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Ils sont devenus le nouveau fléau chez les adolescents : les sachets de nicotine sans tabac, surnommés “pouches”. Face à la multiplication des cas d’intoxications sévères liées à ces produits, le gouvernement a décidé d’agir. La ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq, vient d’annoncer leur interdiction prochaine sur le territoire français. Les “pouches”, une nouvelle forme d’addiction chez les jeunes Apparus récemment sur le marché, les “pouches” sont des petits sachets à glisser entre la lèvre et la gencive. Ils contiennent de fortes doses de nicotine, associées à divers arômes censés les rendre plus attractifs. Un cocktail particulièrement dangereux, surtout pour les plus jeunes. D’après une source proche du ministère de la Santé, le marketing de ces produits cible directement les adolescents. Les packagings colorés et les saveurs sucrées visent à masquer la nocivité de la nicotine. Un nombre croissant d’intoxications Les centres antipoison tirent la sonnette d’alarme. Ils reçoivent de plus en plus d’appels concernant des ados victimes de syndromes nicotiniques aigus après avoir consommé des “pouches”. Vomissements, convulsions, troubles de la conscience… Les symptômes peuvent être très sévères. Je suis très préoccupée, car les centres anti-poisons reçoivent de plus en plus d’appels d’adolescents pour des syndromes nicotiniques aigus parfois sévères, en lien avec la consommation des “pouches”. Geneviève Darrieussecq, ministre de la Santé Une interdiction pour protéger la jeunesse Face à ce constat alarmant, le gouvernement a décidé de passer à l’action. Un texte d’interdiction des “pouches” et produits similaires sera publié dans les prochaines semaines. L’objectif est clair : protéger les jeunes de ces produits dangereux en en interdisant purement et simplement la commercialisation. Cette décision intervient à quelques jours du lancement de l’opération “Mois sans tabac”, qui vise à encourager l’arrêt du tabagisme. Un timing qui n’est pas anodin, alors que la lutte contre le tabac reste une priorité de santé publique. D’autres mesures à venir L’interdiction des “pouches” n’est qu’une première étape. La ministre de la Santé a également annoncé la promulgation prochaine de la loi interdisant les “puffs”, ces cigarettes électroniques jetables très prisées des ados. L’objectif est d’en stopper la commercialisation avant fin 2024. Le gouvernement semble donc déterminé à s’attaquer au tabagisme des jeunes, sous toutes ses formes. Reste à savoir si ces interdictions seront suffisantes pour endiguer ce fléau de santé publique. Une chose est sûre, la prévention et la sensibilisation restent des leviers essentiels pour protéger efficacement la jeunesse des méfaits de la nicotine. The post Interdiction Imminente des Sachets de Nicotine chez les Jeunes first appeared on ViralMag.

💬 "Vous préférez avoir un cancer ou vivre sans dents ? Personnellement, je ne vous souhaite aucun des deux." L'avertissement du professeur Loïc Josseran, médecin chercheur en santé publique à l’UVSQ Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et président d’ACT - Alliance contre le tabac est sans appel : les nicopouches actuellement vendus chez les buralistes comme des alternatives à la cigarette peuvent aussi causer des dégâts sur votre santé. Cela fait maintenant deux ans qu'ils sont disponibles en France et leurs utilisateurs font volontiers la promotion d'un produit nicotinique sans risques... Mais le sont-ils vraiment ? ➡️ 𝗗'𝗮𝗯𝗼𝗿𝗱, 𝗹𝗲𝘀 𝗻𝗶𝗰𝗼𝗽𝗼𝘂𝗰𝗵𝗲𝘀, 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗾𝘂𝗼𝗶 ? On les appelle "snus blanc" ou "sachets de nicotine sans tabac". Ils sont commercialisés par vingtaine, dans des petites boîtes rondes en plastique et sont généralement aromatisés à la menthe ou aux fruits rouges. On les consomme en les coinçant entre la gencive et la lèvre supérieure, la nicotine est alors distribuée directement dans le sang par capillarité avec les vaisseaux de la muqueuse buccale. Ils ressemblent beaucoup au "snus" suédois, cette poudre de tabac humide qui se consomme de la même manière, mais ils contiennent uniquement de la nicotine synthétique. ➡️ 𝗘𝘁 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀, 𝗲𝘀𝘁-𝗰𝗲 𝗾𝘂'𝗶𝗹𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗱𝗮𝗻𝗴𝗲𝗿𝗲𝘂𝘅 ? Sur le papier, beaucoup moins que la cigarette ou que le "snus" qui, on