Post de El Kaissi Driss

🇲🇦🇲🇷 𝐋𝐨𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐫𝐞𝐧𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐫𝐞́𝐜𝐞𝐧𝐭𝐞, 𝐒𝐚 𝐌𝐚𝐣𝐞𝐬𝐭𝐞́ 𝐥𝐞 𝐑𝐨𝐢 𝐌𝐨𝐡𝐚𝐦𝐦𝐞𝐝 𝐕𝐈 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭 𝐦𝐚𝐮𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐢𝐞𝐧 𝐌𝐨𝐡𝐚𝐦𝐞𝐝 𝐎𝐮𝐥𝐝 𝐂𝐡𝐞𝐢𝐤𝐡 𝐄𝐥 𝐆𝐡𝐚𝐳𝐨𝐮𝐚𝐧𝐢 𝐨𝐧𝐭 𝐬𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐫𝐝𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐛𝐨𝐮𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞. La Mauritanie, sans ambiguïté, s’aligne sur le Maroc en intégrant le projet stratégique du gazoduc atlantique-africain reliant le Nigéria à l’Europe via le Royaume. Elle soutient également l’initiative royale marocaine pour ouvrir un accès direct des pays du Sahel à l’océan Atlantique, en autorisant une autoroute traversant son territoire jusqu’au port de Dakhla. Ce rapprochement historique met un terme aux manœuvres désespérées de l’Algérie, dont les visites répétées et les promesses vides de projets alternatifs se sont soldées par un échec total. Pire encore, les tentatives de déstabilisation via le Polisario, cette milice à la solde d’Alger, n’ont fait qu’isoler davantage le régime algérien. La Mauritanie a choisi le camp du pragmatisme et de la coopération efficace, loin des chimères algériennes. L’intégration de Nouakchott dans ces projets constitue une humiliation monumentale pour l’Algérie. Ses rêves d’un prétendu gazoduc concurrent avec le Nigéria s’évaporent face aux avancées tangibles du Maroc. De surcroît, les pressions des États-Unis 🇺🇸 et de la France 🇫🇷, conscients du rôle crucial du Maroc pour la stabilité du Sahel, ont renforcé cette dynamique. Avec un soutien militaire et des renseignements partagés entre Rabat, Washington et Paris, la Mauritanie sort de sa prudence pour agir avec courage. En participant à ces projets traversant le Sahara marocain, Nouakchott reconnaît implicitement la souveraineté pleine et entière du Maroc, fragilisant davantage le Polisario. Tout indique que la Mauritanie, face aux réalités géopolitiques et économiques, gèlera incessamment sous peu sa reconnaissance de ce pseudo-État, infligeant à l’Algérie 🇩🇿 un échec retentissant et confirmant la victoire éclatante du Maroc sur la scène diplomatique.

les deux ou trois prochaines années verront un bouleversement stratégique impressionnant dans la région qui va se tourner définitivement vers le développement et le bien-être des populations loin des bêtises idéologiques creuses et des pretendues puissances révolues...

La langue française regorge de subtilités qui enrichissent les nuances de pensée et d'expression. "Justice" et "justesse" illustrent bien cela : - **Justice** fait référence à l'équité, à la rectitude dans le traitement des affaires et des personnes selon des principes moraux ou légaux. - **Justesse**, quant à elle, évoque la précision, l'exactitude, ou la pertinence dans l'ajustement, les propos, ou les actions. Cette distinction met en lumière comment deux mots apparemment similaires peuvent conduire à des réflexions profondément différentes, chacun invoquant des aspects distincts de l'équité et de l'exactitude.

Que tout le monde sache, en détail, que le Royaume d'Arabie Saoudite a joué un rôle central aux Nations Unies pour défendre l'indépendance de l'Algérie. Le Royaume a été un fervent soutien de la cause algérienne, utilisant son influence et ses efforts diplomatiques pour mettre en lumière la lutte de l'Algérie pour sa libération. Dans les années 1950 et 1960, pendant la guerre d'indépendance de l'Algérie contre la colonisation française, l'Arabie Saoudite s'est distinguée comme l'un des pays les plus francs dans son soutien à la cause algérienne, que ce soit au sein de l'Assemblée générale des Nations Unies ou dans d'autres plateformes internationales. La délégation saoudienne a œuvré sans relâche pour sensibiliser la communauté internationale aux injustices et atrocités subies par le peuple algérien sous le joug colonial. Le Royaume a collaboré avec les pays arabes et les nations non-alignées pour faire pression sur la communauté internationale afin qu'elle reconnaisse le droit de l'Algérie à l'autodétermination. L'Arabie Saoudite a insisté sur le fait que l'indépendance de l'Algérie n'était pas simplement une question régionale, mais un enjeu de justice mondiale et de droits humains. Ce soutien indéfectible a grandement contribué à forger un consensus international qui a finalement conduit à l'indépendance de l'Algérie en 1962. Le rôle de l'Arabie Saoudite demeure un témoignage de son engagement envers l'unité arabe et les principes de libération et de souveraineté.

