Post de Dr Said GUEMRA

https://lnkd.in/gMhtAM62 Intéressant article sur la galerie d'acheminement de l'eau des diverses prises d'eau mais surtout du barrage de TIGNES.

Récupération de l'énergie de la mer à Honfleur

Adjudicataire, avec l’espagnol ACCIONA, du marché de la plus grande station de #dessalement d’Afrique, prévue à #Casablanca, Akwa Group tente de rassurer quant aux #retards que connaît le projet, mais sans y parvenir. La date annoncée du 15 avril pour le #démarrage des #travaux n’a pas été respectée. Le projet consiste en un partenariat public-privé (PPP) portant sur un contrat de 30 ans (3 ans pour la réalisation et 27 ans pour l’exploitation). La station devra dans un premier temps livrer quelque 548.000 m3 d’eau par jour, soit 200 millions de m3 par an, extensible à terme à 822.000 m3 par jour. Le chantier comprend évidemment les travaux maritimes de prise d’eau de mer et de rejet, ainsi que son alimentation électrique essentiellement par l’énergie renouvelable. Et c’est «techniquement» là où le bât blesse. Car si le projet accuse autant de retard, c’est en raison des #difficultés rencontrées par son adjudicataire à #accéder aux sources d’#énergies #propres censées #alimenter la #station, comme l’impose le cahier des charges. En d’autres termes, l’adjudicataire du mégaprojet ne dispose pas, à ce jour, d’une #source d’#énergie #renouvelable raccordée au site. Il était question, dans un premier temps, de #raccorder la station au parc #éolien opéré à #Dakhla par GOA Invest, projet développé conjointement par Akwa et O Capital (groupe Othman Benjelloun). Ceci, à travers une #ligne #haute #tension de 3 GW entre le sud et le centre du #MAROC. Problème: aucune société ne s’est présentée à l’appel à manifestation d’intérêt émis en octobre 2023 à cette fin par l’ONEE.

En 2022, près de 22 800 installations ont fourni dans le monde environ 110 millions de mètres cubes d’eau par jour, selon l’International Desalination and Reuse Association. Avec une croissance de 6 % à 12 % par an, selon le rapport de l’Institut français des relations internationales Géopolitique du dessalement d’eau de mer (septembre 2022). Ce dernier indique aussi que 90 % de l’eau du Koweït provient de telles usines, 86 % pour Oman, et 70 % pour l’Arabie saoudite. Cette technologie est particulièrement répandue dans la Peninsule Arabique qui concentre, à elle seule, plus d'un tiers de toutes les installations mondiales.

RÉACTION | La CMM salue les intentions du gouvernement du Québec d’encadrer l'utilisation du gaz naturel dans le secteur des bâtiments. Les objectifs de ce virage rejoignent ceux de son #Planclimat métropolitain, qui a mené à l’adoption d’un projet de règlement sur la décarbonation des bâtiments pour le Grand Montréal en avril 2024, et dont elle attend toujours l’approbation. La CMM est néanmoins préoccupée par le calendrier de ce projet. Alors que nous sommes dans un contexte d’urgence climatique et que des gains concrets sont attendus pour 2030, une adoption rapide des modifications réglementaires envisagées est nécessaire. La CMM croit que l’approbation de son projet de règlement, dont l’entrée en vigueur est prévue dès le 1er janvier 2025, demeure pertinente et permettrait de faire un premier pas rapide pour soutenir les objectifs de décarbonation des bâtiments du Québec tout entier. Nicolas Milot Émilie Charbonneau Andrés Beltran, ing, M.Ing #climat

