Post de EBBS WINE AND SPIRITS

🏆 𝗢𝗻 𝗮 𝗿𝗮𝗺𝗲𝗻é 𝗹𝗮 𝗖𝗼𝘂𝗽𝗲 à 𝗹𝗮 𝗠𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻 ! 𝗝𝗮𝗶𝗹𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲 𝗹𝗲 𝗣𝗿𝗶𝘅 𝗱𝗲 𝗹'𝗜𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗖𝗼𝗺𝗺𝗲𝗿𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲 𝗟𝗲𝘀 𝗩𝗶𝗴𝗻𝗲𝘀 𝗱’𝗢𝗿.  Ou comment innover grâce à l’ancrage d’un savoir-faire approuvé, permettant de se tourner résolument vers l’avenir ? Non pas pour se faire plaisir mais pour répondre à une attente utilisateurs/consommateurs. On s’explique... 💡 𝗡𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗶𝗱é𝗲 : 𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝗼𝗻 𝗱é𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗮𝗶𝘁 𝘂𝗻 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗺𝗼𝗱𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗼𝗺𝗺𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝘃𝗶𝗻 ? 𝗤𝘂𝗶 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗼𝗻𝘀𝗮𝗯𝗹𝗲, 𝗱é𝗰𝗼𝗺𝗽𝗹𝗲𝘅é, 𝗮𝗰𝗰𝗲𝘀𝘀𝗶𝗯𝗹𝗲 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗻𝘃𝗶𝘃𝗶𝗮𝗹. Mais c’est pourtant évident nous direz vous ! 𝗗𝗲 𝗹à 𝗲𝘀𝘁 𝗻é𝗲 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗿𝗲𝗺𝗶𝗲𝗿𝗲 𝗰𝗿é𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻, 𝗕𝘂𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗕𝗿𝗲𝗮𝗸. 𝗟𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗽𝘁 : 🍸 Servir à la pression un vin pétillant à partir de fûts recyclables de 20 litres. 🍸 Maintenir nos saveurs et nos bulles intactes pendant 6 semaines. En version Doux : 🍸 Un assemblage unique : Muscat blanc à petits grains pour sa générosité fruitée, Clairette blanche pour son équilibre frais. 🍸 Une faible teneur en alcool (8°), parfaitement alignée avec les tendances de consommation responsable. 𝗘𝗧 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗹à 𝗹’𝗜𝗡𝗡𝗢𝗩𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 : 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗼𝗳𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹𝘀 𝗱𝘂 𝗖𝗛𝗥, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗲𝗳𝗳𝗶𝗰𝗮𝗰𝗲, 𝗶𝗱é𝗮𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝘀𝗲𝗿𝘃𝗶𝗰𝗲 𝗿𝗮𝗽𝗶𝗱𝗲. Et, un allié de la mixologie. Si bien qu’à leur demande, nous déploierons en avant-première SIRHA sa version Brut (on vous attend HALL 2.2 - Stand 2.2G143). 👏 à toute notre équipe : viticulteurs, production, commerciale, marketing, et dans l'ombre... qui travaillent main dans la main, pour écrire l'histoire Jaillance. Merci chers consommateurs, partenaires, Les Vignes d'Or pour votre soutien, moteur dans notre quotidien. Bravo aux lauréats, aussi présents sur la photo à côté de Quentin Gatineau, notre directeur des ventes distribution spécialisée. 𝗖𝗲 𝗽𝗿𝗶𝘅 𝗲𝘀𝘁 𝗹𝗲 𝗳𝗿𝘂𝗶𝘁 𝗱’𝘂𝗻𝗲 𝘃𝗶𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗲 : 𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗼𝗶𝗿 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗮𝘃𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗹𝗲 𝘃𝗶𝗻 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗮𝘂𝗱𝗮𝗰𝗲, 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝘀𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿-𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝗻𝗼𝘀 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗼𝗶𝗿𝘀. En savoir plus dans le lien en commentaire. 𝐿'𝑎𝑏𝑢𝑠 𝑑'𝑎𝑙𝑐𝑜𝑜𝑙 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑠𝑎𝑛𝑡é, à 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒𝑟 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑚𝑜𝑑é𝑟𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛.

