Post de Destination Yves Rocher La Gacilly

Découvrez une nouvelle variété ajoutée au catalogue 23/25... la MANGAVE Mission to Mars 🍀 Unique et sublime toute l’année ✨ La Mangave Mission to Mars est dotée d'une rosette de feuilles spectaculaires. Tachetées de brun, elles se rougissent au contact du soleil créant ainsi un magnifique contraste avec leur fond vert. Effilées en pointe et légèrement courbées, elles sont bordées de petites épines cannelle peu piquantes. Cette variété se développe près du sol et s’étend très largement. Cette mangave est une véritable star tout au long de l'année, en partie grâce à sa végétation persistante en hiver. Sa floraison, qui survient d‘août à octobre, s’orne de hampes garnies de petites fleurs blanches étoilées. Celle-ci est plus prononcée dans des climats favorables et sur des plantes matures. La Mangave Mission to Mars est résistante à la sécheresse, mais elle est peu rustique. Elle ne survit qu’à de brèves gelées de l’ordre de -5 à -7°C. Adaptée en terrain sec et en rocaille, elle prospère particulièrement en bord de mer et en climat doux. Le saviez-vous ? 🧐 Les Mangaves sont issues d’un croisement entre des Manfredas et des Agaves. Elles ont pris aux Agaves leur végétation persistante ainsi que leur forme architecturale. Tandis que les Manfredas leur ont transmis une teinte unique, des épines délicates et une croissance rapide. N’hésitez pas à nous faire part de vos expériences dans les commentaires ! 👇 Pour ne rien rater, pensez à suivre #laselecplandanjou et abonnez-vous ! #professionnelsduvegetal #nouveautés #paysage #espacesverts #aménagements #pépinières #jardin

Les naturalistes du Muséum national d’histoire naturelle de Paris veillent sur des collections d’insectes d’une grande richesse qu’ils continuent d’étoffer, alors que les milieux de vie des papillons et autres diptères se dégradent. Un patient travail qui permet notamment d’analyser les conséquences du changement climatique. Dans la boîte austère tapissée de papier blanc, les ailes délicates se déploient, translucides et rougissantes en leur bord inférieur, comme arrêtées en plein vol. « La transparence de ces Cithaerias leur permet d’échapper à la vigilance des oiseaux, explique Jérôme Barbut, chercheur au Muséum national d’histoire naturelle (MNHN). Les Kallima, eux, ont une autre stratégie : l’envers de leurs ailes ressemble à une feuille morte ! J’ai pu les observer en Thaïlande : quand ils se posent par terre ou sur une branche, ils deviennent invisibles. On ne les remarque que lorsqu’ils s’envolent. » Ces deux espèces ne représentent qu’une infime partie des collections de lépidoptères — communément appelés papillons — rassemblées rue Buffon, à Paris, dans une des réserves d’insectes du Muséum national d’histoire naturelle. Entre trois et quatre millions de spécimens sont abrités dans le dédale de pièces de sept cent vingt mètres carrés où cohabitent meubles de classement gris et buffets en bois sculptés, étiquettes calligraphiées à la plume et QR code. « Ici se trouvent des collections parmi les plus vieilles du monde. Certaines ont été constituées en 1791 ! » La suite de l'article sur Reporterre, le média de l'écologie ⏰ 09/03/2021 ⬇️ https://lnkd.in/eWss6eQf

🌊 Projet Mata’Avei’A : Quand l'art rencontre la conservation marine 🌊 Ces derniers jours, nous avons passé de nombreuses heures derrière nos écrans, et pour une bonne raison ! Nous avons préparé notre tout premier dossier de candidature pour le projet : Mata’Avei’A. Une mission qui résonne ? Leur mission de Mata’Avei’A est de voir l’art contemporain s’exprimer sur les enjeux de la société polynésienne, en alliant art et conservation marine. Ce projet vise à rassembler des artistes et des associations locales engagées pour la protection de l’Océan et de leurs communautés. Ces nouvelles alliances donneront lieu à une exposition, intitulé “Les mots-maux de la mer, si la mer pouvait parler, que dirait-elle ?”, ce qui incarne parfaitement la mission de The Salty Hands dans la partage de cette connexion à l’Océan et la rencontre avec celles et ceux qui agissent pour sa préservation. 🤝 Créer des alliances humaines pour l’Océan Au cours de la préparation du dossier, nous avons déjà eu la chance de rencontrer certaines de ces associations inspirantes et sommes impatients de renforcer ces liens. 🎨 Une œuvre artistique visuelle et immersive Pour ce projet, nous avons préparé un dossier décrivant notre œuvre artistique. Vous avez peut-être déjà eu un aperçu sur notre site des immersions visuelles que nous vous proposons. Une invitation à plonger les spectateurs dans les profondeurs de l’Océan mais aussi dans la beauté de l’engagement pour sa régénération. 💼 Les défis techniques et le besoin d’équipement Même si notre équipe dispose déjà de certains équipements pour créer des vidéos de haute qualité, il nous manque encore des équipements spécifiques, comme un caisson étanche. Grâce à des projets comme Mata’Avei’A, nous espérons pouvoir nous équiper davantage et ainsi proposer des expériences immersives de qualité supérieure. 🚀 La candidature est lancée ! Nous avons soumis notre dossier de candidature pour le projet Mata’Avei’A. Maintenant, nous croisons les doigts et espérons que notre projet sera sélectionné. 🙏 Envoyez-nous vos bonnes vibes ! Votre soutien est essentiel pour nous. N’hésitez pas à laisser un petit commentaire avec l’émoji🤞. #thesaltyhands #artocean #artvisuel #oceanconnexion