2024 est d’ores et déjà une année record en termes d’hydrologie ❄+🌧 : un enneigement tardif et important sur les Alpes du Sud et également une pluviométrie importante sur l'hiver météo (parmi les maximas historiques). Ceci s'est notamment traduit par une dizaine d'épisodes de crue cet hiver et ce printemps ! 🌊 La fonte des neiges se poursuit et nos réservoirs de tête en Provence (lac de Castillon, Ste Croix, Serre-Poncon) ont été progressivement remplis pour assurer les activités touristiques et estivales ... 🚣♂️ 🏖 Aussi, depuis quelques jours et pour encore plusieurs semaines, les débits qui ne pourront pas être turbinés dans nos usines devront être déversés à travers nos barrages.... 🚨🚨🚨 La plus grande vigilance s'impose donc aux abords de la Durance et du Verdon ! Consulter le site https://lnkd.in/dkdfAJrz pour identifier les cours d'eau influencés par les ouvrages hydroélectriques et les zones interdites d'accès. Dans tous les cas restez vigilant aux variations de niveaux d'eau ou de débit et respecter les affichages et les consignes des hydroguides qui sillonneront les abords des cours d'eau cet été ! #edf #hydroguides #edfhydro

📢 Vendredi le gouvernement a dévoilé la carte des zones prioritaires de déploiement de🌬l'éolien en mer à horizons 2035 et 2050. Ce plan fait suite à 🌊"la mer en débat", une vaste consultation publique lancée en 2023 et permettant de recueillir les opinions des différentes parties prenantes. Les zones prioritaires à horizon 10 ans feront l'objet d'un appel d'offres qui s'ouvrira début 2025📆. Le fameux AO-10, pour un total de 9,4 GW qui s'étendra sur l'ensemble des façades maritimes et fera suite aux 9 Appels d'Offres précédents (CF p.2). L'AO-10, dont l'attribution est attendue à l'automne 2026, prévoit deux projets de 2 GW sur la Manche, un projet de 2 GW en Bretagne nord-ouest, un d' 1,2 GW dans le Golfe de Gascogne et un de 2 GW dans le Golfe du Lion (CF p.3). Les Zones prioritaires à horizon 2050 devront encore faire l'objet d'études et de concertations. 🚀 Ces projets visent à atteindre l'objectif ambitieux des 20% (45 GW⚡), d'énergie issue de l'éolien en mer d'ici 2050. Lien vers l'article du Journal Officiel: https://lnkd.in/ePfCwin9 #windenergy #energy #renewableenergy

Les installations hydrauliques un « patrimoine national » à préserver

𝐋'𝐢𝐧𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭𝐚𝐧𝐞́ 𝐖𝐄𝐀𝐌𝐄𝐂 ☕ 𝑈𝑛𝑒 𝑏𝑜𝑛𝑛𝑒 𝑑𝑜𝑠𝑒 𝑑'𝑒́𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒 𝑖𝑜𝑑𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎𝑛𝑐𝑒𝑟 𝑡𝑎 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑛𝑒́𝑒 🌊𝗟𝗮 𝗳𝗶𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲 𝗵𝘆𝗱𝗿𝗼𝗹𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗻𝗰̧𝗮𝗶𝘀𝗲 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝘀 𝗱’𝗼𝗳𝗳𝗿𝗲𝘀 𝗮𝗻𝘁𝗶𝗰𝗶𝗽𝗲́𝘀 ⚡🚀 Lors des Assises de l’économie de la mer à Bordeaux, les acteurs de l’hydrolien et de l’éolien flottant ont réaffirmé leur prêt à répondre dès 2026 aux appels d’offres pour les énergies marines renouvelables. Toutefois, le délai actuel pour un premier appel d’offres hydrolien en 2030 ne satisfait pas la filière. ⏳ 𝗨𝗻 𝗰𝗮𝗹𝗲𝗻𝗱𝗿𝗶𝗲𝗿 𝗶𝗻𝘀𝘂𝗳𝗳𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁 𝘀𝗲𝗹𝗼𝗻 𝗹𝗮 𝗳𝗶𝗹𝗶𝗲̀𝗿𝗲 🔹 Marc Lafosse, président de la commission énergies marines renouvelables au Syndicat des énergies renouvelables (Ser), qualifie la date de 2030 de "trop tardive" : "Nous ne pouvons pas attendre le retour des fermes pilotes. Il faut passer directement à la grande échelle et à l’industrialisation." 🔹 Guillaume Gréau, directeur du développement chez Hydroquest, souligne l’impact des délais sur les équipes et les investissements : "Une fois l’appel d’offres attribué, il faut encore 4 à 5 ans pour la mise en service. Si rien n’est décidé rapidement, que fait-on de nos équipes ?" 🛠 𝗨𝗻𝗲 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗼𝗮𝗰𝘁𝗶𝘃𝗲 : 𝗱𝗲́𝗿𝗶𝘀𝗾𝘂𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝘇𝗼𝗻𝗲𝘀 Pour éviter des retards supplémentaires, la filière propose une solution : Prendre en charge le dérisquage des zones en amont pour accélérer les projets. Marc Lafosse appelle à : ✅ Un premier appel d’offres dès 2026. ✅ Des appels d’offres réguliers tous les deux ans, pour garantir un cycle pérenne de projets et d’investissements. 🔭 𝗟𝗼𝗻𝗴 𝘁𝗲𝗿𝗺𝗲 𝗲𝘁 𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗮𝗻𝘁𝘀 Pour développer des projets durables et attirer les investisseurs, une visibilité à long terme est indispensable. 🔹 Katia Gauthier, directrice de projet chez Normandie Hydroliennes, insiste : "Les investisseurs ont besoin de sécurité et d’ambition pour s’engager." 🔹 Sandrine Gourlet, présidente de Port Atlantique La Rochelle, plaide pour des taux de retour sur investissement plus longs et des infrastructures adaptées. Annonce importante : Sandrine Gourlet a révélé le nom du projet des ports de Nouvelle-Aquitaine (La Rochelle, Bordeaux, Rochefort et Bayonne) pour soutenir l’éolien flottant : Aquitania Wind Energy. 💬 Et vous, que pensez-vous des solutions proposées pour accélérer l’hydrolien en France ? La filière est-elle prête pour ce défi industriel ? Partagez vos avis et idées. #ÉnergiesMarines #Hydrolien #ÉolienFlottant #TransitionÉnergétique #InvestissementDurable #AssisesDeLaMer https://lnkd.in/eKJqjNHJ