Le vin en déclin : et si c’était le moment de réinventer la tradition ? Depuis 2010, la consommation de vin en France chute. Et les prévisions jusqu’en 2034 ne sont pas encourageantes. Pourquoi ? Parce que le produit de la vigne, qui régnait en maître sur nos tables, est désormais une option parmi tant d’autres. Bières artisanales, cocktails colorés, No Low … : la concurrence est rude. Et pour 68 % des jeunes (soit presque la moitié de la population), la modération est la norme. Ajoutez à cela des changements profonds : familles plus mobiles, repas plus rapides, cuisine exotique et fast food qui détrônent nos plats traditionnels, une image qui intimide…  Le résultat ? une culture qui s’efface. Pour les nouvelles générations, le vin est souvent lié à une belle viande rouge ou à une célébration formelle. Luxueux, oui, mais parfois trop sérieux. Alors, comment lui redonner un souffle nouveau ? 🎯 Revisiter les accords mets/vins : et si on mariait un rouge léger avec un burger veggie, ou un blanc sec ou liquoreux avec des sushis ? 🎯 Miser sur l’œnotourisme et l’évènementiel pour recréer des émotions fortes autour de lui. 🎯 Repenser le packaging pour créer une offre afin d'accompagner les repas à emporter, s’adapter à la consommation individuelle. 🎯 Et surtout, le faire briller sur les réseaux sociaux : le vin est tout aussi esthétique, accessible et festif que ses concurrents! Chers vignerons, êtes vous prêts à relever le défi de réinventer le vin ? 👉 Contactez-nous et transformons ensemble l’avenir de votre domaine. #vin #conseil #oenotourisme 𝘐𝘯𝘧𝘰𝘳𝘮𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘵𝘪𝘳𝘦́𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘤𝘰𝘯𝘧𝘦́𝘳𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘥'𝘰𝘶𝘷𝘦𝘳𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘥𝘶 𝘴𝘢𝘭𝘰𝘯 VINITECH - SIFEL "𝘓𝘦 𝘷𝘦𝘳𝘳𝘦 𝘢̀ 𝘮𝘰𝘪𝘵𝘪𝘦́ 𝘷𝘪𝘥𝘦 𝘰𝘶 𝘢̀ 𝘮𝘰𝘪𝘵𝘪𝘦́ 𝘱𝘭𝘦𝘪𝘯?" 𝘵𝘦𝘯𝘶𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘔𝘢𝘳𝘵𝘪𝘯 𝘊𝘶𝘣𝘦𝘳𝘵𝘢𝘧𝘰𝘯𝘥, 𝘎𝘢𝘴𝘱𝘢𝘳𝘥 𝘑𝘢𝘣𝘰𝘶𝘭𝘢𝘺 𝘦𝘵 𝘒𝘳𝘺𝘴𝘵𝘦𝘭 𝘓𝘦𝘱𝘳𝘦𝘴𝘭𝘦. 𝘗𝘩𝘰𝘵𝘰𝘨𝘳𝘢𝘱𝘩𝘪𝘦 𝘜𝘯𝘴𝘱𝘭𝘢𝘴𝘩

💡 𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐭𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐧𝐬 𝐛𝐥𝐚𝐧𝐜𝐬 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 ? ➡️ L'industrie vinicole française, en particulier les vins blancs, connaît une transformation significative. Avec 𝟐𝟗,𝟕 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐅𝐫𝐚𝐧ç𝐚𝐢𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐨𝐦𝐦𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐯𝐢𝐧 𝐛𝐥𝐚𝐧𝐜, représentant 𝟕𝟓% 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐨𝐦𝐦𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐧, ce segment montre une résilience remarquable malgré une baisse globale de la consommation d'alcool. Les vins blancs captent une clientèle jeune et féminine, les femmes et les 35-44 ans étant particulièrement attirées par les blancs lors des apéritifs, notamment les moelleux. ➡️ 𝐋𝐞 𝐬𝐞𝐠𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐧𝐬 𝐛𝐥𝐚𝐧𝐜𝐬 𝐞𝐧 𝐋𝐨𝐢𝐫𝐞, avec une base potentielle de 20,2 millions de consommateurs, domine le marché, 𝟗𝟕% 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐯𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐩𝐨𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐚𝐮 𝐦𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐫é𝐟é𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐫é𝐠𝐢𝐨𝐧. Les vins blancs de Loire ont augmenté leur présence en grande distribution, passant des premiers prix à des offres premium qui génèrent maintenant 40% du chiffre d'affaires du vignoble. ➡️ En grande distribution, les segments premium (7€ à 14,99€ la bouteille) ont doublé leurs volumes