Ce sont bien les citoyens des USA qui vont choisir leur Président dans quelques jours. Personnellement j’espère que la personne qui sera élue apportera la paix dans ce monde en folie, une paix armée certes, mais une paix qui évitera l’apocalypse. C’est ce que j’ai toujours défendu et j’espère que les apprentis sorciers qui gouvernent en ce moment seront empêchés de nuire. La conquête spatiale sera forcément un challenge pour l’avenir de l’Humanité. Il faudra éviter de découper la Lune et Mars en tranches pour ne pas reproduire les conflits territoriaux terrestres. Il faudrait d’abord s’entendre pour l’exploration et l’exploitation des océans et des régions polaires, aussi bien l’Artique que l’Antartique… 🙏 Retour sur la Lune, soutien de Buzz Aldrin, liens avec Elon Musk ... Pourquoi Donald Trump mise sur le rêve spatial américain https://lnkd.in/eekWiMbZ
Post de Docteur Olivier BADELON
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L’avenir de l’humanité se trouverait à quelques millions de kilomètres, sur une planète inhabitable et aride. Le futur de l’industrie lourde et polluante se situerait dans l’espace. Ou bien encore, le tournant écologique passerait par un voyage touristique en orbite. Tels sont les fantasmes du secteur spatial, nourris par les grandes figures de « l’astrocapitalisme » (Elon Musk et autres magnats). Ils prospèrent au sein du New Space, ce slogan aux allures de nouvelle ère dans laquelle le secteur privé porterait désormais la conquête spatiale, en opposition aux agences publiques, accusées d’être politiques et bureaucratiques. Cette modalité de la « conquête spatiale », associant les rêves du marché à ceux de Prométhée, n’est ni anodine, ni le fruit du hasard : elle résulte d’une industrie et d’une idéologie spatiale cohérente dont Irénée Régnauld, chercheur associé à l’université de technologie de Compiègne, et Arnaud Saint-Martin, sociologue, retracent la construction dans Une histoire de la conquête spatiale, ouvrage dense et bienvenu paru en janvier 2024. Recension.
La conquête spatiale : ultime fantasme du capitalisme ? L’avenir de l’humanité se trouverait à quelques millions de kilomètres, sur une planète inhabitable et aride. Le futur de l’industrie lourde et polluante se situerait dans l’espace. Ou bien encore, le tournant écologique passerait par un voyage touristique en orbite. Tels sont les fantasmes du secteur spatial, nourris par les grandes figures de « l’astrocapitalisme » (Elon Musk et autres magnats). Ils prospèrent au sein du New Space, ce slogan… Par R. Dan. https://lnkd.in/eBdgy8Va
La conquête spatiale : ultime fantasme du capitalisme ?
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IMAGE | Il y a 55 ans aujourd'hui, l'Amérique fascinait le monde entier lorsque Neil Armstrong posa le premier pas de l'Homme sur la Lune. Cet événement, point culminant d'un programme spatial de dix ans, dépassait largement une simple prouesse technologique. Il incarnait une démonstration éclatante de la suprématie scientifique et du leadership mondial des États-Unis, en plein cœur de la guerre froide. Le programme Apollo, avec sa dimension stratégique, constituait une opération de prestige visant à surpasser l'Union soviétique et à consolider l'image de puissance des États-Unis sur la scène internationale. Il est intéressant de souligner que le succès des missions spatiales précédant Apollo 11 reposait, entre autres, sur la présence... d'une simple caméra vidéo. Les images en direct, diffusées à travers le monde, avaient un impact inégalé, contribuant à une médiatisation sans précédent. Les Américains, pleinement conscients de l'importance de la perception publique, devaient démontrer leurs réussites en temps réel. La mission Apollo 11 fut ainsi un triomphe médiatique (malgré l'ignorance délibérée de la presse et de la radio chinoises). Le premier voyage de l'homme sur la Lune reste, à ce jour, l'un des événements les plus emblématiques pour l'histoire et l'image des États-Unis. Il a engendré des avancées technologiques majeures, conférant aux Américains une avance considérable dans un domaine alors en pleine expansion. Les répercussions de cet exploit, notamment en terme de prestige international, perdurent encore aujourd'hui. De plus, cet exploit a eu un effet psychologique puissant, suscitant admiration et fierté dans une époque marquée par les assassinats de figures emblématiques (John F. Kennedy, son frère Robert, Martin Luther King) et la guerre du Vietnam. En somme, cette prouesse, sans doute la plus grande de l'histoire, symbolise une époque, certes, et se doit d’être rappelée. Particulièrement en cette période trouble que traversent actuellement nos voisins du sud, où les leçons de l'histoire et les symboles de l'unité nationale revêtent une importance renouvelée. 🚀
