Tout se ligue contre les commerces de centre ville Plus 35 % de fermetures de commerces à Bordeaux, entre 2023 et 2024. Mais il n’y a pas que Bordeaux. C’est bien l’ensemble du tissu des petits commerces qui se meurt dans les centres villes. Officiellement, les entrepreneurs ne se relèvent pas de la période Covid. En réalité, toutes les mauvaises planètes sont alignées pour eux. Le « Quoi qu’il en coûte » mal géré, nous l’avons déjà dit au RPF, mais également le trop plein de taxes, de normes, qui rendent difficiles les embauches, les travaux, l’approvisionnement. La délinquance en augmentation dans les centres des villes grandes en moyennes, qui vide les rues plus tôt, le prix de l’essence qui rend la venue des clients de l’extérieur plus coûteuse, les plans de stationnement dissuasifs et des schémas de circulation impensables, dans des villes où les ayatollahs verts imposent leur doctrine et des ZEF qui fleurissent un peu partout, achèvent de rejeter les clients à la périphérie, dans les zones commerciales. C’est bien l’idéologie inutile qui achève les PME commerciales. https://lnkd.in/eafmPmap https://t.me/R_P_France Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
Anne-Marie Mourgeon
3 mois
Impossible de se garer au centre ville, les contraventions pleuvent, aucune place et il faut tourner 1 heure . Je déteste prendre bus ou tram , donc les achats c est Centre Commercial et médecin et dentiste , pareil c est hors Centre Ville.
Thierry Tranier
3 mois
impossible de se garer, donc je n'y vais pas. La photo explique tout: Commerces tradi fermés, boules qui empêchent tout arrêt même pour déposer une personne fragile. Il reste deux kebabs, commerces inutiles pour nous mais nécessaires au blanchiment du business de la drogue. C'est moche le présent, mais l'avenir sera pire...
Christele Infossi
3 mois
ABSOLUMENT. Pourtant les citoyens n'ont jamais autant pris conscience de leur besoin d'appartenance locale, de leur rôle dans le maintien de nos produits du Terroir, savoirs-faires et Traditions, de leur appétence pour des actions de consommation "ancrées, sensées, utiles". Les centres villes sont en pleine mutation avec le transfert d'activité en périphérie, comme l'activité économique des coeurs de villages sont renvoyées à des noeuds de jonction extérieurs entre ruralité et axes routiers désenclavant. Une mutation de l'ADN du tissu économique urbain, qui passe d'historico-centré à un schéma de développement en lien avec la mobilité dans les campagnes ou dans les villes. Mais le "coeur de vie" des villes et villages n'a pourtant pas dit son dernier mot car on ne chasse pas "l'évidence" à coup de décrets.
Verwaerde Daniele
3 mois
Vous ne mentionnez pas le net? Pourtant premier concurrent et largement gagnant
Carole SEIGNEZ AMON
3 mois
Je connais bien trop le problème .... On ne trouve plus de belle marchandise depuis que l'on importe .Pas de stock . De toute façon trouver la marchandise est devenu un parcours de combattant . Pour certaine marchande, la livraison de 2 pelotes de laine met au minimum 3 semaines. Les devantures sont sales quand elles n'ont pas de tag alors qu'avant belles et éclairées, elles attiraient des clients potentiels. Ah c'est vrai qu'avec l'insécurité, il devient impossible de se balader la nuit tombante. Quelle tristesse d'observer ce qui attirait hier encore la vie, nos centres villes !
Valérie C
3 mois
À Valence le géant Casino ferme cette semaine, c' est la fin du commerce tout court.
Alain BROCHET
3 mois
La disparition programmée d'un style de vie d'un art de vivre au profit des tenants ultra minoritaire d'un système grandes surfaces, grands blocs, grandes épidémies, grandes "vaccinations" et à la fin grandes guerres ! Voilà ce qu'ils nous faut renverser !
Alnet Jacques
3 mois
Excellent article que je partage sur le départ des petits commerces qui faisaient le charme de nos villes … En plus des raisons évoquées il faut rajouter l installation dans les villes des supermarchés avec les même produits que ceux vendus en périphérie on apprécie le charme de ces commerces standardisés lamentable plus la vente directe pas de boutiques des locaux de stockage mais aussi la perte de restaurants de qualité qui existaient et qui permettait une belle convivialité populaire Fini des pizzerias des kebabs et des restaurants avec un menu fixe avec trois choix on réchauffe seulement pareil pour les boulangeries de plus en plus livreees et industrielles …que font les maires certains ont eu le courage dans les villages de financer l installation d un petit commerce et d un restaurant tout cela va avec le tout digital l humain ne mérite plus d attention il est mal traité ….
Dominique M.
3 mois
Idem en Franche-Comté...le centre ville de Gray, ancienne ville florissante est devenu presque un désert de commerces. Besançon en a encore mais que des vitrines avec des chaînes du genre Promod, naturalia, nature et Découvertes, Pimkie, calzedonia, Quick, mais aussi des magasins de téléphonie, et dans le quartier de Battant que des boutiques et restaurants de marchandises d'Afrique et du Maghreb. Bref, l'âme de cette ville ancienne avec la disparition de ses anciens commerces typiques et locaux est désormais tournée vers la mondialisation. Je n'ai plus beaucoup d'intérêt à y aller mis à part encore heureusement son marché de producteurs et produits locaux et régionaux!
Associé chez RGPD-Experts - Consultant / Formateur RGPD / ISO 27001 / ISO 27701 / En charge de l'expertise stratégique et fonctionnelle réglementaire RGPD pour RUMYA / Membre du CLUB DPO
3 moisAjouter l’interdiction aux voitures en cours. Les centre ville vont se désaffecter et les taxes vont augmenter. Pour qui des citadins qui veulent vivre au calme comme à la campagne mais en ville ! Sauf que sans commerce et sans voiture, ils vont s’amuser. Merci qui ? Les verts