sur dix ans, témoignant d'une évolution des préférences vers des produits de qualité supérieure. Cette tendance est également visible au restaurant où l'offre de vins blancs entre 30€ et 100€ la bouteille s'est étoffée. Face à ces changements, les acteurs du marché vinicole doivent s'adapter pour répondre aux attentes d'une clientèle qui privilégie la qualité et l'authenticité. Etude réalisée par InterLoire en décembre 2023 #VinsBlancs #ConsommationDeVin #MarchéDuVin #VignobleDeLoire #TendancesVinicoles #VinFrançais #IndustrieVinicole #PremiumWine #WineLovers #SommelierFrance .

🍇 Professionnels du vin : êtes-vous prêts pour les défis de demain ? 🍷 Le monde du vin traverse une période de transformation : 📉 La consommation mondiale diminue de 10 % tous les 5 ans. 🎯 Les jeunes consommateurs (LDA) participent peu, préférant des alternatives ou recherchant des expériences plus modernes. ⚡ Le digital redéfinit les attentes des clients : transparence, interactivité et engagement immédiat. 🚨 Les défis majeurs pour les acteurs du vin 1️⃣ S’adapter à des habitudes de consommation en mutation. 2️⃣ Attirer et fidéliser de nouvelles générations de consommateurs. 3️⃣ Répondre aux réglementations en constante évolution, comme l’étiquetage UE 2021/2117. 4️⃣ Moderniser la gestion des données produit et assurer la traçabilité. 🌟 La solution : innover tout en valorisant vos traditions Chez Labellink, nous avons une mission claire : connecter votre vin au monde numérique grâce à des outils simples et puissants. ✅ QR Codes GS1 : Plus qu’un code-barres, ils racontent l’histoire de votre vin et renforcent la confiance grâce à une traçabilité complète. ✅ Passeports numériques (DPP) : Transparence totale, de la vigne au consommateur. ✅ Engagement digital : Créez une expérience interactive avec des e-labels riches en contenu et adaptés à chaque marché (langue, devises, allergènes). ✅ Conformité et futur : Restez en avance sur les normes européennes et les attentes des consommateurs de demain. 🍷 Protéger le patrimoine et promouvoir le terroir Le vin n’est pas qu’un produit ; c’est un héritage, une histoire, un terroir unique. Avec Labellink, mettez en lumière ce qui rend votre domaine spécial, tout en le connectant aux nouvelles générations. Modernité et tradition peuvent coexister pour valoriser ce qui vous rend unique. 🚀 Notre promesse : vous aider à relever ces défis tout en augmentant votre visibilité, votre crédibilité et vos ventes. 💬 Et vous, quelle stratégie adoptez-vous pour préparer votre domaine aux transformations du marché ? Parlons-en. #InnovationViticole #DigitalWine #Traçabilité #WineIndustry #SmartLabels #MarketingDuVin #Terroir #Patrimoine #GS1 #elabels #DPP

Arrêtons de nous voiler la face… L’âge d’or du marketing de l’offre dans le vin, c’est fini ! Ou du moins, ce n’est plus suffisant. C’est un sujet dont nous avons longuement débattu au cours d’un échange passionnant et tourné vers l’avenir que nous avons eu avec Michel Chapoutier sur le podcast de George. Pendant des décennies, la majorité des acteurs du vin a fonctionné selon le marketing de l’offre. Dans le cadre des vins d’AOC ou de terroir, cela signifie produire des vins complexes, intrinsèquement liés au terroir, pour ensuite convaincre le consommateur que c’est la bonne façon de faire. Mais cette approche nécessite des efforts énormes de pédagogie et de communication pour expliquer aux consommateurs ce qui se cache derrière ces vins : leur histoire, leur ancrage géographique, et surtout, ce qui justifie leur positionnement prix. À une époque où le marketing de la demande doit dominer, il est essentiel d’écouter ce que les consommateurs veulent vraiment. Après tout, vous en connaissez beaucoup, vous, des produits qui demandent à leur marché de s’adapter à eux et non l’inverse ? La crise que traverse la filière viticole est symptomatique de cet échec à comprendre ce basculement. Voici les pistes de réflexion que nous avons abordées avec Michel Chapoutier de la Maison M. Chapoutier : 1. 