🎙️ Éclats de Voix, nouvel épisode ... ENGAGÉ! Difficile de communiquer par écrit la joie que j'ai ressentie en recevant Donato Rotunno au micro... après celle que m'avait procuré son dernier film, "La fourchette à gauche". Le fondateur de Tarantula Luxembourg partie de ces gens qui ne s'écoutent pas parler, mais pèsent leurs mots, pointent leurs idées avec précision, gardent le coeur ouvert. Je suis heureuse de vous présenter un épisode qui reflète, vraiment, pour moi, ce qu'est une parole engagée. Bien évidemment, il existe 1001 manières d'incarner, de communiquer, de diffuser une parole engagée. Donato en a une bien à lui, mais il a aussi le talent de laisser les autres se livrer, exprimer leurs émotions sans tomber dans le pathos. Il a un respect discret, tamisé, qui met en confiance pour (se) raconter. Revivre les grandes heures du Curiel qui ont laissé des traces et ont permis à beaucoup de se forger politiquement. Loin de la superficialité qui prime actuellement en matière d'information, et qui conduit au "brain rot*" (que l'on pourrait traduire par "pourriture cérébrale"), tragiquement nommé mot de l'année 2024 par la Oxford University Press, cet épisode et le film invitent à la réflexion et ... à l'action! C'est avec regret que j'ai dû couper mon micro. Je vous laisse avec Donato... Ici: https://lnkd.in/eaP-TRV4 *"brain rot" désigne la dégradation intellectuelle d’une personne (sur)consommant des contenus digitaux peu stimulants.
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🎥 Quel est le chanteur préféré de Gérard, 61 ans, marié, 3 enfants ? La réponse percutante de Patrick Scharnitzky sur les stéréotypes dans nos entreprises. Patrick nous explique comment notre cerveau crée pour nous une "pseudo réalité", une réalité simplifiée qui engendre nos stéréotypes. Stéréotypes qui influencent nos décisions, souvent de manière inconsciente, et font faire des erreurs. 💬 Et vous, quels sont vos « stéréotypes préférés » les plus tenaces ? Que faites-vous pour les déconstruire ? #Leadership #Management #Stéréotypes #Diversité #RebellesDuManagement
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Faites le test ……
🎥 Quel est le chanteur préféré de Gérard, 61 ans, marié, 3 enfants ? La réponse percutante de Patrick Scharnitzky sur les stéréotypes dans nos entreprises. Patrick nous explique comment notre cerveau crée pour nous une "pseudo réalité", une réalité simplifiée qui engendre nos stéréotypes. Stéréotypes qui influencent nos décisions, souvent de manière inconsciente, et font faire des erreurs. 💬 Et vous, quels sont vos « stéréotypes préférés » les plus tenaces ? Que faites-vous pour les déconstruire ? #Leadership #Management #Stéréotypes #Diversité #RebellesDuManagement
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📰 ÉMILE ZOLA, révélation de mes humanités. 🎥 Quel enchantement à chaque fois que je repense aux épisodes de « Zola, ou la conscience humaine », incarné par Jean TOPART, diffusé en 1978, visible sur Institut national de l'audiovisuel (INAmadelen). Quel acteur, quelle voix ! Je ne voulais en rater aucun. 🎗️J’ai 8 ans et je partage cette joie avec feu mon père, professeur de lettres classiques à la FAC. C’est un moment rien que pour nous 2. ⚖️ Cette série a été une révélation. Je me suis senti pousser des ailes. Une soif de tout. Je me suis identifié au personnage, à l’écrivain. J’ai commencé à lire “la Bête humaine” à 10 ans et là, ce sont ses mots que j’ai aimés, sa force pour nous immerger. 🧑🎨 Il m’a donné envie d’avoir une barbe, des lunettes rondes, de me retrouver dans une pièce avec une table, une bougie, un encrier et une plume. Il m’a donné envie d’être créatif, d’écrire tout ce qui me passe par la tête, mais aussi de me faire le porte-parole d’une cause. 🌱 En serais-je un jour capable ? 📝Alors, à 9 ans, je me suis lancé et j’ai commencé un bout de roman policier. 👍 43 ans plus tard, c’est chose faite. J’ai réalisé mon rêve : 👉 Ecrire pendant 2 ans mon livre 👉 Y aborder un sujet de société : La #santé #mentale et plus particulièrement l’univers tabou de l’hôpital psychiatrique. #hopitalpsychiatrique 😉 Reste à trouver un #éditeur et son public. ❓Quelle a été votre source d’inspiration enfant ? Quelle cause vous donnerait envie d’écrire ?
