Post de Elie Tatukila

Alors, "moment Spoutnik" ou pas ?? #Moment #Spoutnik Le "moment Spoutnik" fait référence à un événement déclencheur qui provoque une prise de conscience collective et incite à une action rapide et coordonnée, généralement dans les domaines de la technologie, de l'éducation ou de l'innovation. Cette expression trouve son origine dans le lancement de Spoutnik 1 par l'Union soviétique le 4 octobre 1957, qui fut le premier satellite artificiel mis en orbite autour de la Terre. #Contexte #Historique Le lancement de Spoutnik 1 a eu un impact mondial majeur, en particulier aux États-Unis. Cet événement a marqué le début de la course à l'espace entre les États-Unis et l'Union soviétique pendant la Guerre froide. La réussite soviétique a suscité une profonde inquiétude aux États-Unis, qui craignaient d'être technologiquement dépassés. En réaction, le gouvernement américain a intensifié ses investissements dans la recherche scientifique, l'éducation et le développement technologique. Cela a conduit à la création de la NASA (National Aeronautics and Space Administration) en 1958 et a stimulé des initiatives telles que le Développement du programme spatial Apollo, qui a abouti à l'alunissage en 1969. #Usage #Moderne Aujourd'hui, l'expression "moment Spoutnik" est utilisée de manière métaphorique pour décrire une situation où un événement ou une découverte pousse une société, une organisation ou un pays à réagir rapidement pour rester compétitif ou pour répondre à un défi urgent. Par exemple : #Technologie et #Innovation : Le développement rapide de l'intelligence artificielle pourrait être considéré comme un "moment Spoutnik" pour certaines nations, les incitant à investir massivement dans la recherche et l'éducation pour ne pas être dépassées. #Éducation : Une crise éducative ou un décalage dans les compétences requises par le marché du travail peut servir de "moment Spoutnik", poussant les gouvernements à réformer les systèmes éducatifs. #Environnement : La prise de conscience croissante des enjeux climatiques pourrait constituer un "moment Spoutnik" incitant des actions concertées à l'échelle mondiale pour lutter contre le changement climatique. #Importance du "#Moment #Spoutnik" Ce concept souligne l'importance de la réactivité et de la proactivité face aux défis émergents. Il met en avant la nécessité pour les sociétés de ne pas rester passives face à des avancées ou des menaces significatives, mais plutôt de mobiliser des ressources et des efforts pour s'adapter et innover. En résumé, le "moment Spoutnik" symbolise un point de bascule où un événement catalyseur pousse une entité à entreprendre des changements substantiels pour assurer sa compétitivité et sa survie dans un contexte en évolution rapide. Source Image : Réplique de Spoutnik sur Wikipédia : https://lnkd.in/df5mJzE6

🚀 Savez-vous où se situe le nouvel eldorado de l’humanité ? Il y a quelques années, une voiture a été envoyée dans l’espace, orbitant autour de la Terre, avec une chanson diffusée en boucle sur l’autoradio. Absurde ? Peut-être. Visionnaire ? Cela dépend du point de vue. Une chose est certaine : ce geste a marqué les esprits. Et la bagnole est toujours en orbite. Cette réalité étrange et presque satirique inspire l’une des nouvelles de mon recueil "Histoires absurdes et satiriques dans un monde en quête de sens". Dans "À la conquête du nouvel eldorado", une critique de notre époque prend vie. Celle de la quête effrénée d’innovations spectaculaires, parfois déconnectées des véritables besoins humains. Du moins est-ce mon opinion. Mais pourquoi utiliser la satire dans votre communication ? 3 raisons d’intégrer la satire dans votre communication 1️⃣ Dénoncer avec légèreté : La satire permet de poser un regard critique sans tomber dans le sermon. Dans la nouvelle, la voiture en orbite devient un symbole de l’absurdité de nos ambitions technologiques face à un monde qui manque d’essentiel. Une image forte, qui provoque réflexion et sourire. 2️⃣ Faire réfléchir autrement : En exagérant ou en détournant une situation, la satire rend les idées complexes plus accessibles. Ici, la métaphore de l’eldorado souligne la manière dont nous idéalisons certaines avancées, tout en occultant leurs limites. 3️⃣ Marquer durablement les esprits : Une bonne satire, comme une voiture orbitant la Terre, laisse une empreinte durable. Ce contraste entre l'extraordinaire et le dérisoire capte l’attention et ancre un message dans l’esprit de votre audience. Puisque nous sommes à la veille du weekend, pourquoi ne pas se permettre un petit concours ? 🎯 Le jeu : ❓Connaissez la marque de cette voiture envoyée dans l’espace en 2018 ? ❓Et le titre de la chanson diffusée en boucle par l’autoradio de ce véhicule ? Un indice ? C'est beau, oui ! Mettez vos réponses en commentaire ! Bien évidemment, les réponses sont sous vos yeux… Dans le recueil "Histoires absurdes et satiriques dans un monde en quête de sens". 👉 Lien vers le recueil en commentaire. La satire, comme l’espace, peut sembler hors de portée. Mais elle nous ramène toujours à l’essentiel. Et la version gratuite de l'ebook sera également bientôt hors de portée. Sans être balancée sur le siège passager du véhicule en orbite. C'est Black Friday Free et cela se termine dans le noir ce soir.

