Post de École des Métiers d'ART

💡 Festival de Cannes 2024 : la croisette s’empare des enjeux de l’actualité française et internationale ! Découvrez l'analyse de Marie Guyomarc'h, qui décrypte les différentes #tendances identifiées lors du #FestivaldeCannes, grâce à Visibrain ! Chiffres clés, moments phares, marques et créateurs de contenu les plus influents… Pour en savoir plus, c'est juste ici : https://lnkd.in/eNTfz96J

Retrouvez Caravane des Dix mots Caravane des Dix mots à cette journée de rencontre régionale.

  Sophie Clauwaert, Art Advisor de Puilaetco, était l’invitée de la séquence Parole d’Expert de l’émission "Parlons Cash" sur LN24, présentée par Charlotte Baut. Investissement passion, l’art est bien présent en Belgique, pays de collectionneurs. Voici 5 bonnes pratiques à mettre en œuvre avant de succomber au coup de cœur : - S’informer, visiter des galeries, expositions et musées, poser des questions à des professionnels. - Se fixer un budget maximum. - Diversifier le type d’œuvres et les artistes si on veut "collectionner". - Commencer petit pour "se faire la main", en allant dans des foires plus accessibles en termes de prix. - Oser revendre une œuvre qui ne nous émeut plus, car les goûts personnels évoluent avec le temps.   👉 Interview à écouter en replay : https://lnkd.in/e2gCz_sJ #Puilaetco #Quintet #BanquePrivée #Investir #art #collection

[PAROLES DE DIRECTRICE] [ECOMUSEE DE L'AVESNOIS, DEPUIS 2018] [LE MUSEE ET LE POLITIQUE] [ECORESPONSABILITE] Quand je suis arrivée à la direction de l'écomusée en 2018, j'ai trouvé une structure vivotante sur une gloire passée, un héritage fort mais lourd... une trop grande proximité entre la structure et le politique, des partenaires institutionnels frileux. J'ai aussi découvert: - un patrimoine industriel incroyable, - une équipe géniale, mais ayant besoin d'être managée voire remuée, car ayant pris des mauvaises habitudes, - des collections encyclopédiques sur l'histoire industrielle de l'Avesnois mais non gérées par une politique des collections Musée de France non professionnelle... (absence de contrats de dons, des centaines de dons accumulés en réserves, des dons non documentées, des photocopies aussi bien conservées que des collections Musée de France...) Conséquences: contributions réduites, les partenaires frileux, pas de marge financière pour réaliser des projets. Mes priorités sont restées les suivantes: Sur le plan du management et de la stratégie: - sauvegarder les emplois par une gestion de la masse salariale fine, et prudente, - retrouver une marge financière culturelle et de construire une structure pérenne, - relancer l'écomusée dans une dynamique de projets, avec Devassine cartignies et Corinne Leclerqc, main dans la main, avec l'association des Amis de l'écomusée de l'Avesnois; - mobiliser l’équipe sur du projet et du positif pour recréer une dynamique de travail et créative; - écrire des nouveaux axes de développement du musée pour un projet scientifique et culturel ambitieux, - renouer avec les partenaires institutionnels et historiques comme la FEDERATION DES ECOMUSEES ET MUSEES DE SOCIETE ou Musenor et leur redonner confiance, - convaincre par les projets et les résultats petit à petit; - remettre la structure dans un terrain de neutralité politique. Sur le plan des collections Musée de France: - réécrire une politique d'acquisitions des collections Musée de France en lien avec les projets notamment d'expositions et d'éditions; - libérer des espaces pour recréer des espaces de réserves optimisés; - ouvrir le musée au champ de la création et du design par l'organisation de résidences textile et verre. Sur le plan de la politique des publics: - recréer une politique d'expositions temporaires et d'éditions Beaux-Libres et numériques ambitieuses et donc recréer des espaces d'expositions qui avaient disparu du fait d'expositions temporaires devenues permanentes... - développer la démarche d'accessibilité universelle et de médiation à destination des publics les plus larges; - recréer des liens avec des partenaires culturels, touristiques ou économiques pour positionner à nouveau l' Ecomusée de l'Avesnois comme un acteur de premier plan. Laurent Nachbauer Eric Fossey Emeline P. Noémie Lechat Mathilde TROTIN #MuséeEtManagement #MuséeEtHéritage #MuséeEtAssociationsDAmis #fourmies #trélon #régionHautsDefrance