𝐄́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐮𝐱 𝐟𝐚𝐢𝐛𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐮 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞́ : Les tendances de consommation évoluent constamment (baisse de la consommation d’alcool, montée des vins bio, préférences des jeunes générations). Intégrez-les dès la conception. 2. 𝐑𝐞𝐧𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞𝐫 𝐥’𝐞𝐱𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐜𝐥𝐢𝐞𝐧𝐭 : Le vin n’est pas une simple boisson, c’est une expérience sensorielle, émotionnelle, éducative, engagée… Concevez des parcours œnotouristiques holistiques autour du vin et misez sur la personnalisation. 3. 𝐌𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐟𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 : Ne vous limitez pas aux traditionnels. Explorez les vins désalcoolisés, les formats alternatifs, les collaborations avec d’autres secteurs, “les vins de chouille”, comme les appelle Michel, pour des moments de consommation décomplexée qui s’adressent à tout type de public. 4. 𝐑𝐞𝐩𝐞𝐧𝐬𝐞𝐳 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞 : Le respect du terroir et de la tradition est essentiel, mais cela ne doit pas être un frein à l’innovation. Osez surprendre et vous réinventer. Et si vous ne réinventez pas le produit, réinventez votre offre !

Le marketing du vin : team bouteille ou team sac ? C'est l'heure du vote. 🗳️ Le vin est clairement synonyme de prestige et de tradition. Il a longtemps été présenté dans des bouteilles élégantes qui représentaient bien plus que la boisson elle-même : un savoir-faire ancestral, un terroir unique, une expérience sensorielle. Quand j'ai croisé pour la première fois « ce sac » au comptoir lesgamines (que j'adore d'amour), je me suis sincèrement posé la question: que se passe-t-il lorsque ce précieux nectar se retrouve dans un sac ? Est-ce une hérésie ou une innovation audacieuse ? Ma curiosité et ma passion pour les réflexions de marketing se bousculent ... Le sac pourrait-il dévaloriser l'image sophistiquée du vin, ou au contraire, s'agirait-il d'une révolution dans l'industrie, offrant praticité et durabilité ? Communauté linkedin, c’est le moment de débattre : Cette nouvelle approche du conditionnement est-elle un pas en avant ou une fausse note dans la tradition du vin ? 🧐🍷 #Marketing #Vin #Innovation #Tradition #Débat

Avant la sortie, demain, du prochain Les Échos Week-End, dont le sujet principal est intitulé Sale Temps pour le Vin, quelle ne fut pas ma surprise à la lecture, ce matin, du dernier numéro du Le Point qui, ENFIN, étrille comme il se doit le pseudo vin sans alcool, cette soupe chimique promue par quelques illuminés en mal de relai de croissance prêt à tout pour faire du fric. Justement intitulé Vins désalcoolisés: tout ça pour ça, cet article dénonce comme il se doit la supercherie des marchands du temple du vin sans vin, du vide avec quelque chose en "vendant du rêve viticole en évoquant des grands vins ou des terroirs d'exception et l'utilisation de techniques présentées comme respectueuses de l'environnement, voire naturelles." Tandis que l'on est dans la pure chimie, on vend du rêve avec ces vins désalcoolisés qui sont, pour le Point, à juste titre, "un oxymore des temps modernes après le steak végétal