Accessibilité aux soins de premier recours en 2023 | Dégradation de l’accessibilité aux médecins généralistes et aux infirmières, amélioration de l’accessibilité aux kinésithérapeutes, aux sages-femmes et aux chirurgiens-dentistes La DREES publie les données actualisées de l’indicateur d’accessibilité potentielle localisée (APL) en 2022 et 2023 pour les médecins généralistes, les infirmières, les sages-femmes, les kinésithérapeutes et les chirurgiens-dentistes. A découvrir ici 👉 https://swll.to/lVB0FC
Post de DREES – Ministères chargés de la Santé et des Solidarités
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Un indicateur essentiel pour une analyse au niveau territorial fin. A utiliser sans modération et en complément des outils du Psar Analyses territoriales.
Accessibilité aux soins de premier recours en 2023 | Dégradation de l’accessibilité aux médecins généralistes et aux infirmières, amélioration de l’accessibilité aux kinésithérapeutes, aux sages-femmes et aux chirurgiens-dentistes La DREES publie les données actualisées de l’indicateur d’accessibilité potentielle localisée (APL) en 2022 et 2023 pour les médecins généralistes, les infirmières, les sages-femmes, les kinésithérapeutes et les chirurgiens-dentistes. A découvrir ici 👉 https://swll.to/lVB0FC
Accessibilité aux soins de premier recours en 2023 : dégradation de l’accessibilité aux médecins généralistes et aux infirmières, amélioration de l’accessibilité aux kinésithérapeutes, aux sages-femmes et aux chirurgiens-dentistes
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Accessibilité aux soins de premier recours en 2023 Dégradation de l’accessibilité aux médecins généralistes et aux infirmières, amélioration de l’accessibilité aux kinésithérapeutes, aux sages-femmes et aux chirurgiens-dentistes.
Accessibilité aux soins de premier recours en 2023 Dégradation de l’accessibilité aux médecins généralistes et aux infirmières, amélioration de l’accessibilité aux kinésithérapeutes, aux sages-femmes et aux chirurgiens-dentistes
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[Question d'ici, solution d'ailleurs] Comment assurer l'accès aux soins médicaux sur tout le territoire ? Au Québec, c'est une question particulièrement sensible vu les caractéristiques géographiques. La solution retenue tient dans les "activités médicales particulières" (AMP) que tous les médecins généralistes (omnipraticiens) et, depuis 2024, les médecins spécialistes comme les psychiatres exerçant depuis moins de 15 ans doivent réaliser une partie de leur activité dans des zones prioritaires au risque de perdre 30% de leur rémunération. L'engagement porte sur 132 heures d’AMP par trimestre, soit l’équivalent de 12 heures par semaine ou autant de semaines par an en région. Les médecins omnipraticiens ont le choix entre plusieurs affectations prioritaires (les besoins de chaque bloc doit être complet avant d'ouvrir des missions dans le bloc suivant) : - 1ER BLOC Catégorie I La prestation de services médicaux dispensés dans un service d’urgence; - 2E BLOC Catégorie II La prestation, en première ligne (soins primaires), de services médicaux d’inscription et de suivi de clientèle; Catégorie III La dispensation de soins aux usagers admis en soins de courte durée d’un établissement qui exploite un centre hospitalier; Catégorie IV La dispensation, dans le service d’obstétrique d’un centre exploité par un établissement, de services médicaux en obstétrique; Catégorie V La dispensation de services médicaux impliquant une garde en disponibilité, dans un CHSLD (EHPAD), un centre de réadaptation ou dans le cadre d’un programme de soutien à domicile d’un CLSC; - 3E BLOC Catégorie VI Toute autre activité prioritaire identifiée par le DRMG et approuvée par le ministre dans la mesure et aux conditions fixées par ce dernier. Concernant les médecins spécialistes, les AMP devront être réalisés dans les hôpitaux. Si la région est éloignée, les psychiatres pourraient n’avoir à se limiter qu’à 10 semaines, mais à deux ou trois heures de route, un plus grand nombre d’heures de travail seront exigées. Stéphane PARDOUX Emeline Flinois Matthieu GIRIER Valentin Simon Maud Papin-Morardet --- Je suis Emilie, la responsable de la #veilleinternationale de l' Anap 🌍 Suivez-moi pour découvrir des #bonnespratiques et #innovations dans le champ de la #santé et #médicosocial.
