Post de David BOBIN

Le onzième congrès de l'Association française de sociologie se tiendra à Toulouse du 7 au 11 juillet 2025, rassemblant environ 1300 sociologues autour du thème « Environnement(s) et inégalités ». Ce rendez-vous biennal, organisé par une association regroupant plus de 1500 sociologues, offre un espace d’échange et de défense de la profession, notamment en période de critiques. Marianne Blanchard, sociologue à l’université Toulouse - Jean Jaurès, souligne que la Ville rose a été choisie pour son dynamisme en matière de recherches sociologiques et environnementales, avec quatre laboratoires actifs. Le thème de cette année, centré sur l'environnement, reflète un enjeu sociétal crucial que la sociologie doit s’approprier. Marianne Blanchard insiste sur la pertinence d'étudier les inégalités environnementales, notamment en ce qui concerne les responsabilités dans la dégradation de l’environnement. Elle défend l'idée que ces sujets ne doivent pas être réservés aux seules sciences physiques, mais bien être examinés sous l'angle des sciences sociales. Interrogée sur la situation de la profession dans le contexte national, Marianne Blanchard fait part de ses inquiétudes face à la montée de l’extrême droite, en prenant l'exemple de la Hongrie où les études de genre ont été retirées des universités sous le gouvernement de Viktor Orban. Elle précise que, bien que la France n’en soit pas encore là, l'association a pris position contre l'extrême droite lors des dernières élections, consciente des attaques croissantes contre le « wokisme » et l’« islamo-gauchisme », des termes souvent utilisés pour discréditer les chercheurs en sciences sociales. Elle rappelle que la sociologie, une discipline régulièrement pointée du doigt, doit continuer à défendre la liberté académique. Marianne Blanchard exprime également des préoccupations concernant la fragilisation croissante de l’université publique. Elle déplore le manque de financements et la précarisation des jeunes chercheurs et chercheuses, soulignant que les gouvernements successifs n’ont pas mis en place de politique ambitieuse pour soutenir l’enseignement supérieur, notamment dans les domaines des sciences humaines et sociales. Enfin, sur la question des attaques récurrentes contre les sociologues, Marianne Blanchard évoque un fantasme qui entoure la discipline. Selon elle, cette critique n’est pas nouvelle. Citant Pierre Bourdieu, elle rappelle que la sociologie est un « sport de combat » car elle interroge les mécanismes de production des inégalités et remet en question des mythes sociaux tels que la méritocratie. Elle insiste sur la rigueur méthodologique des travaux sociologiques qui reposent sur des faits vérifiables, à l’opposé des opinions souvent émises sur les réseaux sociaux.

[Veille] Demi-journée d’études "Construire des recherches participatives : Retours sur deux expériences de recherche" Evènement organisé par l’UR4 - Genre, sexualité et inégalités Lundi 25 Novembre 2024 à l’Ined, salle Sauvy, de 14h à 17h La demi-journée d’études sera organisée sous forme d’une table-ronde avec la participation de différent.es actrices et acteurs ayant pris part à ces recherches : des associations (Afrique Avenir, Arcat, Planning Familial), des chercheuses et chercheurs de l’Ined (Marie Bergström, Marwân-al-Qays Bousmah, Titouan Fantoni-Decayeux, Anne Gosselin, Gaëlle Larrieu, ...) et une structure de médiation (L’Atelier des Jours à Venir). *Programme* La table-ronde sera animée par Cris Beauchemin, directeur de recherche de l’Ined : - élaborer le projet,  - collecter et interpréter les données,  - partager et valoriser les résultats. Dans chacun des axes, les apports, enjeux et limites des recherches participatives seront abordés à partir d’un retour sur deux recherches participatives menées à l’Ined portant respectivement sur la santé sexuelle des immigrés et l’éducation à la sexualité dans les familles. https://lnkd.in/edgnMH-6

✨ Je suis ravie de vous partager mon espace personnel au sein de l'Institut de sociologie de l'Université de Neuchâtel ! ✨ C’est ici que je présente une partie des recherches passionnantes que je mène dans le cadre de mon doctorat, que j’ai eu la chance de débuter en septembre. 🌍📚 N'hésitez pas à découvrir mon profil et à suivre mes travaux de recherche sur les thématiques qui me tiennent à cœur. Vos retours et échanges sont toujours les bienvenus ! 🙌 #Sociologie #RechercheDoctorale #UniversitéDeNeuchâtel #Doctorat #cooperatives

La revue Sociologie et sociétés propose un article sur le rôle du sport dans la réinsertion du combattant dont je suis l’auteur. « Corps combattant, corps sportif, corps traumatisé » revient sur les capacités de résilience du soldat. Information partagée et lecture suggérée à ceux qui souhaitent approfondir ce débat.