Nador West Med : Un contrat signé avec China Hailiang pour une station de dessalement La société publique marocaine Nador West Med a officiellement signé, le 28 octobre 2024, un contrat important avec China Hailiang Changsha pour la construction d'une station de dessalement d’eau de mer à Nador. Cet accord a été scellé entre Mohamed Jamel Benjelloun, directeur général de Nador West Med, et Wan Hua, directeur général adjoint de China Hailiang. Bien que les détails précis de ce contrat n’aient pas été communiqués, la presse chinoise a confirmé que l’accord porte sur un projet majeur visant à sécuriser l’approvisionnement en eau de la région de Nador. Cette infrastructure s’inscrit dans le cadre des efforts continus du Maroc pour développer des solutions durables et renforcer la sécurité hydrique dans le pays, particulièrement dans les régions les plus exposées à la pénurie d’eau. Un mégaprojet stratégique Le Maroc avait lancé en octobre 2023 un appel d’offres pour la construction de cette station de dessalement. L’usine de Nador aura une capacité annuelle de 250 millions de mètres cubes, selon Nizar Baraka, ministre de l’Eau et de l’Équipement. Elle deviendra ainsi la deuxième plus grande station de dessalement du pays, après celle prévue à Casablanca, qui devrait produire 300 millions de mètres cubes par an. Ce projet, situé dans la région de l’Oriental, est crucial pour répondre aux défis liés au stress hydrique, tout en soutenant le développement de la région. La collaboration avec China Hailiang, une entreprise de renom dans le domaine des infrastructures hydrauliques, souligne l’importance stratégique de ce partenariat pour le Maroc, qui mise sur des solutions innovantes pour ses ressources en eau. Vers une économie verte et durable Ce contrat s’inscrit dans une vision plus large d’économie verte, où le Maroc multiplie les initiatives pour réduire sa dépendance aux ressources naturelles et promouvoir le développement durable. La station de dessalement de Nador est un exemple concret de cette démarche, visant à sécuriser l’approvisionnement en eau tout en intégrant des solutions respectueuses de l’environnement. Avec des projets d’envergure comme celui-ci, le Maroc continue de se positionner comme un leader en Afrique en matière de développement des infrastructures hydriques et de gestion durable des ressources en eau.