Chers lecteurs, chère famille, chers amis, Vous avez été tellement efficaces, disponibles et généreux que l'objectif de 100% de préventes a été dépassé en à peine un mois. Mais l'aventure ne s'arrête pas là, car mon éditeur me dit: pourquoi ne pas tenter les 150%, ce qui permettrait de diffuser mon livre dans au moins 1000 librairies en France, (tout en précisant que cette proposition est formulée uniquement pour les livres dont la campagne est dynamique et dont le potentiel de diffusion est sensiblement supérieur aux autres); un résultat inespéré pour moi, même si je ne suis plus un débutant absolu. Alors ne m'abandonnez pas en si bon chemin. Pour ceux qui hésitent encore, la campagne de prévente et de promotion attend votre déclic sur ce lien : https://lnkd.in/eYmFiCfP Pour les autres, je vous demande donc encore un peu de patience. Comme d'habitude, vous trouverez ci-dessous un extrait de mon livre: J’ai constaté depuis quelque temps que de nombreux visages pâles étaient atteints d’une maladie d’autant plus grave, qu’elle semble contagieuse ; figurez- vous qu’elle les conduit à s’habiller comme un croque-mort, et qu’elle affecte principalement ceux qui se considèrent comme des leaders d’opinion. Bien entendu, je ne vous parle que des hommes, parce que je ne suis pas (encore ?) suffisamment au fait de la mode féminine pour pouvoir juger si les femmes pourraient être véritablement aptes à porter la couleur ; croyez bien que je déplore cette ignorance.
Post de Didier Veller
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Ma fille de 7 ans a fait son 1er geste citoyen: Elle a participé au dépouillement des urnes dimanche. Et ça débouche sur des discussions inattendues. Ce que je veux pour elle: prendre des décisions éclairées, se faire sa propre opinion. Bien évidemment, ceci est conditionné par ce qu'elle vit au quotidien. Ce que je lui transmets de façon consciente ou pas. Par ex: mes opinions sur la nationalité (droit du sol, droit du sang...) Mon rapport à l'immigration, les religions, l'économie. Comment, alors, lui donner des infos neutres? D'autant plus, que comme tout enfant, elle cherche de la reconnaissance (donc mon approbation). Voici ce que je fais: 1. Je lui ai proposée de lire les programmes des candidats et de les vulgariser 2. Je lui demande ce qu'elle en pense 3. On fait des recherches ensemble sur le fonctionnement de la politique en France 4. Je lui laisse du temps Je n'ai pas de résultat à te partager aujourd'hui. Juste un constat Ce n'est pas chose aisée de parler politique à un enfant de 7 ans. Encore moins quand: - tu es née Française par droit du sol et du sang - ta mère (moi) est née Française par droit du sang et à l'étranger 🇩🇪 - ton père est né 🇮🇳 et s'est fait naturalisé 🇫🇷 Et en même temps, c'est l'occasion de lui parler: - colonialisation - immigration - "vivre ensemble" (qui est, selon moi, la thématique qui va être au centre des prochaines élections) Tout cela avec détachement et légèreté. On va éviter les embrouilles à table, hein! ------------------------------------ Si, c'est la 1ère fois que tu me découvres, Moi, c'est Favzia Maman solo active Récemment à Marseille Hôte du show "Tes 24h suffisent" (d'ailleurs, je vais préparer la saison 3)
