🌍 Les Jeux Olympiques de Paris : Un Révélateur des Inégalités Mondiales ? 🥇 Les Jeux Olympiques de Paris viennent de s'achever, et la liste finale des médailles révèle une tendance qui perdure depuis des décennies : les pays développés, avec des PIB impressionnants, dominent largement le classement. Les États-Unis, la Chine,le Japon, le Royaume-Uni, et d'autres puissances économiques occupent les premières places, accumulant médaille après médaille. Ce phénomène n'est pas un hasard. Il reflète une réalité économique où les ressources, les infrastructures sportives, et les programmes d'entraînement intensifs sont bien plus accessibles dans ces nations prospères. L'absence de la Russie, un acteur traditionnellement majeur dans les compétitions internationales, a également marqué ces Jeux. En raison de divers facteurs géopolitiques, la Russie n'a pas pu participer pleinement à ces JO, ce qui a indubitablement influencé le classement final. Néanmoins, leur absence met en lumière l'importance de la stabilité politique et économique dans le succès sportif d'un pays. Un autre cas intrigant est celui de l'Inde, une nation en plein essor économique, désormais considérée comme une puissance mondiale. Pourtant, malgré son statut croissant sur la scène internationale, l'Inde reste à la traîne dans le tableau des médailles. Ce paradoxe s'explique en partie par un manque d'investissement dans l'industrie sportive et l'infrastructure nécessaire pour former des athlètes de haut niveau. Et l'Afrique ? Le continent continue de se battre pour une meilleure représentation au sommet du tableau des médailles. Malgré les talents individuels indéniables, les pays africains peinent à rivaliser avec les géants économiques en raison de défis structurels tels que la pauvreté, le manque de financement, et les infrastructures inadéquates. Cependant, il est essentiel de reconnaître les progrès réalisés et les perspectives d'avenir pour le sport en Afrique. Les JO de Paris ont donc une fois de plus montré que, bien au-delà de l'esprit sportif, les performances aux Jeux sont souvent le reflet direct des inégalités économiques mondiales. Mais l'espoir reste, car le sport a toujours été un terrain où tout est possible. #TheWolf #MeilleurTrader
Post de DADIÉ SERGE-FRANCK ZOUKOUA
Plus de posts pertinents
-
C'était ce mardi dans "Huit Milliards de Voisins" sur RFI - Radio France Internationale ! À J – 100, organisateurs, fédérations et surtout athlètes ont plus que jamais les yeux rivés sur Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Et avec le départ de la flamme de la Grèce, le compte à rebours est officiellement lancé. Une manière aussi de susciter la ferveur populaire. Certains pays habitués des médailles attendent les victoires et les records de leurs sportifs mais pour les nations du bas de tableau, l’enthousiaste est-il aussi au rendez-vous ? En 2026, les Jeux Olympiques de la jeunesse auront lieu à Dakar, une première dans l’histoire de l’olympisme. En effet, le continent africain n’a jamais pu accueillir les jeux. Face au manque d’infrastructures, de budgets, difficile de rivaliser pour les États africains devant les machines à médaille américaine ou chinoise. Pourtant, le continent africain est bien représenté par les anneaux olympiques. Comment valoriser les sportifs du continent, quelles sont les chances de médailles ? Et quel enthousiasme des populations ? Une émission avec : • Christophe Jousset, journaliste et chef du service des sports de RFI • Patrick Clastres, historien du sport, professeur à l'Institut des Sciences du sport de l'Université de Lausanne (Suisse) • Mohamed GNABALY, maire de L'Île-Saint-Denis, commune de la région parisienne, qui accueillera la Station Afrique, village-club olympique dédié à la culture et au sport africains pendant les Jeux de Paris 2024. ACNOA-ANOCA
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
C’est un jour décisif pour le sport français. Ce mercredi 20 juillet, lors de la 142e session du Comité international olympique (CIO) à Mumbai en Inde, les membres de l’instance suprême de l’olympisme doivent voter pour attribuer les Jeux d’hiver 2030 et 2034. Et la candidature des Alpes françaises pour 2030, portée par les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Sud-Paca, fait figure de grande favorite. Pourtant, rien n’est encore joué… Salt Lake City en pole pour 2034, suspense pour 2030 Si l’attribution des JO d’hiver 2034 à la ville américaine de Salt Lake City, hôte en 2002, ne fait guère de doute, la bataille pour 2030 s’annonce plus serrée et passionnante. Initialement, les Alpes