« Films en chantier » : Masterclass, projection du film "Les Insulaires" par Taïs HAUCHARD-NAYRAC A l’occasion des Les Journées nationales de l’architecture par l’Ordre des Architectes d’a s’associe au Festival Close Up « Ville, architecture et paysage » au Pavillon de l'Arsenal . Ce samedi 19 octobre, l’événement sera l’occasion de poursuivre la réflexion autour des démolitions et rénovations urbaines de notre dossier paru dans le numéro 320 d’octobre : « dossier/ l’ANRU : système de démolition ». Programme : 17h30-18h30 : « Films en chantier », présentation par Adam W. Pugliese et Maxime Faure de leurs deux prochains projets en cours, l’un tourné en Île-de-France, l’autre au Maroc. 18h45-21h : Projection du film « les Insulaires » suivie d’échanges avec les réalisateurs Adam W. Pugliese (architecte) et Maxime Faure (cinéaste), ainsi que Isabel Concheiro Guisán (architecte), Stéphanie SONNETTE (journaliste et éditrice) et Pierre Chabard (critique d'architecture). « C’est plus qu’un quartier, c’est la vie des gens » Maxime Faure et Adam W. Pugliese, réalisateurs du film « Les Insulaires » ont suivi pendant 3 mois les habitants du grand ensemble de logements « Les îles » à Bonneville, proche de la frontière suisse. Dans le cadre d’un grand projet de rénovation urbaine (2019 - 2029), les habitants ont dû quitter leurs logements en décembre 2020. Filmant la vie de familles installées parfois depuis 45 ans, ce documentaire dévoile la réalité des habitants avant la démolition de leur quartier. Les auteurs du film nous invitent à rentrer dans l’intimité du logement pour découvrir derrière la façade des gestes du quotidien voués à disparaître. Les Insulaires, film réalisé par Maxime Faure et Adam W. Pugliese, 2021, 59 min. Bande d’annonce : https://lnkd.in/d2cGQ_Jj Commander le d’a n°320 : « ANRU : système de démolition » : https://lnkd.in/eSj92WnT
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[Métamorphose en cours] La réhabilitation de l'ancienne caserne Sully à Saint-Cloud (92), futur musée du Grand Siècle avance à grand pas ! Les équipes de FAYAT BÂTIMENT Grands Projets et FAYAT BÂTIMENT Île-de-France sont à l’œuvre pour transformer ce lieu chargé d’histoire en un espace culturel d’exception. Après la dépose de la charpente et des planchers du Pavillon Ouest du bâtiment CHARLES X, les travaux d’infrastructures débutent avec l'approfondissement des fondations de façades âgées de 200 ans. Les reprises en sous-œuvre permettront de descendre le niveau d’assise du bâtiment pour accueillir la future fosse du monte-charge aux dimensions impressionnantes : 4,5 m de hauteur, 3 m de largeur, et 6 m de profondeur. Ce dispositif est essentiel pour le transit des œuvres à l’intérieur du musée. ⏳ Ces travaux, entamés avant l’été, approchent de leur terme et permettront bientôt de commencer la superstructure. #FAYATBâtiment #Patrimoine #Réhabilitation #MuséeDuGrandSiècle #SaintCloud #GrandsProjets
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Ce fragment insigne de l’art français du XVIIIe siècle, s’est imposé depuis près d’un siècle comme un élément des plus pittoresques du célèbre parc. Son crime : ne servir qu’à la délectation des promeneurs ! Dès lors, autant rentabiliser le pavillon, tout en l’affublant d’une extension moderne d’une laideur et d’une banalité affligeantes.
Vers la défiguration du pavillon de Hanovre au parc de Sceaux ?