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Qui prétend être français sans prendre position. Oui c'est un remix non officiel et personnel d'une punch Line récurrente de Youssoupha. À 48 heures du vote pour les législatives du 30 juin 2024, je ne vous donnerai aucun conseil de vote. Vous êtes des adultes que j'espère responsable. Je voulais partager juste quelques petites astuces pour faire le meilleur choix possible sans sentiment de revanche ou de vengeance. En premier, penser à nos enfants. Pour ma part j'ai une jeune ado à la maison et je souhaite qu'elle puisse partager sa vie avec la personne qu'elle aime quelques soit son genre, son origine et ses croyances. Mais également qu'elle puisse s'émanciper en tant que femme par le corps et l'esprit. En second, l'écologie n'est pas un concept pour les prochaines générations. Ni pour la nôtre d'ailleurs. Il suffit d'ouvrir les yeux et de ne pas détourner le regard. Pour moi, c'est une guerre a mener dont l'ennemi est simplement les habitudes de notre société de consommation. Mais changer, c'est aussi, créer, rénover et construire dont le résultat sera du travail dans notre pays et des retombées économiques. En troisième, la culture n'est pas un gros mot. Elle nourrit et ouvre les esprits. Elle est aussi utile que nos services de santé et de l'éducation. Pour moi, ceux sont eux qui vont principalement accompagner ma fille dans ses prochaines années. En quatrième, l'économie française ne peut fonctionner sans l'immigration. Car on doit le dire, il y a un grand nombre de postes que les français ne veulent pas prendre. Et puis proclamer "C'est moi qui choisis les personnes pour faire les besognes les plus ingrates. Wau moment où je le décide. Au montant que je décide et sans protection sociale pendant plusieurs années " ... Ça ressemble un peu à un marché d'esclaves non?! Et dernière astuce, ne pas oublier. Ça fait plus de 20 ans que je suis dans le monde du travail (bâtiment et expertise). Les anciens et l'expérience terrain m'ont appris que toute construction solide doit s'appuyer sur de bonnes fondations. Et il faut le dire ... Il y a un partie politique majeur dont les fondations sont anciennes et dégueulasses. ------ Je poste cela sur mon seul réseau social et je le fais sans haine envers qui que ce soit. Il faut se rappeler que quelque soit les résultats, nous vivrons ensemble. Bien à vous 💚💛❤️
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La finesse de humour belge à son apogée. 🇧🇪 🤣 Petite dédicace à l'équipe We Invest France 🇫🇷 Le message de Bernard Demonty, journaliste politique de Le Soir 🗞 aux français suite aux résultats des élections est hilarant ! En voilà une plume 🖋 bien belge: de l'autodérision. Je vous laisse savourez 😋 chacune des références. "Françaises, Français, vous savez que quand la situation est délicate, vous pouvez compter sur vos amis belges, comme vous dites. Et pas seulement quand il s’agit de mettre des autogoals pour vous faire plaisir. Il nous revient ce soir que vous souhaitez vous aussi entrer dans le monde enchanteur des régimes de coalitions. Pas simple, mais voici quelques règles et usages à l’attention des marieurs débutants, on a de l’expérience. Restez zen. Sachez qu’au début, personne ne voudra gouverner ensemble. En campagne, vous l’avez vu, ils se sont copieusement insultés, détestés, ont prononcé des « jamais » des « c’est eux ou nous » tellement définitifs. Cela ne doit pas vous effrayer. Sachez qu’en général, ce qui est vrai le samedi avant les élections ne l’est plus le lundi d’après, c’était pour rire. Commencez petit. On sait votre tendance à la grandiloquence, mais on ne devient pas belge du premier coup. Idéalement, commencez par de petites coalitions, genre deux ou trois partis. Le record du monde, que nous détenons évidemment, est fixé à sept, mais ça pose d’autres problèmes. (…) Trouvez un château. Pour donner à votre coalition toutes ses chances, formez-la plutôt dans un château, ça fait genre. Nous vous prêtons volontiers Val Duchesse ou le Stuyvenberg