Post de EARL Vent Des Huitres

Plongée dans une soif généralisée qui perdure depuis un certain, après avoir connu des coupures sporadiques accompagnées de flambée du prix du fut, Nouakchott continue de réclamer l’eau. Cette soif qui s’est accentuée avec la formation du premier gouvernement du second mandat du Président Ghazouani, demeure inexpliquée pour les citoyens qui continuent d’indexer les services habilités de laxisme. Confrontée à ce défi de la soif, alors qu’elle vient de faire son entrée dans le gouvernement, la ministre de l’hydraulique et de l’assainissement jongle avec des chiffres et des mètres cubes qui ne désaltèrent guère. La baisse de la production au niveau d’Aftout Sahili durant la saison des pluies est due à la montée des eaux boueuses, indique la ministre selon laquelle, installations mises en exploitations sont prévues initialement pour traiter entre 800 et 1000 m3, or en période pluvieuse, la station a dépassé allégrement ce seuil avec ses 2300 m3. La situation est meilleure que l’année dernière dans la mesure où, à la même période, la production est supérieure de 18 000 m3 par jour soit 80 000m3/jour en août 2023 et 98 000m3/jour, en août 2024 a révélé Mint Maouloud, selon laquelle, la quantité qui quitte la station de stockage située à PK17 en direction de Nouakchott est de 88 000m3/jour actuellement, contre 59 000m3/jour l’an passé. Les quartiers, les zones prioritaires et robinets publics seront alimentés d’abord, a affirmé la ministre selon laquelle, la SNDE est à pied d’œuvre et que le stockage de sécurité est assuré. La première décision stratégique à prendre pour juguler la soif qui frappe en ces temps-ci la capitale Nouakchott est un projet d’augmentation de la production du champ captant d’Idini pour passer de 40 000 m3 à 100 000 m3 par jour, a précisé Mint Maouloud, Aftout Sahili passera de 120 000 m3 à 225 000 m3. A cela s’ajoute des travaux de maintenance et le traitement des eaux, a-t-elle conclu.

La revue de presse du retail : Salazie : déficit pluviométrique à Trois Cascades entraîne des restrictions d'eau à partir du ...: ... distribution à compter de ce jour ... Précarité, une hausse des vols de viande en grande surface à La Réunion, phénomène en pleine expansion ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

Les récentes intempéries n’ont pas épargné le centre commercial d’Épinay-sur-Orge, dans l’Essonne. Situé au confluent de l’Orge et de l’Yvette, le site a été durement touché par la crue des deux rivières provoquée par le passage de la tempête Kirk. Les commerces alimentaires, dont un supermarché Carrefour Market, ont été contraints de jeter des tonnes de denrées suite à une coupure de courant ayant mis en péril la chaîne du froid. Un triste spectacle dans les allées Ce lundi, les clients ont découvert des rayons quasiment vides, notamment en produits frais. Fabrice, un habitant de Savigny-sur-Orge, témoigne : Il n’y a rien dans le magasin, je vais être obligé de compléter à l’Intermarché. – Un client mécontent En effet, après trois jours de fermeture, le supermarché a rouvert grâce à un groupe électrogène, mais les dégâts sont conséquents. La quasi-totalité des denrées périssables a dû être jetée, faute d’avoir pu être conservée à bonne température. Des pertes importantes pour les commerçants Pour les commerces alimentaires du centre, c’est un véritable coup dur. Les pertes se chiffrent en dizaines de milliers d’euros et il faudra du temps pour reconstituer les stocks. Selon une source proche du dossier, les assurances devraient prendre en charge une partie des dommages, mais le manque à gagner lié à la fermeture et le gaspillage alimentaire pèseront lourd dans les comptes. Un phénomène de plus en plus fréquent Avec le dérèglement climatique, les épisodes de crues et d’inondations sont amenés à se multiplier, y compris en Île-de-France. Les commerces situés en zones inondables sont particulièrement vulnérables. Au-delà des dégâts matériels, c’est toute une organisation qu’il faut repenser pour limiter les pertes en cas d’événement climatique extrême : Mise en place de groupes électrogènes Stockage en hauteur des produits sensibles Évacuation préventive des denrées Adaptation des bâtiments et des équipements Des solutions existent, mais elles ont un coût que les commerces de proximité ont parfois du mal à absorber. Les pouvoirs publics et les professionnels du secteur devront se pencher sur ces questions pour éviter que de telles situations ne se reproduisent à l’avenir. En attendant, les habitants d’Épinay-sur-Orge devront prendre leur mal en patience et s’organiser différemment pour faire leurs courses dans les prochains jours. Un désagrément supplémentaire après le stress des inondations qui ont durement touché la commune et ses environs. The post Orge et Yvette en crue : Tonnes de nourriture gâchées à Épinay-sur-Orge first appeared on ViralMag.fr.