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🎁 La Chorégraphie Subtile des Présents Relationnels Dans l'écosystème délicat d'un couple, un cadeau n'est jamais qu'un objet. C'est un langage neurologique complexe, une symphonie silencieuse qui résonne bien au-delà de sa matérialité. Trois architectures de l'offrande : - Décoder les fréquences émotionnelles - Comprendre que chaque présent est un signal - Mesurer l'intention derrière le geste Pendant une phase de turbulence relationnelle, un cadeau somptueux peut devenir un bouclier paradoxal. Il risque de transformer l'intimité en territoire de négociation, où l'émotion se volatilise derrière l'opulence. L'art subtil ? Comprendre que certaines crises nécessitent une présence minimaliste. Un geste simple peut être plus puissant qu'un objet spectaculaire. Notre système nerveux lit entre les lignes. Il perçoit l'intention derrière chaque offrande. Un petit objet chargé d'attention vaut mille présents sans âme. La véritable connexion se construit dans ces espaces invisibles où le geste transcende la matière. Vous pouvez retrouver sur notre chaîne YouTube @brunomarchal sur laquelle nous parlons de relations humaines chaque jour et de relations de couple en particulier pour vous aider.
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🎙️ Épisode 5-1 : Comédienne 🎭 Changement de registre ! Après un épisode plutôt technique avec le métier d’ingénieur structure (épisode #4), faisons place à l’humour en découvrant un métier connu de l’extérieur, mais pas tant de l’intérieur: celui de comédien. Dans cet épisode, j’ai eu le plaisir de discuter avec Delphine, une comédienne passionnée, professeur d’improvisation, graphiste, menuisière, … basée à Montpellier. Delphine partage son parcours riche et varié, et son amour inconditionnel pour le théâtre, qu’elle considère comme une clé essentielle pour un bon équilibre de vie. Le théâtre est bien plus qu'un simple art, et possède des vertus insoupçonnées: 👉🏻 Il permet aux timides de trouver l’assurance nécessaire pour s’exprimer 👉🏻 Il aide les personnes sensibles à mieux maîtriser leurs émotions 👉🏻 Il offre aux maladroits la possibilité de prendre conscience de leurs corps 👉🏻 Il améliore la diction, la prise de parole en public, la confiance en soi, … Le théâtre peut transformer des vies de manière profonde et durable. Delphine nous raconte pourquoi cet art est indispensable à son bien-être et comment il peut enrichir notre quotidien de manière inattendue. ——— Une première partie à découvrir sur les plateformes : « La Vie des Autres » 🚀 N’hésitez pas à partager cet épisode, à vous abonner et à noter le podcast ! ——— #podcast #comédien #théâtre #improvisation
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J'ai partagé la scène avec Fabien Olicard et c'était fou ! Je te raconte ? Jeudi soir donc, j'ai embarqué ma loutre préférée Charlotte Audouin au LES RDV DE LA REUSSITE pour une conférence sur les mystères du cerveau. Conférence passionnante animée par Fabien Olicard (t’as compris que je le kiffais ?). Passionnante… jusqu'à ce que je devienne moi-même partie intégrante du spectacle ! Tout commence par un simple réflexe : ma main qui se lève quand Fabien demande un volontaire pour une expérience de mentalisme. Persuadée que la foule en délire va se jeter sur cette opportunité de folie, je me dis que ma mimine va passer inaperçue. Que nenni. Puisque je suis la seule la main en l’air. (gloups.) Je suis donc “choisie” par Fabien pour le rejoindre. Il me demande d’aller à gauche, je pars à droite. Bref, j’arrive sur scène, rouge de honte et j’hésite à partir en courant. Première expérience, tout se passe bien. Il devine le mot que j’avais en tête. Puis il me propose d’inverser les rôles. A moi donc de deviner le mot auquel il pense. Il est sympa et me donne quelques indices : c’est un objet du quotidien, que j’aurai pu dessiner quand j’étais enfant. Je sens la pression monter, mon esprit cherche frénétiquement une idée. Tous les regards sont braqués sur moi, et je lâche “évier”. EVIER. WTF. Eclat de rire général. J’ai dû être clown dans une vie antérieure, c’est pas possible autrement. (je déconne). Je me reconcentre (c’est faux), puis je propose “ciseaux”. Ce n’est toujours pas ça. Fabien est au bord de l’apoplexie. Et moi, je sais plus comment je m’appelle. Il me laisse une dernière chance. Je lâche un “fourchette” peu convaincant. C’est bien fourchette, j’en reviens pas. Je peux respirer à nouveau. Fabien m’offre son livre, me lance une dernière vanne. Et je retourne sagement m’assoir. Lutin de mordel de l’herbe, je suis montée sur scène avec Fabien Olicard. Alors OK, c’était pas très confortable. J’ai sans doute bafouillé, zozoté et raconté des vannes moisies. Mais JE SUIS MONTEE SUR SCENE AVEC FABIEN OLICARD. Voilà. J’ai réussi ma vie. Et toi, avec qui tu kifferai être sur scène ?