Pour lutter contre le fléau de la pollution lumineuse et sauver les nuits noires du Morvan qui se raréfient, Yvon Letrange milite à son échelle et sensibilise les élus. ✨ 🌃 Ce passionné d'observation de la Voie Lactée a initié une démarche pour que le Parc naturel régional du Morvan devienne Réserve internationale de ciel étoilé, un label provenant des États-Unis. Avec la revue « Vents du Morvan » qu'il préside, il tente de convaincre les élus de prendre les dispositions nécessaires pour sauver les nuits étoilées. 🌠 « Il y a quinze ans, la problématique de la pollution lumineuse était encore perçue comme une lutte sectorielle. Sous l’effet des enjeux écologiques, sanitaires et d’économie d’énergie, les pouvoirs publics s’en sont saisis plutôt rapidement. » se rappelle Samuel Challeat. En France et en Europe, l'observation de la Voie Lactée est de plus en plus difficile à cause de la pollution lumineuse. Cette dernière impacte aussi la faune et la flore qui perdent leurs repères. 🦇 👉 « La vision de la Voie lactée n’est plus possible pour plus d’un tiers de l’humanité, pour 60 % des Européens et pour près de 80 % des Nord-américains. » Retrouvez cet article dans notre numéro « +4°, ça va chauffer », toujours disponible en kiosque ! https://lnkd.in/e2haRTxW #Astronomie #Ecologie #Etoiles #Observation #Nature

J'ai la joie de vous annoncer la publication des actes des journées d'études sur le lion dans le pourtour méditerranéen ! Bravo à tous les contributeurs ! Le lion dans le pourtour méditerranéen. Portrait iconographique, historique et biogéographique d’un grand félin, sous la direction de Margaux Spruyt et VASSAL Véronique, Paris, Collection Cerf Patrimoines 328 pages - janv. 2025 https://lnkd.in/eQnqv2ps L’apport de la recherche sur les animaux permet de remettre au coeur de nos interrogations d’historiens, d’historiens de l’art, de philologues et d’archéologues la place des animaux dans le récit visuel et historique. En outre, travailler spécifiquement sur une espèce permet d’opérer un déplacement depuis une vision large de l’animal jusqu’à la figure précise du félin. Cela favorise ainsi un dialogue méthodologique et historiographique entre divers champs disciplinaires. Animal sauvage par excellence, le lion est parfois apprivoisé, comme en témoignent les images de lions paisibles couchés dans des jardins luxuriants ou suivant docilement un dompteur. Comment est-il alors perçu par les hommes qui le côtoient, le chassent ou l’élèvent ? Quelles sont les valeurs symboliques qui lui sont attachées dans ces diverses situations ? Alternant entre dimension sauvage et domestique, entre mâle et femelle dont les rôles semblent naturellement répartis et strictement définis, la figure du lion interroge les sociétés humaines qui la représentent. Ces pistes permettent ainsi de penser qu’une étude des représentations léonines sur le temps long dans un espace géographique réduit au pourtour méditerranéen permet de comprendre comment les « artistes »/artisans antiques ont mis en scène cet animal dans des sociétés où il est à la fois chasseur et chassé, animal craint et révéré.