Fascinant, à lire et débattre ! Ce matin, en entendant que les États-Unis veulent imposer l'heure sur la lune avant que les chinois ne le fassent, je me dis qu'il ya quelque chose de pas clair avec cette histoire de "conquête spatiale". On pourrait même dire pas casher et on aurait raison, dans la mesure où les premiers ingénieurs qui ont bossé sur Apollo qui ont permis d'aller sur la lune avant les soviétiques étaient des allemands qui fabriquaient des missiles V2 pour les nazis discrètement exfiltrés en 1945, mais quand l'affaire est sorti, ça fit mauvais genre... Il y a quelque chose de pas net dans cette histoire de conquête coloniale (coucou Kourou, et coucou les territoires pillés pour construire les navettes). Il y a évidemment quelque chose de pas règlé chez les mecs qui veulent avoir la plus grosse fusée, de Bezos à Musk. Quelque chose de pas décent à dépenser à nouveau des dizaines de milliards pour s'envoyer en l'air, autant qu'on ne met pas pour régler les catastrophes sur terre. A l'acmé de la guerre froide, la conquête spatiale occupa jusqu'à 4,4% du PIB des USA. Ça a dégringolé, avant de remonter en emportant dans le sillage des fonds publics les milliardaires et leurs délires techno solutionnistes de voyage interstellaires, de colonisation spatiale et autres délires. Les auteurs, Irénée Régnauld et Arnaud Saint Matin glissent malicieusement en conclusion un article de 1978 qui pourrait avoir été écrit ce matin. 50 années de non avancées ne nous ont pas désintoxiqué de nos imaginaires malades. Comme l'écrivent les auteurs en conclusion "tout n'est pas à jeter dans le spatial. Mais force est de constater que ce qui en détermine les orientations nous mène au désastre. Les surenchères martiales, propagandistes, extractivistes et commerciales rendent d'autant plus criantes les réalités d'une "planète A" bien malmenée" (...). De toute évidence, les conquérants de l'espace et les fossoyeurs de la vie sur Terre sont les mêmes".

🚀 Aujourd’hui nous sommes le 24 juillet, une date marquée par des avancées majeures en matière d’innovation. Voici pourquoi :   🔹 En 1927, c’est un 24 juillet que naissait Marvin Minsky, pionnier de l'intelligence artificielle. 🤖 🔹 En 1972, la sonde Pioneer 10 franchit la ceinture d'astéroïdes, ouvrant la voie à l'exploration de Jupiter. 🚀✨ 🔹 En 1976, a lieu le premier vol commercial du Concorde, reliant Londres à Washington D.C. en un temps record. ✈️ 🔹 Et le 24 juillet 2020, une autre date importante (pour nous)…  Monga était née de l’association d’Avidan Koubi et Kevin Valensi, et aussi un peu grâce à une histoire de chauffe-eau (si vous n’avez pas la ref, on vous laisse fouiller dans nos derniers posts pour découvrir cette histoire 😎) ! 🎉 Depuis notre lancement, nous mettons chaque jour, tout en œuvre pour repousser les limites de l’innovation. Chaque défi relevé et chaque succès partagés nous remplissent de fierté et de gratitude. 🚀 💡 En quatre ans, des milestones ambitieux ont été franchis. Mais ce qui nous motive le plus, c'est ce qu’il reste à accomplir… Avec un enthousiasme débordant et une ambition sans limite, nous continuerons d’innover pour produire les meilleurs outils et la meilleure qualité de service du marché. Sky is NOT the limit ! 🌟 En attendant, nous allons souffler nos bougies ! 🎂 🥳 Et vivement les 4 prochaines années ! #Innovation #AI #realestate #scaleup #TechLovers #Monga #MongaHeroes #Anniversaire #SkyIsNotTheLimit