🇺🇳🇲🇦🇩🇿 Dans deux semaines, une échéance capitale approche : le 30 octobre 2024, le Conseil de sécurité des Nations Unies tiendra sa troisième et dernière session de l’année concernant le dossier du Sahara marocain. Cette réunion pourrait bien être décisive, car elle sera marquée par la présentation d’un rapport essentiel du Secrétaire général des Nations Unies aux 15 membres du Conseil, dont les cinq membres permanents, dont l’influence est prépondérante. Ce rapport, qui exposera les derniers développements, est attendu pour clarifier plusieurs points centraux de la question. Un élément particulièrement notable sera l’annonce officielle de la France, membre permanent du Conseil, qui déclarera, par le biais d’une lettre formelle, son soutien à la position des États-Unis en faveur de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Cette démarche constitue une étape significative dans l’évolution de ce dossier. Nous nous trouvons ainsi aux portes d’une possible résolution finale de cette question nationale. L’élan international en faveur du Maroc se renforce chaque jour davantage, soutenu par des actions concrètes sur le terrain. Le 30 octobre pourrait marquer un tournant historique, ouvrant la voie à la clôture définitive du dossier du Sahara marocain après des décennies de mobilisation diplomatique et politique. Cette session du Conseil de sécurité revêt donc une importance cruciale. Si l’adhésion croissante à la solution marocaine se confirme, cela pourrait aboutir à la reconnaissance pleine et entière de la souveraineté du Royaume sur son Sahara, confirmant ainsi la tendance diplomatique des dernières années. Un tel aboutissement aurait des implications géopolitiques majeures, tant pour la région du Maghreb que pour l’équilibre stratégique global.

Diplomatie parallèle : ultime levier à activer pour clore le dossier du Sahara ? Dans son discours du 11 octobre 2024 à l'ouverture de la session parlementaire d'automne, S.M. le Roi Mohammed VI a mis en lumière un aspect fondamental de la défense de la cause du Sahara marocain : la diplomatie parallèle. Alors que le Maroc enregistre des succès diplomatiques importants, le Souverain a appelé les partis politiques et les parlementaires à intensifier leurs efforts sur la scène internationale pour défendre la marocanité du Sahara. L'objectif ? Mobiliser toutes les forces vives du pays pour renforcer les acquis, contrer les manœuvres des adversaires, et s'assurer que la voix du Maroc résonne dans toutes les instances internationales. Pourquoi cette mobilisation est-elle devenue essentielle aujourd'hui ? Comment la diplomatie parallèle peut-elle compléter et renforcer la diplomatie officielle sur la scène internationale ? Hassan Alaoui, Directeur de publication de Maroc Diplomatique Jawad Kerdoudi, Président de l'#IMRI

➡️Rabat alerte sur les velléités belliqueuses d’Alger contre le Royaume 🤔 Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a alerté sur les velléités belliqueuses de l’Algérie qui serait prête à déclencher une guerre contre le Maroc. Des avertissements qui interviennent deux jours après les messages du roi Mohammed VI adressés au voisin de l’Est. Après les messages fermes du roi Mohammed VI dans son discours du 6 novembre, c’est au tour du ministre des Affaires étrangères de mettre en garde le voisin de l’Est contre toute tentative de mener une guerre contre le Maroc. Un avertissement énoncé lors de la présentation, ce vendredi 8 novembre, devant la Commission des Affaires Étrangères, de la Défense Nationale, des Affaires Islamiques, de la Migration et des MRE de la Chambre des Représentants, du projet de budget sectoriel de son département au titre de l’exercice financier 2025.   Nasser Bourita a affirmé qu’il y a des «indicateurs attestant de la volonté de l’Algérie de déclencher une guerre dans la région et une confrontation militaire avec le Maroc». Le chef de la diplomatie a souligné que l’Algérie cherche actuellement «l’escalade» et à entrer dans une «confrontation» avec le royaume.   Une éventuelle guerre serait la réponse algérienne aux acquis réalisés par Rabat sur la scène internationale sur le dossier du Sahara, dont notamment la reconnaissance par la France de la marocanité de la province, a précisé le ministre. Une rupture par rapport aux traditionnels communiqués de réprobation.   Une escalade pourrait donner à Alger une occasion de détourner l’opinion publique de la crise politique et économique qui frappe le pays depuis 2019, notamment le hirak ou encore la pénurie des produits de première nécessité, en activant la carte de l’«ennemi historique». Une opinion conditionnée par la «guerre médiatique» devenue une réalité quotidienne. Dans son discours du 6 novembre, le roi Mohammed VI a en effet pointé du doigt «ceux qui se servent de l’affaire du Sahara comme paravent pour couvrir leurs nombreux problèmes domestiques».