ou le pain sans gluten." Et de savamment démonter, point par point, ce que sont vraiment ces ersatz de vins. Le goût, n'en parlons pas, c'est immonde mais comme ils ne sont pas avares d'arguments, les vendeurs de ces jus de pisse parlent d'environnement quand leurs breuvages sont expédiés en Espagne, en Belgique, en Allemagne pour être désalcoolisés. Bilan carbone aussi lamentable que le résultat en bouteilles. Comme l'affiche en grand Le Point dans son article, "L'absence d'alcool déstructure le goût en retirant chaleur et corps en bouche et en accentuant l'acidité et l'astringence." En clair, mieux vaut boire du Champomy, c'est bien meilleur et surtout BIEN MOINS CHER. Mais, comme le dit si bien l'article, évitez de critiquer ces boissons lunaires, vous passeriez pour un gros réac. Qui, si il lit en plus Le Point, serait de droite. What a shame ! Et de conclure, brillamment, par "s'il existe des bons vins désalcoolisés (à voir), il y a aussi des poissons volants, mais ils ne constituent pas la majorité du genre." (Je précise que c'est tiré du Président de Verneuil, dit par Gabin, le meilleur dialogue d'Audiard) Sans oublier de démonter comme il se doit French Bloom le plus beau symbole de l'escroquerie du sans-alcool. "Une bouteille qui fait meilleur effet, fermée qu'ouverte." On confirme !!! Enfin, il est bon de rappeler que la meilleure boisson sans alcool reste l'eau, (encore) peu chère et si désaltérante. #caviste #cavistes #cavisteindependant #jecourschezmoncaviste #cave #caveavin #vin #vins #winelover #winelovers #alcool #alcools #sansalcool

La Chute du Vin Rouge : Pourquoi le Blanc et le Rosé Prennent le Pouvoir ? 🍷#LinkedInRetailFrance #LinkedInActualités Autrefois, le vin rouge était le roi incontesté des tables françaises. Aujourd'hui, il se fait détrôner par le vin blanc et le rosé. Mais pourquoi ce changement radical ? #PréférencesGustatives 🍾 Avec l'évolution des goûts vers des vins plus légers et rafraîchissants, le vin blanc et le rosé séduisent de plus en plus de consommateurs. En 15 ans, la situation s'est totalement inversée: en 2010, les ventes de vins rouges représentaient 57,3% des volumes vendus en grandes surfaces, mais aujourd’hui, le blanc et le rosé représentent à eux deux 58% des ventes. Les blancs, perçus comme plus "faciles" à boire, sont compatibles avec les repas déstructurés comme les casse-croûtes et les apéros dinatoires. Les vins rosé, blanc voir le nouveau vin orange se boivent plus facilement seuls. #FacteursDémographiques 🌍 Les nouvelles générations adoptent des habitudes de consommation différentes, influencées par les réseaux sociaux et la culture du lifestyle. Le vin rosé, avec son image festive et estivale, s'impose comme une boisson tendance. En outre, les consommateurs préfèrent des vins moins alcoolisés et plus légers, ce qui explique en partie la montée en popularité des vins blancs et rosés. #ImpactClimatique 🌦️ Le changement climatique affecte la production viticole, poussant les viticulteurs à s'adapter. Les conditions climatiques actuelles favorisent souvent la production de vins blancs et rosés, contribuant à leur popularité croissante. #NostalgieFrançaise 🍇 Boire moins de rouge pourrait-il être vu comme un signe de décadence et d’américanisation ? Dans les films français classiques, on buvait du bordeaux rouge qui tache, tandis qu'aujourd'hui, c'est le chardonnay et le rosé qui dominent les séries américaines. La chute du vin rouge en France n'est pas seulement une question de goût, mais une transformation profonde des habitudes de consommation et de production. Pour rester pertinent, il est essentiel de comprendre et d'anticiper ces tendances.