Connaissez-vous les Lieutenants de Louveterie ? Les lieutenants de Louveterie sont des bénévoles, généralement chasseurs, nommés par le Préfet. Ils agissent pour le compte de l'État, en répondant aux sollicitations des particuliers et des collectivités rencontrant des problèmes avec la faune dans les secteurs non-chassables. Une journée de Louvetier c'est quoi ? C'est un téléphone qui sonne sans discontinuer et devoir répondre à la détresse des gens, c'est se déplacer à toute heure du jour et de la nuit pour poser des cages à sangliers ou effectuer des tirs de nuit, c'est affronter la défiance de certains habitants et de certains chasseurs qui ne comprennent pas ces opérations, c'est rendre des comptes à l'administration et aux collectivités après chaque opération, c'est assumer la responsabilité de tirs dans des zones ultra-urbanisées et peuplées, c'est aussi se faire engueuler par des habitants à bout de nerf lorsque les prélèvements sont jugées trop faibles, c'est assumer sur ses deniers personnels l'entretien des chiens et des frais annexes (carburant, munitions, équipements)... Rappelons que ces personnes, des actifs pour la plupart, ne disposent ni de revenus ni indemnités pour ce qui prend de plus en plus la forme d'un travail à part entière, à mesure de la diminution du nombre de chasseurs et des conséquences de l'aménagement anarchique de nos territoires, ou du jmenfoutisme de certains propriétaires et de certains élus locaux (non gestion des friches urbaines). Un immense respect pour ces personnes qui s'engagent au service de l'intérêt général. Félicitations pour votre travail à toutes et tous 👍 #Louvetier #Etat #chasse #régulation #sanglier #HauteGaronne

Rôtisseur d’un jour , rôtisseur toujours Soyez prudents si vous empruntez les routes du retour des aoûtiens ! Bon dimanche à tous Abonnez -vous à notre page Syndicat de la Volaille et du Gibier pour suivre nos actualités

Le Port de Concarneau - CRN travaille sur l’anticipation d’un nouvel arrêté sécheresse Avec les restrictions d’eau connues en 2022 et les arrêtés qui s’en sont suivi sur les nettoyages interdits de bateaux, Carenco met tout en oeuvre pour suivre l’évolution de la règlementation. Un plan sécheresse est en préparation pour se tenir prêt à appréhender de futures restrictions de consommation tout en préservant un maximum l’activité économique du port.   En marge de cela, des réductions de consommations d’eau sont déjà prévues pour l'année et l'été 2024 et cela grâce à l’entretien l’été dernier, des canalisations enterrées qui présentent des fuites. Cela fait suite à un gros travail d’investigation pour lequel #Carenco à fait appel à une entreprise spécialisée. #Concarneau #environnement Région Bretagne

𝗥𝗲𝘁𝗿𝗼𝘂𝘃𝗲𝘇 𝗹𝗲𝘀 𝗳𝗮𝗶𝘁𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗾𝘂𝗮𝗻𝘁𝘀 𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗶𝘀 𝗱’𝗢𝗰𝘁𝗼𝗯𝗿𝗲 𝗰𝗵𝗲𝘇 𝗕𝗭. 👉 Mise en route du séchoir pour le maïs 👉 Cargaison record à destination de l’Asie 👉 Octobre rose 👉 Première pierre du déploiement du terminal de Maison Bleue. Pour en savoir plus, c’est par ici 👇

La revue de presse du retail : Le ministre de la Mer annonce une aide aux ostréiculteurs - Mer et Marine: ... grande distribution ne nous sollicite pas pour des opérations promotionnelles ». ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