👉 Pour aller plus loin que l'expo du Mucem - Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée consacrée au mouvement naturiste en France 👀 Lisez donc son catalogue ! 👌 Une vraie bible sur le sujet 😉

Il existe des #plantes qui vivent à plus de 4000 mètres d’altitude, accrochées à la roche des sommets dans des conditions extrêmes. Elles fascinent deux botanistes scientifiques mais aussi alpinistes, qui les recherchent et les étudient de près : Cédric Dentant, botaniste au Parc national des Ecrins, et Sébastien Lavergne, chercheur au Laboratoire d'écologie alpine (LECA). Les Alpes et notamment les hauts sommets du massif des Ecrins sont leur terrain de jeu. Ce n’est qu’en 2010 que fut trouvée la plus haute plante connue des #Alpes : la saxifrage à feuilles opposées (Saxifraga oppositifolia). Elle fut observée à 4 504 m, en face sud du Dom des Michabels (Suisse). En France, c'est dans le Parc national des Écrins, à 4 070 m, que cette même espèce fut trouvée, la seule au-delà des 4 000 m. Mais les plus hautes plantes du monde furent découvertes à 6 400 m d'altitude en 1935 par l'explorateur et alpiniste Eric Shipton sur le versant tibétain de l'Everest. Puis, en 1952, Albert Zimmerman découvrait sur le versant népalais trois nouvelles espèces à sensiblement la même altitude (6 350 m). A part la saussurée cotonneuse connue à plus basse altitude, les quatre autres plantes furent déterminées beaucoup plus tard en 2000 : le lepidostemon de l'Everest puis en 2017 la sabline à feuilles de mousses, la saxifrage de l'Everest et l'androsace du Khumbu. C’est bien à la famille des androsaces que nos deux botanistes se sont intéressés dans le cadre du programme scientifique "Ecologie verticale". Ils viennent d’ailleurs de découvrir trois nouvelles espèces d’androsaces : l’androsace du Viso, l’androsace du Dauphiné et l’androsace de Saussure. Ces plantes ont des capacités extraordinaires pour résister à la fois aux très basses températures et à la sécheresses des parois des hautes montagnes. Leur forme hémisphérique et dense (en coussin) offre une protection thermique exceptionnelle. Les cousins retiennent l’humidité et leur propre matière organique, qu’elles recyclent. Et peuvent ainsi vivre des siècles. Ils ont aussi mené un vaste programme de séquençage génétique de toutes les espèces d’androsace (plus d’une centaine d’espèces) et constitué ainsi l’arbre philogénétique qui permet de reconstruire l’histoire passée et retrouver les ancêtres communs. Résultat l’ancêtre commun de l’ensemble des androsaces aurait 35 millions d’années et serait originaire de l’Himalaya, foyer de diversification qui aurait donné naissance à plusieurs espèces avant une colonisation des Alpes il y a 20 millions d’années pour atteindre les Rocheuses plus tardivement. La diversification de ces espèces, leur reproduction, leurs migrations intercontinentales et leurs adaptations aux conditions extrêmes restent pour partie un mystère. Elles poussent lentement et vivent au ralenti. Une chose apparait, elles auraient survécu aux glaciations, accrochées aux parois des montagnes. https://lnkd.in/e9CyUyH8

ÉE 🌊 𝗖𝗲́𝗹𝗲́𝗯𝗿𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗝𝗼𝘂𝗿𝗻𝗲́𝗲 𝗜𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗠𝗲𝗿 ! 🌊 Aujourd'hui, à l'occasion de la Journée Internationale de la Mer, j'ai envie de partager avec vous trois projets que j'ai réalisés autour de cette thématique qui m'est chère. 𝗟𝗲 𝗽'𝘁𝗶𝘁 𝗼𝗰𝗲𝗮𝗻 🐚 Paru en été 2023 aux Éditions du Ricochet, dans la collection Éveil Nature. Avec l'autrice Marie Lescroart, nous avons choisi de nous concentrer sur l'océan Atlantique, celui dans lequel nos petits lecteurs peuvent tremper les pieds sans prendre l'avion. Une invitation à découvrir la richesse de l’océan qui nous entoure ! 𝗣𝗼𝗽𝗽𝗶𝗸 𝗯𝗮𝗯𝘆 𝗢𝗰𝗲𝗮𝗻 🦀 Sorti en 2022 chez Poppik, ce kit contient six cartes paysages à compléter avec 96 gommettes, spécialement conçues pour les petits dès deux ans. Un jeu ludique et éducatif pour éveiller les tout-petits à la beauté des rivages et des fonds marins. 𝗣𝗲𝗿𝗱𝗿𝗲 𝗽𝗶𝗲𝗱, 𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗻𝗮𝗴𝗲𝗼𝗶𝗿𝗲 🐠 Une illustration réalisée en mai à la gouache pour l'exposition "Rivages" de mon cher collectif Patates. Après son accrochage estival chez Oh! Mirettes à Marseille, elle tourne dans d'autres lieux. Chacun de ces projets aborde la thématique de la mer sous un angle unique : 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝗹𝘂𝗱𝗶𝗾𝘂𝗲 ou 𝗽𝗼𝗲́𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲. Tous explorent notre lien profond avec les océans. 🌎 👉 "𝗩𝗼𝘂𝘀 𝗮𝘃𝗲𝘇 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻 𝗱'𝘂𝗻𝗲 𝗶𝗹𝗹𝘂𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗱'𝘂𝗻 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀𝘀𝗲 𝗼𝘂 𝗱'𝘂𝗻 𝗷𝗲𝘂 𝗲́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗳 qui exprime la beauté de la nature et notre lien avec elle ?" N'hésitez pas à me contacter pour discuter de vos projets créatifs ! 🌱 #JournéeDeLaMer #LittératureJeunesse #Illustration #ÉveilNature #Océan #ÉducationEnvironnementale #JeuxÉducatifs #ArtEtNature