lagazettedupatrimoine.fr
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Les documentaires consacrés au monde du bâtiment ne sont pas nombreux, je vous recommande celui-ci, qui montre les coulisses d'un chantier atypique : celui de la rénovation du Grand Palais. On vous explique l'origine de cet immense bâtiment, le parti architectural de la rénovation - simple et clair - et quelques détails de travail de la pierre. Mais surtout on vous montre ce que vous ne voyez jamais : un gros chantier, tel qu'il se fait au quotidien. Ici on fait entrer les grosses machines dans des bâtiments luxueux, à proximité immédiate d'ouvrages délicats. On démolit à tour de bras, en même temps qu'on restaure avec grand soin. Mieux : on exhibe ce qu'on cache habituellement au grand public ! Les affres des imprévus, la délicate gestion du triptyque qualité / coût / délais, les relations diplomatiques avec la maîtrise d'ouvrage, la manière dont le chef de projet s'adresse au maître d'oeuvre et celui-ci aux entreprises, voire aux ouvriers directement quand il faut stopper une bêtise sur le champ, la précipitation de la fin des travaux quand le planning a trop dérapé... Et in fine, la manière dont on pousse toutes les entreprises, leurs hommes, leur matériel et leurs gravats dehors, avant d'affronter le tribunal réglementaire de la Commission de Sécurité ! Bref, un portrait très accessible de tout ce qui me stresse et me passionne en même temps depuis 30 ans ! Le chantier c'est ma came, faire accoucher un projet d'archi c'est dur, mais c'est un tel bonheur de concrétiser ce qui vous a fait rêver pendant des mois ! Et ce que je kiffe par dessus tout, c'est que tout cela ne peut se faire que grâce à l'engagement des hommes (et des femmes ici) qui bossent dur sur les chantiers, grâce aussi à leur savoir-faire, voire leur talent pour les meilleurs, et grâce à leur capacité à coopérer, car ici rien ne se fait tout seul. ça fait 30 ans que je le répète : on est une équipe, tous dans le même navire, et on rame tous dans le même sens, tous à la même vitesse, sinon on arrivera jamais à bon port. Sans eux (et elles ici), un projet architectural n'est qu'un fantasme de papier : c'est bien joli, mais ça n'avance à rien... https://lnkd.in/eZ3MYbFt
Les métamorphoses du Grand Palais
france.tv
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Fermeture de l'A13 : encore au moins 2 semaines de galère Les récentes fissures seraient causées par des travaux réalisés dans le cadre du chantier d’un musée à Saint-Cloud, la circulation reprenant ce vendredi 10 mai 2024 dans le sens province-Paris. La fermeture de l’autoroute A13 dans les 2 sens, privant, depuis le 19 avril 2024, 130 000 véhicules par jour de leur habituel itinéraire, serait la conséquence d’une grosse boulette, le chantier du musée du Grand Siècle de Saint-Cloud étant, selon les informations, à l’origine des fissures entraînant la fermeture décidée par la Direction des routes d’Île-de-France (DiRÎF <https://lnkd.in/ei_wMsZT>) et par la préfecture des Hauts-de-Seine (<https://lnkd.in/d44HAQxu>), une zone de travaux accolée au viaduc, l’autoroute y passant dessus, avant de s’engouffrer dans le tunnel de Saint-Cloud… Ici, sur le site de la caserne Sully, ce musée dédié au XVIIe siècle verra le jour, un projet lancé par l’ancien président (1er juin 2007-28 mars 2020) "Les Républicains" (LR <https://republicains.fr/>) du conseil départemental (CD 92) Patrick DEVEDJIAN (26 août 1944-28 mars 2020 <https://lnkd.in/dYutvq8y>), décédé le 28 mars 2020. Pour mener à bien ce projet, le Département acheta cette emprise à l’État en 2016, le sinistre survenant, selon les informations, au niveau du mur de soutènement à l'occasion de ce chantier lancé in fine en octobre 2023. "La problématique vient de travaux pour ériger un bâtiment avec sous-sol au pied d’un mur de soutènement dans le cadre des travaux du musée", assure une source proche du dossier, pointant une mention du communiqué de presse de la DiRÎF indiquant, dès le 19 avril 2024 (<https://lnkd.in/dBJ83W2i>) : "La fissuration de la chaussée et de l’ouvrage hydraulique situé sous l’autoroute est la conséquence d’un déplacement du mur de soutènement. En parallèle, il a déjà été procédé à des travaux de remblaiement," la source pointant : "Il est écrit remblaiement mais ne dit pas qui a fait le trou", mais s’agissant du trou creusé pour réaliser les fondations d’un bâtiment sur sous-sol du musée du Grand Siècle. Ce mur soutient la bretelle de sortie de l’autoroute, la bretelle d’entrée et l’avenue menant à la grille d’honneur du domaine national de Saint-Cloud, seule la partie de l’autoroute après la sortie du tunnel et avant le viaduc étant concernée, cette même source précisant : "Ce n’est pas un danger imminent, mais il vaut mieux prendre des précautions. D’autant que sous l’autoroute passe le réseau électrique alimentant le tunnel et le réseau d’eau. Si ces réseaux venaient à se rompre, la chaussée pourrait descendre d’un étage". "L’ouvrage ne bouge quasiment plus", rassure Georges SIFFREDI (LR), président du CD 92 (<https://lnkd.in/dQUT35_R>), ce dernier confirmant que la piste du chantier du musée du Grand Siècle fasse partie des scénarii envisagés comme potentielle cause du sinistre, l'élu indiquant : "La DiRÎF a émis une hypothèse en ce sens..." https://lnkd.in/dv6EzCjw