𝐂𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫-𝐥𝐚̀, 𝐥𝐚 𝐩𝐥𝐮𝐢𝐞 𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞̀𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐦𝐨𝐝𝐢𝐟𝐢𝐞́ 𝐦𝐚 𝐯𝐢𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞𝐬 😎 Il y a trois ans, lorsque j'ai lancé Akadi avec un service de cantine, offrant des repas de midi livrés dans les bureaux avant midi, tout était minutieusement préparé en cuisine dès 9h. Les livraisons devaient débuter à 10h. Malheureusement, ce jour-là, 𝐮𝐧𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐭𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐢𝐞 a débuté vers 8h et s'est intensifiée. Malgré nos efforts, les livreurs n'ont pu partir qu'après 11h. Nous avons informé nos clients de la situation et avons reçu beaucoup de compréhension. 𝐶𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑡, 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑑𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑚𝑒́𝑡𝑒́𝑜𝑟𝑜𝑙𝑜𝑔𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑠𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑝𝑖𝑑𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒́𝑡𝑒́𝑟𝑖𝑜𝑟𝑒́𝑒𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑑𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑜𝑛𝑑𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑎𝑙𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑝𝑙𝑢𝑠𝑖𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑧𝑜𝑛𝑒𝑠. Certains livreurs ont rencontré des problèmes avec leurs motos, retardant les livraisons 𝐣𝐮𝐬𝐪𝐮'𝐚̀ 𝟏𝟔𝐡. Bien que tous les clients aient finalement reçu leurs plats, cette journée a été éprouvante pour moi et j'ai même envisagé de suspendre les opérations pendant la saison des pluies. Avec du recul, j'ai compris que cela n'était pas la solution idéale. Voici donc comment j'ai ajusté ma stratégie : ✅. J'ai abandonné les livraisons individuelles au profit de livraisons groupées aux entreprises, avec des points de départ et d'arrivée fixés. ✅. Je surveille désormais régulièrement la météo pour anticiper les défis logistiques. ✅. J'ai restreint la zone de livraison pour une gestion plus efficace en cas de crises similaires. Je pense à toutes ces personnes touchées par les inondations, avec une pensée particulière pour les entrepreneurs dans le secteur de la restauration. Nous faisons face à des défis uniques, surtout lorsque les intempéries compliquent nos opérations déjà bien préparées. Que Dieu nous protège tous 🙏 🎯Le client, mon combat🎯

Scène de désolation à Givors, dans la banlieue lyonnaise, où une zone commerciale a été complètement ravagée par les crues subites de la rivière du Gier ce jeudi 17 octobre. Pris au piège par la montée fulgurante des eaux, une centaine de clients a dû être évacuée en urgence de ce lieu habituellement si animé. Mais le bilan est lourd pour les commerçants, qui font face à des dégâts matériels considérables. Une montée des eaux fulgurante Tout est allé très vite selon les témoignages recueillis sur place. “On a à peine eu le temps de réaliser ce qui se passait”, confie un responsable de magasin encore sous le choc. En quelques minutes à peine, l’eau a envahi les allées de cette zone commerciale prisée des habitants de Givors et des environs. Les clients, piégés à l’intérieur des enseignes, ont dû être évacués à l’aide de canots pneumatiques par les secours dépêchés en urgence sur les lieux. Mais dans la panique, certains individus peu scrupuleux en ont profité pour se livrer à des pillages, ajoutant au sentiment de chaos ambiant. Les forces de l’ordre, rapidement déployées sur zone, ont procédé à l’interpellation de quatre personnes suspectées de ces vols opportunistes. Des dégâts matériels considérables Une fois le site sécurisé et les eaux retirées, l’ampleur des dégâts a pu être constatée. Et le bilan est sans appel : aucun commerce n’a été épargné par les flots tumultueux du Gier. Vitrines brisées, marchandises détruites, équipements hors service… Les pertes matérielles se chiffrent déjà en centaines de milliers d’euros pour l’ensemble de la zone. “C’est un crève-cœur de voir notre outil de travail dans cet état, anéanti en si peu de temps. Il va nous falloir des mois pour nous en remettre” Témoignage d’un commerçant sinistré Face à ce sinistre hors norme, les gérants se retrouvent démunis, encore hébétés par la soudaineté de l’événement. Beaucoup craignent pour la pérennité de leur activité, déjà fragilisée par des mois de crise sanitaire. Les assurances seront-elles suffisantes pour couvrir les dommages subis ? Les clients seront-ils au rendez-vous après ces inondations dramatiques ? Autant d’interrogations qui taraudent les esprits des professionnels durement touchés. Le long chemin de la reconstruction Mais déjà, il faut relever les manches et affronter l’avenir. Dès le lendemain des intempéries, les opérations de nettoyage et de déblaiement ont débuté. Pelleteuses et camions-bennes s’activent pour retirer les tonnes de boue accumulées, symbole d’un retour progressif à une forme de normalité. Les commerçants, malgré l’état de sidération, s’organisent peu à peu pour sauver ce qui peut l’être et préparer la réouverture. Ensemble, ils se serrent les coudes, conscients que l’union sera leur meilleure arme pour se relever de cette catastrophe. Des initiatives solidaires voient le jour, pour partager le matériel récupérable et mutualiser les efforts de remise en état. “On est tous dans le même bateau, au sens propre comme au...