françaises faisaient figure d’ultra favorite face à Sapporo au Japon et Vancouver au Canada. Mais le retrait surprise de la candidature japonaise en décembre 2022 et le manque d’enthousiasme des Canadiens ont rebattu les cartes. Résultat, le projet français mené par Grenoble, Annecy et les stations alpines avoisinantes est resté seul en lice. De quoi lui assurer une victoire facile ? Pas si sûr. Car ces dernières semaines, la dissolution de l’Assemblée nationale et les soubresauts de la vie politique française ont semé le trouble sur la solidité de la candidature tricolore… L’instabilité politique française, grain de sable dans la machine Le 9 juin dernier, la crise politique née de la dissolution et des élections législatives anticipées a failli faire dérailler le projet olympique alpin. En pleine période de flottement institutionnel, le nouveau ministre des Sports Gabriel Attal a en effet refusé dans un premier temps de signer la lettre de garantie financière de l’État pour les Jeux, document pourtant crucial. Une défection qui a agacé au plus haut point l’Élysée et Emmanuel Macron, fervent défenseur du projet depuis le début. Le Président est même monté au créneau en personne pour recadrer son ministre. Finalement, un accord a été trouvé et la lettre envoyée in extremis au CIO. Mais l’épisode a laissé des traces et jeté un doute sur la capacité de la France à tenir ses engagements. On a frôlé la catastrophe. Heureusement qu’Emmanuel Macron a réagi vite, sinon c’était mort pour 2030. – Un proche du dossier Le grand oral de Paris pour convaincre le CIO Conscient de la fragilité de la candidature française après ces péripéties, Emmanuel Macron a décidé de mettre tout son poids dans la balance. Le chef de l’État effectuera ainsi ce mercredi le déplacement à Mumbai pour assister en personne à la session du CIO et au grand oral de Paris 2030. Sa présence aux côtés de la délégation française menée par Tony Estanguet, patron du comité Paris 2024, se veut un signal fort envoyé aux membres du CIO. L’objectif est clair : rassurer sur la solidité du projet malgré la crise politique et faire oublier les cafouillages des dernières semaines. Le tout en mettant en avant les atouts de la candidature alpine en termes d’héritage, de développement durable et de re...
C’est un jour décisif pour le sport français. Ce mercredi 20 juillet, lors de la 142e session du Comité international olympique (CIO) à Mumbai en Inde, les membres de l’instance suprême de l’olympisme doivent voter pour attribuer les Jeux d’hiver 2030 et 2034. Et la candidature des Alpes françaises pour 2030, portée par les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Sud-Paca, fait figure de grande favo...
https://viralmag.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
JO de Los Angeles 2028 : le ratage programmé des nations africaines ? Les jeux olympiques de Paris 2024, c'est déjà du passé. Ceux de Los Angeles 2028, c'est dans quatre ans. Mais comme toujours, les pays africains vont encore trainer les pas, leurs dirigeants vont encore détourner les fonds alloués aux fédérations sportives (dans beaucoup de cas), leurs athlètes vont encore s'entraîner dans des conditions moyenâgeuses. Parlant des athlètes du continent africain, ils seront nombreux à négliger leurs séances d'entraînement déjà compliquées par des dirigeants irresponsables et malhonnêtes à volonté. Les sponsors se feront prier comme c'est souvent le cas, jugeant le sport peu attrayant et préférant investir dans les concerts, spectacles et autres formes de divertissements. Et bien sûr, nous risquerons d'assister à une énième débâcle des pays africains pendant ces JO de Los Angeles, pour lesquels de nombreuses nations non-africaines ont déjà commencé à bosser dur, mettant toutes les chances de leur côté en mobilisant tous les moyens nécessaires pour pousser leurs athlètes vers le podium des récompenses. Les pays africains quant à eux vont miser sur ''dieu'', la chance, ou encore le hasard et même la ''sorcellerie'', pour espérer remporter des médailles d'or, d'argent et de bronze. Médailles pour lesquelles les autres athlètes s'entraînent dur, se lèvent dès 4 heures du matin, consacrent leur vie toute entière, s'enfermant dans une bulle de concentration extrême. On ne parvient toujours pas à comprendre que les athlètes non-Africains ne sont que des humains comme nous. La vraie différence, c'est qu'ils bossent très, très dur pour atteindre les niveaux qu'ils ont. Sans oublier que ces athlètes-là sont accompagnés comme il se doit. Comme je le dis parfois ; les mêmes causes produisent les mêmes effets. Mais les pays africains feront toujours la sourde oreille. Du moins, pour la plupart d'entre eux.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