🌟 Aujourd'hui, célébrons des avancées incroyables en technologie et en science qui ont marqué l'histoire le 4 mai ! 🚀✨ 🎇 Lancement de la sonde Magellan - En 1989, la navette Atlantis a mis en orbite cette incroyable sonde spatiale qui a cartographié la surface de Vénus. Parfois, il suffit de viser les étoiles pour faire des découvertes extraordinaires. 🌌🔭 💻 Le ver Sasser frappe - En 2004, le monde a découvert les dangers des menaces informatiques. Mais rappelez-vous, chaque défi est une opportunité d'apprendre et de renforcer notre sécurité numérique. 🔐🖥️ 👩⚖️ Margaret Thatcher, une première - En 1979, la "Dame de Fer" est devenue la première femme Premier ministre du Royaume-Uni, prouvant que le leadership n'a pas de genre. 👩💼⚡ 🎶 Premiers Grammy Awards - En 1959, les Grammy Awards ont honoré pour la première fois des artistes extraordinaires. Que ce soit dans la musique ou dans la vie, n'oubliez pas de célébrer vos réussites. 🏆🎤 ⚾ Willie Mays établit un record - En 1965, le légendaire joueur de baseball a montré que la persévérance paie. Quels records voulez-vous battre aujourd'hui ? 💪🏆 🌱 Que ces moments inspirants nous rappellent que l'innovation et la détermination ouvrent la voie vers un avenir meilleur. Quelles nouvelles découvertes ou innovations souhaitez-vous voir se réaliser ? 🚀✨ #Innovation #Leadership #Inspiration

Le billet de Martin Legros dans Philosophie Magazine propose des arguments intéressants pour légitimer l'admiration que l'on peut ressentir à la vue de l'équipage de Polaris Dawn passant la tête dans le vide cosmique, à quelque 740 km d'altitude. Parmi ces arguments, l'idée qu'un équipage privé n'en est pas moins digne d'explorer l'espace qu'un équipage militaire œuvrant au prestige national sur fond de Guerre froide. Finalement, ne vaut-il pas mieux des milliardaires en démonstration d'un saut technologique dont profitera l'humanité entière (je parle surtout des scaphandres et de la capsule Dragon) qu'en hors-bord vrombissant au large de Saint-Tropez? Ce qui nous énerve, à tort ou à raison, dans cet exploit, c'est d'abord la personnalité d'Elon Musk. Pourtant, aussi génial soit-il dans la conduite de ses entreprises, il n'est pas SpaceX à lui tout seul. Derrière lui, des femmes et hommes ingénieurs, scientifiques, ont relevé les défis qu'il leur a imposés. Rien ne permet de dire que ces personnes sont fondamentalement différentes de celles qui envoyèrent Apollo XI sur la Lune. Et puis, rien n'oblige personne à considérer Elon Musk comme quelqu'un de bien. Et c'est sans doute là la source première de cette frustration: notre vieille Europe est dépassée de tous les côtés, à l'est, à l'ouest, au sud et au nord. Au moment même où nous réalisons notre introspection civilisationnelle (colonialisme, patriarcat, changement climatique et environnement) sous le regard cynique et sans pitié de nos partenaires-concurrents, ou de nos ennemis, nous devons accepter que les manettes du monde ne sont plus à notre portée. L'ère numérique n'est pas la nôtre, en tout cas pas pour le moment. Matières premières, technologies, ressources humaines, la "mission" Polaris Dawn résonne comme un rappel douloureux du déclin de l'empire européen, une Europe que nous ne parvenons pas à finaliser et dont nous nous lassons de constater l'impuissance quelquefois nuisible. Tout cela ne signifie pas que nous ayons tort: l'Europe est peut-être en train de devenir philosophiquement résiliente, de réinventer le progrès dissocié de la croissance, de reprendre contact avec la nature, avec l'humain. Le vrai défi est de trouver notre place dans un monde devenu global où la coexistence est perçue comme une capitulation. Le 12 septembre dernier, en orbite, tel un suricate, l'humain a pointé la tête hors de son terrier pour contempler la planète. Ce n'est ni la première, ni la dernière fois. Cela reste un spectacle fascinant, et il faut reconnaître que les moyens audiovisuels déployés par SpaceX n'ont rien à voir avec les images granuleuses de juillet 1969. C'est cette mémoire qui nous permet d'apprécier ce qui a été, est et sera accompli.

Contexte spatial disruptif - Depuis la diffusion cette semaine des premietes photographies des matériels habités lunaires chinois, nous sommes maintenant entrés dans une séquence inédite qui va se terminer dans deux, trois ou quatre ans par l'arrivée sur la Lune des Américains et des Chinois ! Mais en arrière plan, c est bien là conquête de Mars qui se profile. La vraie compétition au XXIe siecle ce sera là bas. 👉 C'est d'abord la Chine qui a annoncé cet objectif en 2021 et qui semble avoir pris un virage stratégique récent vers cet objectif. Il suffit d'examiner comment la littérature scientifique et technique chinoise évolue très vite dans ce domaine, y compris au sujet de la propulsion nucléaire et meme de l'hibernation des taikonautes (à ma grande surprise). Pourquoi ? Parce que les Américains ne font que parler de la 4e planète, ou plutôt Elon Musk. 👉 On ne peut pas comprendre l'empire créé par Musk sans le facteur martien, il guide toutes ses actions. Starlink ? C'est "la vache à lait" pour développer à la chaîne le Starship, le fer de lance de la conquête martienne. The Boring Company ? Le diamètre des tuneliers entre dans le Starship ; ils creuseront sur Mars les tunnels pour protéger les futurs colons. Les robots Optimus ? Il en faudra des milliers pour bâtir des colonies sur place, etc Pour ceux qui seraient intéressés pour avoir d'autres cles de comprehension, lire mon ouvrage "Rêves de Mars" publié par L'esprit du temps en 2018. Illustration : Max Rymsha