Une capsule contenant une performance insolite et signifiante, des photos originales, et des infos concises...ça vous dit ? Ex. post complet : https://lnkd.in/eNXJ9ZME Contactez-moi... Rencontre dansée avec... la nature, au Naturalium de la citadelle de Besançon ! Le lien entre la biodiversité et la citadelle ? L’insolite muséum logée dans cette dernière, qui propose un espace dédié au vivant ! Dans ce Naturalium, six salles pour vous informer de manière ludique. L’équilibre… Pas que dans le mouvement , mais en général, dans la nature ! Toucher du doigt ce qui fait que nous sommes vivants… Facile à la citadelle ! Entrez donc dans le Naturalium dédié à la biodiversité. En Bourgogne Franche-Comté, dans le Doubs, à la Citadelle de Besançon, outre la forteresse à parcourir, découvrez aussi le Musée comtois, le parc zoologique, l'insectarium, l'aquarium, le noctarium, le naturalium, l'espace Vauban, la chambrée reconstituée, le spectacle multimedia de la chapelle, le Musée de la Résistance et de la déportation. Visitez un site inscrit par l'Unesco sur la liste du patrimoine mondial à préserver, pour ses fortifications Vauban ! www.citadelle.com Citadelle de Besançon DoubsTourisme @bourgognefranchecomtetourisme @naturalium #naturalium #biodiversité #durable #écologie #citadelledebesancon #Besançon #franchecomtetourisme #bourgognefranchecomte #doubs #francetourisme #ExploreFrance #communicationdigitale #Vauban #UNESCO #dansetourisme #marketingdigital #brandcontent #perspective #architecturemilitaire

--> Voici le premier opus d'un nouvelle saga : "A song of Plants and Flowers" destinée à présenter de manière ludique les principales familles botaniques de France ! Librement inspirée d'une série fameuse. Et pour commencer, je laisse la parole à Lord Grass of House Gramin, Warden of Mesopotamia and protector of the Plains " Sur les vastes prairies où courent le vent et les chevaux sauvages, dans les toundras arides, les steppes ou les savanes. Là où l’arbre ne trouve assez d’eau pour ancrer ses racines, là où les autres plantes s’inclinent sous le froid, la sécheresse ou les sabots des bêtes, là est notre royaume, celui des Graminées.  Enfin je simplifie, car en réalité, la Maison Gramin est présente absolument partout, de l’antarctique aux tropiques, des dunes côtières aux sommets montagneux. Notre histoire est glorieuse et raconte l’une des plus grandes réussites du règne végétal. Notre lignée qui prend racine vers la fin du crétacé il y a 90 Millions d’années, quelque part dans les jungles luxuriantes du Gondwana. d’abord modeste, notre progression devient exponentielle lors de 40 derniers Ma. Aujourd’hui, on compte environ 12 000 espèces de Graminées partout à travers le monde et l’on estime que 40% des surfaces émergées sont des écosystèmes dominées par nos représentants ! Les raisons de ce succès ? Cela pourrait vous étonner car en apparence, nous paraissons humbles et sans relief. Ne cherchez pas chez nous de spectaculaires floraisons ; c’est seulement notre allié, le vent qui nous unit et permet notre accroissement. Ne cherchez pas non plus des troncs noueux et des hauteurs vertigineuses ; en dehors de bambous et certaines cannes, nous restons assujettis aux strates basses du couvert végétal. Chez nous, l’humilité est une vertu... La suite en commentaire ! Devise « Ferre praevalere » : Endurer pour triompher