JO : JEUX OLYMPIQUES OU JEUX DE L'OPULENCE* ? Clap de fin pour les JO 2024. Comme Paris, c'était magique. Félicitations à la France qui a su montrer sa grandeur tant en termes d'organisation que de performances sportives. - Un constat La compétition des JO a ce mérite de réunir tous les pays du monde, riches ou pauvres. Mais, malheureusement, elle fait remarquer l'immense fossé existant entre eux. Les JO sont une fête pour tous, mais elle l'est plus pour les riches. Et cela se remarque et se justifie à plusieurs égards. - Sur les médailles Sur le tableau des médailles, il apparaît que 10 nations sur 206 ont glané 56% des médailles. 8 de ces 10 nations ont les PIB le plus importants au monde. L'Afrique toute entière avec ses 39 médailles dont 13 en or, 12 en argent et 14 en bronze ne figurerait pas dans le top 7 du tableau des médailles si on la considérait comme un seul pays. - Sur les spectateurs Durant ces jeux, j'ai rencontré de nombreuses personnes venues du monde entier, mais pas beaucoup d'africains pour qui les conditions d'obtention du visa demeurent un parcours du combattant. Cela constitue un handicap considérable pour le peu d'athlètes africains présents, qui de ce fait, sont privés de supporters dans les tribunes prêts à les pousser vers de meilleures performances. Les JO en France ont mis en lumière l'importance du soutien du public dans les performances des athlètes. Les athlètes français ont réalisé de belles choses en partie parce que le public français a été extraordinaire. - Sur le prix des billets Il y a eu environ 9 millions de billets vendus, je n'ai malheureusement pas pu trouver de statistiques sur les billets achetés par zone géographique. Cependant, ce que j'ai personnellement remarqué, c'est le prix élevé de ces billets. J'ai vite fait de me désister quand j'ai vu le prix des billets de certaines compétitions comme le basket-ball que je souhaitais m'en procurer. Le prix des billets de certaines compétitions était plus élevé que le SMIG dans plusieurs pays africains. - À qui la faute ? Il est certes possible de reprocher aux États africains de ne pas travailler à créer une véritable économie du sport en y investissant davantage, mais nul n'ignore que sur ce continent - si l'on s'en tient à la pyramide de Maslow - les défis sont ailleurs. Il ne revient pas aux pays pauvres de s'adapter aux JO, mais inversement. Les JO doivent davantage prendre en considération les conditions de ces pays s'ils tiennent à être plus inclusifs et plus équitables. - Petit "egotrip" La Côte d'Ivoire est championne d'Afrique de Football (juste un rappel 😂) et est la seule nation francophone de l'Afrique de l'ouest à avoir remporté une médaille à ces JO. Une médaille de bronze qui vient sauver l'honneur de toute la communauté francophone ouest africaine et qui en fait sa fierté. Il fallait, "en toute humilité" que ce soit nous qui le fassions 😎. *entendez le dans un sens non péjoratif désignant la richesse
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
🥇 Inde, Ouzbékistan, Nouvelle-Zélande, Kenya... Le tableau des médailles des JO montre des degrés divers d'intérêt et d'investissement dans le sport suivant les pays. «Les puissances économiques influentes sont devant au classement, mais ce n’est pas forcément automatique», observe Kévin Veyssière de FC Geopolitics. 👟 «Au-delà du PIB, pour qu’un pays ait des médailles il faut que cela s’accompagne d’une politique sportive à grande échelle», ajoute Kévin Veyssière. Ce qui n'est pas le cas par exemple en Inde, 71e au classement des médailles à Paris. Mis cela pourrait changer avec la candidature de l'Inde pour accueillir les JO en 2036. 🥊 À l’opposé, certains pays pourtant peu importants démographiquement et/ou économiquement caracolent dans le peloton de tête du tableau des médailles. À l’image de la Nouvelle-Zélande (11e), de l’Ouzbékistan (13e) ou du Kenya (17e). «Certains petits pays ont adopté une stratégie d’ultra-spécialisation, en mettant des moyens dans quelques sports où la population excelle à l’origine, comme le Kenya avec l’athlétisme ou les pays d’Asie centrale et du Caucase dans les sports de force, plutôt que de diluer leurs efforts dans plein de sports différents», analyse le chercheur Lukas Aubin, Ph.D. 💲 Avoir accueilli les JO est également souvent corrélé à une bonne place au tableau des médailles. A l'image de l'Australie (4e au tableau des médailles à Paris), qui a mis de gros moyens pour soutenir ses athlètes «avant les Jeux organisés à Sydney en 2000», rappelle le spécialiste de l'olympisme Jean-Loup Chappelet, se focalisant notamment sur un sport gros pourvoyeur de médailles, la natation. 📄 Retrouvez l'article complet décryptant le tableau des médailles des Jeux olympiques de Paris 2024 ici :