mais nous ne doutons pas que vous pourriez en trouver un plus beau près de Paris, à moins de pousser jusqu’à la Loire, il y en a de jolis. Comptez les jours. Il n’y a pas de bonne coalition sans dramatisation. Quand les discussions traînent un peu trop, apprenez à compter les jours ou demandez à la presse de le faire. Vous pouvez monter au moins jusqu’à 541, ça fait un peu peur au début mais ça finit toujours par s’arranger. Trouvez un arbitre. Enfin, et c’est sûrement le point le plus délicat, pour rapprocher les points de vue, nous possédons une sorte d’arbitre qu’on appelle Roi. Il peut nommer toute une série de professionnels de la médiation, informateur, préformateur, clarificateur, entremetteur, acuponcteur, assouplisseur, tout votre Larousse est à disposition pour masser les plus réfractaires. D’accord, on sait que pour des raisons qui seraient trop longues à expliquer vous n’adorez plus les monarques, mais parfois ça peut aider. Si rien de tout cela ne fonctionne, en dernier recours, on menace souvent, en Belgique francophone, de se rattacher à la France. Essayez dans l’autre sens, ça pourrait faire très peur. Bonne chance." #politique #election2024 #france #belgique #lesoir #humour
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C'EST L' EDITO Du journal El Moudjahid, le journaliste fait une analyse spéculative parcequ'il ne se base sur aucune statistique. Juger de l'engouement des citoyens pour la chose publique, pour la chose politique par la présence des foules dans les meetings est un raccourci, parceque lui même doit sûrement savoir comment les foules se construisent. En juger par l'existence d'associations, je rappelle qu'elles ont toujours existé même si c'est sous d'autres formes ou sur d'autres objectifs, donc l'argumentaire n'est pas solide. Pense t-il qu'elles activent avec les cotisations de leurs membres et des dons ou de l'argent que fournit l'état? Donc comment prétendre que subitement le citoyen s'est intéressé à la chose politique quand la formation à la chose publique n'existe pas, quand le débat sur la chose publique et le débat politique n'existent pas. Si j'étais journaliste au journal El Moudjahid, je n'aurais pas osé écrire cet edito après avoir suivi et écouter le niveau des discours politiques. D'ailleurs je n'ai pas entendu une seule fois les prétendants et leurs représentants parler politique. Comment prétendre qu'il y a engouement pour la chose politique quand le système éducatif est défaillant, quand la presse toute la presse c'est des titres sans contenu. Comment prétendre que le citoyen s'intéresse subitement à la chose politique parceque une certaine "elite" intellectuelle s'est fortement investie dans les soutiens. elle faisait bcp plus de la propagande quand ses arguments ressemblent au contenu du rapport fait par le CNESE pour l'occasion. N'a t-il pas réalisé que même la rhétorique et le vocabulaire sont d'un niveau trop bas, à un point où ça m'a semblé regarder des Gourous face à des apôtres, les uns font des promesses de dons et demandent soumissions, les autres se prosternent en guise de remerciement. Ce qui a manqué c'est des promesses sur la pluviometrie durant les 05 ans. Dans la société, il n'y a pas encore un engouement à la chose publique ou politique, la lame de fond de l'éveil c'est la forte dégradation des conditions sociales, la perte aigue du pouvoir d'achat, une société qui se réveille dans tous ses états parceque trompé plusieurs fois. La lame de fond du Hirak même silencieux et toujours présente, la dégradation sociale des années à venir auquelle peut etre le journaliste n'y croit pas l'aiguisera assez bien.