Il y a un peu plus d’un an je publiais « L’espace des fous ». L’argument originel en était l’impasse stratégique dans laquelle se sont fourvoyés les Américains en lançant un défi asymétrique à la Chine :  « Face tu gagnes, pile je perds ». Un défi que la Chine s’est gardée de relever formellement, jouant à merveille de l’ambiguïté : « on ne peut pas perdre un défi qu’on n’a pas relevé ; mais on peut gagner celui que le rival a lancé en claironnant. » La NASA, passablement « lost in translation » dans cet imbroglio de restes du programme Constellation et du brand new programme Artémis, avait choisi la pire des pires solutions pour « alunir» : le Starship de Musk. Un truc haut et à base étroite, de masse en ordre de marche plusieurs dizaines de fois supérieure à celle de l’iconique LEM... la fusée de Tintin !  Tellement absurde que j’émettais l’idée d’une forme de sabotage de l’intérieur par certaines communautés de la NASA : tant qu’à faire des conneries autant les faire avec la solution qui sera le plus rapidement mise en échec.  Aujourd'hui les USA partent vers Mars, sans aucune chance d’y parvenir, pour masquer qu’ils ont échoué grave à retourner sur la Lune. Quand POTUS est conseillé par un excité, le nombril à l’air, qui croit aux aliens, promet de coloniser Mars et lui fait mettre à son programme des départs habités vers Mars dans 42 mois avec un vaisseau explosif, on est vraiment dans un « Espace des fous » Quand à quelques jours d’intervalle un vol de Delta se retrouve dans le périmètre de sauvegarde d’un lancement de fusée et une méga fusée explose en pluie fine filmée par des passagers d’avion de ligne ou des promeneurs au sol, on est dans un espace de fous dangereux. Pour comprendre la montée de la frappadinguerie : « L’Espace des fous » Èditions Cépaduès https://lnkd.in/dsuHNQuX et aussi  https://lnkd.in/dw8kJJzH https://lnkd.in/dPgPA3kH

Simulation spatiale Aujourd'hui sortons un peu du cadre de l'économie, je m'entraîne depuis quelques jours à simuler des interactions entre différents éléments dans un espace numérique Ici un système étoile + planète subissant une inertie d'un trou noir => Conséquences : l'orbite de l'étoile subit de manière conséquente l'effet gravitationnel du trou noir mais la plus grande distorsion réside dans l'orbite de la planète (tracé bleu)

Saviez-vous que de nombreuses prouesses technologiques et scientifiques ont commencé comme de simples rêves dans l'imaginaire de quelqu'un ? 🧠 L'intelligence artificielle, qui s'est imposée comme un outil incontournable dans le monde de la tech, suit cette tradition d'innovation portée par la vision créative de ses utilisateurs. En voici 3 exemples ⬇️ 1️⃣ Le sous-marin ⚓️ - Imaginé par Jules Verne dans Vingt mille lieues sous les mers (1870) avec le Nautilus, ce sous-marin fut l'une des premières représentations d'un véhicule sous-marin autonome, préfigurant les futures explorations sous-marines. 2️⃣ Le défibrillateur ⚡️ - Inspiré par Mary Shelley dans Frankenstein (1818), où la réanimation par l'électricité capturait déjà notre imagination, bien avant la création du premier défibrillateur externe par William Kouwenhoven en 1930. 3️⃣ La fusée 🚀 - Georges Méliès, avec son film Le Voyage dans la Lune (1902), a aussi visuellement conceptualisé les fusées avant même que l'ère spatiale ne commence. Lien du film ➡️ https://lnkd.in/e5RhbtyV L'exploration spatiale via un projectile avait déjà été imaginé par Jules Vernes dans "De la Terre à la Lune" (1865). Chacun de ces exemples démontre combien l'imagination est cruciale pour façonner l'avenir des technologies. Oui, l'IA est un outil puissant, mais c'est notre capacité à imaginer et à innover qui reste le véritable moteur du progrès. L'intelligence artificielle n'est qu'un moyen d'accélérer la concrétisation de ces idées. Derrière chaque technologie, il y a une idée humaine qui prend vie.