Post de Edelweiss France

➡️ Le calendrier des grands prix d’automne 2024 🔎 La rentrée littéraire, forte de 459 romans cette année, sera comme de coutume jalonnée des sélections des grands prix d’automne avant leur proclamation autour de la Toussaint. Voici le calendrier des dates importantes pour ce millésime 2024. #prixlitteraire #calendrier

Plus de 400 nouveautés, lors d'une rentrée littéraire !! Obésité ou overdose du secteur de l'édition ? On peut se réjouir d'une telle vitalité culturelle. Quelle chance d'avoir accès à un tel catalogue ! Mais n'oublions pas aussi que ces périodes de #rentréelittéraire grossissent les traits d'un modèle de l'édition qui atteint les limites du système. 🔴 Trop de titres pour que les #libraires puissent faire leur travail correctement. 🔴 Une pression commerciale des grandes maisons d'édition, soutenue par un #marketing bien nourri. 🔴 Un système de dépôt-retour qui enferme de plus en plus les libraires dans des relations commerciales contraintes. Pourtant, des solutions existent.  En témoigne la démarche de plusieurs libraires qui, à l'initiative de l'Association pour l'écologie du livre, ont expérimenté une trêve des nouveautés lors de la dernière rentrée littéraire de septembre. 👏👏👏 Et sans baisse de chiffre d'affaires !! Tiens, tiens, le modèle en place ne serait pas la seule voie possible pour l'#éditionlittéraire … Merci Mathilde Charrier Mélanie Mazan Anais Massola Article à lire : https://lnkd.in/eZxaqA_y

📢 Le 12 août 📚 est une date clé pour mes clients, Les Librairies indépendantes du Québec, coopérative. Cette année, ils ont une nouvelle fois battu leurs propres records 🚀 avec une augmentation impressionnante de +38 % des ventes! Félicitations à toute l’équipe! 👏 Cet exploit est le reflet d’une stratégie de communication et de marketing parfaitement pensée et exécutée. Un véritable modèle de réussite! Quel est, selon vous, le secret de leur succès? #LibrairiesIndépendantes #SoutienLocal #Lecture #Succès #Marketing #Innovation #LibrairiesIndépendantes #DialogInsight #StratégieGagnante #Emailmarketing

🍷 Rentrée littéraire et Beaujolais nouveau, même combat. 📕 ❓ Qui en boirait/lirait sans battage médiatique ?* Depuis quelques années, le nombre des parutions de romans de "rentrée" (publiés entre la mi-août et le mois d'octobre) est passé sous la barre des 500. Ce sont ainsi 459 romans qui vont paraître en cette fin d'été/automne. 🏥 Mais les libraires paniquent déjà : "le mercredi 21 et le jeudi 22 août, ce sont près d'une centaine de romans qui sortent simultanément". Sachant qu'il y a déjà eu 38 743 nouveautés en 2023 et 72 760 réimpressions ! ❓ Pourquoi toujours autant, alors ? Parce que. 💰 Le secteur du livre est le seul où, à la baisse de la demande a répondu, au fil des décennies, une hausse drastique de l'offre ! 📚 A la rentrée, sur ces 459 romans, combien atteindront des niveaux de vente acceptables ? Une cinquantaine. C'est ce qu'on appelle la "dialectique du tube et du catalogue", reposant sur le succès de quelques-uns, parmi une liste pléthorique de titres. 💵 Pour rappel, en 2013, la bombe marketing "Cinquante Nuances de Grey" avait à elle seule permis l'augmentation de 5,5 % du chiffre d'affaires de Lagardère Publishing (troisième groupe mondial d'édition). 🔢 Voilà, quelques chiffres, qui sont toujours tellement incroyables à mettre en regard avec ce que vivent au quotidien, dans leurs comptes, la plupart des maisons d'édition, la plupart des auteurs, la plupart des acteurs du livre, dans cette économie du prototype qu'est l'édition : prise de risque majeure, avec des coûts de production (frais de création de contenus), de reproduction (fabrication), et de promotion toujours élevés, sans aucune garantie de succès... Ou presque. *comparaison issue de la présentation de Bertrand Legendre, professeur en sciences de l’information et de la communication, Université de Paris XIII, en 20165 aux Ateliers du Livre de la BNF, consacrés au phénomène de la rentrée littéraire #rentréelittéraire #livres #marketing

Dans quelques jours les gagnants seront connus, mais toute la sélection vaut la peine d’être découverte 👍 la particularité du prix est de mettre en avant les belges dans la littérature ados, qu’iels soient auteurices, éditeurices, traducteurices 🇧🇪📚📖❤️ #prixpremierevictor #litteratureados #litteraturebelge #prixlitteraire #lirepartouttoutletemps