L’Inde absente du top, l’Ouzbékistan invité surprise… Ce que révèle le tableau des médailles aux JO des stratégies sportives des pays
lefigaro.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🏅 La Détermination : Clé de la Victoire, sur le Podium comme en Affaires 🏅 Les Jeux Olympiques de Paris 2024 viennent de s’achever, laissant derrière eux des moments de gloire et d’émotion. Mais ce qui ressort le plus de cette incroyable compétition, c’est la détermination inébranlable des athlètes. Cette force intérieure, qui les pousse à tout donner, à surmonter les obstacles et à persévérer jusqu’au bout, est ce qui fait la différence entre une participation honorable et une victoire éclatante. Dans le monde des affaires, cette même détermination est essentielle. Chaque jour, les commerciaux font face à des défis comparables : la pression des objectifs, la nécessité d’innover et la concurrence féroce. Pourtant, c’est la détermination qui permet de transformer une simple opportunité en un succès retentissant. Tout comme les athlètes olympiques, nous devons nous entraîner, croire en nos capacités et ne jamais abandonner. La route vers la réussite est semée d’embûches, mais ceux qui persistent, qui se relèvent après chaque chute et qui continuent à avancer, sont ceux qui atteignent les sommets. Alors que la flamme de Paris 2024 s’éteint, rallumons la nôtre et laissons-la nous guider vers nos prochaines victoires. #Paris2024 #Détermination #Résilience #SuccèsEnAffaires #EspritDeChampion
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
🥇 La France peut-elle décrocher le top 5 aux Jeux olympiques ? 🤔 Les statistiques et les experts sont formels : organiser les JO est un véritable atout. 🥈 Professeur émérite de la faculté des Sciences du sport et du mouvement humain de l’Université Paul Sabatier Toulouse III, Bernard Thon confirme que "pour les JO, quelques études suggèrent que la nation organisatrice obtient un nombre de médailles supérieur à celui attendu en prenant en compte les résultats antérieurs". Ce phénomène du "home advantage" s'explique ainsi par un plus grand investissement des acteurs locaux (politiques, sportifs, etc.) quand les Jeux olympiques ont lieu à domicile, ou le soutien local, l’ambiance générale, et le nombre de supporters qui seraient de nature à motiver l’équipe sur place. 🥉 Organisateurs des Jeux olympiques de 1904, 1932, 1984 et 1996, les États-Unis sont l'exemple le plus parlant pour saisir l'impact de l'accueil des olympiades sur son territoire. Outre les JO d'Atlanta, on remarque que le nombre de médailles obtenues par les États-Unis augmente sensiblement l'année où le pays organise les JO par rapport aux années précédentes et suivantes. Les JO de Saint-Louis et de Los Angeles en 1984 sont même ceux où le pays a gagné le plus de médailles, toute olympiade confondue. 🏃♀️🏇🤽♀️ Pour en savoir plus, rendez-vous sur Le Populaire du Centre et les autres titres du Groupe Centre France pour lire le super papier de Jean-Adrien TRUCHASSOU : https://lnkd.in/eBQCzbnu
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 va dans le sens de rendre les athlètes plus riches. Et c'est tant mieux. 💰 Hier, j'ai découvert que les primes pour les médaillés français aux JO de Paris avaient explosé : - 80 000€ pour l'or (+15 000€ vs Tokyo) - 50 000€ pour l'argent - 20 000€ pour le bronze Mais le plus fou, c'est que certaines fédérations internationales ont décidé de saupoudrer leurs athlètes : - 50 000$ pour chaque médaille d'or en athlétisme - 100 000$ pour l'or en boxe ! Pour la première fois, gagner une médaille olympique peut vraiment changer une vie. Et c'est un progrès massif pour 2 raisons : Premièrement, parce que le succès olympique est un sommet d'investissement personnel. Des années d'abnégation et de sacrifices pour une poignée de minutes de gloire. Récompenser cet engagement à sa juste valeur est une avancée majeure. Deuxièmement, parce que cet argent va permettre aux athlètes de se consacrer à 100% à leur passion, en toute sérénité financière. Fini, les petits boulots à côté pour joindre les deux bouts. Place à l'excellence. Alors certes, l'Olympisme prône l'amateurisme. Mais soyons honnêtes : le sport de haut niveau est devenu un métier à part entière. Et tout travail mérite salaire. Les Jeux de 2024 vont propulser le mouvement olympique dans la modernité. En valorisant ses acteurs à leur juste mesure. Le temps des amateurs fortunés est révolu. Bienvenue aux professionnels de l'effort.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
