Post de Ecobank Sénégal

𝗦𝗔𝗡𝗧𝗘: Le Tchad, à l'instar des autres pays du monde célèbre ce 1er décembre la journée de lutte contre le SIDA. Sous le thème "Suivons le chemin des droits", cette journée est une occasion de sensibiliser le public, d'évaluer les progrès réalisés et de renouveler les engagements dans la lutte contre cette maladie dévastatrice. #mrtvtchad #mrtv #Tchad #SIDA

Journée mondiale de lutte contre le sida A l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le sida, sous le thème "𝗦𝘂𝗶𝘃𝗼𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗰𝗵𝗲𝗺𝗶𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀”, Nous unissons nos voix pour sensibiliser et rappeler l'importance de la solidarité 💪, de l'éducation et de la lutte contre la stigmatisation. En tant qu'acteurs du droit, nous croyons fermement que chaque individu mérite d’être traité avec dignité et respect. #𝘾𝒂𝙗𝒊𝙣𝒆𝙩𝑴𝙚𝒎𝙥𝒉𝙞𝒍 : S’e𝑛𝑔𝑎𝑔𝑒𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝒗𝒐𝒔 𝒑𝒓𝒐𝒋𝒆𝒕𝒔, 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑢𝑛 𝑀𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝐶ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒.

Les activités de lutte contre le paludisme doivent être suffisamment soutenues par l'adhésion et l'appropriation des communautés bénéficiaires principaux des financements et 'IEC/CCC joue un rôle primordial 

I🔉Conférence de presse Coordination SUD : contre les coupes budgétaires de l’#APD dans le projet de budget 2025. ✅ un coup très dur pour les populations les plus vulnérables de la planète : enfants, femmes, personnes criminalisés, population en situation de malnutrition ou sous nutrition, déplacés, handicapés, etc. ✅ une attaque contre les droits de ces groupes et personnes vulnérables, marginalisés ou criminalisés, contraire aux valeurs portées par la France 🇫🇷 à l’international. ✅ une action qui sabre les efforts pour répondre aux besoins et crises humanitaires majeures dans le monde pour cause de conflits, du réchauffement climatique ou raisons économiques et un signal désastreux et contradictoire donné aux partenaires de la France qui se targue pourtant d’être motrice dans l’aide humanitaire. ✅ une fragilisation de l’action des organisations de solidarité internationale françaises mais aussi de toutes les organisations partenaires de la société civile des pays où nous coopérons Restons solidaires et cohérents avec les engagements transpartisans pris par les gouvernements et les parlementaires au cours de ces trois dernières années ! Jean-Noël Barrot Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères AFD - Agence Française de Développement Groupe initiatives

Loin du regard des médias, le Sahel central (Mali, Niger et Burkina Faso) s’enlise dans une crise humanitaire sans fin. Conflits armés, déplacements massifs de population, instabilité sociopolitique et changement climatique y aggravant considérablement une détresse alimentaire endémique.  Cette crise humanitaire renforce largement la violation des droits des filles. Des millions d’entre elles sont contraintes d’abandonner l’école en raison des attaques de groupes terroristes. La perte d’accès à l’éducation compromet leur protection et les expose davantage aux violences sexistes et sexuelles, aux mariages forcés, aux grossesses précoces, aux mutilations génitales et à l’enrôlement dans des groupes armés.  Avec l’aide de nos partenaires, nous agissons de manière gobale en mettant en œuvre des programmes de sécurité alimentaire mais aussi de prévention des violences liées au genre et de soutien psychosocial afin de protéger les filles. Découvrez comment nous apportons une assistance alimentaire au Sahel et y soutenons les femmes et les filles 👉 https://lnkd.in/e8YYp2aD #GirlsInCrisis #PourQueChaqueFilleSoitLibre #UntilEveryGirlisFree 💙

