Post de El Kaissi Driss

Depuis 2014, la notion d’uberisation désigne : « la remise en question de structures économiques traditionnelles par la mise en relation directe des clients et des prestataires, via des plateformes numériques ». Dix ans après les taxis, et à la suite de nombreux autres secteurs, c’est au tour du Private Equity et du financement de niches de se faire uberiser avec, entre autre, Wiseed (entreprises industrielles) ou la plate-forme Colibri du Cluster Eden (entreprises de Défense). Pour être propice à l’uberisation il faut qu’un marché fasse l’objet d’une « rente », qu’il soit disfonctionnel et qu’une plateforme génère des gains (productivité/economies) par la structuration qu’elle opère. Pour le secteur du scale-up/de l’industrialisation ou des PME /ETI de défense, le sujet peut sembler pertinent puisqu’il connaît une crise du financement et qu’il est nécessaire de le standardiser et de l’agréger pour permettre l’usage rentable des techniques modernes de financement et de suivi des entreprises. Il s’agit donc de disrupter banques d’affaires, cabinets spécialisés et autres intermédiaires pour rapprocher ceux qui ne trouvent pas de financements auprès des guichets traditionnels, de ceux qui espèrent maximiser leur retour sur investissement en réduisant les frais liés aux interventions desdits intermédiaires. Cela devrait conduire à une démocratisation et une automatisation de leurs service concomitante à leur baisse de valeur. Heureusement, avec l’IA… Néanmoins, il est une loi d’airain « le conseil vaut le prix qu’il coûte » 😁. https://lnkd.in/eJ2-WEfc

📊 France Digitale publie son baromètre annuel sur la performance des startups françaises et des fonds de capital-risque. Des financements compliqués à aller chercher, l’urgence de la profitabilité et l’intégration de l'IA dans les process internes. 🔎 Découvrez quelles sont les tendances côté startups et fonds d’investissement.

DÉCRYPTAGE. La lecture fantasmée de la valorisation des entreprises, c’est fini ! Le monde des startups et des jeunes entreprises est de retour dans l’économie réelle, avec à la clé une crise des financements depuis la mi-2022. Sur le territoire rennais, où des pépites comme Alcyconie revendiquent un modèle différent, les startups restent modestes mais ne rognent ni leurs ambitions commerciales ni leur envie d’impact.

Entrepreneurs, préparez vous à bien négocier vos valos 🥲 L'année 2023 avait déjà été rude sur les valos avec un retour de bâton des années folles (cc 2021-2022), et 2024 semble ne pas changer de cap, mais pourquoi ? 💥 Les startups ayant levé un premier tour en 2021-2022 peuvent avoir besoin à nouveau de lever des fonds, mais surement à une valo moindre... 💥 Qui dit valo moindre, dit moins d'incentives pour les founders qui se démènent pour atteindre la rentabilité. 💥de plus en plus de création d'entreprises (2020 : 900k créations d'entreprises VS 2023 : 1,2M créations d'entreprises) mais une croissance des fonds pas aussi rapide... 💥 CQFD - plus de startups pour une tirelire qui n'a pas grossit : la demande de fonds explose de la part des startups. Pour autant, est-ce si mauvais pour l'écosystème ? Les projets pas assez rentables vont disparaitre, seul les meilleurs vont sortir du lot, peut-être avec un peu de casse quand même... Rien n'est fait mais 2024 promet d'être une année à suivre de près 🧐 Source : Pitchbook.com - https://lnkd.in/dqWPxw8y

#StartUp #defaillances Consulter en amont même si c’est contre intuitif dans le modèle économique des start up qui sautent de liane ( levee de fonds ) en liane en accumulant les periodes de l’exploitation déficitaire qui risquent de se retourner sur le #dirigeant.

𝐑𝐞́𝐜𝐚𝐩𝐢𝐭𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐟 𝐇𝐞𝐛𝐝𝐨𝐦𝐚𝐝𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐋𝐞𝐯𝐞́𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐅𝐨𝐧𝐝𝐬🚀 Cette semaine a été marquée par des succès significatifs dans le monde des startups et des investissements. Voici un aperçu des entreprises qui ont réussi à lever des fonds pour propulser leurs innovations vers de nouveaux sommets :

Le #gogogo du vendredi au CEIM, nous ne bâtissons pas de licorne, car notre objectif est d’avoir des entreprises pérennes au Québec et au Canada, nous agissons comme catalyseur de croissance, afin d’aider les entrepreneurs des #startups à atteindre rapidement leur premier million de vente. Je vous suggère de lire l’article d'Erin Griffith du Newyork Times Worldwide news, après avoir évité un échec massif en réduisant les coûts au cours des deux dernières années, de nombreuses entreprises technologiques autrefois prometteuses sont désormais sur le point de manquer de temps et d’argent. Elles sont confrontées à une dure réalité : les investisseurs ne s’intéressent plus aux promesses. Ce sont plutôt les sociétés de capital-risque qui décident quelles jeunes entreprises valent la peine d’être sauvées et incitent les autres à fermer ou à vendre, révèle un article du New York Times : From Unicorns to Zombies: Tech Start-Ups Run Out of Time and Money - The New York Times (nytimes.com)

Alors que l'écosystème des start-up subit une crise des financements depuis deux ans, les start-up doivent s'adapter à cette période d'incertitudes. Pour survivre, certaines pivotent, comme Zefir, qui a changé radicalement de modèle.

On parle beaucoup des startups qui lèvent des fonds. Mais qu’en est-il de celles qui galèrent à convaincre les investisseurs ? Et si toutes les startups financées n’avaient pas des projets si exceptionnels… et si les projets qui peinent à lever des fonds n’étaient pas si mauvais ? Parfois, la conjoncture change la donne : aujourd’hui, sans le mot « IA » dans le pitch, c’est souvent mission impossible. Parfois, c’est juste une question de « look » du projet — même des startups rentables peuvent être mises de côté si elles ne sont pas jugées assez « sexy ». 👉 Finalement, lever des fonds n’est pas qu’une question de valeur, c’est une question de mode, de perception et d’alignement. Faut-il se réinventer pour suivre les tendances et obtenir des financements, ou rester fidèle à sa vision même si elle ne séduit pas les investisseurs ? Dites moi ce que vous en pensez en commentaire 👇