Une publication qui nous enchante mes co-directrices et moi. Stephane Moulin la présente parfaitement et vous pourrez aller en lire les nombreux articles ici : https://lnkd.in/echpcmJw Sociologie et Sociétés

🗓️ Journée de lancement de l'Observatoire des inégalités scolaires en Méditerranée de la MMSH d'Aix-en-Provence, le lundi 3 février 2025. 📚🌍 Dans la volonté de développer la recherche en Éducation au sein de la Maison Méditerranéenne des Sciences de l'Homme - MMSH à propos des inégalités scolaires, cet observatoire associe : > l’Institut de Recherches et d’Études sur les Mondes Arabes et Musulmans - IREMAM, >Temps, espaces, langages, Europe méridionale, Méditerranée - TELEMMe > Centre méditerranéen de sociologie de science politique et d'histoire - MESOPOLHIS L’enjeu est de proposer des ressources à la fois méthodologiques et thématiques du point de vue des diverses disciplines engagées (histoire, géographie, sociologie). Au prisme de cette pluridisciplinarité, il s’agira de déterminer les apports spécifiques des sciences humaines et sociales sur cet objet travaillé par ailleurs par les sciences expérimentales, ou bien encore l’économie. Il s'agira également, au-delà de la production et la diffusion de données produites par l'Observatoire, de mettre en lumière les spécificités des approches développées en sciences humaines et sociales, sur le plan du rapport au terrain, des méthodes d'enquête, de l'éthique et, notamment sur des sujets faisant débats avec d'autres champs disciplinaires comme la question de l'administration de la preuve ou de la mesure. Ce faisant l'Observatoire pourra constituer un lieu de visibilisation des approches propres aux sciences humaines et sociales sur la question des inégalités scolaires. 👉 Nous vous attendons donc pour cette journée de débat et d’échange avec le programme suivant : ▶️ 9h-10h Présentation de l’Observatoire ▶️ 10h30-12h30 Projection-débat autour du documentaire LAISSÉS-POUR-COMPTE, Felix Christine & Agnès Maury ▶️ 14h- 17h Prolongation du débat dans le séminaire éducation de l’IREMAM « Colonialité des mondes scolaires » ℹ️ Pour plus d'informations, contactez les organisateurs : Ariane Richard-Bossez : ariane.richard-bossez@univ-amu.fr (MESOPOLHIS) Julien Garric : julien.garric@univ-amu.fr (IREMAM) Nora Nafaa : nora.nafaa@univ-amu.fr (TELEMMe) #Éducation #InégalitésScolaires #Méditerranée #Recherche #Pluridisciplinarité Aix-Marseille Université - Inspé d'Aix-Marseille - AMPIRIC - Pôle pilote de formation des enseignants et de recherche pour l'éducation - CNRS - Sciences Po Aix

🎓 Félicitations à Yannick Henrio pour la soutenance de sa thèse en sociologie 👏   Lundi dernier, Henrio Yannick (centre de recherche sur l’habitat, Université Paris 8) a soutenu sa thèse de doctorat intitulée « Résistances et ressorts affinitaires dans la ville : repositionnement social par le logement de ménages des classes populaires d’origine étrangère à Paris ».   📑 Cette thèse, réalisée sous la codirection de Claire Lévy-Vroelant et Fijalkow Yankel, a été saluée par chaque membre du jury pour ses grandes qualités scientifiques. Les échanges, riches et stimulants, ont mis en lumière l’originalité et la pertinence des travaux.   👩⚖ 👨⚖️ Le jury était composé de Cyril Lemieux ( EHESS - École des hautes études en sciences sociales) président du jury, Abdelhafid Hammouche (Université de Lille) rapporteur, Hélène Bertheleu (Université de Tours) rapporteure et Axelle Brodiez-Dolino (CNRS, centre national de la recherche scientifique) examinatrice.   📌 À noter que Yannick Henrio avait bénéficié d’une bourse doctorale de la Cnaf - Caisse nationale des allocations familiales, dans le cadre de son soutien à la recherche. Ce dispositif est désormais remplacé par une #Cifre.   📅 Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 1er mars prochain 👉 https://lnkd.in/eMhcRC86   #Logement, #classespopulaires, #gentrification, #logementsocial, #droitaulogementopposable