Amusante coïncidence, quelques jours après le passage de Manu au Maroc. La Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) a été créée par la résolution 690 du Conseil de sécurité du 29 avril 1991, conformément aux propositions de règlement acceptées le 30 août 1988 par le Maroc et le Front populaire pour la libération de la Saguia el-Hamra et du Rio de Oro (Front POLISARIO) - https://lnkd.in/eKhDJWvf 🤔. "Le Conseil de sécurité [...] décide de proroger le mandat de la MINURSO jusqu’au 31 octobre 2025 [et] souligne qu’il convient de parvenir à une solution politique réaliste, pragmatique, durable et mutuellement acceptable à la question du Sahara occidental, qui repose sur le compromis, et qu’il importe d’adapter l’action stratégique de la MINURSO et d’affecter des ressources des Nations Unies à cette fin" - https://lnkd.in/eJgrkKcB. #minurso #saharaoccidental #maroc #algerie #nationsunies

🇲🇦🇮🇷🇩🇿 𝐋𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐫𝐨𝐜𝐡𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐈𝐫𝐚𝐧-𝐌𝐚𝐫𝐨𝐜 : 𝐮𝐧 𝐞𝐧𝐣𝐞𝐮 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐞𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐧𝐞𝐫𝐯𝐨𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐚𝐥𝐠𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 Depuis plusieurs mois, l’Iran tente de rétablir ses relations avec le Maroc, rompues en 2018, sous l’égide de l’Arabie saoudite et des Émirats arabes unis. Après un premier contact discret à Rabat, une seconde rencontre est prévue en Arabie saoudite. Cette initiative, censée réduire l’isolement de Téhéran, suscite une vive inquiétude à Alger, qui voit en l’Iran un allié essentiel contre l’intégrité territoriale du Maroc. Selon des sources, Ahmed Attaf, ministre algérien des Affaires étrangères, a contacté son homologue iranien, Hossein Amir Abdollahian, pour le dissuader de céder aux exigences marocaines. Parmi celles-ci : l’annulation de la reconnaissance du Polisario et la fin du soutien militaire via le Hezbollah. Attaf, dans un élan de panique, aurait plaidé pour une fidélité iranienne à Alger, usant d’arguments plus émotionnels que stratégiques. De son côté, le Maroc reste vigilant. Ayant déjà été confronté aux ingérences iraniennes, notamment via un soutien militaire au Polisario, Rabat exige des garanties concrètes avant toute normalisation. Le royaume, fort de son expérience, refuse de faire confiance à un régime dont le double discours est bien connu. Pour l’Algérie, ce rapprochement représenterait un revers diplomatique majeur. La perspective de voir l’Iran revoir son soutien au Polisario menace de fragiliser davantage la stratégie d’Alger, déjà mise à mal sur plusieurs fronts. Quant à l’Iran, il se retrouve face à un choix délicat : maintenir ses liens avec un régime algérien en déclin ou répondre aux appels saoudiens pour une réconciliation avec Rabat. Mais le Maroc, conscient des enjeux, ne permettra aucune manœuvre dilatoire. Ce dossier illustre les tensions géopolitiques au Maghreb et au Moyen-Orient. Alors que l’Iran cherche à diversifier ses alliances, l’Algérie s’efforce désespérément de conserver une influence qui lui échappe peu à peu. La question du Sahara reste, une fois de plus, au centre des dynamiques régionales.

Dans un message adressé au Roi Mohammed VI, le Président français marque une évolution significative de la position de l’Elysée concernant le Sahara. La reconnaissance officielle de la souveraineté marocaine sur ce territoire réconforte la dynamique enclenchée pour la résolution définitive de ce conflit artificiel. Dans sa lettre adressée au Roi Mohammed VI, le président français considère que « le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine ». Il assure Sa Majesté de « l’intangibilité de la position française sur cet enjeu de sécurité nationale pour le Royaume » et que son pays « entend agir en cohérence avec cette position à titre national et au niveau international Cette évolution de la position de la France s’inscrit ainsi dans la dynamique impulsée par Sa Majesté pour mettre un terme au différend artificiel autour du Sahara marocain. Grâce à la diplomatie royale, la position de la France vient renforcer la tendance internationale en cours dans la mesure où elle vient s’ajouter à celles des Etats-Unis, ainsi que de plusieurs pays Arabes, Africains, d’Amérique et des Caraïbes et Européens – dont l’Espagne. Who’s next ????? ❤️🇲🇦🇲🇦🇲🇦 #ilovemymorocco #saharamarocain