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QUEL REGARD DE L'EXTREME GAUCHE SUR LE NEW SPACE? Il est toujours intéressant de se cultiver et de regarder ailleurs ce que l'on pense du New Space. Et l'article ci-dessous rédigé par Lutte Ouvrière, mouvement d'extrême gauche, révolutionnaire et trotskiste, est intéressant à lire. On y trouve un fond historique à peu près correct et des analyses anticapitalistes assez attendues. Parfois des contradictions. Difficile de contester - à juste titre - les marges excessives du conglomérat militaro-industriel américain et en même temps la stratégie d'un nouvel entrant comme SpaceX qui justement s'attaque à cette dimension pour rendre l'activité spatiale à son "juste prix". Difficile de constater la réalité, à savoir un programme de Navette trop lourd (rappelons que le programme qui visait 50 lancements par an n'en fit difficilement qu'un dixième...), trop coûteux, et peu fiable, et en même temps critiquer un New Space qui a éliminé ces handicaps, on peut maintenant le dire... Mais le plus intéressant encore, c'est la conclusion qui déplore que le nouveau spatial ne soit pas utilisé pour combattre le réchauffement climatique... Et là, une certaine qualité d'information d'un tel article s'écroule évidemment quand on sait comment le nouveau spatial est l'arme privilégiée pour mesurer les dégâts écologiques au plan mondial, dans l'atmosphère, sur Terre et dans les mers... LO devrait venir aux Assises de la nouvelle économie spatiale les 8-9 juillet prochains! Dernier point plus positif celui-là, l'article rappelle dans sa conclusion qu'il est plus souhaitable que les enfants rêvent d'explorer Mars ou Saturne que de Yachts de milliardaires... Sur ce point nous sommes d'accord. Il fallait bien retomber sur les fondamentaux marxistes... Et c'est quand même mieux que de vouloir empêcher les enfants de rêver d'aérien ou d'espace comme l'avait souhaité la Maire écologiste radicale de Poitiers qui avait supprimé les subventions d'une association dans le domaine. Bonne lecture! @newspace LUTTE OUVRIERE
Le New Space, course à la suprématie spatiale et capitalisme sénile
lutte-ouvriere.org
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Les militaires intéressés par les ressources lunaires ? 🌖 Vous avez bien lu : l’article 4 du traité de l’espace garantissant l’exploration et l’utilisation de la Lune à des fins pacifiques pourrait avoir du souci à se faire ! Passé sous les radars, l’organisme en charge des projets futurs du département de la défense des États-Unis, la DARPA, a signé en décembre dernier un contrat avec Sierra Space pour le développement de leur technologie d’extraction d’oxygène du régolithe lunaire. Mais alors, pourquoi la défense américaine s’intéresse-t-elle à l’oxygène sur la Lune ? L’oxygène n’est ni une arme, ni utile pour en fabriquer, et il ne sert pas non plus à faire du renseignement. Bien qu’ils n’aient bien sûr pas communiqué sur la raison exacte de cet intérêt, voici selon moi les deux principales explications : - L’oxygène, présent en abondance sur toute la surface lunaire dans le régolithe, est utilisé comme comburant dans la plupart des engins spatiaux. Il sera donc l’élément clé de la logistique lunaire. « Les amateurs discutent tactique : les professionnels discutent logistique », disait Napoléon. - L’oxygène ne sert pas seulement à faire du carburant. Il permet également aux astronautes, civils comme militaires, de respirer et peut alimenter des piles à combustible régénératives qui produiront demain de l’énergie sur la Lune. Alors, quelle stratégie adopter en France et en Europe ? Imiter les Américains pour ne pas laisser l’écart stratégique se creuser, ou prendre le risque d’être les seuls à respecter le traité de l’espace ? Il n’y a, à mon sens, pas de bonne réponse à cette question. Cependant, la décision prise influencera la géopolitique spatiale durant des décennies, voire des siècles. Et la stratégie de l’autruche, consistant à ne prendre aucune décision, est sans doute la pire à suivre !