Imaginez un monde où vous buvez mieux sans dépenser plus ? Ne rêvez plus… La démocratisation du bon est en marche ! Le secret du succès de Let it BIB ? Nous avons réussi à croiser deux segments du marché du vin en forte croissance et éco-responsables, qui semblaient irréconciliables pour beaucoup : > Le marché du vin bio/nature d’un côté : + 160% de croissance en 10 ans > Le marché du bag-in-box (ou bib) de l'autre : + 120% de croissance en 10 ans En 2018, nous avons créé la première gamme complète de vins bio/nature conditionnés en bib. Une offre vin 100% clean ou, comme on aime le dire, des vins sains dans un contenant sain. Et pourquoi cette offre a cartonné ? Parce qu'au-delà d’être plus écologique que la bouteille, le bib est aussi beaucoup plus économique. 👉 Il permet de donner accès aux particuliers comme au pros à une offre de vin bio/nature de qualité égale à la bouteille à un prix inférieur de 20 à 30%. Cette équation écolo-économique, on en a fait notre mantra : la démocratisation du bon ! Un devise que j'ai empruntée à un ami, Sébastien Demorand, infatigable ambassadeur du bien boire et du bien manger, sainement, en tout simplicité, sans chichi ni chimie. Et sans se ruiner ! C’est également lui qui a œuvré dès le début des années 2000 à l’avénement du vin naturel sur les tables parisiennes. Il a tout de suite flashé sur le concept de vin bio/nature en bib permettant de proposer les mêmes vins qu’en bouteille à des prix inférieurs de 20 à 30%, avec une empreinte carbone 9 fois inférieure. Aujourd'hui, ce positionnement prend encore plus de sens. Alors que le pouvoir d'achat diminue, que l’inflation du verre bat son plein et les coûts de transport explosent, la possibilité d'offrir des produits bio à des tarifs compétitifs est une aubaine, non seulement pour nos clients, mais également pour nos vigneron.ne.s partenaires qui peuvent distribuer leur production bio au prix du conventionnel. 👉  A ce titre, Let it BIB est désormais identifié par la filière vin comme un acteur significatif de la transaction écologique. Car, sans rogner les marges des vigneron.ne.s bio/nature, nous leur permettons d’écouler leur production à un prix attractif pour les consommateurs. Cet engagement pour la démocratisation du bon paie (+ 20% de CA en 2023). Cette année, nous confirmons cette tendance (+40% au 1er trimestre) et redoublons d'impact pour la démocratisation du bon en lançant dans notre première levée de fonds, à destination des acteurs et investisseurs de la filière Food & Beverage, mais également accessible au grand public (merci Tudigo !). Car la démocratisation du bon, c’est aussi ça : donner accès facilement au capital. Près de la moitié de l’objectif a déjà été atteint, un grand merci à nos premiers soutiens ! Pour les nouveaux curieux, découvrez tous les détails de notre levée en commentaire. Et à disposition par message, bien sûr, pour répondre à vos questions. — Vive le cubi libre ! 🤘