𝐉𝐨𝐮𝐫𝐧𝐞́𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐭𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐒𝐢𝐝𝐚 : 𝐄𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞, 𝐟𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 ! Aujourd'hui, à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le Sida, nous souhaitons rappeler que 𝐜𝐡𝐚𝐪𝐮𝐞 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐟𝐢𝐧 𝐚̀ 𝐥'𝐞́𝐩𝐢𝐝𝐞́𝐦𝐢𝐞 𝐝𝐮 𝐕𝐈𝐇. ❤️ À la CLINIQUE DU VAL D'AQUENNES, nous sommes convaincus qu’il est temps d’agir ensemble pour atteindre l'objectif des Nations Unies : 𝐳𝐞́𝐫𝐨 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐢𝐧𝐟𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐳𝐞́𝐫𝐨 𝐝𝐢𝐬𝐜𝐫𝐢𝐦𝐢𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐳𝐞́𝐫𝐨 𝐝𝐞́𝐜𝐞̀𝐬 𝐥𝐢𝐞́ 𝐚𝐮 𝐒𝐢𝐝𝐚. 💡 Selon l’ONUSIDA, 𝟑𝟖 𝐦𝐢𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞𝐬 𝐯𝐢𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞 𝐕𝐈𝐇 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞, mais des progrès incroyables sont possibles grâce à la prévention, aux dépistages réguliers et aux traitements antirétroviraux. 👉 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐞𝐫 ? ✔ 𝐅𝐚𝐢𝐭𝐞𝐬-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞́𝐩𝐢𝐬𝐭𝐞𝐫 : C’est gratuit, anonyme, et cela sauve des vies. ✔ 𝐒𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞𝐳 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐬 : Ensemble, brisons les tabous et encourageons la prévention. ✔ 𝐃𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐯𝐫𝐞𝐳 𝐥𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥’𝐎𝐍𝐔𝐒𝐈𝐃𝐀 : https://lnkd.in/eQiQi_cT Nous sommes là pour accompagner chaque étape de ce chemin, sans jugement, et avec bienveillance. Partageons, mobilisons-nous, et agissons. 𝐏𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮’𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞, 𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐒𝐢𝐝𝐚 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐬𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞. #JournéeMondialeDuSida #Solidarité #SantéPourTous #CliniqueduValdAquennes Alexandre Poison Laurie Sénéchal Clara Pontes

Face à la crise humanitaire causée par le blocus jihadiste à Dori et dans d'autres régions du Burkina Faso, plusieurs mesures ont été prises pour aider les populations affectées. Des organisations humanitaires telles que le Programme alimentaire mondial (PAM) et d'autres ONG fournissent une assistance alimentaire d'urgence pour répondre aux besoins immédiats des personnes touchées par le blocus. Cela peut inclure la distribution de rations alimentaires, de produits de première nécessité et de suppléments nutritionnels.  Des efforts sont déployés pour fournir un approvisionnement en eau sûr et fiable aux populations touchées par la pénurie causée par le blocus. Cela peut impliquer la réparation des infrastructures d'eau endommagées ou la mise en place de systèmes de distribution alternatifs. Les autorités nationales et les organisations internationales travaillent à garantir un accès sûr et sans entrave aux zones affectées par le blocus, permettant aux travailleurs humanitaires de fournir une assistance vitale aux populations locales. Cela peut nécessiter des négociations avec les parties en conflit pour obtenir des garanties de sécurité.  Des mesures sont prises pour protéger les civils contre les violences et les abus perpétrés par les groupes armés. Cela peut inclure le renforcement des mécanismes de sécurité, la mise en place de zones de sécurité et la fourniture de soutien psychosocial aux survivants de violences. En plus de l'aide humanitaire d'urgence, des initiatives de développement économique sont mises en œuvre pour renforcer la résilience des communautés locales et réduire leur dépendance à l'égard de l'aide extérieure. Cela peut inclure des programmes de création d'emplois, de formation professionnelle et de relance économique. Ces mesures visent à atténuer les souffrances des populations affectées par le blocus jihadiste au Burkina Faso et à renforcer leur capacité à faire face à la crise à long terme. Cependant, des défis persistants subsistent, notamment en raison de l'insécurité persistante dans la région et du besoin continu de ressources pour soutenir les efforts humanitaires et de développement. De plus, les efforts humanitaires pour fournir une assistance aux populations touchées sont entravés par les difficultés d'accès à la ville. Les humanitaires rencontrent des obstacles pour atteindre les personnes dans le besoin et fournir une aide vitale en raison du blocus et de l'instabilité qui y est associée. 

Trêve au Liban : Médecins du Monde salue l'accord et appelle à un cessez-le-feu durable: Israël a annoncé le 26 novembre au soir l'instauration d'une trêve de 60 jours, entrée en vigueur ce matin. Cette décision donnera un peu de répit à la population libanaise après plusieurs mois de violentes hostilités. Médecins du Monde salue cet accord et appelle à un cessez-le-feu durable au Liban et à Gaza. Les combats s'arrêtent temporairement, mais la crise humanitaire continue. Cette accalmie est une opportunité d'accéder aux zones les plus sinistrées et aux populations les plus affectées. Elle permet d'identifier les besoins des Libanais et des réfugiés syriens et palestiniens pour répondre aux urgences de santé primaire et de santé mentale. Toutefois, les équipes de Médecins du Monde sont contraintes de poursuivre leurs activités tout en se préparant à une éventuelle reprise des combats. « Une trêve n'est pas suffisante. De plus, la violence au Liban (...) - Médecins du Monde / Solidarité internationale / ONG / Coopération, Médecins du Monde, Liban, réservé aux abonné.e.s, Jean-François Corty