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Bonjour à tous, Dans ce court article du jour, fait avec la participation de Monsieur Gérard BRUCK, bloggeur émérite sur LinkedIn, je souhaitais vous parler de la conquête spatiale. Cette dernière, longtemps délaissée en raison de son coût faramineux, revient de plus en plus dans l'actualité. L’intérêt pour la conquête spatiale n’est pas uniquement scientifique, il est également motivé par les enjeux géopolitiques. Pendant la Guerre Froide, les Etats-Unis et l’URSS s’étaient engagés dans une course folle à l’espace. La Russie a d’abord dominé les Etats-Unis en envoyant, en 1957, dans l’espace un satellite artificiel, Spoutnik 1, mais les Etats-Unis ont répondu en créant la NASA en 1958. La Lune était au cœur des préoccupations. C’est ainsi qu’en 1969, Neil Armstrong et Buzz Aldrin furent les premiers hommes à marcher sur la Lune. Suite à cela, les Etats-Unis sortirent victorieux de cette course à l’espace, et furent admirés à travers le monde entier. Désormais, le retour de l’intérêt américain pour la Lune provient de la rivalité avec la Chine. Le pays a planifié d’envoyer des humains sur la Lune à l’horizon 2030, montrant qu’elle est capable de rivaliser avec le géant américain dans le domaine du soft power. Dans ce domaine, si le budget alloué par la Chine (8,4 milliards de dollars en 2017) reste inférieur à celui des Etats-Unis (48 milliards de dollars en 2017), il reste supérieur à celui de la Russie (3 milliards de dollars en 2017). La rivalité avec les Etats-Unis se joue plus particulièrement sur le plan militaire à court terme et sur l’exploitation des ressources spatiales à long terme. De plus, la conquête de l’espace a un impact environnemental fort. Qu’il s’agisse de la construction d’une fusée ou du CO2 rejeté, les voyages spatiaux sont très polluants. En seulement 10 minutes de vol, une fusée rejette l’équivalent de 6 ans d’émissions de CO2 d’une seule personne. De plus, de nombreux déchets finissent dans l’espace, ce qui fait d’elle une poubelle géante. Enfin, l’opinion publique n’est plus émerveillée par ces conquêtes, elle rêve de plus grand, ce qui signifie que l’espace n’est plus nécessairement un outil de soft power efficace. Face à ces nouveaux enjeux et difficultés de la conquête spatiale, de nombreux acteurs privés sont en train d’émerger. On peut citer en exemple Space X, qui est la première entreprise privée à se voir confier des missions par la NASA. Elle a été sélectionnée par l’agence américaine pour effectuer les prochains voyages sur la Lune. En effet, le nouveau lanceur Ariane 6 n’est pas encore opérationnel, alors la NASA s’est tournée vers Space X, avec ces lanceurs Falcon Heavy et Falcon 9. On peut donc dire que ce retour au premier plan illustre le fait que la conquête spatiale est devenue un espace entre enjeux politiques, scientifiques et privés.
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« C'est un petit pas pour l'homme, un pas de géant pour l'humanité. » 👨🚀 L'occasion de sortir cette phrase du placard avec l'annonce du programme spatiale Artémis ! 🚀 Mais est-ce réellement révolution technologique ambitieuse ou un problème en plus pour notre planète ? Depuis toujours, l’exploration spatiale est un sujet qui suscite une forte concurrence entre les différentes nations du monde. En effet, les Etats-Unis et l’URSS ont été les premiers concernés. 🌟 Désormais, on parle davantage d’un conflit Chine / Etats-Unis dissimulé à travers le programme Artémis. Celui-ci, en écho au programme Apollon, témoigne des rivalités de longue date entre ces deux puissances, aujourd'hui pour atteindre la Lune. 🌙 Malgré cela, on ne peut nier le fait que l’objectif final, c’est-à-dire la possibilité d'aller sur mars, va grandement participer à la pollution de notre planète déjà bien corrompue. Car oui, on vise la Lune mais pour ensuite se diriger vers la planète rouge! 🌌 Le projet représente de grands espoirs comme il engendre par la même occasion d'importants enjeux. Il y a cependant des points moins réjouissants, notamment la pollution engendrée par les fusées, satellites et autres objets restés coincés en orbite autour de notre planète, créant une cage autour de nous. 🛰️ Et vous, qu'en pensez-vous de cette histoire qui nous amène dans les étoiles? J'attend avec impatience votre avis pour en discuter ensemble ! #fusée #étoiles #lune