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La DREES publie une nouvelle étude sur la disponibilité des médecins pour les patients selon leur mode d’exercice : seuls, avec d’autres médecins généralistes ou avec des paramédicaux. ✅️ Plus de la moitié des médecins généralistes (54 %) refusent de nouveaux patients en tant que médecin traitant en 2019. ✅️ Cette pratique diffère selon leur modèle d’exercice : c’est le cas de 49 % des médecins exerçant seuls, contre 59 % de ceux qui exercent dans un groupe monodisciplinaire et 58 % de ceux exerçant dans un groupe pluriprofessionnel (hors MSP) ✅️ Plus répandue chez les médecins les plus jeunes (59 % des 30-40 ans, contre 51 % de ceux de 60 à 70 ans) et ceux installés en zone sous-dotée, c’est-à-dire avec un faible accès aux médecins généralistes (63 %, contre 47 % dans les zones les mieux dotées). ➡️ Ainsi, une fois prises en compte les caractéristiques des médecins et leur lieu d’installation, seul l’exercice en groupe monodisciplinaire est associé à une probabilité plus élevée que le médecin déclare être amené à refuser des nouveaux patients en tant que médecin traitant. #médecintraitant #médecinegénérale #santé #consultation #drees
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📣 Plus que jamais le métier d’aide-soignant est essentiel au parcours de soin et assure une partie importante des soins paramédicaux en collaboration avec les infirmiers. Son rôle au sein des équipes et dans un environnement en pleine mutation l’oblige à toujours plus de compétences C’est pourquoi nos deux structures, NICEO Formation et la FNAAS, avons décidé de joindre nos expertises et nos réseaux scientifiques, pour concevoir, proposer et organiser des formations thématiques pour vous les Aides-soignants et les Aides-soignantes 📆 Nos prochaines formations: - Recueil de la glycémie par captation capillaire suite au décret du nouveau référentiel de compétences - 19 avril 2024 - Les troubles vésico-sphinctériens - 13 mai 2024 - Pratiquer une mobilisation sécuritaire et confortable pour le patient et le soignant - 29 mai 2024 - Prise en soin de la personne atteinte de la maladie d'Alzheimer, un moment thérapeutique de maintien des capacités - 12 juin 2024 - L'aide-soignant et l'aide à la prise des médicaments dans les structures du médico-social - 13 juin 2024 - Maintenir et développer l'éthique professionnelle dans une relation de soins - 20 juin 2024 - L'intelligence émotionnelle au service des soignants - 21 juin 2024 👉 Découvrez nos thématiques: https://lnkd.in/essJt6WF Bernadette Fabregas Gonguet 📝 ARLETTE SCHUHLER Anne ALMQVIST Manon Soupault Jean Pierre Guignard Dominique LE PESTIPON
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Tout comprendre sur l’évolution de l’activité hospitalière entre 2017 et 2022 sur les champs de la médecine, chirurgie, obstétrique (MCO), l’hospitalisation à domicile (HAD), les soins médicaux de réadaptation (SMR) et la psychiatrie en quelques clics !🏥📈 📉 https://lnkd.in/dK-CQZ3T 🔎MCO - En 2022, 12,2 millions de patients ont été hospitalisés dans un établissement. Le niveau d’activité de médecine reste inférieur au niveau d’activité observé avant la crise avec une diminution du recours à l’hospitalisation des patients les plus âgés. Par ailleurs, la baisse de la natalité observée en France a un impact direct sur l’activité des maternités. Pour en savoir plus...👇
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[Etude de la DREES : MSP et accessibilité des soins] 📄🔍 Une nouvelle étude de la DREES analyse l'accessibilité des médecins généralistes (demande de médecin traitant et soins non programmés) en fonction de leur mode d'exercice. ➡ Résultat : les médecins exerçant en Maison de Santé Pluriprofessionnelle sont plus enclins à accepter de nouveaux patients ou à les recevoir pour des soins non programmés ! L'étude met notamment en lumière que ces médecins n'hésitent pas à s'appuyer sur la force du collectif pluridisciplinaire pour répondre aux demandes des patients. Année après année, DOCTEUR HOUSE reste convaincu de l'intérêt des MSP pour l'accès aux soins ! 🤝 A noter : l'étude montre également que les médecins exerçant de manière isolée présentent une bonne accessibilité pour leurs patients en matière de demande de médecin traitant. Les cabinets de groupe mono-disciplinaires non constitués en MSP sont ceux présentant les moins bons résultats. L'étude avance également une corrélation avec l'âge (les médecins les plus âgées étant ceux refusant le moins de demande de soins). Des pratiques professionnelles à continuer d'observation face aux évolutions de la profession ! 👨⚕️👩⚕️ https://lnkd.in/erNN7NXm #médecintraitant #généraliste #msp #snp #accèsauxsoins