Selon B. Lahire, la sociologie contemporaine a besoin de dégager les lois générales qui gouvernent la vie humaine. Il s’y emploie notamment en comparant l’humain aux autres espèces vivantes, par-delà les clivages habituels entre sciences sociales et sciences naturelles. Les structures fondamentales des sociétés humaines se présente comme une réforme de l’épistémologie de la sociologie (et des sciences sociales en général). Dans l’introduction (« L’oubli du réel », p. 15-51), Bernard Lahire affirme en effet qu’il est possible et désirable de faire converger les études sociologiques, psychologiques et biologiques vers une grande « science sociale » unifiée, afin d’éviter l’éparpillement des paradigmes analytiques. Cette unité seule permettrait, selon les mots de Maurice Godelier, de « produi[re] des connaissances qui s’accumulent et s’enrichissent par les deux voies classiques des sciences que sont la découverte de nouveaux faits et l’invention de nouveaux paradigmes » (p. 80). L’ambition de l’ouvrage est ainsi de montrer ce qu’apportent les sciences du vivant à l’étude des faits sociaux (domination, soins parentaux, altruisme, etc.). L’objectif n’est donc pas tant d’avancer telle ou telle connaissance scientifique nouvelle que de proposer un cadre général permettant de les organiser, en articulant des données issues des sciences sociales (anthropologie, histoire, sociologie et, plus ponctuellement, économie) et des sciences naturelles (biologie, éthologie, paléoanthropologie et préhistoire notamment) - même s’il ne s’agit probablement que d’une modalité d’articulation parmi d’autres.

J’ai le plaisir de vous annoncer la soutenance de ma thèse de doctorat en Sociologie, dirigée par Emmanuelle Santelli. Elle s’intitule :   De l’intime au politique. La narrativité des choix funéraires en contexte transnational et minoritaire. Étude auprès d’immigrés originaires du Maghreb et de descendants (Chalon-sur Saône)   Le jury est composé de Gaëlle CLAVANDIER, Jean-Hugues DÉCHAUX, Constance DE GOURCY, Loïc LE PAPE, Françoise LESTAGE et Emmanuelle SANTELLI   La soutenance aura lieu le vendredi 14 juin 2024 à 13h30 à l'université Lumière Lyon2.    La thèse s’intéresse aux ritualités funéraires en contexte d’immigration. Elle questionne plus précisément ce que les choix funéraires ont à nous dire de l’expérience migratoire, et minoritaire, des appartenances, de la transmission intergénérationnelle, de la mémoire collective et du lien susceptible d’être établi entre le choix de sépulture et une expérience minoritaire disqualifiée. Elle repose sur une enquête de type ethnographique, réalisée à Chalon-sur-Saône auprès d’immigrés originaires du Maghreb et de descendants (2015-2023), renforcée par un matériau biographique conséquent (53 entretiens approfondis sur un total de 119), l'étude d'archives photographiques familiales et la coréalisation d’un film avec le photographe Frédéric Lecloux. Elle est complétée par une étude relative aux adaptations des rites funéraires des immigrés musulmans et aux implications de la pandémie de Covid-19 sur les choix à venir, menée dans la Métropole du Grand Lyon (2022) et financée par le Bureau Central des Cultes du ministère de l'intérieur (Convention de recherche n° 58/2021). Les résultats mettent en évidence que le choix de sépulture est le lieu ultime où se joue la pluralité des appartenances. De plus en plus médié par des assurances privées et les réseaux d’acteurs consulaires et professionnels, le rapatriement des défunts demeure un rite majeur, investi et réapproprié par les communautés d’appartenance (famille, culte, village, État), y compris par les descendants. La thèse remet en perspective le désenchaînement des générations (Attias-Donfut, Wolff, 2009) avancé dans les années 2000 et montre que les choix s’ancrent principalement dans des récits du « retour ». Dès lors, la variété des décisions et des projets posthumes s’arbitre dans une démarche « narrative », autrement dit, dans une mise en cohérence des évènements vécus, tout en les inscrivant dans une communauté d’expériences partagées pour donner une signification intelligible et admise par le groupe. La narrativité est comprise comme la façon de se définir, d’agencer des appartenances (les mettre en ordre, les réorganiser, les réactiver). L’analyse des registres narratifs de légitimation des rapatriements, et de leur réfutation, montre que, bien que les dynamiques familiales et les enjeux de filiation soient agissants, les choix funéraires sont tout à la fois des narrations intimes et politiques.      