le sait bien, peuvent provoquer à terme, des cancers du poumon, de l'oesophage ou de la bouche. Mais ils ne sont pas dépourvus d'effets négatifs. Pire encore : dans les pays où ils sont vendus depuis plus de dix ans, ils créent de l'addiction à la nicotine pour de nombreux jeunes qui n'ont jamais fumé. Aux États-Unis cette année, plus de jeunes déclarent consommer des nicopouches que des cigarettes ordinaires. ➡️ 𝗘𝘁 𝗰̧𝗮 𝗻'𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗱𝗶𝘁 𝗲𝗻 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 ? Non. Il existe une sorte de vide juridique sur la question. Des parlementaires comme Paul CHRISTOPHE (aujourd'hui ministre) ont essayé de s'emparer du sujet, sans succès. En attendant, les nicopouches sont commercialisés comme des produits à usage récréatif et sont librement accessibles chez les buralistes (à condition d'avoir au moins 18 ans... en théorie). Pour l'instant, ni l'ANSM Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, ni l'Agence nationale de sécurité sanitaire - Anses n'ont été saisis à propos de ces nicopouches. La Belgique et les Pays-Bas, eux, les ont déjà fait interdire. Pour retrouver mon enquête sur ce nouveau produit (qui soulève de nombreuses questions semblables à celles des fameuses "puffs"), je vous invite à visiter le site de L'Express dès ce weekend. Bonne lecture ! 🔗 https://lnkd.in/eYEVANc8 #Santé #Tabac #Santépublique #Stoptabac

Ce mardi, la Ministre de la Santé a annoncé l'interdiction des « pouches », ces sachets de nicotine consommés par les jeunes dès le collège. Avec 12 millions de fumeurs quotidiens, le tabagisme est la cause de 75000 morts par an dans notre pays, nous déclare Santé Publique France. Mais l’État se contente de créer « le mois sans tabac » chaque 1er novembre : il préfère « prévenir » plutôt que de « guérir ». Quand je vois tant de souffrances, (autour de moi, et en consultations), j’ose dire que c’est « le mois des mensonges par omission », car fumer rapporte tant d’argent à l’ÉTAT, y compris en e-cigarettes ! Chaque année, je profite alors de cette journée pour rappeler quelques vérités : La carence en DOPAMINE est plus responsable du TABAGISME que l’addiction à la nicotine ! Les fabricants de cigarettes le savent bien. Aussi, en plus des produits « apétents », comme le sucrose, le miel et du chocolat (oui, oui !), ils ajoutent à la composition des cigarettes (y compris électroniques) plusieurs centaines de substances chimiques, parmi lesquelles le cadmium (« métal lourd » très dangereux pour le cerveau) qui a la propriété de détruire… la DOPAMINE. Et voilà ! Le tour est joué : le système de récompense, géré par la dopamine, s’en trouve perturbé. Le cerveau du fumeur perd alors le contrôle du désir, et s’inscrit potentiellement sur la liste des 75000 décès annuels dus au tabagisme,… sans parler des souffrances atroces qui les précèdent. Quel drame !… Quand on sait que la dopamine, initialement, est synonyme d’énergie, d’action, de joie de vivre, et de plaisir ! Comme son nom l’indique, elle « dope » ! La question est pourquoi nos jeunes, et moins jeunes, consomment ces pouches ? Réponse évidente : parce qu’ils leur apportent les « bénéfiques » effets de la dopamine ! Or, la dopamine est un anti-dépresseur naturel, synonyme de plaisir, joie de vivre, et d’une belle énergie physique. Remontons, alors, à la source du problème : pourquoi certaines personnes manquent de dopamine ? Une 1ère raison est « naturelle » : à la naissance, seuls 17% d’entre nous sommes équipés d’un fort niveau de dopamine dans le cerveau, nous disent les neuro-biologistes. 83% d’entre nous sommes donc « carencés en dopamine » par nature ! Nous passons donc notre vie à courir après des plaisirs que nous pouvons acquérir, et dont nous devenons « drogués » : * tout ce qui est sucré : bonbons, gâteaux, sodas, vin, alcools forts,… * tabac(s), * alcool(s)… L’être humain est un être de plaisir : quand la Société, quand un État, quand l’absence de passion, quand l’absence de travail, quand la vie, les « autres », ne lui apportent pas de plaisir,… il en cherche de superficiels. Et, chaque année, des Coachs et Thérapeutes me contactent pour que je les forme à la nutrition optimale du cerveau, pour savoir comment « créer » des cerveaux heureux et forts, (car remplis de dopamine), afin que le mois de novembre devienne enfin, et pour toujours,… le mois de la joie de VIVRE !