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Dernier billet chemin étoilé " L'enjeu pour la France en Kanaky-Nouvelle-Calédonie n'est pas de réussir sa décolonisation, mais de renouveler sa domination. Ça n'est pas tout à fait la même chose, pour arriver à cette observation, encore, faut-il ressentir la virulence du projet impérialiste dans sa chair et dans son cœur meurtri, bercé d'illusions. Celles que la République française nous a chanté depuis notre tendre enfance à grand coup de devises républicaines. Ces fameuses valeurs qui n'ont d'aplomb que sur le front de certaines bâtisses. Où le mépris se hisse pour surplomber ceux qui ont vocation à courber l'échine. Quand j'entend sur les plateaux T.V des intellectuels de salon qui chamboulent de manière anecdotique un discours pré-établi. Je me dit que ces gens ne me représentent pas et ne parlent pas en mon nom. Car quand on a un nom qui suscite le mépris, il y a des mots qui ne sont pas assez grands pour peser un poids insoutenable. Des maux qui font office de normes, sensiblement dans un espace médiatico-politique. Où il n'y a que les personnes non-racisées qui sont invitées de manière quotidienne pour exprimer, si ce n'est extrapoler, leurs souffrances. Pour le dire autrement, il n'y a que les peurs " blanches " qui sont relayées en masse. Quand le reste des souffrances et les couleurs par lesquelles elles sont portées, sombrent dans l'oubli. J'en prends pour preuve que si la Kanaky-Nouvelle-Calédonie ne comptait pas autant d'expatriés, ça ne dérangerait pas grand monde que des insulaires s'entretuent, comme c'est le cas, par exemple, depuis ces dernières années, à Haïti. Dans une société qui n'a pas pour réel projet d'unir ni de se pencher sur les inégalités. Le fait est que ces inégalités sont savamment orchestrées pour marquer par une main de maître ceux dont les origines renvoient aux colonies. Ceux-là doivent se contenter de leur sort, en se disant notamment qu'ils sont du bon côté de la frontière. Ceux-là doivent remercier l'Occident de tolérer leurs présences, voire le flatter dans ses morales indépassables. Quand l'Occident prétend avoir éclairé le monde. Alors que nous autres peuplades, les seules lumières que nous avons perçues sont celles des fusils et des canons. Emmanuel Macron, en récente visite en Kanaky-Nouvelle-Calédonie, ferait bien de se rappeler que nous, autres îliens du Pacifique, sommes un peuple millénaire. Nous connaissons le vrai danger, celui qui est en haute mer, depuis plus rien ne nous fait peur ! Nous avons traversé les siècles et les tempêtes, guidés par les étoiles. Et, en cela aucun empire ni aucune civilisation ne nous détournera d'elles. "
Chemin étoilé
blogs.mediapart.fr
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La bêtise française devrait être brevetée. Plus je vieillis et plus je constate l’extrême pertinence de nos politiques, de notre médecine, de notre police, de notre éducation nationale, de notre administration et j’en passe. Comme le contenu actuel de l’assemblée, par exemple. Vous allez me dire que le phénomène n’est probablement pas unique, que d’autres pays du monde sont certainement tout aussi con que notre belle et pertinente république peut l’être, mais quand même, je persiste à croire que dans la catégorie de l’absurde, nul besoin d’organiser un concours international : la France serait gagnante. Et sur plusieurs décennies. J’ai aimé mon pays, mais aujourd’hui je ne pense plus qu’à en partir. Depuis 2002, date de mes premiers doutes sérieux sur le sujet, c’est une course effrénée vers le chaos que je vois lancée. En une vingtaine d’années nous sommes arrivés à un point de non retour, ce pays finira par imploser totalement ou par se faire raser de près. Cependant, je dois reconnaître une chose : l’Europe et ses petites étoiles, c’est encore pire que le reste. C’est presque plus dangereux que le wokisme et la gauche réunie dans le même plumard. Quant à ces 7 dernières années passées sous gouvernance petainiste (et ce n’est pas fini, un jour l’article 16 prolongera la souffrance au-delà de tout calendrier électoral), je vous laisse deviner ce que j’en pense. Bref tout cela pour dire qu’à force de tirer le diable par la queue : il s’excite. Sur ce, je vous laisse, je vais réviser ✍️ mon russe : ce sera utile pour faire du marché noir après la bataille.