Musée du Grand siècle
saintcloud.fr
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Paris, je t'aime (IV) et au Centre Pompidou aussi je t'aime Profiter du hasard est une démarche aussi valable qu'importante dans tout projet. Comme les chefs d'orchestre dépendent des musiciens et des instruments, la restauration des centres historiques repose sur de nombreux acteurs pour concrétiser les projets. Le résultat est toujours incertain avant qu'il ne se produise. Qui aurait imaginé une pyramide de Ming au Louvre ou que trois jeunes architectes étrangers et quasiment inconnus remporteraient le concours du Centre Pompidou en 1971? Tirer parti de l'"aléatoire" exige un suivi constant, mais cela ne signifie pas désordre ou manque de but. L'aléatoire est simplement le reflet des aléas du temps. Imaginez un groupe d'experts niant la valeur d'une zone historique. Ils élimineraient le problème de la restauration d'un coup, permettant une intervention totalement libre et contemporaine. Sans œuvres antérieures, toute hypothèse devient possible, y compris la démolition ou toute autre transformation. Cette approche fait écho à la "Théorie de la restauration" de Cesare Brandi. Il définissait la restauration comme la reconnaissance d'une œuvre d'art. Cela s'applique à toute œuvre humaine, de la petite pièce d'orfèvrerie à une partie d'une ville. Protéger administrativement une œuvre signifie déjà intervenir, avec ou sans limites. Dans le cas du Centre Pompidou, inauguré en janvier 1977, le bâtiment a été construit sur un vaste terrain vacant depuis les années 1930, autrefois un parking. Cette absence de patrimoine à protéger a permis aux architectes une grande liberté créative, limitée uniquement par le plan municipal d'urbanisme. Photographie, Paris, plateau Beaubourg, vers 1969. Luis Cercos, conservateur de patrimoines et restaurateur d'architectures, Paris, 2024.
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Notre-Dame : qui pour l’arrêter ? Les vitraux historiques de Notre-Dame ont pour partie, échappé du terrible incendie de 2019, mais le président de la République a tout de même décrété, de manière quasiment unilatérale, dès décembre 2023, la volonté du prince, de les faire remplacer par des versions modernes. Et pourquoi donc, lui seul le sait ? Tout de même, ce président habitué du caprice personnel et surtout chantre de l'effacement systématique d'une culture française qui "n'existe pas", a rencontré l'opposition unanime de la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture. Peu importe, pour ce président, même un chef-d’œuvre de l’architecture médiévale, à dimension historique internationale, doit de passer à la moulinette woke et voilà Macron, tel les talibans faisant sauter les bouddhas géants, se mettre à vouloir rayer du paysage parisien des œuvres chargées de l'histoire du pays et savamment restaurées de manière conforme à l'origine, sous la conduite de Viollet-le-Duc au XIXe siècle. Il n'y a pas "une culture française , il y a une culture en France", expliquait-il et cela semble légitimer chez lui, la nécessité d'un effacement de cette culture "française", ou "en France", on ne voit pas trop comment et pourquoi. Il voulait aussi changer la flèche de Notre-Dame, il n'a pas réussi. Il essaie donc avec les vitraux. Il encaisse un rejet immédiat et général des instances patrimoniales et comme à son habitude, il efface l'opposition d'un revers de main. "On fera quand même comme je dis", dit-il implicitement aux équipes de restaurateurs. L'homme a de la suite dans les idées : vous ne voulez pas de mes vitraux, je vous les… lire la suite sur… https://lnkd.in/eafmPmap Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
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Le choix du p'tit roi...
Notre-Dame : qui pour l’arrêter ? Les vitraux historiques de Notre-Dame ont pour partie, échappé du terrible incendie de 2019, mais le président de la République a tout de même décrété, de manière quasiment unilatérale, dès décembre 2023, la volonté du prince, de les faire remplacer par des versions modernes. Et pourquoi donc, lui seul le sait ? Tout de même, ce président habitué du caprice personnel et surtout chantre de l'effacement systématique d'une culture française qui "n'existe pas", a rencontré l'opposition unanime de la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture. Peu importe, pour ce président, même un chef-d’œuvre de l’architecture médiévale, à dimension historique internationale, doit de passer à la moulinette woke et voilà Macron, tel les talibans faisant sauter les bouddhas géants, se mettre à vouloir rayer du paysage parisien des œuvres chargées de l'histoire du pays et savamment restaurées de manière conforme à l'origine, sous la conduite de Viollet-le-Duc au XIXe siècle. Il n'y a pas "une culture française , il y a une culture en France", expliquait-il et cela semble légitimer chez lui, la nécessité d'un effacement de cette culture "française", ou "en France", on ne voit pas trop comment et pourquoi. Il voulait aussi changer la flèche de Notre-Dame, il n'a pas réussi. Il essaie donc avec les vitraux. Il encaisse un rejet immédiat et général des instances patrimoniales et comme à son habitude, il efface l'opposition d'un revers de main. "On fera quand même comme je dis", dit-il implicitement aux équipes de restaurateurs. L'homme a de la suite dans les idées : vous ne voulez pas de mes vitraux, je vous les… lire la suite sur… https://lnkd.in/eafmPmap Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