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"Moi, Moi-même, et Je" : L'Incroyable Trio Intérieur Qui Dirige le Spectacle . Imaginez un instant que vous n'êtes pas seul dans votre tête. Non, ce n'est pas le début d'un film de science-fiction, mais plutôt une comédie à trois personnages : votre Moi Parent, votre Moi Adulte, et votre Moi Enfant. Ensemble, ils forment le comité exécutif le plus animé de votre psyché, débattant, négociant, et parfois se chamaillant sur la meilleure façon de naviguer dans le monde. Le Moi Parent : Ce vieux sage (ou parfois ce critique acerbe) qui murmure à votre oreille les "devrais" et les "ne devrais pas", empruntant ses répliques aux archives familiales. Besoin de rappeler à quelqu'un les bonnes manières à table ? Le Moi Parent entre en scène. Le Moi Adulte : Votre James Bond intérieur – calme, calculateur, et prêt à prendre des décisions basées sur les faits. Il est celui qui, en réunion, peut faire abstraction du chaos pour poser la question qui ramène tout le monde sur Terre. "Mais, est-ce rentable ?" Le Moi Enfant : Ah, le rebelle joyeux et créatif, prêt à explorer et à s'émerveiller. C'est lui qui vous pousse à sauter dans les flaques d'eau et à rire aux éclats lorsqu'il ne le faut absolument pas. Une source d'énergie pure et, avouons-le, parfois de malices inattendues. Ensemble, ils forment une équipe dynamique : discutant, planifiant, et parfois même conspirant sur la manière dont vous réagissez à chaque moment de votre vie. C'est une cohabitation parfois harmonieuse, parfois chaotique, mais toujours fascinante. Et voilà que vous réalisez – vous n'êtes pas juste vous. Vous êtes une merveilleuse mosaïque de pensées, de sentiments, et de réactions, orchestrée par ce trio interne. Alors, la prochaine fois que vous vous retrouverez à débattre intérieurement sur l'opportunité de prendre ce dernier cookie (le Moi Enfant insiste, le Moi Parent réprimande, et le Moi Adulte tente de trouver un compromis), souvenez-vous de sourire. Car en réalité, cette richesse intérieure, c'est ce qui nous rend incroyablement humains. 😊
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L'écho du délaissement : Au-delà de l'humiliation numérique L'image s'imprime, implacable, sur l'écran : lui, souriant, épanoui, aux côtés d'une autre. Pour la femme délaissée, chaque cliché posté devient un poignard, ravivant la plaie de l'abandon. L'humiliation, amplifiée par l'arène publique des réseaux, se mue en un spectacle douloureux, un théâtre où elle est réduite au rôle de spectatrice forcée de sa propre tragédie. On conseille souvent l'évitement, la déconnexion, le silence. Fuir le miroir déformant des réseaux ? Une illusion. Se taire ? C'est laisser l'écho du triomphe de l'autre résonner sans contrepoint. Ces tactiques, trop passives, ne font qu'enfouir la souffrance, la laissant fermenter en amertume. Elles ignorent la complexité du cerveau humain, sa propension à construire des récits, à combler les vides par des suppositions souvent destructrices. L'alternative ? Subvertir le récit. Non pas en répondant par une contre-offensive, une mise en scène factice de bonheur, mais en se réappropriant son propre espace mental. Un chercheur a observé un phénomène fascinant : des individus confrontés à des images dérangeantes, non pas en détournant le regard, mais en modifiant consciemment leur perception, en se concentrant sur des détails anodins, parvenaient à atténuer l'impact émotionnel. Appliqué à notre situation, cela signifie détourner l'attention de l'image globale, de la "perfection" affichée, pour se focaliser sur un élément trivial, un détail incongru. Briser la narration idyllique en y injectant une dose de réalité, une fissure dans la façade. Pensez à cet artiste qui, au lendemain d'une rupture, a transformé les lettres d'amour de son ex en une sculpture monumentale. Il n'a pas nié la douleur, il l'a transmutée, la rendant méconnaissable, la privant de son pouvoir destructeur. De même, la femme humiliée peut choisir de ne pas subir l'image imposée, mais de la fragmenter, de la déconstruire, de la réinterpréter à travers son propre prisme. En refusant d'être la simple spectatrice de sa souffrance, elle devient l'architecte de sa reconstruction. Vous pouvez retrouver sur notre chaîne YouTube @brunomarchal sur laquelle nous parlons de relations humaines chaque jour et de relations de couple en particulier pour vous aider.
