Post de DELPHARM GAILLARD

Reportage à voir impérativement !!

Découvrez la magie de l'Oncologie Intégrative !!

Pour bien démarrer l'#Annéedelamer !

#HistoireMilitaire #SoldatsDeFrance #Vulgarisation #ArméeDeTerre #CCF #Eclairer #Libération #DébarquementDeProvence #PremièreArmée #OutreMer #EMSOME #SAS #GCP #Jedburgh #FFI #92RI #Jonction Hier, dans un post dédié, je présentais la partie consacrée aux 70 ans de l’Alat au travers d’une série d’articles et de témoignages, le second fil rouge du numéro 21 de Soldats de France porte sur la libération du territoire national. Ici, il est beaucoup plus question du second débarquement, parfois oublié dans le récit collectif, celui de Provence. C’est le 3e numéro de la revue dédié à cette thématique (les numéros anciens sont librement disponibles sur la plateforme Calaméo). Jean-Luc Cotard nous montre le gros des forces françaises (pour la partie terro-terrestre, la 2e DB du général Leclerc n’est engagée que dans la phase d’exploitation du débarquement en Normandie) resserrer la nasse sur les forces allemandes depuis le Sud de la France, au cours d’une opération amphibie renouvelée et donc différente, tel que le montre très bien la formidable animation en illustration. Pour cette Armée B, future Première Armée, “au contact”, il s’agit parfois du baptême du feu, à l’instar de la 9e DIC à Toulon, dont l’action est présentée par Frédéric Guelton. L’Outre-mer est largement présent dans la génération de forces (Benoit Bodart et didier philippi). Les Français sont également engagés au titre des missions spéciales qui permettent de faire la jonction avec les forces de l’intérieur(Jean-Christophe Dumont pour les SAS, Benoît Valadier pour les GCP héritiers des Jedburgh). D’ailleurs, au delà de l’appui de la Résistance, ces forces vont permettre de “recréer” le régiment “d’Auvergne” (Charlotte Schenique), qui prélude à la reconstruction elle-même d’une armée nationale sur le territoire. Overlord finira également par rencontrer Anvil-Dragoon en Bourgogne, fait souvent occulté (Jean-François Rebiffé) et également essentiel pour la reconstruction militaire française. Pour illustrer ce numéro, outre les fonds riches de l’ECPAD - Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense qui mettent en valeur le travail des reporters engagés au sein des forces, le choix s’est également porté sur la mise en avant de l’exceptionnel peintre de l’Armée Roger Jouanneau-Irriera, détenu par le SHD. Un vrai plaisir de replonger dans ce fonds et de retravailler avec l’équipe des conservateurs spécialisés dans l’iconographie après une première collaboration en 2018 dans le cadre de la Fabrique Défense. La revue est d’ores et déjà disponible en version électronique via https://lnkd.in/e3V7zucp … et bientôt disponible en version papier dans les écoles de formation initiale et les régiments en particulier

Voici la seconde partie de notre reportage immersif lors de notre couverture médiatique du rallye Bourgogne Côte chalonnaise.

Détails d’un tableau en cours d’achèvement avant notre 𝐞𝐱𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐌𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐌𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐍𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝟏𝟑 𝐚𝐮 𝟏𝟖 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞. Pilotes de la Loire en pleine action extrême à la rencontre des bâtiments mastodontes de la Marine marchande. Découvrez toutes mes autres œuvres sur mon site (lien en 1er commentaire ci-dessous). #peinturesmarines, #marineart, #snsm

Que du beau monde à genas chez fluidra

Situation géographique du vignoble breton historique. On parle souvent de "Basse-Bretagne" et de "Haute-Bretagne" sans en comprendre le sens historique. Cette division de la Bretagne en deux parties est interprétée comme une partition linguistique, alors qu'il s'agit à l'origine d'une opposition uniquement géographique (ouest / est). C'est le hasard qui a fait que la ligne de partage géographique corresponde très approximativement à la limite linguistique (notamment dans la zone sud qui nous intéresse ici), on parle en effet traditionnellement breton à l'ouest et français (français régional dit "gallo") à l'est. Cette partition géographique en "Basse-Bretagne" et "Haute-Bretagne" a son origine dans la cartographie médiévale, on parlerait de nos jours de "Bretagne occidentale" et de "Bretagne orientale". On peut faire le lien avec l'histoire viticole de la Bretagne en affirmant qu'il n'existe pas de tradition viticole dans la "Basse-Bretagne", c'est à dire la partie la plus péninsulaire de la Bretagne (aux étés un peu trop doux). Les tentatives pour parler de viticulture dans cette partie de la Bretagne ne sont pas vraiment convaincantes, ses promoteurs - peu compétents en histoire - exagèrent considérablement l'importance de la viticulture médiévale dans cette région, ils sont un peu aveuglés par leur enthousiasme viticole... On ne peut donc pas vraiment parler de "renouveau" ou de "renaissance" de la viticulture dans la moitié occidentale de la Bretagne ! Les vignobles historiques de la Bretagne se trouvent donc en Haute-Bretagne géographique, dans la moitié orientale, plus continentale ou méridionale de la Bretagne, certainement pour des raisons de murissement du raisin. On pense d'abord au Vignoble nantais, à celui du Pays de Retz, et celui du Pays de Redon, tous trois en pays gallo ; et en Bretagne bretonnante au vignoble du Pays de Guérande et celui de la presqu'île de Rhuys, situés en Haute-Bretagne géographique (comme expliqué dans l'article).

Vivement demain!

L’histoire de la domestication du cheval revisitée On a longtemps pensé que les chevaux domestiques avaient été introduits par les Yamnayas, ces éleveurs des steppes qui sont arrivés en Europe au IVe millénaire avant notre ère. Cette vision vient d’évoluer radicalement à la suite d’une série de découvertes archéologiques et génétiques, qui éclairent d’un jour nouveau l’histoire de l’influence du cheval sur les civilisations.