Les médecins généralistes exerçant seuls et ceux en maison de santé pluriprofessionnelle se distinguent par une plus grande disponibilité pour les patients
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Les métiers des CMS Nord vaudois - ASPMAD : Laëtitia, Christine et Valérie sont nos infirmières évaluatrices iHC. 📊🩺 Dès l'arrivée du patient et au moyen d’un outil standardisé d’évaluation clinique, l’instrument interRAI HomeCare, elles ont pour mission de lui proposer un plan d'intervention en adéquation avec ses besoins et ses ressources, grâce à une analyse multidimensionnelle. Cette analyse est renouvelée tous les 6 mois pour évaluer les résultats de la prise en charge initialement proposée, et ainsi la réadapter en fonction de l’évolution de son état de santé, en collaboration avec les autres acteurs de sa prise en charge (infirmier référent, ergothérapeute,…). L’esprit de synthèse, le travail en interdisciplinarité et la réflexion clinique sont au cœur de leurs compétences. #aspmad #cmsnordvaudois #soinsadomicile
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👩🔬 Santé : revalorisation du prix des consultations 📌 Consultations des médecins généralistes : A compter du 22 décembre 2024, la revalorisation du prix de la consultation de référence chez un médecin généraliste, exerçant en secteur 1 et 2 OPTAM et OPTAM-CO, coûtera 30 € contre 26,50 € actuellement. Le tarif de la téléconsultation des médecins généralistes est maintenu à 25 €. 📌 Consultations des médecins spécialistes : Des revalorisations de consultations de spécialistes sont prévues, ces dernières seront échelonnées entre décembre 2024 et juillet 2025 : -La consultation de référence des psychiatres et des neurologues sera revalorisée à 55 € au 22 décembre 2024 puis à 57 € au 1er juillet 2025 (contre 51,70 € actuellement) ; -La consultation de référence pour des gynécologues médicaux est revalorisée à 37 € au 22 décembre 2024 puis à 40 € au 1er juillet 2025 (contre 33,50 € actuellement) ; -La consultation de référence des gériatres est revalorisée à 37€ au 22 décembre 2024 puis à 42 € au 1er juillet 2025 (contre 31,50 € actuellement) ; -La consultation des médecins spécialistes en médecine physique et réadaptation est revalorisée à 36 € au 22 décembre 2024 puis à 40 € au 1er juillet 2025. Ces montants comprennent la majoration de coordination spécialiste.
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Insuffisamment revalorisés et reconnus, les #perfusionnistes sont essentiels pour nos activités de chirurgie cardiaque avec presque 40 000 interventions annuelles. Leurs activités sont hyperspécialisées, de haute technicité et à très forte responsabilité et leurs compétences ne cessent de s'étendre. Pourtant, aucun statut n'existe réellement pour leur profession et leurs fonctions spécifiques et uniques n'occupent qu'une seule phrase du décret infirmier. Ils exercent sans obligation de formation et sans rémunération particulière dans des conditions de plus en plus exigeantes tant il devient difficile de fidéliser et d'attirer de nouveaux professionnels. Aujourd'hui, cette situation a un véritable impact sur la prise en charge de patients pour chirurgie cardiaques. Malgré leurs revendications légitimes, le gouvernement semble les ignorer. C'est pourquoi je saisirai de nouveau le gouvernement pour obtenir des réponses sur leur situation. Donnons un véritable statut de profession de santé intermédiaire, une formation spécifique à travers les parcours existants ! SFACCEC - Société Française d'Assistance Circulatoire et de Circulation Extra-Corporelle SFCTCV Société Savante Infirmiers.com ASSOCIATION DES PERFUSIONNISTES FRANCOPHONES
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