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REUSSITE: Malgré les polémiques, qui reviendront forcément à la rentrée, ces JO furent une véritable réussite, car ces valeurs de fraternité, d'humanisme de joie et d'effort étaient bien présentes. C'est vrai que la France à cette capacité d'organisation et de dévouement (45000 bénévoles), car il est évident lorsque l'on cesse les palabres médiatiques et politiques et que la France qui bosse est au rendez vous, entre le taf d'organisation, la technique, les compétences, La France montre ce qu'elle sait faire, preuve ultime que la théorie doit toujours être suivie par la mise en pratique. Par contre je ne me fais pas d'illusion quand à la récupération médiatiques des élites centrées sur leur petit moi. Bravo pour cette réussite, car ce n'était pas gagné. Preuve en est qu'il est nécessaire que les blas blas médiatiques s'arrêtent pour véhiculer les valeurs Françaises et universelles de coeur et d'amour que nos médias n'ont cesser de masquer depuis beaucoup trop de temps. La rentrée va être dure, c'est sûr, mais cette parenthèse a reboosté le moral des Français et du monde. Restons réalistes et avec du recul, car Il y a toujours des morts en Palestine et en Ukraine. Mais alors? Qu'attendons nous pour réaliser dans le concret ces valeurs d'humanisme, d'amour, de fraternités, non pas pour 15 jours mais 24h/24 dans notre vie. Car ceci est un choix et une responsabilité individuelle. Nous sommes bien la nation où ont été rédigé les droits de l'homme. ET Quoi que l'on dise NOUS SOMMES UN sur cette planète, seuls les ignorants déconnectés de la vie et du vivant prétendent le contraire. Mais dès que l'on élève sa conscience, cela ne fait aucun doute. O MITAKUYE OYASIN (nous sommes tous reliés en Sioux Lakota)
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La restitution des travaux, en fin de matinée, met en avant plusieurs solutions. « Travailler sur les inégalités », « faire revenir les jeunes », « s’engager en politique ou dans l’associatif », « ne pas rester figé sur le passé », « sortir du statut de victime », « définir la place de la jeunesse dans la société », « discuter avec les chefferies », « valoriser les savoir-faire et les richesses de la Nouvelle-Calédonie », « lever le voile des non-dits », « contrôler la vie publique », etc. Autant d’idées que l’UPJC, ouverte « à tous ceux qui se sentent concernés », compte promouvoir pour porter la voix des jeunes. Les participants sont déterminés. Lari Sioremu ira chercher sa place. « On a un héritage ici, la terre m’attache ici, tout m’attache ici, je ne peux aller nulle part. On ne va pas se laisser abattre. » Qätrene Juni, coorganisatrice de l’événement, conseille de commencer par sa vie, son entourage. « Faire différemment chez soi pour transformer la société petit à petit, retrace celle qui confectionne des éponge écologiques en fibres naturelles, un projet qui me ressemble et reflète mes aspirations. » Un prérequis a cependant émergé lors de la rencontre. Et la proposition a fait l’unanimité. La demande « d’un geste fort de l’État, un geste de pardon, de réconciliation envers toutes les communautés qui composent la Nouvelle-Calédonie, développe Vaïnui Yakobo. Il faut fermer correctement la page de tous les traumatismes pour avancer, c’est le chemin de la guérison. Les anciens ont souffert de la colonisation, qui a encore des conséquences, et on ne veut pas que ça se reproduise. » Pour ainsi laisser sa place à cette génération. Parce que, « c’est nous l’avenir du pays ». https://lnkd.in/gNhQwBcU
[DOSSIER] « On a le pouvoir de changer les choses »
https://www.dnc.nc
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L’incompétence malsaine doublée d’une inconséquence perverse des gestionnaires gouvernementaux amènent la France vers un chaos démoniaque. Diriger un pays s’affirme par une règle de base essentielle : fixer un cap atteignable avec un consensus populaire le plus large possible, encadré par des institutions raisonnables respectant nos valeurs fondamentales éternelles, en tenant compte de trois principes inaliénables : - D’abord offrir une réponse aux problèmes actuels urgents avec une préparation en amont réaliste offrant des solutions de bon sens et raisonnables (pour leurs réalisations et