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[ACTU DU BÂTI - ZOOM SUR] Le musée d’art moderne de Troyes 🎨 16 avril 2024: après quatre années de rénovation, le Musée d'Art Moderne (MAM) de Troyes réouvre ses portes. Il offre désormais 2.070 m² d'espaces d'exposition pour ses 2.800 œuvres, ainsi qu'un jardin de 4.000 m² pour une expérience artistique immersive. 🖼 Installé dans l'ancien palais épiscopal, le musée renferme des trésors artistiques modernes et contemporains, telles que des œuvres de Pablo Picasso, Gustave Courbet, Amedeo Modigliani, et Georges Seurat, et bien d'autres. 🗣️ "Le musée nécessitait une mise aux normes et une nouvelle présentation des collections", explique Marc Sebeyran, premier adjoint au maire de Troyes. 💼 Les travaux de rénovation centrés sur une nouvelle mise en valeur des collections ont été menés en deux phases entre 2018 et 2024. Ils ont permis de moderniser les infrastructures. 🔨Le projet a consisté en : - l'agrandissement des espaces d'exposition - l'installation d'un troisième ascenseur et d'une rampe d'accès pour les personnes à mobilité réduite - la restauration de la charpente d'origine pour créer une atmosphère unique 📈 Il aura tenu malgré les retards causés par la pandémie de Covid-19 et les défis liés à la disponibilité des matériaux 💰 Sept millions d'euros provenant de diverses institutions publiques, ont été investis pour la rénovation du Musée d’Art Moderne. C’est le reflet de l'engagement de la Ville de Troyes envers la préservation de son patrimoine et le renforcement de son attractivité culturelle et touristique. Son ambition: attirer un nombre croissant de visiteurs 🌿 Le jardin de sculptures, repensé pour offrir "un havre de verdure et de vie", accueille aujourd'hui de nouvelles installations d'art contemporain, invitant les visiteurs à flâner et à se ressourcer dans un cadre artistique. https://lnkd.in/e6-yQWvZ
Le chantier
batiactu.com
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#éphéméride ⚓️ 21 octobre 1790, l'Assemblée Nationale, en séance, décide de modifier le pavillon pour y intégrer les couleurs nationales. « Art. 1er. Le pavillon de beaupré sera composé de trois bandes égales et posées verticalement ; celle de ces bandes la plus près du bâton sera rouge, celle du milieu blanche, et la troisième bleue. (On adoptait cette disposition des bandes verticales pour éviter la ressemblance avec le drapeau hollandais.) Art. 2. Le pavillon de poupe portera, dans a son quartier supérieur, le pavillon de beaupré ci-dessus décrit ; cette partie du pavillon sera exactement le quart de sa totalité, et environnée d’une bande étroite, dont une moitié de la longueur sera rouge et l’autre bleue ; le reste du pavillon sera de couleur blanche. Ce pavillon sera également celui des vaisseaux de guerre et des bâtiments de commerce. » 🇫🇷 Le 27 pluviôse an II (15 février 1794), un décret supprimera le fond blanc et changera l’ordre des couleurs. 🎨 Illustration : Insigne du croiseur Marseillaise, reprenant en son arrière plan ce pavillon. 📖 Plus : https://lnkd.in/eE_Fa4CG https://lnkd.in/etca94X6
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Domaine de FONTAINEBLEAU Après le projet de campus, contestable sur le plan architectural (mais pas que), qui a finalement fait pschit, Marie-Christine Labourdette envisage un projet de réserves des Musées de France dans le quartier des Héronnières, un ensemble de dépendances classées, en bordure du domaine. On applaudit des 2 mains, mais les besoins financiers d'une telle réhabilitation sont gigantesques... mille arbitrages risquent de faire capoter l'idée. C'est le scénario classique, hélas, du patrimoine abandonné par le Ministère de la Défense depuis sa restructuration post-service militaire : sans aucune stratégie de valorisation (ni patrimoniale ni même financière), ce sont des dizaines de cessions à la va-vite qui ont été opérées, et qui ressemblent furieusement à des patates chaudes que les collectivités se refilent avec embarras 😕 C'est le cas des Héronnières, un véritable domaine dans le domaine avec ses 11 bâtiments, en état de dégradation préoccupante. Il reste à espérer que les 300 millions supplémentaires récemment négociés par la Ministre de la Culture (N'en doutons pas, Rachida Dati se battra pour les obtenir 💪) permettent de sauver les Héronnières ! https://lnkd.in/e7T3imSy
Château de Fontainebleau : les Héronnières pourraient accueillir les trésors des musées de France
actu.fr
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