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La guerre des étoiles Jadis, l’exploration de l’espace était sous le monopole des États. Mais depuis quelques années, les acteurs de la Tech s’y sont mis à leur tour, avec un succès phénoménal. Jeff Bezos et Richard Branson viennent de s’envoler dans l’espace. Elon Musk qui y a déjà lancé des milliers de satellites prévoit d’y envoyer des touristes prochainement. Après la terre, vont-ils coloniser le cosmos ? Jeff Bezos n’est pas du genre à se laisser devancer. Quand la NASA a choisi Elon Musk et sa société SpaceX pour construire son prochain atterrisseur lunaire, le fondateur d’Amazon et de la société spatiale Blue Origin a tout de suite contre-attaqué. Il a porté plainte auprès du Government Accountability Office (GAO), l’équivalent outre-Atlantique de la Cour des comptes, ce qui a stoppé net les travaux de l’engin spatial du dirigeant de Tesla. Pas question de laisser ce rival s’envoler tout seul vers la Lune ! Les deux mastodontes de la Tech, qui se livrent aussi une guerre acharnée en basse orbite pour mettre en place leurs constellations de satellites, sont désormais à la merci de la décision d’une poignée de juges. Qui sera le grand gagnant ? Qu’il paraît révolu le temps où le cosmos était le terrain de jeu des gouvernements et des agences étatiques ! Aujourd’hui, c’est entre géants du privé que se joue l’exploration spatiale. Et, pour y décrocher leur place, les SpaceX, Blue Origin, Virgin Galactic (la société de Richard Branson) n’hésitent pas à multiplier les projets fous. Elles rêvent de développer le tourisme spatial, d’envoyer des humains sur Mars ou carrément d’établir des colonies dans l’espace… Il y a quelques années, les acteurs traditionnels de l’exploration de l’espace avaient souri avec condescendance lorsque le fondateur de Tesla leur avait déclaré : « Je m’appelle Elon Musk. Je suis le fondateur de SpaceX, et dans cinq ans vous serez tous morts ! » Mais désormais que ce dernier a réussi à envoyer des astronautes dans la Station spatiale internationale, plus personne ne se permet de rire... Certes, Elon Musk a largement bénéficié de ses contrats avec la NASA pour développer son activité, et, sans le soutien du secteur public, il n’en serait certainement pas là aujourd’hui. Mais la perspective de voir l’espace échapper totalement aux mains des États et devenir un terrain de jeu pour les rois de la Tech n’est désormais plus une utopie... #ie #intelligenceeconomique #Sénégal
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📺 Lundi - c'est le jour des Séries ! 📺 Si je vous dis "leader de la base lunaire Alpha", "prise de décisions sous pression", et "exploration spatiale", à qui pensez-vous ? 🌕 C'est bien sûr le Commandant John Koenig, le personnage principal de la série télévisée de science-fiction "Cosmos 1999". Interprété par Martin Landau, le Commandant Koenig est célèbre pour son leadership dans des situations extrêmement difficiles et imprévues. Dans la série, suite à une catastrophe nucléaire qui éjecte la Lune de l'orbite terrestre, il doit guider et protéger les résidents de la base lunaire Alpha, tout en explorant l'espace pour trouver un nouveau foyer. 🌕 Dans "Cosmos 1999", le Commandant Koenig se distingue par sa capacité à prendre des décisions difficiles, son courage et son engagement envers son équipage. Confronté à des défis sans précédent et à des rencontres extraterrestres, il incarne l'esprit d'exploration et de résilience face à l'inconnu. 🌕 Anecdote sur la série : "Cosmos 1999" s'est inspirée de plusieurs œuvres de science-fiction précédentes, notamment "2001, l'Odyssée de l'espace" de Stanley Kubrick pour son design et ses effets spéciaux. La série a également été influencée par le climat politique et scientifique des années 70, reflétant des préoccupations telles que la guerre froide et la course à l'espace. 🌕 "Alors, prêts à révéler le Commandant Koenig qui est en vous avec leadership, détermination et vision futuriste ?" 🌕 Et si pour commencer, vous exploriez de nouvelles compétences ou connaissances qui semblent hors de votre zone de confort, à l'image de l'équipage d'Alpha s'aventurant dans l'inconnu de l'espace ? -------------------------------------------- Je vous aide à vous sentir pleinement vivant, dans : ✅ 𝗔𝗽𝗽𝗿𝗲𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝘃𝗲 𝗜𝗻𝗾𝘂𝗶𝗿𝘆 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 : Accompagnement des leaders (femmes et hommes) pour maximiser leurs forces et celles de leur organisation ✅ 𝗣𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲 @𝗩𝗜𝗩𝗩𝗔𝗡𝗧 : pour les hommes qui se posent des questions et qui veulent être ou redevenir leaders et entrepreneurs de leur vie.. 👉 Suivez-moi et faites sonner la 🔔 sur mon profil ou ↔️ Connectez-vous avec moi. #CommandantKoenig #Cosmos1999 #LeadershipSpatial #Sérieculte