Depuis plus de trois décennies, la publicité télévisée pour les livres en France est un sujet clos, interdit par consensus. Cependant, un récent décret expérimental proposé par la ministre de la Culture, Rachida Dati, a suscité des réactions mitigées au sein de l'industrie éditoriale, notamment de la part d'Antoine Gallimard, président de Madrigall, et de Denis Olivennes, président non-exécutif d'Editis. Antoine Gallimard craint une menace pour la diversité éditoriale due à une visibilité accrue pour seulement quelques titres. Il préconise le retrait du décret et appelle à une réflexion apaisée pour préserver la pluralité du marché des livres. La députée Aurore Berger, à l'origine du décret, avait auparavant suggéré une augmentation des émissions littéraires sur les chaînes publiques, une idée soutenue par le secteur. Cependant, l'étude du Syndicat national de l'édition de 2008 indique une diminution des émissions dédiées au livre, malgré les 338 heures consacrées à la promotion des livres en 2007-2008. L'exemple du succès des émissions littéraires aux États-Unis, comme celle d'Oprah Winfrey, soulève la question du potentiel d'un tel format en France. François Busnel et son émission "La Grande Librairie" illustrent le pouvoir prescripteur de ce type de programme, bien que les producteurs se questionnent sur la viabilité financière en l'absence de revenus publicitaires. La pétition de novembre 2019, signée par l'ensemble de l'édition, réclamait davantage d'émissions littéraires à la télévision, reflétant la déception face à la réduction des programmes dédiés sur les chaînes publiques. Denis Olivennes rejoint Antoine Gallimard dans ses réserves, pointant le risque d'une concentration accrue du marché sur les best-sellers, au détriment de la diversité. Il suggère plutôt d'investir dans des programmes télévisuels qui encouragent la lecture pour tous. Le décret soulève également des préoccupations concernant les relations entre auteurs et éditeurs, avec la crainte que les investissements publicitaires ne soient rentables que pour les auteurs à succès, creusant un écart financier et mettant en péril les petites maisons d'édition.Les acteurs du secteur craignent une distorsion du marché, favorisée par la puissance financière de grands groupes comme Vivendi.

[Analyse] Que nous réserve la rentrée littéraire cette année ? Quels sont les livres incontournables? Quelles tendances se dégagent de ces près de 500 nouveautés ? Notre analyse : https://lnkd.in/eWgujDPN #rentréelittéraire2024 #tendance #Edition2024 #librairie #ecrivains

Appel aux défenseurs de la lecture ! 📢 Cher réseau... Comment mettre xenia au service des #librairies dans leurs différentes missions ? 🔎 pour repérer des ouvrages qui assurent une diversité de l’offre, issus de plus petites maisons d’édition 🦮 pour guider les client·e·s vers des #livres qui répondent à leurs attentes y compris émotionnelles 🎤 pour animer un espace d’échange avec leurs communautés   C’est ce que nous explorons pendant un mois, avec l’aide précieuse de James Visva et Arnaud Morales.   Ils sont à la recherche de #libraires volontaires pour réaliser des entretiens, dans leur #librairie ou en visio, qui dureront environ une heure.   Vous êtes #libraire ou vous connaissez des libraires curieux·se et aimant partager leur passion ?   Mettons-nous en relation ! sylvie rebillard Héloïse Pellizzoni Eric Samson Centre national du livre Syndicat de la librairie française Place des Libraires Les Librairies indépendantes du Québec, coopérative Librairie Maupetit MAUPETIT LIBRAIRE Librairies Indépendantes en Nouvelle-Aquitaine (LINA) ALIDO - Association des Librairies Indépendantes d'Occitanie Association les libraires d'en haut

Nouvelle baisse des parutions de livres pour la rentrée littéraire 2024 ; mais c'est encore trop pour les libraires !🤔 La rentrée littéraire 2024 se distingue par une diminution du nombre de nouvelles publications. Les éditeurs prévoient de sortir 459 romans cet automne, soit 1,5% de moins que l'année dernière. Cette baisse, bien que modeste, est la troisième consécutive. 📚 Les libraires, cependant, estiment que cette réduction est insuffisante. Ils déplorent la surabondance de nouveautés, rendant la gestion des stocks compliquée. Par exemple, près de 100 romans sortiront les 21 et 22 août, rendant leur mise en rayon immédiate impossible. 📈 Amanda Spiegel, vice-présidente du Syndicat de la librairie française, appelle à une baisse drastique de la production de livres pour des raisons professionnelles et environnementales. Elle souligne que le nombre de nouveautés a quadruplé depuis les années 80, malgré un lectorat en baisse. 🌱 Les éditeurs sont réticents à cette idée, craignant de perdre des auteurs fidèles ou de nouveaux talents. Malgré tout, certains comme Hachette et Editis envisagent de réduire progressivement leur production. À suivre !📖 Ministère de la Culture Syndicat de la librairie française Hachette Livre Editis #culturadvisor #culture #livres #lire #lecture #nouveautés #rentreelitteraire2024 #éditeurs #libraires #baisse #production #publications #diminution #syndicatdelalibrairiefrançaise #hachette #editis #surabondance

Halte au feu ! La concurrence que se livrent les deux groupes d'édition principaux depuis plusieurs années a engendré un fléau : la surproduction. Hausse du nombre de livres édités autour de 300 % par rapport aux années 1980 alors que le lectorat stagne, voire se réduit. Les conséquences sont graves. Paupérisation des auteurs, réduction des tirages, forte rotation des livres ( titres qui disparaissent des tables en trois semaines), baisse de qualité des ouvrages ou multiplication de titres similaires (on ne compte plus les livres de coaching et autres bouquins gadgets), course au primo auteur jeté en pâture à la rentrée littéraire et dont la carrière n' ira pas au-delà du deuxième titre, représentants débordés par les livres à défendre, maisons d'éditions indépendantes qui mettent la clé sous la porte... c'est la curée. les seuls qui s'en sortent sont les auteurs populaires aux tirages monstrueux et quelques prix littéraires vendeurs. Il est urgent de réduire la production afin de conserver une pluralité de plumes et d'esprits. https://lnkd.in/e7TqExJn