[ 📢 𝗣𝗥𝗢𝗟𝗢𝗡𝗚𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 - 𝗔𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 - 𝟯𝟬𝗲̀𝗺𝗲𝘀 𝗝𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗟𝗼𝗻𝗴𝗶𝘁𝘂𝗱𝗶𝗻𝗮𝗹 : 𝗜𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝘀𝗰𝗼𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 : 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱𝘀] ✔ Organisées par l’Institut de Recherche sur l'Éducation : Sociologie et Économie de l'Éducation (IREDU, UR 7318), 𝗹𝗲𝘀 𝟯𝟬𝗲𝘀 𝗝𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝗱𝘂 𝗟𝗼𝗻𝗴𝗶𝘁𝘂𝗱𝗶𝗻𝗮𝗹 𝘀𝗲 𝘁𝗶𝗲𝗻𝗱𝗿𝗼𝗻𝘁 𝗮̀ 𝗗𝗶𝗷𝗼𝗻 𝗹𝗲𝘀 𝟭𝟲 𝗲𝘁 𝟭𝟳 𝗷𝘂𝗶𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟱 à la Maison des Sciences de l’Homme de l’Université de Bourgogne. ✔ Le thème de ces 30èmes journées "𝗜𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝘀𝗰𝗼𝗹𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 : 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂𝘅 𝗿𝗲𝗴𝗮𝗿𝗱𝘀" se décline autour de trois axes : ▪️𝗔𝘅𝗲 𝟭 - 𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝘀𝗲 𝗰𝘂𝗺𝘂𝗹𝗲𝗻𝘁, 𝘀𝗲 𝗰𝗿𝗼𝗶𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝘀’𝗮𝗿𝘁𝗶𝗰𝘂𝗹𝗲𝗻𝘁 ▪️𝗔𝘅𝗲 𝟮 - 𝗤𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗼𝗰𝗵𝗲𝘀, 𝗺𝗲́𝘁𝗵𝗼𝗱𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲́𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲́𝗵𝗲𝗻𝗱𝗲𝗿 𝗲𝘁 𝗺𝗲𝘀𝘂𝗿𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 ? ▪️𝗔𝘅𝗲 𝟯 - 𝗗𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 « 𝗶𝗺𝗽𝗿𝗼𝗯𝗮𝗯𝗹𝗲𝘀 » 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗿𝗮𝗷𝗲𝗰𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲𝘀 « 𝗮𝘁𝘆𝗽𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 » 𝗾𝘂𝗶 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗰𝗲𝗻𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗯𝗼𝘂𝘀𝗰𝘂𝗹𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝗲́𝗴𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 ✔ Les propositions de communication sont à adresser 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝟭𝟲 𝗱𝗲́𝗰𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲 𝟮𝟬𝟮𝟰 sous la forme d’un texte de 5 000 signes maximum. ✔ 𝗧𝗲́𝗹𝗲́𝗰𝗵𝗮𝗿𝗴𝗲𝗿 𝗹'𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹 𝗮̀ 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 ▶ https://lnkd.in/eFr3jx49 Julien Berthaud Claire Bonnard mathieu bunel Thomas Couppie Vanessa di Paola Dominique Epiphane Carine ERARD Jean-François Giret Marion MONNET Sophie Morlaix @Pauline VALLOT Patrick WERQUIN IREDU (Institut de Recherche sur l'Éducation : sociologie et économie de l'éducation Université de Bourgogne