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🚀 L'Innovation qui Illumine notre Quête de Savoir 🌕✨ Aujourd'hui, nous célébrons deux jalons extraordinaires qui ont façonné notre monde moderne et notre compréhension de l'univers. 🌌 1966: Le ciel s'est ouvert à nous d'une manière inédite avec le lancement de Luna 10 par l'Union soviétique. Cette petite sonde, devenue la première à orbiter autour de la Lune, a marqué le début d'une ère nouvelle, nous rapprochant un peu plus des mystères de l'espace. 💻 1951: Sur Terre, une révolution de l'information prenait forme. L'UNIVAC I, le premier ordinateur commercial, était livré, transformant à jamais la manière dont nous traitons les données. Ce géant de métal et de circuits a pavé la voie à l'ère numérique, changeant le cours de l'histoire. Ces moments ne sont pas seulement des souvenirs du passé; ils sont des phares d'espoir et d'inspiration, nous rappelant que l'innovation et la curiosité sont les moteurs du progrès humain. 🌟 🔍 Alors que nous regardons vers les étoiles ou que nous faisons défiler les écrans, souvenons-nous des pas audacieux qui ont été franchis pour arriver ici. Et demandons-nous : Quelle sera ma contribution à l'histoire de l'innovation? Partagez vos pensées, vos idées, et inspirons-nous les uns les autres vers de nouvelles découvertes! 🚀💡
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On parle aussi #Espace au #PDSF et diversité des enjeux de puissance avec Isabelle Sourbes Verger CNRS - Centre national de la recherche scientifique, le Commandement de l’espace Philippe Adam, Stéphane Israël et LT Anne Maurin Centre d’études stratégiques aérospatiales-CESA. Jean-Loup Chretien nous rejoint par Visio. L’accès autonome à l’espace comme condition d accès à la puissance est traité par le président d’ARIANESPACE qui met en perspective historique l’ambition européenne en la matière #Ariane #Vega, la compétition accrue avec SpaceX, la fin brutale de la coopération avec les Russes avec #Soyouz au CSG qui élargissait la gamme de lanceurs. Vega C et Ariane 6 comme outils de souveraineté renouvelée. Avec un lancement A6 programmé pour mi-juin🤞si la revue de qualification le confirme le 19 mars. Consolider et accélérer, renforcer la cohésion européenne European Space Agency - ESA et les engagements politiques envers l’écosystème. La compétition sur les petits lanceurs invite à l’agilité. Faire émerger fusées des années 2030. Jean-Loup Chrétien présente la coopération spatiale comme incontournable. La prise d’altitude inspire et modifie perception du milieu. L’exploration est dans les gènes de l être humain pour assurer sa survie. Le vol habité survivra donc aux aléas de la politique. Sur le plan militaire, les activités spatiales doivent être protégées des différents risques en fonction de l’altitude et des modalités d’intervention. L’entraînement est un facteur clé pour être compétents et aguerris. Où et quand intervenir? En orbite? Difficilement imaginable. Lune? Astéroïdes? Police du ciel et gestion du trafic pour protéger les infrastructures spatiales et réguler les activités. La Coopération internationale et la diplomatie spatiale doivent perdurer au delà des limitations légitimes actuelles. Anne Maurin revient sur les enseignements du conflit. L’utilisation d’outils commerciaux pose le problème de la cobelligérance et le risque du ciblage d acteurs non-étatiques. En quelques heures l’Ukraine s’est dotée des moyens dont elle ne disposait pas (Starlink, Maxar). Son attaquant a une autre façon de mobiliser le spatial: bloquer l’utilisation par l’autre. Pas de pearl Harbor spatial. Comment s’articulent coalition duale et usage innovant d’un côté et stratégie asymétrique plus classique de l’autre. Le général Adam du CDE évoque la nécessaire crédibilité pour dissuader. Maîtriser l’espace et prévenir le déni d accès. Une capacité ne se limite pas aux satellites. Cf. programme ARES de défense active. Commander et contrôler opérations (patrouilleurs). Comprendre et réagir pour garantir sécurité et sûreté. Proportionnalité et réversibilité. Cf. Yoda et Egide. AsterX : exercice de simulation avec 23 événements majeurs et s’entraîner avec partenaires fiables (27 joueurs de 15 nations. 7 industries et 8 joueurs, avec le soutien du CNES). La question des débris est également évoquée, et notamment les bonnes pratiques en Europe.
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Ingénieur-Chercheur
1 moisFinalement, heureusement que la France est en faillite, parce qu'elle, elle veut la guerre à tout prix en Ukraine et au Moyen-Orient, et se poser en protectrice de l'espace, des océans et des régions polaires contre toute exploitation...