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Aujourd'hui, voici la 30ème vidéo de la série : Votre dose d'#énergie⚡et de #motivation💪hebdomadaire ! Aujourd'hui, je vous invite à cultiver votre #singularité pour devenir authentiquement vous 😊
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Week-end « 𝗨𝗻 𝗽’𝘁𝗶𝘁 𝘁𝗿𝘂𝗰 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝘂𝘀 », le film. 𝗔𝗹𝗹𝗲𝘇 𝗹𝗲 𝘃𝗼𝗶𝗿 ! Pour votre équilibre, votre mindset, votre santé, mieux qu’un package « 5 fruits – 5 heures de salle – 5 afterworks » ! Je ne vais pas vous faire de comparaison bancale du type « 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑢𝑟𝑖𝑎𝑡... » en lien avec mes activités, franchement, on s’en fout bien ! Je vais également passer outre les clichés de la montée des marches, la polémique des grands couturiers ou la rampe d'accès au palais. Le buzz de Cannes, aussi bon soit-il pour la visibilité, reste superficiel. Je m'efforcerai de ne pas tomber dans le cliché du « 𝑅𝑆𝐸 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑟 », en vous disant que ce film offre « 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑛𝑑𝑖𝑐𝑎𝑝 𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙 » et encourage une « 𝑚𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ ». Je pense aux familles devouees, aux professionnels qui ont dû transformer radicalement leur vie pour une existence pleine de défis et de sacrifices, mais aussi de bonheurs inattendus. Ils méritent bien plus que de simples slogans. Sur ce sujet, il y a des experts à suivre et à écouter – coucou Camille Coulombel, Sandra THOMAS et Ivan CAMUGLI 💡🇷🇪 , vous êtes mes cheffes de file. Alors voilà : d’un point de vue cinématographique, c’est génial. Ça joue bien, c’est drôle (avec un humour frais et original), le scénario est solide, et c’est brillamment réalisé. Sur le plan émotionnel, ca bouleverse completement : mon fils de 12 ans, qui voulait voir « Godzilla 9 » ou « Planète des Singes 12 », en a pleuré (pendant et après), et moi aussi. C’est rare qu’on reste scotchés 5 minutes aux sièges en fin de projection, éconduits par le personnel de nettoyage, sans attendre une scène bonus à la Marvel. Sur le plan humain, vous comprenez rapidement pourquoi vous aimez instantanément les 11 acteurs en situation de handicap qui ont ce p’tit truc en plus, et tout ceux que vous rencontrez dans la vraie vie : 𝗟𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂’ 𝗶𝗹𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝗻𝘁, 𝗶𝗹𝘀 𝗻𝗲 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗶𝗹𝘁𝗿𝗲. Ils expriment leurs émotions, joie, peur, colère, sans passer par les prismes d’ « adultes normaux », que nous avons laborieusement construits et qui sont dissimulés derrière des façades socialement acceptables ou les convenances qui régissent nos interactions quotidiennes. Vous ressentez instantanément de l’amour, le plus pur, l’« Agapé » du grec ancien. Et oui, notre société est malade : elle privilégie la surface au détriment de la substance. Nous sommes tous handicapés. Et maintenant, quelle est la suite ? Le film pourrait faire bouger les lignes, comme « le 8e jour » à l'époque, pour accélérer l’inclusion et effacer les discriminations. Suffisamment ? Sans doute pas. Mais gardons espoir. La mise en lumière est souvent le premier pas déclencheur des changements indispensables. Et vous, avez-vous vu « Un p’tit truc en plus » ?
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