Ce mardi, notre Ministre de la Santé a annoncé l'interdiction des « pouches », ces sachets de nicotine consommés par les jeunes dès le collège. Avec 12 millions de fumeurs, le tabagisme est la cause de 75000 morts par an dans notre pays, selon Santé Publique France. Mais l’État se contente de créer « le mois sans tabac » chaque 1er novembre = il préfère « prévenir » plutôt que de « guérir ». Quand je vois tant de souffrances, autour de moi, et en consultations, j’ose dire que c’est « le mois des mensonges par omission », car fumer rapporte beaucoup à l’ÉTAT, y compris en e-cigarettes ! Chaque année, je profite alors de cette journée pour rappeler quelques vérités : Pour commencer, la carence en DOPAMINE est plus responsable du TABAGISME que l’addiction à la nicotine… Les fabricants de cigarettes le savent bien ! Aussi, en plus des produits « apétents », comme le sucrose, du miel et du chocolat, ils ajoutent à la composition des cigarettes (y compris électroniques) plusieurs centaines de substances chimiques, parmi lesquelles le cadmium (un « métal lourd », très dangereux pour le cerveau) qui a la propriété, entre autres, de détruire la DOPAMINE. Et voilà ! Le tour est joué : le système de récompense, géré par la dopamine, s’en trouve perturbé. Le cerveau du fumeur perd alors le contrôle du désir, et s’inscrit potentiellement sur la liste des 75000 décès annuels dus au tabac,… sans parler des souffrances atroces qui les précèdent. Quel drame, quand on sait que la dopamine, initialement, est synonyme d’énergie, d’action, de joie de vivre, et de plaisir ! Comme son nom l’indique, elle « dope » ! La question est pourquoi nos jeunes, et moins jeunes, consomment ces « pouches » ?! Réponse évidente : parce qu’ils leur apportent les « bénéfiques » effets de la dopamine ! Or, la dopamine est un anti-dépresseur naturel, synonyme de plaisir, de joie de vivre, et d’une belle énergie physique. Mais pourquoi certaines personnes manquent de dopamine ? Une 1ère raison est « naturelle » : à la naissance, seuls 17% d’entre nous sommes équipés d’un fort niveau de dopamine dans le cerveau, nous apprennent les neuro-biologistes. 83% d’entre nous sommes donc « carencés en dopamine » par nature ! Nous passons donc notre vie à courir après des plaisirs que nous pouvons acquérir, et dont nous devenons « drogués » : * tout ce qui est sucré : bonbons, gâteaux, sodas, vin, alcools forts,… * tabac(s), * alcool(s)… L’être humain est un être de PLAISIR : quand la Société, quand un État, quand l’absence de passion, quand l’absence de travail, quand la vie difficile, et les « autres », ne lui apportent pas de plaisir,… il en cherche de superficiels. Et, chaque année, des Coachs et Thérapeutes me contactent pour que je les forme à la nutrition optimale du cerveau, pour savoir comment « créer » des cerveaux heureux et forts, (car remplis de dopamine), afin que le mois de novembre devienne enfin, et pour toujours,… le mois de la joie de VIVRE !