Cet événement qui a levé des centaines de millions de dollars peut (peut-être) être la solution pour sauver l’industrie culturelle française 💃 Cet événement c’est le MET Gala. Un événement incontournable du milieu de la mode qui a lieu tous les ans à New York. Cet événement, organisé par le Costume Institute est souvent considéré comme la cérémonie des Oscars de la côte Est (sans les films 🥲). Trop marketing pour les uns, mise en avant de stars et commentaires des robes les plus belles ou les plus disgracieuses pour les autres, cet événement est surtout l’occasion de cerner les tendances mode de l’année à venir et de mettre les créateurs à l’honneur. Ça dicte le ton dans l’industrie ! Et cette année, on en a beaucoup parlé en France parce que deux françaises y étaient présentes : Léna Situations et Aya Nakamura. Alors est-ce que ce sont ces deux invitations qui vont sauver l’industrie culturelle française ? Pas vraiment. Même si grâce à elles, la culture française rayonne à l’international, c’est plutôt le mode de financement du MET Gala qui est intéressant. Parce que le MET Gala sert avant tout à financer le Costume Institute. L’événement est l’occasion de gagner beaucoup d’argent. Si les personnalités sont invités pour garder le prestige intact les autres participants doivent payer leur table 75 000$ la place et 350 000$ pour une table de 10 personnes. 225M d’euros ont été collectés depuis 1995. Ça dégouline tellement d’argent que l’institut finance même une partie du musée dont il fait partie. D’un problème de financement culturel les américains en ont fait un événement planétaire. Il serait bien d’en tirer des leçons pour certains de nos musées dont on sait qu’ils sont tous les jours menacés par des fonds publics de plus en plus faibles. À quand le MET Gala en France ? Une forme de Festival de Cannes caritatif en somme. Il n’y a pas de sous-culture 🏹

🎨 Avez-vous déjà exploré la richesse artistique de l'Outre-mer ? Du 2 février au 2 juin 2024, Marseille devient le phare culturel des scènes ultramarines avec une saison exceptionnelle à la Friche la Belle de Mai. La Friche la Belle de Mai célèbre l'Outre-mer avec un programme varié : expositions, débats, performances, et festivals. Cette initiative s'inscrit dans le prolongement du "Pacte pour l'émergence et la visibilité des artistes ultramarins" et promet de révéler la diversité et la vitalité de ces territoires. 🗣️ Les œuvres exposées invitent à un dialogue entre mémoire collective et récit personnel, interrogeant des thèmes tels que l'identité, le passé colonial, et la représentation. L'exposition "Des grains de poussière sur la mer" et "Astèr Atèrla" offrent un nouveau regard sur les Antilles et La Réunion, loin des clichés. Les festivals Hip Hop Society et #1 Convergences sont des rendez-vous incontournables pour les amateurs de culture ultramarine. Ces événements mettent en lumière les expressions artistiques dynamiques de ces régions, dans une ville qui a longtemps été la porte d'entrée de l'Outre-mer en métropole. 🤔 Comment pensez-vous que l'art peut contribuer à redéfinir les perceptions des territoires ultramarins ? Partagez vos réflexions et rendez-vous à la Friche la Belle de Mai pour une immersion culturelle unique ! #ArtOutreMer #MarseilleCulture https://lnkd.in/esagtccK

Exposition Y-cons BLEUES d'YSY : Un Succès Retentissant! 🎨 L'exposition "Y-CONS BLEUES " d'YSY a bénéficié des 40 000 visiteurs quotidiens du Club France sur 16 jours, atteignant ainsi un total impressionnant d'environ 650 000 visiteurs !🌟 À titre de comparaison, l'exposition " Warhol x Basquiat " de la fondation Louis Vuitton a enregistré 662 016 visiteurs sur 127 jours. Bien évidement les visiteurs du club France au contraire de ceux d’un musée étaient là avant tout pour soutenir les Bleus mais il est impossible que les visiteurs n’aient pas vu au moins 1 des 87 tableaux au Club France 🇫🇷 Sur le marché de l'art, qui fonctionne selon les lois de l'offre et de la demande, cette affluence exceptionnelle est un indicateur clé. Pour faire monter la cote d'un artiste, il est essentiel de stabiliser l'offre tout en augmentant la demande. Et pour augmenter la demande, rien de tel que de booster la notoriété et la visibilité. 📸 Avec 650 000 visiteurs, YSY a marqué les esprits et renforcé sa visibilité sur le marché de l'art contemporain. 🚀 Youssef Sy #ArtMarket #YSY #Exposition #ArtContemporain #Notoriété #Visibilité #YconsBleues

Retrouvez toutes nos informations sur notre cycle de formation sur la lutte contres les discriminations dans Journal Zébuline

EXPOSITION MEXICA À PARIS Le musée du Quai Branly est un musée engagé. Nous nous rappelons bien que le président Jacques Chirac a annoncé en 1996 la création d’un « musée des Civilisations et des Arts premiers » qui a été inauguré le 14 juillet 1998. Nous étions invités et parmi les personnalités de l’Amérique latine figurait en premier plan Rigoberta Menchú. Le musée est né avec l’objectif de préserver et valoriser la diversité des cultures à travers le monde. Alors que la destruction des écosystèmes menace toujours plus la pérennité des cultures, le musée assume une responsabilité particulière en matière environnementale. Le musée endosse aussi une responsabilité sociale et sociétale forte, à travers les objectifs d’égal accès aux arts et aux savoirs, d’accessibilité au plus grand nombre et, plus largement, de lutte contre toutes formes de discriminations. Pour ces raisons, les exigences du développement durable, dans ses volets environnementaux, sociaux et sociétaux, imbibent l’ensemble des actions du musée, à travers une politique globale toujours plus exigeante. Depuis sa création, l’Amérique latine a tenu toujours une place et l’exposition Mexica que vient d’ouvrir fait partie d’une longue série d’expressions venues du sous-continent latino-américain.

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