Le monde dans lequel nous vivons semble avoir perdu quelque chose d’essentiel. Les souffrances des plus faibles, les injustices flagrantes, les cris des opprimés sont devenus des bruits de fond, étouffés par une humanité trop occupée ou trop indifférente. C’est comme si nous avions oublié ce qui fait de nous des êtres humains : la capacité de distinguer le bien du mal, de ressentir la douleur des autres comme si c’était la nôtre. À force de détourner les yeux, nous jouons avec un équilibre plus grand que nous, un équilibre qui, tôt ou tard, finit toujours par reprendre ses droits. Pensez-y. Combien d’explosions avons-nous vues dans notre histoire récente ? Des guerres, des attentats, des destructions aveugles qui n’ont laissé derrière elles que des ruines, des larmes et de la haine. Mais il existe une explosion différente, celle qui a tout commencé : le Big Bang. C’était une explosion de création, de naissance, qui a donné forme à l’univers, à la vie, et à tout ce que nous connaissons. Alors, imaginez une seconde. Si cette force première, capable de créer l’infini, décidait de se manifester à nouveau, mais cette fois pour rétablir ce que nous avons déséquilibré ? Ce n’est pas une menace cosmique lointaine, c’est un rappel. Un rappel que nous ne sommes pas les maîtres de tout, que nous avons une responsabilité envers ce monde et envers nous-mêmes. Car si nous continuons à ignorer les injustices, à tourner le dos à ce qui est juste, qu’est-ce qui nous garantit que cette force créatrice ne pourrait pas, un jour, choisir une autre voie ? Pas pour donner la vie, mais pour reprendre ce qu’on ne sait plus protéger. Ce n’est pas une question de foi ou de science. C’est une question de bon sens, de cœur, d’humanité. Nous sommes à un tournant. Et si nous ne reprenons pas conscience de ce qui compte vraiment, alors peut-être qu’un jour, quelque chose de plus grand que nous viendra nous rappeler que nous ne sommes qu’un souffle dans cet immense univers

Dans l'enclave de Gaza, la situation humanitaire s'aggrave de jour en jour, avec désormais la famine qui guette, particulièrement dans le nord, comme l'alerte l'ONU. Carl Skau, directeur exécutif adjoint du Programme alimentaire mondial, a mis en garde contre une famine imminente si aucune action n'est prise. Les données de l'Unicef du 17 février montrent que 15,6 % des enfants de moins de deux ans souffrent de malnutrition aiguë, et près de 3 % d'entre eux de malnutrition sévère, ce qui les expose à un risque élevé de mortalité. Ces chiffres, selon William Hennequin de Médecins sans frontières, sont d'autant plus alarmants qu'ils sont comparables à ceux de l'Afrique subsaharienne, alors qu'avant le conflit, la malnutrition n'était pas présente dans la région. Le dernier conflit, déclenché le 7 octobre suite aux attaques du Hamas, est d'une ampleur sans précédent, avec un bilan humain qui pourrait dépasser les 30 000 morts selon le ministère de la Santé de Gaza, un chiffre jugé crédible par les ONG sur place. La population, estimée à plus de 2,3 millions d'habitants, est piégée dans l'enclave, les frontières étant fermées ou très difficiles à franchir. La situation à Rafah est particulièrement critique avec 1,4 million de personnes déplacées, vivant dans des conditions précaires, souvent sur la plage, en attente d'une aide humanitaire sporadique. Les accusations de blocage systématique de l'aide par Israël, formulées par l'ONU, sont réfutées par le vice-ambassadeur israélien à l'ONU, Jonathan Miller, qui pointe du doigt l'inefficacité des Nations unies. Le conflit a également conduit à une augmentation des pillages des convois d'aide, exacerbant l'urgence humanitaire. Dans ce contexte, le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, menace d'une offensive terrestre qui, selon lui, permettrait une victoire rapide, une perspective qui inquiète tant les Gazaouis que les Etats-Unis, alliés d'Israël. Les négociations pour une trêve se sont intensifiées avec l'implication de William Burns, directeur de la CIA, des services de renseignement israélien et égyptien, et du Premier ministre qatari, Mohammed ben Abderrahmane al-Thani. Le plan proposé envisage un cessez-le-feu temporaire pour échanger des otages du Hamas contre des prisonniers palestiniens. Le Hamas demande également l'autorisation pour l'entrée quotidienne de 400 à 500 camions d'aide humanitaire. Malgré un certain pessimisme, le gouvernement qatari espère un accord avant le ramadan.