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💬 Les produits fun et colorés des industriels ont pour unique objectif de créer une nouvelle génération de fumeuses et fumeurs dépendants. – Vanessa Prince, chargée de projet en promotion de la santé et préventions à Unisanté, interrogée par Blick pour la #JournéeMondialeSansTabac. Les jeunes sont particulièrement vulnérables face aux puffs et autres substances psychoactives. 🎈🚭 Ces produits attractifs, souvent colorés et parfumés aux goûts de fruits ou de sucreries, ciblent directement nos ados et peuvent créer une forte dépendance. Il est crucial de les sensibiliser et de les informer. 👉 12% des jeunes âgés de 14 à 25 ans consomment fréquemment des puffs. 👉 59% des 15-25 ans ont déjà essayé ces cigarettes électroniques jetables. 👉 500 bouffées de puff = 30 cigarettes en termes de nicotine! 😱 Unisanté s'engage avec l'exposition "Le tabac en question" et des actions de prévention pour développer l'esprit critique des jeunes face aux stratégies des industriels du tabac. 💬 Parlons-en avec nos enfants, restons à l'écoute et informons-nous ensemble pour mieux les protéger! Retrouvez l’article d’Ellen De Meester sur le site du Blick | FR #Unisanté #PréventionJeunes #Santé #StopTabac

😱 Panique à bord : “Mon enfant a ingéré un produit cosmétique !” ⚠️ 🗣️💬 En cosmétovigilance chez Clinreal , nous avons déjà reçu des appels de parents inquiets suite à l’ingestion d’un cosmétique par leur enfant, et souhaitant savoir si le produit était dangereux pour sa santé et surtout quoi faire. Or, un service consommateur ou un service de cosmétovigilance d’une marque ne sera pas habilité à vous apporter ce type de réponses avec réactivité, dans une telle situation d’urgence. ❓Alors, que faire en cas d'ingestion accidentelle d'un produit (cosmétique, ménager ou autre…) ? ☎️ >> Appelez immédiatement le centre antipoison << Les centres antipoisons sont des services médicaux situés dans des hôpitaux universitaires Français qui recensent l’ensemble des formulations existantes sur le marché**.** 🧑🏻⚕️ Des médecins, pharmaciens et infirmiers assurent une assistance permanente téléphonique gratuite 24/24 – 7/7, et seront en mesure de vous répondre avec précision et fournir des conseils adaptés à la situation. ➡️ Ayez sous la main : 🧴Le nom et la quantité du produit ingéré, l'âge et le poids de l'individu concerné, ainsi que les symptômes observés. En attendant les instructions du centre antipoison : ❌ Ne donnez pas à boire. ❌ Ne faites pas vomir la victime. ❌ Le lait n’est pas un antidote ☎️ Si la personne ne respire pas ou n’est pas consciente, appelez le SAMU (15) avant le centre antipoison. ⏱️ N’attendez pas que les symptômes de l’intoxication apparaissent. ✅ Mieux vaut prévenir que guérir : >> Rangez les produits hors de portée des enfants et ne laissez jamais un enfant sans surveillance avec des produits. (notamment avec les produits accessibles sur la table à langer ou le contour de la baignoire) >> Enregistrez dans votre téléphone le numéro du centre anti-poison de votre secteur au cas où, pour gagner du temps. Et vous ❓Connaissiez-vous l'existence de ces centres antipoison ❓ 💬 N'hésitez pas à partager ces informations pour contribuer à la prévention des accidents domestiques.