leurs conséquences) afin de faire face aux scénarios les plus probables. Se préparer au pire permet de faire facilement face à l’imprévisible ; - Ensuite agir dans l’intérêt collectif, par des mesures plébiscitées par la majorité de nos compatriotes, en conformité avec nos principes fondamentaux d’amour de notre prochain, d’humanité, de justice, de démocratie vraie (sans trahison, marqueur des politiciens corrompus aux intérêts étrangers depuis cinquante ans) avec le respect des valeurs éternelles de la France, nos mœurs, coutumes, traditions, culture et identité ; - Enfin déterminer, avec les Français, un régime d’harmonie leur offrant la possibilité de s’exprimer réellement par une gouvernance réelle au plus proche de leurs territoires et de leurs préoccupations. Un régime encadré bien sûr par des règles de droit sans interprétation possible au gré des modes et des fanatismes ou des bien-pensances convenues et psycho-sectaires du moment. L’amour doit guider toute action. Le seul horizon vers lequel se rendre n’est pas celui des haineux de la France et des Français, celui de ceux qui n’aiment pas la France et les Français et de leur alliance commune abominable… Le cap à atteindre se caractérise par le bonheur, la joie de partager l’amour, le bien commun, la prédilection pour les plus fragiles, vivre en sécurité avec nos familles, dans des logements décents, en dégustant des denrées issues de nos terroirs. En y ajoutant des moments de convivialité par l’accès aux distractions artistiques, médiatiques et sportives. Avec une instruction publique à la hauteur des capacités de chacun afin de s’épanouir pleinement. Soutenons ceux qui aiment la France et les Français… Puis viendra le temps de se mobiliser pour un accès mérité au bonheur collectif dans le respect de la dignité de nos compatriotes.
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Quand on prend un grand chaudron et qu’on mélange démagogie, clientélisme et incompétence ça donne : Marseille en Grand. La Cour des Comptes vient de pourfendre, avec la douceur des mots choisis de ceux qui savent le faire avec une plume, le mal-nommé « plan » Marseille en Grand. Ou quand l’expression « rien ne va » suffirait à résumer une action politique dénuée de réflexion, de prise en compte du terrain et d’analyse réfléchie des besoins. Quand on était marseillais en 2021 on savait, en voyant notamment les gesticulations et la « qualité » de certains acteurs qui s’écharpaient pour obtenir le droit à quelques centaines de milliers d’euros pour transformer des « jeunes de QPV » en entrepreneur de la "start-up nation", que le fruit était gâté. Ces mêmes structures qui quelques mois après payaient des influenceurs pour attirer les « jeunes » en question. Incapables d’attirer avec du vide les profils finalement bien plus pragmatiques (et rares) que prévu. Le pudding indigeste tient en 155 pages de la Cour des Comptes. 155 pages qui font honte à notre ville, insultent ceux qui y travaillent et œuvrent avec sincérité et volonté de construire autre chose que ce qu’elles décrivent. 155 pages qui nous rappellent que nous avons une classe politique, de tout bord, incapable d’avancer ensemble pour le bien être de TOUS leurs administrés. 155 pages qui écœurent. Et après ? Ceux qui ont profité des largesses présidentielles pour des résultats proche du zéro absolu vont ils rendre des comptes ? Vont ils rendre l’argent ? N’y comptez pas ! Ils vont continuer à œuvrer dans des fauteuils en cuir ou des tiers-lieux désertés à vampiriser jusqu’à plus soif les deniers qui devraient revenir à d’autres. Ceux qui font. Ceux qui justement ne savent pas attirer cet argent si généreusement dilapidé. C’est pour eux qu’il faut continuer à croire qu’on peut faire autrement. Qu’au lieu de tout voir « en Grand » on peut voir en mieux. Et vu là où nous en sommes ce serait déjà pas mal … P.S. [ajout du 23 octobre] : évidemment toutes les structures (une quarantaine) ayant bénéficié des subsides sur le volet entrepreunarial ne sont pas concernées par le propos, d’où l’usage du terme « certains ». Cependant, pour celles qui croiraient se reconnaître, comme on dit : qui se sent morveux se mouche. Ville de Marseille Métropole Aix-Marseille-Provence
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