Il met aussi en lumière les défis pour le secteur touristique alpin, qui doit s’adapter pour rester attractif tout en misant sur des offres de services plus durables.  #Climat #Environnement #Suisse #Italie #Glaciers #ChangementClimatique #TourismeDurable

"Une explication de la canicule observée à Conakry" Dans cette période de réchauffement global de la température à l’échelle mondiale, la ville de Conakry connaît une augmentation drastique de la température par rapport aux années précédentes. Bien que mars et avril restent les mois au cours desquels le maximum de température est enregistré à Conakry et à l’intérieur du pays, il faut retenir que cette année connaît une légère augmentation selon l’Agence Nationale de la Météorologie. En tant que chercheur en sciences du climat et de l’atmosphère et météorologue de spécialité, je vais vous donner quelques explications qui pourraient être à l’origine de cette chaleur que subissent les habitants de la capitale guinéenne. En effet, les origines de cette canicule sont dues à quatre (4) effets qui sont : l’urbanisation, le mont Kakoulima, les effets anthropiques et le phénomène d’El Niño.    #1.   L’urbanisation : Conakry, étant une ville côtière située en bordure de l’océan Atlantique, devrait profiter de la brise de mer qui pourrait atténuer drastiquement la chaleur ressentie au cours de la journée. Cependant, en raison de l’urbanisation anarchique des bordures de mer à Conakry, cette masse d’air riche en humidité est bloquée par les immeubles et ne peut pas se substituer à l’air chaud, ce qui entraîne une surchauffe et la production de chaleur.   #2.   Mont Kakoulima : Ce mont situé à l’est de la ville constitue un facteur qui contribue au maintien de la chaleur à Conakry. L’air chaud ascendant par advection se déplace vers l’est et rencontre le mont Kakoulima, ce qui favorise la compression de l’air chaud et augmente progressivement la chaleur sur la ville.    #3.   Effets anthropiques : Les activités humaines telles que la coupe abusive des bois, la déforestation, la production de gaz à effet de serre par les industries et la pollution de l’air contribuent énormément au réchauffement climatique global à petite et grande échelle.    #4.   El Niño : L’oscillation australe El Niño est un cycle de réchauffement qui se produit le long de l’équateur dans l’océan Pacifique. Ce phénomène peut influencer le climat en Guinée, notamment à Conakry, en raison de sa proximité océanique. En conclusion, je recommande aux habitants de Conakry et du pays en général de se réhydrater en buvant suffisamment d’eau régulièrement, de consommer des aliments ou des fruits riches en eau et de limiter leur exposition prolongée au soleil pour éviter les problèmes de santé liés à la chaleur. Merci de m’avoir lu et j’espère avoir été clair dans mes explications. AGAC - Autorité Guinéenne de l'Aviation Civile Ministère des Transports Ministère de l'Agriculture et de l'Elevage guinée Ministère de la Santé et de l’Hygiène publique de la République de Guinée Gamal Abdel Nasser University of Conakry