🟣[ Réinventer les JO pour Valoriser le Sport Africain ] Par Lionel MINGUE Les Jeux Olympiques d'été viennent de se clore à Paris, et avec eux, un chapitre important de l'histoire du sport mondial. En tant que témoin privilégié de cet événement, il est impossible de ne pas s'interroger sur la place de l'Afrique dans ce grand rendez-vous sportif. Malheureusement, le constat est amer : notre continent n'a pas réussi à franchir la barre des 50 médailles, un objectif ambitieux pourtant porté par l'Association des Comités Nationaux Olympiques d'Afrique. Certains pourraient avancer que le manque d'investissement dans le sport est la cause principale de cette performance décevante. 📍Toutefois, cette analyse, bien que partiellement juste, ne prend pas en compte une réalité plus profonde : les Jeux Olympiques, tels qu'ils sont conçus aujourd'hui, ne reflètent pas la richesse et la diversité des disciplines sportives qui font vibrer notre continent. En effet, nous assistons à une prédominance de sports qui, pour la plupart, ne trouvent pas leurs racines dans nos traditions. Il est peut-être temps que l'Afrique s'exprime et devienne une force de proposition dans les futures éditions des JO. Qui, parmi nous, ne rêverait pas de voir la lutte africaine, cet art ancestral, faire son entrée dans le programme olympique ? ✨La lutte, qui unit nos communautés et célèbre notre patrimoine culturel, mérite une plateforme mondiale. Investir dans le développement du sport sur notre continent est indéniablement essentiel. Nous devons établir des politiques sportives solides, promouvoir nos talents et créer les infrastructures nécessaires pour nourrir nos champions de demain. 🔮Mais cela ne suffit pas. Nous devons également revendiquer la reconnaissance de nos disciplines traditionnelles au sein des JO. La valorisation des sports africains contribuerait non seulement à enrichir le programme olympique, mais également à renforcer notre identité sur la scène internationale. Les Jeux Olympiques sont une célébration de l'excellence sportive, mais ils doivent également être un lieu d'inclusivité et de diversité. L'Afrique a tant à offrir au monde du sport, et il est temps de faire entendre notre voix. • • • Comité International des Jeux de la Francophonie Organisation internationale de la Francophonie (OIF) Dakar 2026 - Comité d'Organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse Paris 2024 - Comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024 International Olympic Committee – IOC Bruno Lalande Gilchrist LAWSON Sports Management School zeina mina Isidore KWANDJA NGEMBO
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
-
[#Influence] 🗣️ Le saviez vous ? 🗣️ Qui dit JO dit symboles olympiques. Connaissez vous leur histoire ? 🔥 Les 5 anneaux Savez vous que c’est le baron Pierre de Coubertin qui est à l’origine de ce symbole olympique ? Représentant les 5 continents unis par l’olympisme, les anneaux firent leur première apparition aux Jeux d’Anvers en 1920. Il est hissé sur tous les sites olympiques lors de la cérémonie d’ouverture et abaissé lors de celle de clôture. Lors du cérémonial olympique, il est accompagné par le drapeau d’Anvers pour les JO d’été et par le drapeau d’Oslo pour les JO d’hiver.Ce symbole est la propriété exclusive du CIO. 🔥 La flamme olympique Symbole par excellence des JO, elle apparaît pour la première fois aux JO d’été d’Amsterdam en 1928. Le relais de la flamme depuis Olympie apparaît lui en 1936.Cette année pour la première fois, la flamme ne se situe pas dans un stade mais au cœur de la ville. 🔥 Les pins La chasse aux pins olympiques est une tradition olympique qui remonte aux années 1980/1990. Les premiers pins, constitués de bois, apparaissent dès 1896 aux premiers JO d’Athenes. Bleu, rouge ou rose, ils permettent de distinguer athlètes, officiels et juges. En 1906, les premiers pins personnalisés apparaissent.Aujourd’hui, chaque délégation donne à ses athlètes des pins au couleur du pays qui les échangent au village ou entre les épreuves. Le phénomène est tel que la frénésie est au rendez vous à chaque olympiade. 🗣️ Ces symboles sont loin d’être anecdotiques. Derrière chacun, se cache un enjeu d’influence important, les JO étant un des événements les plus connus et retransmis au monde #influence #softpower #sport #Paris2024 #JO
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-