Quant la vape crée une nouvelle génération de nicotinomanes... ou les effets pervers d'une politique de santé basée sur la "réduction des risques". "Selon les auteurs, l'utilisation d'e-liquides à forte teneur en nicotine en Grande-Bretagne a fortement augmenté ces dernières années. Les vapoteurs qui ont des e-cigarettes contenant une plus forte concentration de nicotine sont principalement ceux qui utilisent des dispositifs jetables et les 16-24 ans." Lien vers l'article: https://lnkd.in/eiEiMJHq L'enfer est pavé de bonnes intentions et l'histoire de JUUL aux USA en a été l'illustration (voir le doc "Big Vape" sur NETFLIX https://lnkd.in/gXQ9KyEQ). En France, le manque de formation des professionnels de santé au sevrage tabagique, la prescription inappropriée des Traitements de Substitution Nicotinique (TSN) (quand ils sont prescrits! Voir https://lnkd.in/eNhAtSDb) et l'indisponibilité des traitements validés (varénicline, cytisine) ou leur non remboursement (bupropion) a conduit à la perception, inexacte, tant des professionnels de #santé que du grand public, d’absence de traitements efficaces du sevrage tabagique, laissant de ce fait un vide coupable autorisant l’essor commercial de la « vape » dont les dispositifs actuels sont capables de reproduire le shoot qui confère à la nicotine son pouvoir addictif. La vente libre de shooters de nicotine apparaît susceptible d’être le cheval de Troie qui tuera dans l’œuf l’émergence d’une première génération libérée de cet esclavage chimique, objectif qui impose de protéger tous les #enfants d’une exposition à la #nicotine, de par le risque d’addiction d’une part mais aussi du fait de sa neurotoxicité sur des cerveaux en développement (avant l'âge de 25 ans). La réduction des risques supposée avec la vape, si elle peut être un choix plus ou moins éclairé dans la décision partagée issue du colloque singulier soignant/soigné, serait une faute inexcusable en tant qu'objectif de #santépublique: le même pragmatisme brandi par les partisans de la réduction des risques force à constater que le système échoue à limiter l’usage de la cigarette électronique aux seuls fumeurs. Allons-nous sacrifier une nouvelle génération par un manque d'ambition en #SantéPublique ? Comment pourrions nous justifier auprès des générations futures que nous avons choisi de limiter notre ambition collective à leur léguer une #toxicomanie à l'#insecticide, fut elle à risque réduit ?(voir https://lnkd.in/e8mfMDNa)

Nicotine pouches, quelques chiffres: Suite à mon étude réalisée dans le cadre du DIU d'addictologie, je vous livre quelques informations recueillies auprès d'un panel de sportifs professionnels (que je remercie pour leur participation). 16% des personnes interrogées consomment régulièrement des nicotine pouches, avec des dosages supérieurs à 20mg dans 27% des cas. 38% ont déjà essayé et en consomment occasionnellement. 28% ressentent un phénomène de craving (envie irrépressible de consommer ou de rechercher le produit). Ce phénomène ne cesse de croître. Dans un prochain post, je vous livrerai des informations sur les effets de ces sachets sur l'organisme. Si le sujet de l'addiction dans le sport vous interpelle, si vous souhaitez des informations sur le SNUS, ou d'autres produits, n'hésitez pas à mes contacter. Je peux également me déplacer dans votre club, établissement scolaire, organisme, pour échanger, faire de la prévention, de la détection...

La drogue "pète ton crâne" : une recrudescence alarmante des intoxications La consommation de PTC, plus connue sous le nom de "pète ton crâne" ou "Buddha Blue", suscite de vives inquiétudes chez les professionnels de santé. Cette drogue de synthèse, 200 fois plus puissante que le cannabis naturel, se consomme en vapotage sous forme de liquide incolore et inodore. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : près de 200 cas d’intoxication recensés depuis le début de 2024, contre une centaine en 2023. Un constat alarmant, notamment chez les adolescents, où l’usage progresse rapidement. Les effets sont sévères : troubles cardiaques, convulsions, perte de conscience, voire dépression respiratoire. Le défi ? Une drogue discrète, difficile à repérer, qui circule via Internet et Snapchat à bas coût. Face à cette situation, la prévention et la sensibilisation deviennent plus que jamais essentielles, notamment dans les établissements scolaires. Ensemble, agissons pour protéger nos jeunes et combattre ce fléau invisible mais destructeur. Et vous, quelles solutions proposez-vous pour renforcer la prévention ? #SantéPublique #Addictologie #Prévention #CannabisSynthétique #PTC #BuddhaBlue #Adolescents https://lnkd.in/dK3X8Fvk